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[RP]La plage

Beulbeul
Après le repas, Rose emmena sa cousine à la plage...


Allez, il fait beau..Dépêche toi un peu..Allez remue toi...


Rose courait presque, tirant sa cousine d'une main..Elles arrivèrent toutes deux sur la plage. A peine , Rose eut elle posé ses pieds sur le sable, qu'elle fit voler ses chaussures, se retrouvant pieds nus.
Le sable chaud s'insinua entre ses orteils et un sourire radieux s'afficha sur le minois de Rose.



On va jusque la mer ? elle doit être bonne.



Rose n'attendit pas la réponse de sa cousine pour se mettre à courir vers p=les premières vagues. A quelques mètres de l'eau, elle retira la plupart de ses vêtements pour ne rester qu'en chemise et braies, et sans hésiter rentra dans l'eau.

Un coup d'œil en arrière vers sa cousine



Alors qu'est ce que tu attends ? Elle est extra
Jessilisa


    [ La Teste : second voyage - 2ème jour ]

    Elle se leva en même temps que le soleil qui lui caressait la joue alors qu'elle était allongée sur son lit . Une nouvelle journée s'annonçait et une angoisse plus grande en même temps , rien n'avait encore éclaircit ce silence mais il fallait que cela cesse . Elle traina longuement dans sa chambre à relire encore une fois ses lettres puis elle se décida enfin à sortir pour trouver ce qu'elle cherchait : des réponses .

    Arrivée devant la demeure de Deliriuma qui semblait déserte , elle hésita un instant à ouvrir le portail peut-être le fait que connaître la réponse ferait plus mal que de rester dans la confusion mais non il le fallait ; elle avait tout quitter de Marmande sur un coup de tête pour lui mais revenir sans savoir cela aurait été encore plus bête qu'autre chose et sa naïveté l'avait déjà fait tomber plus d'une fois . Elle poussa donc le portail et finalement oui la demeure était déserte , il n'était pas là ce qui accentua son angoisse car elle lui avait écrit qu'elle viendrait le voir même si de cela il n'en avait pas répondu .

    Elle repartit donc bredouille sans réponse bien qu'une paraissait évidente : avait-il vraiment changer comme il le prétendait dans ses lettres ? Une grimace naquit sur le visage de Jessilisa elle le pensait pourtant ou peut-être l'avait-elle espérer ... Un tour au village s'imposait , voir des connaissances à lui , le maire qui sait enfin quelqu'un devait bien savoir quelque chose et elle passa son après-midi à enquêter sur la cause de sa présence à La Teste : ou était Deli ?

    En fin d'après-midi les réponses furent obtenues bien que certaines c'était son cœur qui les lui avait confirmer , mon dieu quelle sotte , quelle naïve elle avait été ...
    Elle ne rentra pas à l'auberge non direction la plage il le fallait , sentir cette douceur de grain de sable sous les pieds , rêver en regardant l'horizon et cette océan de liberté pour oublier une douleur qui était infime en arrivant mais intense maintenant : son cœur semblait compressé dans sa poitrine à chaque minute qui s'écoulait .
    Elle marcha sur la plage un certain temps n'ayant plus aucune notion de quoique ce soit , le mal était fait il avait encore gagné et elle se sentait à nouveau perdue , pourquoi avait-il recommencer , pourquoi l'avait-elle crue ?
    Elle défit à nouveau ses sandales devant les vagues qui lui léchait l'extrémité de ses pieds , tant pis même si elle avait peur de cette immensité d'eau elle avait envie de la rejoindre pour oublier cette compression qui pesait . Un pas , un deuxième , encore un puis un autre se retrouvant ainsi de l'eau jusqu'à la taille pourtant l'eau était encore fraîche à cette saison mais elle ne sentait plus rien comme si elle n'etait plus présente dans ce corps qui avait mal . Elle resta figée ainsi un bon moment voulant oublier tout puis ferma les yeux .

