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La plage, l'action, Léandre

[RP]La plage

Aureanne.rogy
RP ouvert à tous!!!


Ce matin là, la blonde se réveillait à l'auberge, tout comme Jacques...
Un sourire se dessina sur son visage...Le bonheur se voyait sur ses traits.

Elle était si heureuse d'être enfin revenue. Elle avait une famille merveilleuse et le meilleur des époux. Il était beau, fort, il savait presque tout faire cet homme là. Elle était si fière de lui.

C'est une Teste bien tristounette et bien vide qu'ils avaient découvert en arrivant, mais une chose n'aurait pas changé...Sa plage...

Cette petite crique qu'elle avait découvert des années auparavant, lors d'une promenade, le long des chemins.

Elle lui avait fait promettre de l'accompagner pour cette première balade, lui faire découvrir cet endroit magnifique, où, il y a longtemps, elle pensait déjà à lui...

Elle se rappelait encore la première fois qu'elle avait croisé le regard de Jacques.
Il était déjà si beau...


Alors, c'est avec entrain, qu'elle prépara les petits pendant que Jacques s'apprêtait.
Il y avait déjà longtemps, que la blonde s'était habillée.

Elle emmitoufla les petits de manière à ce qu'ils n'attrapent pas froid et ajusta son châle offert par leur fille, puis enfila sa cape bien chaude.


Mon ange, nous sommes prêts.

_________________
Jacques.rogy
Jacques s'étira comme un gros matou paresseux dans leur couche, adressant un ronronnement plaintif contre le soleil qui avait eu la mauvaise idée de venir planter un de ses rayons dans ses yeux bleus acier. La nuit avait encore été courte, le brun s'en faisait. Sa douce arrivait à terme, leur enfant pointerait le bout de son museau bientôt et cela le travaillait. Pas question de roupiller quand elle pouvait accoucher à tout moment. C'est donc à chaque fois au petit matin qu'il tombait d'épuisement, passant le début de sa nuit à énumérer les choses préparées persuadé qu'il manquerait à l'heure H un truc important. Le plafond de la chambre d'auberge était devenu pour le brun le reflet d'un vélin sur lequel il griffonnait de ses yeux le matériel nécessaire à l'enfantement. Il tourna machinalement la tête prêt à embrasser sa douce, mais se retrouva le nez dans un nuage moelleux de plume..

Norf ..... mais... l'oreiller... c'est pas Anna...

Il se redressa assis dans le lit et balaya la pièce du regard la pièce. Plus de robe, plus de lien pour nouer les cheveux sur la table de nuit. Il se mit à plat ventre sur le lit, passant sa tête pour regarder en dessous.

Norf.. même plus de bottes.. elle a pris la poudre d'escampette, elle est vraiment terrible ma parole!

Il se mit assis sur le bord du lit, un sourire mi amusé, mi contrarié sur les lèvres. On ne la changerait décidément pas. Aureanne tranquille dans un lit c'est comme un alcoolique sobre, ca dur rarement plus d'une demi journée. Et encore avec paramètre bien précis réunis.. c'est à dire... quand la phase de la lune, le sens du vent, la période d'hibernation des marmotte en papouasie du sud se rencontrent, dire si ca arrive souvent!! Il se leva et enfila ses braies bien décidé à ramener Anne ici de force, ne pouvant plus la porter comme un sac de blé ca serait en brouette, histoire de bien lui mettre la honte qu'elle ne recommence plus. Il en était la de ses idées de tortures quand la chambre d'à coté attira son attention. C'était celle qu'ils avaient pris pour les enfants, une porte contiguë leur permettant de communiquer.

Il ouvrit la porte doucement et fit un pas dans la pièce. En moins de deux il se retrouva assaillit par des minis tornades emmitouflées jusqu'aux yeux. Il leva les yeux quand Anne lui annonça qu'ils étaient prêt. Prêt?? mais prêt pour quoi? Le brun envahit d'un énorme moment de solitude hésita.


*Si je demande ce que j'ai oublié je suis mort, si je demande pas je suis tout autant mort... dilemme...*

Heureusement pour lui les garçons se mirent à parler crabes. La il percuta, ils avaient en effet convenu de retourner voir ce lieu qu'ils aimaient tant.. La brun en conclue qu'il avait du se rendormir après qu'elle l'eut secoué pour le mettre en bas du lit. Il s'extirpa des tentacules de ses monstres pour enfiler une chemise, son chapeau et ses bottes. Il passa le magnifique mantel, cadeau au combien précieux de son Trésor, et rejoignit tout le monde.

