Kronembourg
Heuuuuuuuu mais c'est qu'elle commençait à lui courir sur le haricot, la Mahaut. A rhabiller tout le monde comme ça quasiment de force à peine un pied hors de l'eau. Enfin tout le monde : Surtout les femmes en fait. Et même uniquement les femmes, si Kro y réfléchissait. Pas de danger que la dame de compagnie lui soit venu en aide tout à l'heure lorsqu'il avait quitté la mer complètement trempé - Habillé, prêt à attraper la mort dans l'indifférence générale - Ce qui en résultait que peu à peu, le barbu commençait à la prendre en grippe.
Oh il ne disait rien, pour l'instant. Il se contentait d'adresser des regards noirs à la servante à peine plus grande que sa maîtresse afin de lui faire comprendre qu'il ne l'avait pas du tout à la bonne. Ca s'arrêtait là.
Heureusement que le Coulon avait rejoint le quatuor pour y ajouter sa bonne humeur et son bon vin.
La mer les rendait niais, c'était prouvé. Le duc en prit conscience lorsque son Exquise s'assit entre ses jambes et qu'il posa ses lèvres sur le rebord de son verre comme s'il était sien. En cet instant dans sa mémoire, il fut incapable de se souvenir à quel moment de sa vie il s'était senti aussi détendu. Il se prit même à chanter, du moins gazouiller le mieux possible en savourant l'instant présent, visage chauffé par le feu, main posée sur le ventre délicieusement rebondi de sa maîtresse.
Seule ombre au tableau : La roulotte de la maudite servante qui commençait à s'agiter. D'ici à ce qu'elle débarque pour éteindre le feu et mettre tout le monde coucher avec les poules, en nuisettes et en bonnets, il n'y avait pas loin.
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Oh il ne disait rien, pour l'instant. Il se contentait d'adresser des regards noirs à la servante à peine plus grande que sa maîtresse afin de lui faire comprendre qu'il ne l'avait pas du tout à la bonne. Ca s'arrêtait là.
Heureusement que le Coulon avait rejoint le quatuor pour y ajouter sa bonne humeur et son bon vin.
La mer les rendait niais, c'était prouvé. Le duc en prit conscience lorsque son Exquise s'assit entre ses jambes et qu'il posa ses lèvres sur le rebord de son verre comme s'il était sien. En cet instant dans sa mémoire, il fut incapable de se souvenir à quel moment de sa vie il s'était senti aussi détendu. Il se prit même à chanter, du moins gazouiller le mieux possible en savourant l'instant présent, visage chauffé par le feu, main posée sur le ventre délicieusement rebondi de sa maîtresse.
Seule ombre au tableau : La roulotte de la maudite servante qui commençait à s'agiter. D'ici à ce qu'elle débarque pour éteindre le feu et mettre tout le monde coucher avec les poules, en nuisettes et en bonnets, il n'y avait pas loin.
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