    Le noir et son esprit vagabonda , Val une séparation tellement douloureuse qu'elle s'était enfuie pour... puis un retour grâce à Mary et à Deli , son ami le plus proche qui soit , lui qui était si mal aussi mais qui avait tout fait pour l'aider ; une lueur d'espoir , une lumière et tant d'amour et puis la chute qu'elle avait accepter pour qu'il retrouve celle qu'il n'aurait jamais du quitter Clytie .
    Le temps avait presque fait les choses si elle n'avait plus penser à lui , lui qui voulait absolument un pardon qu'elle finit par le lui donner , lui qui finalement se rendait compte qu'elle lui manquait et le soulignait dans ses lettres , lui qui disait avoir changer , lui encore qui espérait ; mais lui finalement qui avait menti à son amie la plus chère , lui qui une fois le pardon donner n'avait plus répondu aux lettres , lui qui était parti avec une autre bien loin de Guyenne alors qu'il ne voulait pas voyager ...
    Non il était clair qu'il n'avait pas changer , le mensonge était omniprésent dans sa bouche il parlait mais il n'agissait pas comme tel , manipuler le coeur des gens est-ce là tout ce pourquoi il était doué ? Sans doute et bien magré tout la jeune femme avait été dupe écoutant son coeur et négligeant le reste , il n'était plus possible cette fois-ci de lui pardonner et ce coeur devait lui être fermer de façon définitive même si ça faisait mal ...
    Le froid la fit sortir de ses pensées , elle était toujours dans l'eau et elle réagit en courant pour rejoindre la plage , l'heure se faisait tardive et il fallait rentrer à l'auberge ... Demain Marmande qu'elle n'aurait jamais du quitter pour un homme à qui elle avait donner son coeur en toute impunité , pour un homme qui n'avait que su lui mentir ...

_________________
Antigonia
Rassasiée, je ne pensais qu’à paresser mais Rose ne tenait pas en place.

Bien que pestant c’est au pas de course qu’elle me tira jusque sur la plage. Les vagues de la marée montante venaient s’écraser sur le sable de la plage sauvage en de gros rouleaux, le soleil de mai encore bien pâle et le vent venant de l’océan ne me donnaient aucunement envie de me baigner, mais voilà ma chère cousine en avait décidé autrement.

Je maugréais en la voyant se dévêtir, pas de sieste à l’abri des dunes pour Antigonia. La voyant se jeter dans les flots en braies et chemises, j’éclatais de rire.

Coup d’œil sur les alentours, personne à part une dame au loin. M’asseyant sur le sable, j’ôtais bottes et vêtements ne gardant qu’une chemise de toile fine. Je m’imaginais mal devoir rentrer en ville toute mouillée et m’amusait d’avance du ruissellement de ses vêtements quand la damoiselle en aura terminé de sa baignade.



Me redressant d’un coup de rein, en courant, je me jetais la tête la première dans l’océan.


Nageant vigoureusement pour oublier la morsure du froid de l’eau, voyant deux braies s’agiter non loin de moi, je me rapprochais de ma cousine en riant et en l’éclaboussant de mes mains.


Pour être extra, c’est extra. Rien de mieux qu’un bon bain froid et salé pour se mettre en forme, mais dis moi Rose, tu comptes revenir nue au village ?


N’attendant pas la réponse, je plongeais à la recherche de coquillages. Mon corps s’était habitué au froid, après plusieurs tentatives une coquille en main, en quelques brasses je me rapprochais d'elle.



N’est il pas magnifique mon coquillage, je te l’offre en souvenir de notre première baignade et puis si tu le colles à ton oreille, il te contera l’histoire de l’océan, tu entendras les vagues se jeter sur les ressacs et les murmure du vent.


Voyant que j’avais pieds, je me redressais offrant le haut de mon corps aux caresses du soleil, regardant au loin les voiliers puis Rose


Lui montrant de la main les bateaux



Tu crois que nous allons pouvoir nous offrir un joli voilier ma cousine ?
Algarde
De villes en villages de paroisses en contés, je suis arrivé au hasard de mes errances dans cette ville de la Teste de Bush.
Après mettre restauré et avoir passé d’agréables soirées en compagnie des âmes de la cité, je décide de m’installer quelques temps, maintenant que plus aucun secret dans l’enceinte je me dirige vers la plage qu’une demoiselle m’a fortement conseillé d’admirer.

Qu’à cela ne tienne, d’un pas allant, au son des flots je me dirige sereinement vers le lieu dit.
Arrivé en haut des dunes, le spectacle s’offre à mes yeux, vagues en leurs ressacs déferlants, son de leurs roulements mélodieux, parfum iodé, mes sens sont en éveils.