C'est bon mon ange je suis prêt pour cette expédition.

Il lui sourit, l'enlaçant tendrement contre lui pour l'embrasser. Puis saisie la clanche et ouvrit la porte à toute sa tribu.

_________________
Aureanne.rogy
Son beau brun lui déposa un baiser sur les lèvres, la faisant frissonner comme à chaque fois.

Elle avait eu peur qu'il ne se rendorme, mais non, il était fin prêt.

Il ouvrit à sa petite famille et c'est ainsi qu'ils partirent tous en direction de la plage.

Ils traversèrent les sylves et les pinèdes, bien éteintes en cette époque. Puis ils empruntèrent le petit chemin sableux, où chaque été Anne ramassait ces fleurs au parfum délicat et aux couleurs flamboyantes.

L'air était frais, ce qui accentuait l'odeur iodée des lieux.

Les petits voulaient se relayer dans les bras de leur père et c'est avec amusement que toute la petite famille arriva sur la plage...

Là, à ce moment précis, un silence se fit entendre...

Plus un mot, plus un souffle, hormis celui du vent, frôlant les vagues...

Anne, sourit...Elle regarda le visage souriant de leurs petits, comme s'il étaient devant la plus merveilleuse des choses qu'ils leur avait été donnée de voir.

Elle regarda ensuite Jacques, saisit sa main et l'embrassa avec douceur. Elle regarda à nouveau l'océan qui lui avait tant manqué, cet endroit où chaque jour elle se rendait, où chaque jour, elle pensait à lui...
C'est d'une voix sereine et douce qu'elle lui dit:


Jacques...Je t'aime...

Elle ferma les yeux, sourire aux lèvres et inspira...Les embruns étaient délicieux et aucun autre endroit ne pouvait rivaliser avec celui ci...

La Teste de Buch, le plus beau, le plus agréable endroit que la terre ait offert aux hommes...Ici, tous les espoirs étaient permis...

_________________
Frederine
Frederine depuis plus de 5 mois qu'elle était habitante de la teste ne c'était jamais rendue sur la plage.

La vie est ainsi faite , le temps file trop vite , mais là elle avait envie de crier de partager sa joie mais elle n'est pas du genre exubérante et il n'y a que la plage pour se sentir bien.

Elle s'assoit sur un mini rocher et pense à tous ses souvenirs du passé , tire un trait dessus ,vive sa nouvelle vie .......

Un homme merveilleux lui avait ouvert son coeur , sa vie , elle si solitaire depuis longtemps , n'en revenait pas de la chance qu'elle avait .

Elle était arrivée avec sa complice de toujours , Mircha , les 2 pipelettes comme elles étaient surnommées , ce qui les faisaient rire , elles cherchaient un endroit où elles se sentiraient à l'aise pour se refaire une nouvelle vie .

Ses amis sont venues la rejoindre, sa petite Ophelya si cher à son coeur, sans compter tous les autres ,et ceux qui vont encore arriver .

Maintenant il faut s'atteler à la tache et faire revivre cette ville si belle mais qui somnole , il faut vraiment se donner du mal mais ça serait dommage que la Teste disparaisse car pas assez peuplée et trop calme.

Frederine joue avec le sable , le laisse filer entre ses doigts , et rêve en contemplant la mer , les vagues plus où moins grosses qui viennent mourir sur le sable , la belle couleur de l'eau même en hiver qui donne envie d'aller s'y baigner , dommage que l'eau soit si froide ......

Les heures s'écoulent , depuis combien de temps est elle là? Au loin un bateau passe où va t 'il ?

Lentement elle se lève complètement apaisée et quitte cette magnifique plage , se disant qu'elle y reviendra bientôt.......
Ophelya
Ophelya était arrivé depuis peu et tout de suite elle avait été pas mal occupée, aujourd'hui elle pouvait enfin souffler un peu elle se vêtit chaudement et s'en allât vers la plage, de suite elle fut saisie par cette immensité, elle avait déjà fait un voyage au bord de la mer mais c'était il y a bien longtemps...