Au loin je peux distinguer une femme ou demoiselle, je ne sais le dire, silhouette fine se dessinant sur l’horizon azuré. Elle déambule, ses cheveux virevoltent au vent , suivant une danse au rythme rencontré dans de lointains pays sauvages, vierges et inexplorés.

Des rires et cris attirent mon attention, vers l’eau mes opalines se portent.
Deux demoiselle barbotent gaiement dans les flots, leurs tenues sur le sable fin étalées, une voix me semble familière, je m’approche .

A proximité de leurs frusques, je reconnais celle rencontré la veille en taverne, demoiselle Antigonia qui voulait vouer ma vie à récurer ses plats en sa cuisine.
Peut être sa cousine à ses cotés dont elle nous avait parlé la veille, que je n’avais point encore croisé.
Bien lui en fasse, pensais-je, les chiens ne sont ils pas là pour cela quand même.

En l’espace d’un instant l’idée germa en mon esprit malin.
Lentement sans me presser je pose céans entre leurs braies et autres parures, je pense que la vaisselle peut se négocier maintenant ainsi planté fesses rivées au sable chaud et odorant le soleil et la vie des marées.

La demoiselle se rapproche, je reconnais ce doux visage, s’avançant, elle a l’air pensive, absorbée en ses songes.

Mon regard se prote à nouveau sur les joyeuses baigneuses et en un élan je leur adresse mon salut, riant sous cape de leurs réactions futures.


Holà !!!! ….Demoiselle Antigonia !!!! ….Bien le bonjour à vous !!!!….Ne craignez rien je veille sur vos frusques !!!

Le sourire me prend…..mes taquineries aussi…..
Antigonia
Je soupirais de bonheur me laissant bercer par les vagues, alanguie par les baisers salés de l’océan, m’imaginant tour à tour corsaire ou pirate, exploratrice ou marchande, impatiente de prendre le large en compagnie de Nina et de Rose. Reportant mon regard sur cette dernière, j’allais lui demander si l’eau lui avait bouché les oreilles, quand tel un murmure porté par le vent de la mer, je crus entendre crier mon nom, pensant, voilà ma pauvre à force de rêver, tu entends des voix.

Pivotant néanmoins sur moi-même, mon regard se porta vers la plage, le sel me piquait les yeux mais non pas un mirage, l’homme rencontré hier en taverne, le mangeur de chats, agitait ses bras en tous sens dans notre direction, tendant l’oreille, le mot frusque m’interpella, que veut il donc dire !

Secouant cette fois Beul par le bras, je lui montrais d’un signe de tête l’homme assis sur le sable.



Viens allons voir, ce phénomène de la nature assis là bas, ne me dis rien de bon.

Plongeant en quelques brasses, portée par le courant je retrouvais le sable blanc. Tout en tordant mes cheveux dégoulinant, ma chemise à mi- cuisse collant à mon corps, d’un pas décidé je filais voir le messire. Arrivée à sa hauteur, droite comme un i, ignorant son air goguenard et son sourire en coin, en un tour de main je récupérais mes vêtements puis avec un sourire espiègle, je le saluais à ma manière.


Bonjour Algarde, un grand costaud comme vous aurait il peur de l’eau pour rester tel un chameau sur le sable !


Regardant ma jolie cousine, tel une ondine sortir de l’eau, j’enfilais mes braies et mes bottes puis offrant mon dos comme spectacle au messire, j’ôtais ma liquette trempée, enfilant la chemise sèche, point pressée de lui refaire face, mes cheveux voletant autour de moi, telle une bannière victorieuse, je souriais malicieusement à l’océan.
Beulbeul
Ah qu'il est bon de nager, de se sentir libre, de se sentir exister.Elle n'entendait même pas ce que sa cousine lui disait. Elle avait juste l'impression de revivre..

Sa cousine la prit par le bras et Rose se forçat à écouter. Elle scruta l'homme et acquiesça

allons y..Même si je préférerai rester ici et nager..

Elle suivit sa cousine, nageant rapidement et rejoignant le bord de la plage.

Elle sortit de l'eau, ses vêtements lui collant à la peau..Elle rejoignit sa cousine mais contrairement à elle, ne se changea pas. Elle s'allongea sur le sable et profita du soleil.

Elle se tourna vers l'homme


Je suis Rose, la cousine de cette chère sauvageonne.
Rosely
Arrivée à la Teste la première chose que fait Rosely , direction la plage elles y resteront jusqu'au départ .
Elle descend de cheval et aide Froncine à descendre de la charrette, attache Saphir et gadej et sans plus de ceremonie enleve ses bottes et ses bas et court sur le sable jusqu'a l'eau.
Elle voudrait crier son nom mais elle sait qu'elle ne peut pas , elle en a pas le droit , mon dieu comme elle aime.
Alors d'un doigt elle l' ecrit sur le sable mouillé.
Elle revient tout en ramassant du boid mort pour faire un feu de camp , une petite tisane bien chaude leur fera du bien apres la route de nuit .


Froncine sort le panier de pique nique de la charrette , de bon sandwichs et du vin pour ce midi , Rosely mange un peu elle a des couleurs sur les joues l'air marin lui fait du bien si ce n'est pas au coeur au moins elle a meilleure mine .
Tic sort de sa sacoche et pique un sandwich en sautant partout
- du calme Tic
l'animal ne bouge plus et mange , Rosely sourit en le regardant .

Apres le repas les deux femmes firent une petite sieste elles n'avaient pas dormi de la nuit.
Rosely avait envoyé un courrier a celui qu'elle ne pouvait oublier , elle avait quitté Bordeaux à cause de lui et quelque part elle lui en voulait . Les prochains jours vont être durs sans lui mais il vallait mieux qu'elle s'en aille même si elle en est malheureuse elle l'etait plus en le voyant avec elle.
Elle s'endormit en rêvant de lui .

Rosely laisse Froncine pres de la charrette et du feu , elle prend Saphir avec elle et va faire une balade ,
Saphir galope sur la plage Rosely cheveux au vent , elle offre son visage au soleil comme elle aimerait qu'il soit là lui aussi , elle ne devait plus penser à lui mais voilà c'etait mal la connaitre elle ne peut l'oublier.
_________________
On n'a pas été tres honnête avec moi ici bas
Algarde
Elles avaient aperçu mes gesticulations et entendu ma voix dans leurs ballotements aquatiques.
Demoiselle Antigonia est la première à se rendre sur le sable blanc, le foulant d’un pas pressant.

Je la regarde sortir de l’eau, bénissant l’astre solaire à contre jour et sa cousine la rejoint souplement ondulée.


Dieux du ciel quel spectacle ravissant m’est il proposé d’admirer ce jour.
La première se dessinant, comme le tracé d’une plume sur le vélin à l’horizon, ses contours parfaits , le galbe de ses hanches, le pas félin et racé.
La deuxième, linge mouillé collé au corps me donne toute la splendeur de monts et vallées enchanteurs, lieu ou la vie ne peut que prendre son sens profond.


Le sourire aux commissures’ je lance une tentative de ralentissement, mes sens exacerbés aux abois.

Prenez tout vostre temps demoiselle rien ne vous presse puis au moins que je profite pleinement de la vue qui m’est offerte en cette belle journée printanière du mois de Mai.
En ce jour la grâce m’a touché et répondu à mes souhaits


Le rire me prend, Antigonia est devant moi, sourire espiègle aux lèvres

Bonjour Algarde, un grand costaud comme vous aurait il peur de l’eau pour rester tel un chameau sur le sable !

Je la regarde dans ses opalines sans vaciller d’une once

La baignade vous à rendu vostre verve je vois et pas que cela d’ailleurs mais ne changez rien pour moi .
Je suis au Paradis en ce moment même.


Sa cousine vient s’alanguir à mes cotés, très belle elle aussi ses vêtements imprimants son être elle me parle d’un voix limpide et harmonieuse

Je suis Rose, la cousine de cette chère sauvageonne.

En un regard accompagné d’opalines bleutées je lui donne la réplique.

Très honoré de faire vostre connaissance demoiselle Rose, vostre cousine m'a tellement parlé de vous que j'étais dans l'impatience de vous rencontrer.

Antigonia nous présente son dos et le reste de son anatomie délicieuse.
Il me prend à l'esprit que le recto vaut largement autant que le verso.
Je souris intérieurement.

Sauvageonne dites vous , oui mais admirez moi ce spectacle, le soleil a rendez vous avec l’astre lunaire, une éclipse de toute beauté !