Tout en flânant car le froid ne lui donnait pas trop envie de s'asseoir dans le sable même si cela était tentant... ce sera pour une autre fois, se dit-elle, elle pensait à ce voyage pour venir ici rejoindre sa douce amie qu'elle aimait tendrement, elle lui avait appris beaucoup de choses, elle était toujours de bons conseils pour elle, toutes deux avaient traversées des épreuves, mais toujours là pour se remonter le moral surtout quand Ophelya était restée seule pensant faire revivre toute une ville elle avait essayé mais en vain...

Au moins ici elle était bien, reprenait gout à la vie riait de nouveau c'était bon de voir du monde et d'être entouré de ses amis, le bruit des vagues berçaient ses pensées, elle se prit à regarder des mouettes qui survolaient la mer en criant, elles ont faim se dit-elle et en riant intérieurement elle se dit qu'elle aussi commençait à avoir faim et qu'il était l'heure d'aller manger et de se mettre au travail, elle prit le chemin du retour en chantonnant
.
Elwyne
La Teste ... La Teste ....

El marchait sur le sable, en soulevant quelques grains à chaque pas.

La Teste ... Heureusement qu'il y avait l'océan. La Teste ...

El replaça nerveusement une mèche derrière son oreille, se mordant les lèvres. Non, El n'aimait définitivement pas la Teste.

Soupirant, elle s'assis sur le sable, les jambes croisées en tailleur.
Heureusement qu'elle aimait beaucoup Max, et qu'elle suivrait No partout, sinon, la Teste ... El plissa le nez.

Heureusement que la mer était là ... Instinctivement, El posa ses yeux sur la grande étendue d'eau, et elle se calma aussitôt, apaisée par le bruit des vagues. Comme elle l'avait dit à Jo', s'était comme une marée de chevaux galopants en rythme ... Cadencé, magnifique, envoûtant. Un son envoûtant, oui.

L'air marin vint remplir les narines de la brunette, et elle ferma les yeux. La mer avait un pouvoir sur elle. Une emprise calmante, apaisante.


Un jappement la fit sortir de sa rêverie.
Bretzel, trépignait à ses côtés.
El comprit que c'était l'heure, que Bretz en avait marre.

Ronchonnant après sa renarde, El jeta un dernier coup d'oeil complice à la mer, et s'en alla, tremblante.
Maxolina
La rouquine savait où elle pouvait trouver sa jolie brunette et surtout elle regrettait le peu de temps qu'elle avait pu passer avec elle depuis quelques jours. Leur complicité, leurs discussions à n'en plus finir, la confiance qu'elle avait enfin retrouvé ... Tout ça lui manquait et elle savait aussi l'effort qu'elle avait demandé aux uns et aux autres pour affronter La Teste. Pour Max aussi, La Teste était un moment difficile, un souvenir qui faisait passer un voile sur son regard, c'est là qu'elle avait connu la fin ... d'une vie.
Mais grâce à bien des personnes et grâce à la fantaisie et les sourires d'un petit un jour, elle avait réussi à surmonter le passé et à l'affronter surtout. C'est pour cela que malgré ce que La Teste représentait, elle avait eu tellement envie d'y revenir, pour le voir, même l'espace d'une journée, de quelques heures. Elle lui devait davantage qu'il ne le saurait jamais.
Bref, une fois de plus ses pensées s'égaraient comme à chaque fois qu'elle était sur une plage, et encore davantage à La Teste.
Il n'empêche que comme elle s'y attendait, elle aperçut El, son myosotis, qui maintenant, dès qu'elle le pouvait, allait profiter de la mer, réaliser le rêve qu'elle souhaitait depuis si longtemps.

La vilaine rouquine resta là un long moment à l'observer. La voir retrouver sa sérénité au bord de l'océan lui réchauffait son vilain coeur. A croire qu'elle ne l'avait pas kidnappée de Cahors pour rien ... enfin elle l'espérait.
Elle était heureuse de la voir heureuse, heureuse d'avoir pu lui présenter le petit, heureuse de les voir s'entendre si spontanément. C'était un de ses rêves à elle qui se réalisait.
Un franc sourire vint illuminer sa vilaine frimousse, un de ceux qu'elle n'avait plus trouvé depuis longtemps, depuis .... Bref ...

Elle vit subitement la renarde aussi rousse qu'elle commencer à trépigner et El se préparer à quitter la plage.