N’y tenant plus je m’esclaffe librement sans aucune retenu de mes facéties, tout en regardant demoiselle Rose avec cette malice incrustée en moi au plus profond de mon sang


Nina
Enfin l'air du grand large ! Ces journées de chevauchées pour rejoindre ma douce sœur de cœur, Antigonia, m'ont privée trop longtemps de moments de plénitude avec Dame Nature. Je n'avais de cesse de vouloir arriver à destination et tout ce que j'ai pu voir au cours de mes longues journées de voyage, fut la poussière qui venait inlassablement se coller sur ma peau délicate.
Mon bel Alezan a été à la hauteur de mes espérances, devant sentir probablement, que je ne lui laisserais pas de répit tant que la fin de mon périple n'aurait pas cessé.

J'ôte mes bottines, mes bas et plante mes petits petons dans le sable fin. Je fixe l'horizon d'un bleu pur qui se confond presque avec cette magnifique étendue vivante. Les vagues sont calmes et m'apportent un délicieux plaisir en les entendant s'échouer sur le bord du rivage.

La faim me tiraille toujours et je sors ma seconde et dernière pomme que je croque à pleines dents. Le fruit défendu est englouti. Ma bouche sucrée.

Les embruns m'attirent et je décide d'aller faire trempette. Petit regard à droite, puis un autre à gauche, j'ôte ma robe ne gardant qu'une légère chemise immaculée.

Restée trop longtemps sur ce brave Alezan, je m'élance en courant dans l'eau et m'y jette avec un plaisir non dissimulé. Je m'ébats, heureuse de retrouver cette chère liberté au milieu des éléments naturels qui sont ma seule et unique joie de vivre.

Longtemps je reste dans l'eau divinement vivifiante. Je ressors telle une Naïade des temps anciens, quelque peu égarée dans ce nouveau futur . Où sont donc mes vêtements ? Je n'ai pas pris garde en nageant que je m'étais terriblement éloignée de mon lieu de départ.

Je souris et lève les yeux vers le bel astre rayonnant. Il me réchauffe rapidement et je m'avance à la recherche de ma robe, de mes souliers, de ma besace.

Je ne suis nullement inquiète, j'ai au contraire la sensation d'irradier face à cette immensité qui s'offre à mes yeux.
Beulbeul
Regard vers le mangeur de chat, sourire franc...

On voit que vous ne la connaissez pas ma cousine. C'est une sauvageonne, une vraie de vraie et dans tous les sens du terme..Mais je l'aime ainsi même si elle adore me mettre en boule..


Tout en décollant légérement sa chemise de sa peau, et s'installant confortablement allongée sur le sable, la tête sur les autres vêtements; Rose dévisagea le bel inconnu;


Ainsi vous êtes le célèbre mangeur de chat ...enchanté de faire votre connaissance.. Rose afficha un sourire charmant...Je n'ai rien contre les mangeurs de chats ..bien que je me méfierai si je venais à partager un repas avec vous..



Petit rire cristallin ..


Puis se tournant sur le dos, les yeux levés vers le ciel, elle soupira d'aise


Que la mer est agréable !!!!que cela est revigorant..n'est ce pas ? s'adressant aux deux personnes présentes.
Antigonia
Le soleil caressait mon visage et devant moi à perte de vue l’océan. Comment avais je pu m’éloigner du monde, m’enfermer dans ce couvent austère et froid !

Je soupirais d’aise de ce bonheur retrouvé quand les paroles d’Algarde me firent froncer le nez de colère, quel effronté, il va voir de quel bois je me chauffe. J’allais répliquer vertement quand Rose de sa douce voix lui répondit du tac au tac, ce qui me fit sourire, bien répondu ma belle. Ma chère cousine m’avait tant manqué, je la retrouvais plus belle que dans mes souvenirs, plus libre également, ce voyage avec elle n’était que du bonheur, ne manquait plus que ma chère Nina et je baignerais en pleine félicité.

Mon regard fut attiré par une silhouette marchant sur la plage, j’en restais bouche bée, entre mille rousses, j’aurais reconnu la crinière de Nina, oui c’était bien elle, j’en aurais mis ma main au feu.



Me retournant vers Algarde et Rose trépignant d’impatience, pointant mon doigt en direction d’une femme au loin marchant sur le sable.


Oui oui Rose très revigorant mais viens vite suis moi jetant un regard noir à AlgardeJ’inviterais bien messire à nous accompagner mais peut être a t’il peur de courir également !

Sans attendre sa réponse, prenant Rose par la main, je filais tel le vent l’entraînant derrière moi, criant à tue-tête


Ninaaa, Ninaaa, on est là, NINAAAAA
Nina
Le soleil fait son office et que dire d'autre, sinon que cela est divin ? Irrésistiblement mon visage se tourne vers ses rayons comme un vrai petit tournesol. Mes yeux sont fermés pour savourer ce moment de liberté retrouvée. La sensation du sable sur mes pieds est plus que délicieuse et j'avance ainsi à petits pas. Au fond, à présent, plus rien ne me presse puisque je sais être rendue à destination.

Dans le ciel, un bal majestueux de mouettes en quête de leur repas, tournoient, virevoltent et je suis leur savant parcours qui invariablement les font plonger le bec dans l'eau pour la précieuse récolte qui leur remplira le ventre. Je me surprends à penser combien il me plairait de pouvoir voler. Cela doit être grisant. Les yeux fermés, en riant, j'étends mes bras et me mets à tournoyer. Le bonheur n'est-il pas simple ? C'est un petit cri qui devient plus sonore ensuite qui me fait m'arrêter dans cette danse des sables.

Je plisse les yeux que je recouvre de ma main afin de découvrir d'où vient ce "Ninaaaaaaa" là.

Me voici sautant à présent comme un petit cabri. Antigonia, là bas, court vers moi entraînant dans sa course une jeune demoiselle. Je saute, encore et encore en faisant de grands signes de la main. Je ne suis plus seule. Ma douce sœur de cœur est enfin à quelques pas de moi.

Je m'avance à sa rencontre à petits bonds. Heureuse.

Ma toute Belle ! houuuuuuhouuuuuuuu ! Je suis là !
Beulbeul
A peine allongée et se dorant la pilule au soleil, Rose se délectait du soleil et de sa douce chaleur et n'aurait pour rien au monde souhaitait bouger. C'était sans compter sur sa cousine ..Elle se sentit entrainer par le bras, se retrouva debout sans s'en rendre compte , faillit perdre l'équilibre plusieurs fois et ses pieds se mirent à courir..

Propulsée ainsi sur la plage , elle tentait de ralentir la course, et ainsi de râler sur sa cousine. Non mais, elle n'était même pas totalement sèche.

Rose réalisa que sa cousine tentait de retrouver une personne, une rousse apparemment. Elle se dit qu'après tout, une fois rejoint cette personne, elle la laisserait souffler. Elle se laissa entrainer jusqu'à ce que sa cousine daigne s'arrêter.

Rose s'observa un instant et jugea que pour rencontrer une personne, elle n'avait pas la meilleure des tenues...puis souriant, elle se dit que personne ne serait là pour lui rappeler les bonnes manières. ET puis si sa cousine la connaissait...cette personne ne serait pas plus étonnée que cela ..


Bonjour, je suis Rose..Vous êtes Nina ? Ma chère cousine m'a bien parlé de vous...enchantée
Antigonia
Riant en agitant le bras en direction de Nina, tirant de l’autre ma belle Rose qui ronchonnait, j’arrivais comme une trombe à hauteur de mon amie. La serrant dans mes bras, je la bisouillais, la faisant tournoyer comme au bon vieux temps, heureuse d’être enfin toutes trois réunies.

Je désespérais de te voir arriver ma toute belle, mais que fais tu sur cette plage en tenue de sirène, tu cherches un trésor ?

Rose qui me regardait comme si j’avais perdu tout bon sens se présentait, je toussotais et faisant mine de me tenir bien droite comme elle me l’avait appris lors de ses nombreuses et vaines tentatives pour m’inculquer les bonnes manières, je regardais tour à tour Rose et Nina.

Rejetant mes cheveux mouillés en arrière, je m’inclinais dans une révérence Antigonienne.


Rose je te présente Nina ma sœur de cœur, Nina je te présente Rose ma cousine préférée, remarque je n’en ai qu’une et je l’adore, je vous adore toutes les deux mes chéries.

Asseyons-nous et racontes nous ton voyage Nina. Il c’est bien passé, pas de mauvaises rencontres sinon tu me le dis que j’aille massacrer celui ou ceux qui auraient touché un de tes cheveux, et tu as trouvé un toit, tu as mangé au moins et…

M’apercevant que je débitais parole sur parole, je me mis à rire


Assoyons-nous, Messire le mangeur de chat devrait bien se décider à nous rejoindre.