C'est alors que Max se dirigea vers elle, lui adressant un sourire sincère ... ça changeait des grognements ... et l'attrapa par le bras avec entrain, prenant avec elle le chemin qui les guiderait loin de l'océan .... provisoirement.
Se resserrant doucement contre elle, elle lui murmura :


Merci El, merci d'être venue jusqu'ici, je sais que tu n'aimes pas cette ville mais merci d'avoir fait cet effort pour moi, tu n'imagines pas à quel point cela me touche ... Je suis ... heureuse !
Ici sont réunis les personnes essentielles à ma vie ... Même si cela ne dura que l'espace d'une journée, cela m'a fait un bien immense ... Et oublier ... Enfin tu sais quoi ...


D'un pas assuré, elles tournaient le dos à la mer et s'apprêtaient à reprendre la route vers Mimizan ... en espérant qu'avant le départ, elle croiserait le petit pour discuter un peu avec lui.
Elle avait eu du mal à tout gérer la vilaine rouquine.


Allez on file ma El ... Mimizan ... pis ... je sais plus trop l'itinéraire pour aller à Marmande, pis ailleurs, et encore ailleurs. Castillon sûrement un jour.
J'ai une famille ma El, une famille
...


La rouquine secoua la tête, incapable de se faire à cette idée, elle qui n'avait jamais connu ça ...
C'est à ce moment qu'un pigeon vint se poser devant elle, elle lut la missive et une ombre vint faire disparaître son sourire. Elle retint ses larmes pour ne rien montrer. Elle le savait, elle l'avait toujours su, que c'était une mauvaise idée. Elle avait voulu y croire pour se réconforter de tout ce qu'elle avait traversé ces derniers temps mais nan, elle avait encore eu une mauvaise idée ... Rien ne se passait comme elle voulait, rien ne rendait les choses compatibles et tout cela ne faisait que creuser ses plaies encore à vif.
Et puis les gens changeaient, elle probablement oui, les autres aussi. La gorge nouée, la tristesse lui brûlant le coeur, elle se remit en route.


Allez El, il est temps qu'on s'en aille, j'ai fait une erreur de plus ... Je le savais et je l'ai faite quand même. Me demande pas laquelle, je pourrais pas l'expliquer ... Mais il est temps d'avancer et d'oublier le passé ... et LA faiblesse !
Azarelle..
De grand matin, Aza était venue réveiller Elim pour partir à la recherhe de Guizmo.

Ils avaient enfourché le magnifique poney de Elim et chevauchaient dans la campagne environnante pour aboutir sur la plage.
Ils cherchait une grotte ou une lande boisée.

Aza avait proposé à Elim de monter à deux son poney car depuis qu'elle l'avait vu, elle en rêvait.
Mais monter le poney au nom barbare qu'elle ne retenait pas, c'était trahir Guizmo son compagnon de route.
Partir à sa recherche était un prétexte tout trouvé pour profiter de l'opportunité .

Un petit plus, néanmoins, elle n'avait pas pensé que mettre ses bras autour de la taille d'Elim était si gai.
Elim
"Cunégonde! Je pars!
-Prenez Alun avec vous au moins! Et si vous vous perdiez? Puis je vois que vous en profitez pour me laisser préparer seule, encore une fois, vos affaires avant le départ. Ce n'est pas très aristotélicien ça jeune homme et votre mère serait...
-Maman n'est pas là! Et moi j'ai un poney à retrouver, y'a un pacte de copains pour la vie derrière, avec une fille chouette. Alors non Alun il viendra pas."


Elim jette un regard d'excuse au vieux maitre d'armes, qui lui rend un sourire amusé.

"Laisse-le donc Cunégonde, tu vois bien qu'il grandit not'petit. Si son père le voyait, aller sauver la jeune fille en détresse, ça pour sûr, il serait fier de lui. Va mon petit, mais ne tarde pas trop, reste sur la plage. Ce matin au marché on parlait d'un canasson pas très haut qui galoperait devant la mer. Y'en a qui ont tenté de l'attraper déjà, alors fais vite. A ton retour n'oublie pas qu'on a une leçon tous les deux, maintenant que tu es équipé comme un vrai guerrier, on va commencer les choses sérieuses tous les deux."

Elim sourit ravi, pour sûr, il était équipé fièrement désormais. Tonton Balmo lui avait offert son épée la veille, et le jeune garçon, avait déposé l'arme précieuse à côté de lui, dans son lit, pour dormir avec.