Leur faisant un clin d’œil


Il me fait bien rire ce messire, Algarde de son petit nom, il pense même que je vais lui faire son fricot mais aussi
détachant bien chaque syllabela vai sse lle.

Pouffant de rire


Je ne sais que chasser, pêcher, monter aux arbres et me prélasser au soleil ou sous mes couvertures mais bon, je ne vais pas lui montrer mon mauvais caractère de suite et puis Rose lui a déjà chanté mes louanges, il aura bien le temps de le découvrir, vous en pensez quoi les filles !
Algarde
La belle Rose me répond entre deux rires tout en rajustant sa tenue que pour ma part je trouve parfaite ainsi collante, mais bon cela ne peut pas être dimanche tout le temps aussi.
Quel dommage d ailleurs !


On voit que vous ne la connaissez pas ma cousine. C'est une sauvageonne, une vraie de vraie et dans tous les sens du terme..Mais je l'aime ainsi même si elle adore me mettre en boule..

Ainsi vous êtes le célèbre mangeur de chat ...enchanté de faire votre connaissance..
.Je n'ai rien contre les mangeurs de chats ..bien que je me méfierai si je venais à partager un repas avec vous..


Un rire cristallin se mêle au flots venants mourir sur la plage avant de reprendre vie en leurs ressacs.
La belle sur le dos étendue, se plait à rêver et nous faire part de ses pensées


Que la mer est agréable !!!!que cela est revigorant..n'est ce pas ?

Je la regarde tout sourire aux lèvres, je ne peux que valider son propos, bien que un massage du dos en plus par de douces mains.....Comme toujours mon esprit divague, je souris.

Vous avez bien raison Rose …pour la mer et je suis ravi de faire moi aussi vostre connaissance.
Pour le partage d’un repas cela sera avec grand plaisir, je vous laisserai deviner, chat ou lapin…mais je vous inviterai toutes les deux pour le plaisir de voir vos yeux se questionner mutuellement

Pour Antigonia, j’hésite encore…sauvageonne ou peste ?


Le rire me reprend, tout en poursuivant la discussion, je peux ressentir Antigonia bouillante de mes réflexions.

Je fais un clin d’œil complice à Rose, ayant ponctué ma phrase plus que les précédentes pour être bien certain que demoiselle Antigonia l’entende.
Ma taquinerie à peine terminée voilà que la plantureuse fait volt face tout excitée, me lançant quand même au passage un regard chargé je pense de tendresses, mais je peux me tromper évidemment….


Oui oui Rose très revigorant mais viens vite suis moi…..J’inviterais bien messire à nous accompagner mais peut être a t’il peur de courir également !

La mirant malicieusement de mes opalines azurées.

Y a t il un chat à attraper ?
Que voulez vous je fonctionne à la motivation moi!


Les belles unies en une seule se précipitent vers une demoiselle se promenant sur le sable fin de cette plage. Je vois bien que Rose doit suivre coûte que coûte sa cousine quitte à renoncer à sa quiétude amorcée.
Je me redresse suivant leur course, entendant Antigonia crier à s’époumoner.


Ninaaa, Ninaaa, on est là, NINAAAAA

Plissant les yeux, je m’avance lentement, pas la peine d’user mes forces non plus, visiblement cela ne se mange pas ou alors discrètement peut être dans certaines contrées lointaines et hostiles.

A quelques enjambées maintenant je distingue parfaitement une superbe demoiselle aux cheveux roux, s’écoulant sur ses épaules qui semble elle aussi vu ses trépignements être comblée de joie.

Dieu doit m’en vouloir je pense….trois grâces devant moi….pourvu que ma langue ne fourche pas en prononçant le mot …Grâces
Elle seraient aptes à me faire une crucifixion en bonne et due forme les bougresses, le sourire aux commissures de surcroît.


Je pense silencieusement maintenant à leurs cotés.

J’espère qu’elles ne connaissent pas en plus le supplice d’Abélard en mon fort intérieur.


Bonjour demoiselle, je me nomme Algarde.

Je salut avec respect la belle inconnue.

Je me demande ayant parcouru les plaines et monts de nostre Royaume François et jamais je ne croise en chemin pareils beautés réunies….. vite me tremper dans l’eau froide voilà une bonne résolution avant que la fièvre me gagne .
D’un pas serein mais déterminé, je m’immerge progressivement joignant lessive et lavage et sensation de bien-être dans l immensité océane me tendant ses flots bleus…
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