Il sort donc en courant comme un lapin, comme toujours, plein de vivacité, et d'entrain. En plus le climat du coin lui donne des ailes, Elim, a toujours aimé le soleil. Il tient sans doute ça des origines provençales de feu son papa!
Sleipnir, le vaillant petit poulnet irlandais à la robe plus noire que l'ébène, et au caractère bien trempé, l'attend, attaché, et lance au jeune blondinet un hennissement joyeux. La complicité entre les deux, est unique.


"Bon, Sleip. Aujourd'hui, tu vas avoir une fille sur ton dos! Non! Ne me fais pas tes yeux colériques! C'est une chouette fille, tu l'as déjà vue, tu sais, c'est celle qui monte Guizmo, le pie alezan. Ben le Guizmo il s'est fait la malle, et toi et moi, comme on est des futurs chevaliers, et aussi parce que Azarelle est une chic fille que j'aime beaucoup, on va l'aider à retrouver sa monture. Non! Ne commence pas à piaffer et faire ton mécontent! Oui Guizmo t'a battu à la course sur la plage hier, et t'étais pas content que je te retienne un peu. Mais bon, j'aimais bien regarder les cheveux de Zaza s'envoler dans son dos... Elle est belle quand elle galope sur son poney hein? Pfff, de toute façon, t'es qu'un canasson, t'y connais rien!"

Le brave animal regarde son jeune maitre avec perplexité. L'humain est un animal complexe et le déchiffrement des expressions malheureusement pas à la portée d'une monture. Cela étant, comme il aime son jeune maitre, il se dit qu'il lui raconte sans aucun doute des choses tout à fait extraordinaires!
En tous cas, voila qu'il lui met une bride et lui grimpe sur le dos, à cru, à même le poil. ça sentait l'expédition joyeuse ça!

Azarelle est déjà là. C'est elle en personne, qui est venu le réveiller de bon matin! Elim en a rougi jusqu'au cuir chevelu! Enfin en attendant qu'il se prépare elle attendait tranquillement devant le campement.
Elim lui tend le bras, et l'aide à sauter derrière lui. Des petits doigts qui prolongent des bras qui lui ceignent la taille apparaissent devant lui. Il déglutit. Il n'avait pas pensé à ça. Mais en fait... Il aime bien la sentir derrière elle, contre lui.
Sleipnir piaffe un peu, marche en crabe, tente de se rebeller une fois ou deux, mais des coups de talons bien appuyés le remettent à sa place, il obtempère. Et part au petit galop de chasse vers la plage. Ils traversent un peu la campagne, avant d'aboutir devant l'étendue sablonneuse, avec en fond sonore, les vagues déferlantes, et les mouettes rieuses.


"Alun m'a dit que Guizmo aurait été vu par ici! Tu me dis si je vais trop vite! Ou si tu veux descendre! Et si y'a trop de vent!"

La mer à sa droite, le sable sous les sabots de l'irlandais, le vent dans les cheveux, et un soleil timide qui se lève avec lenteur, la liberté d'un grand galop sur la plage, ça n'a pas de pris. Surtout quand il est partagé avec sa-future-copine-pour-la-vie!

"Il faut trouver un endroit où il aurait trouvé refuge, il parait que des gens ont cherché à l'attraper."

Elim talonne l'irlandais qui se propulse vers l'avant, la folle chevauchée, ne fait que commencer.
Au loin, une grotte se profile, sur la gauche, le blondinet fait doucement volter l'animal vers le contrefort rocheux.

_________________
Azarelle..
Assise derrière Elim, aza suivait le galop souple du poney.

Elle était impressionnée par la dextérité de la conduite du cavalier, de l'aisance du poney. Jamais il ne trébuchait malgré la double charge.
La plage s'étendait à perte de vue et Elim conduisit son poney vers une grotte à moitié dissimulée par une pinède qui s'avançait sur la plage.

Guizmo...dans une grotte? Cela ne lui ressemblait pas.

Aza se pencha vers on compagnon de chevauchée.


Tu sais Elim, connaissant Guizmo, je le verrais plus sous une vieille barque, ou dans un trou qu'il aurait creusé. Je pourrais même me l'imaginer grimpant aux arbres....

...bien que, ça, je crois que c'est pas possible.

Une grotte , c'est froid et Guizmo a un peu peur du noir....

....et s'il y a des chauves-souris...ou des vampires qui le mordraient à l'encolure ....ou encore des bêtes sauvages....comme Smurf....


Plus, elle gambergeait, plus elle paniquait et plus elle s'agiatait en tous sens pour chercher Guizmo.
Elim
Elim fait descendre Azarelle en la laissant glisser à bas de Sleipnir et démonte à son tour.

"Bouge pas Sleip, on revient."

Puis vers la jolie brunette.

"Bon. On va essayer d'être très à la lice."

Réaliste, idiot d'blond!

"Et de rat trio national listé!"

Rationnaliser! Achetez lui un dico je sais pas moi...

"Guizmo n'est pas grand, mais je ne le vois pas se planquer sous une barque. Bien qu'il faut se méfier avec ces engins, moi-même un matin, je me suis réveillé sous une barque et..."

Voyant l'air pressé de la petite fille, il toussote. L'heure n'est pas à raconter sa vie!

"Enfin bref, je le vois bien creuser un trou, mais sans doute pas assez grand pour s'y cacher. Cela étant on m'a raconté que certains animaux, pour chercher le frais, creusaient de grands..."

Nouveau regard vers Azarelle, Elim secoue la tête, il passe toujours d'une idée à l'autre et on le lui reproche souvent. Et comme il ne veut pas décevoir le petit minois qui le regarde, il fait des efforts!

"Or donc, s'il avait grimpé dans un arbre, on verrait celui-ci plier!"
Il dresse un index très sérieux devant lui.

"C'est une logique implacable! Et on n'a pas croisé d'arbre qui plierait sous le poids d'un poney. Quant aux bêtes sauvages, j'ai vu Smurf se diriger vers les tavernes toute à l'heure, tu peux être tranquille. Mais je ne réponds de rien pour les vampires..."

Le jeune garçon frissonne, des histoires terribles circulaient sur ces créatures! Des histoires qu'Aimbaud lui racontait quand il était plus petit... Mais à vrai dire, il doutait maintenant qu'il avait quelque peu grandi, de la véracité des propos de son coquin d'ancien compagnon de voyage... Mais on ne sait jamais.

"Bref, il nous faut entrer là-dedans. Enfin tu veux pas siffler pour voir, en attendant, des fois qu'il rapplique avant qu'on s'y rende?"

Courageux Elim. Mais sensé aussi. Donc pas trop téméraire.
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Aureanne.rogy
La petite Anne était arrivée vraiment de bonne heure ce matin là.
Cette chère Célestine avait recouché les petits et s'était remise au lit dans le même temps.

Sans avoir besoin de réfléchir, la petite blonde sella Belle et partie au galop à travers bois, afin de rejoindre sa petite crique qu'elle aimait tant.

Le soleil avait prit le dessus sur le ciel menaçant et lançait quelques rayons qui laissait baigner le petit visage de la jeune femme sous une douce chaleur...

Elle aimait toujours autant sa ville et ses sylves, elle se surprenait toujours à découvrir et à redécouvrir le paysage si changeant selon les saisons.

Le printemps allait bientôt pointer le bout de son nez, les perces neiges étaient déjà bien fleuris et les crocus, jonquilles et primevères parsemaient de ci de là les endroits les plus humides et ensoleillés.

Les cheveux flavescents lâchés virevoltant au gré du vent, les joues érubescentes sous la fraicheur environnante et le dos bien droit tenant ses rênes fierement, elle arriva sur le bord du petit chemin sableux.

Elle attacha Belle au dernier arbre avant la petite route et avança doucement, respirant l'air pur que cet endroit si féerique à ses yeux, lui offrait.

Elle pensait déjà aux fleurs sauvages, qui bientôt, allaient apparaitre le long du passage qui menait à sa plage.

La blondinette soupira de soulagement, quand elle aperçu son chez elle...Cet endroit qu'elle chérissait toujours autant.

Elle Resta immobile quelques instant, regardant la splendeur des lieux.

Malgré la fraicheur, le vent s'était levé et le soleil adoucissait l'air ambiant.
Elle alla vers son petit rocher, où toujours depuis la découverte de cette plage, elle allait s'asseoir et restait à méditer regardant l'horizon.

Elle ôta ses bottes, ainsi que ses bas et foula le sable frais de ses pieds. Elle attacha les côtés de sa houppelande sur ses hanches, grâce à sa ceinture et laissant ses jambes nues, elle posa sa capeline sur le rocher et marcha le long du rivage, sentant les embruns et écoutant les bruits tout autour d'elle. Les mouettes qui piaillaient, le ruissellement des vagues percutant le sable...

Elle sortie un sac en lin de sa besace et s'agenouilla sur le sol mouillé, où ses petits pieds s'enfonçaient légèrement.

Elle commença à creuser à l'aide d'une branche qu'elle avait trouver quelques mètres plus loin et ramassa des coques, bien assez pour tout la famille.

Cet endroit en regorgeait et elle se faisait un plaisir de les cuisiner, trouvant toujours ce met aussi délicieux.

Chose faite, elle rebroussa chemin et repartit jusqu'au lendemain, où elle reviendrait avec toujours autant de plaisir comme chaque matin.

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Luc_la_misere
Anne lui avait tellement parlé de la crique et de sa plage qu'il était impatient de s'y rendre il sella donc les deux chevaux de son hôtesse attendant qu'elle descende lui montrer le chemin

Il la vit arriver avec joie

Pas très a l'aise sur un cheval il s'en servait plus pour labourer ou tirer des charrettes que pour les monter il tenta tant bien que mal de la suivre

Arrivé sur la grève il resta bouche bée devant le spectacle de l'immensité de l'océan, le bruit des vagues, les mouettes et tout et tout puis déclara


Fichtre de fichtre je pensais pas que sa pouvait être si... comment dire si...grand...
et sa sent bon aussi!
et vous dites qu'on y trouve des choses a manger sur cette plage Anne pas seulement dans l'eau?


il descendit du cheval pour aller boire un peu d'eau il avait bien soif

il recracha aussitôt

Poaurf .....mais c'est imbuvable!
c'est...salé!
toute cette eau et on peu même pas la boire sa m'étonne pas que rien ne pousse a coté!
Aureanne.rogy
Enfin arrivés sur la plage, ils restèrent à la contempler quelques instants.

Elle était souriante et pleine de vie devant ce spectacle toujours aussi magnifique.


Fichtre de fichtre je pensais pas que sa pouvait être si... comment dire si...grand...
et sa sent bon aussi!
et vous dites qu'on y trouve des choses a manger sur cette plage Anne pas seulement dans l'eau?


Alors ça vous plait?
Oui, je vous montrerais comment trouver de quoi se régaler.


Elle posa son regard sur lui avec tendresse.
Jaques et Anne étaient descendus de leurs montures et partirent marcher un peu le long de la plage, la petite blonde avait ôté ses bottes et foulait le sable frais de ses petits pieds.

Elle le regarda, mais trop tard, il avait été goûter l'eau, avant qu'elle n'eut le temps de lui déconseiller.

Poaurf .....mais c'est imbuvable!
c'est...salé!
toute cette eau et on peu même pas la boire sa m'étonne pas que rien ne pousse a coté!

Elle éclata d'un rire franc, les joues rosées par le frais de l'air.

Mais voyons jaques, l'océan est salé! Vous ne le saviez pas?

D'un air amusé, elle lui fit signe de la suivre.
Elle attrapa une branche solide et s'agenouilla au dessus du sable, puis se mit à creuser le laissant découvrir les trésors que l'océan pouvait offrir.

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Luc_la_misere
Un peu honteux de son ignorance il se rinça la bouche a sa gourde.

Mais voyons jaques, l'océan est salé! Vous ne le saviez pas?

Non je ne savais pas, je ne connaissait que la Dordogne la Gironde et le lac de Bordeaux comme vaste étendue d'eau

Puis pour changer de discution et ne pas trop sombrer dans le ridicule il s'agenouilla prés d'elle après avoir prit une branche et la regarda faire.

Il vit apparaitre de petits escargots de jolies coquilles bien fermée.

On dirait que ce qui vit ici aime porter l'armure heureusement que les escargots sont nombreux car ils ne sont point gros, sont ils bon?

Levant la tête il vit plein de coquilles noires et allongées accrochées par paquet a une roche battu par les vagues

Eh bien moi qui trouvait les écrevisses bien étranges en voila une faune inconnue! Vous êtes sur que tout cela se mange?

Malgré la fraicheur de l'air le soleil radieux apportait une douce chaleur. Le printemps semblait précoce, qu'il était bon de se retrouver avec Anne dans cet endroit délicieux.
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