Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10, 11, 12   >   >>

[RP]La plage

Sembreendevant...
Sembre sourit amusé aux propos de sa genevoise d'épouse.


Bien sûr je te connais et je sais ton goût immodéré et fort peu réformé pour les parures et les toilettes. Mais tu sais aussi bien que moi, sans vouloir l'avouer toujours, que le vêtement n’est là que pour prolonger l’aura de celle qui le porte ou le dissimuler aux yeux de tous. Faire étalage de décoration et empiler multitude de tissus rubans, dentelles, perles et paillettes et de tant d'autres brimborions pensant que cela fera belle robe ou beau pourpoint va à l’encontre de cela pour n’être qu’expression vaniteuse et sophistication, qui en Italien signifie tromperie.

A rebours, la ligne doit avant tout son élégance au dépouillement et à la pureté de sa construction. La ligne du corps compte avant tout. C’est par la sobriété du costume et un minimalisme de sa coupe, un tombé impeccable où rien n’est superflu, qu’un seul ruban là de deuil, ici de soleil, demain peut être couleur du sang et du fer pour qui va à la guerre, dit tout autant et même davantage qu’un amoncellement de tissus et de colifichets couteux … ce qui est un risque supplémentaire de se cacher voire de se perdre en délaissant sa nature profonde, son style, son élégance naturelle.



Le grand nez du genevois se plissa et son sourire se fit tendrement espiègle.

D'ailleurs n'étais-tu pas davantage toi-même avec tes vieilles braies vertes et ta blanche chemise ou ta robe noire ou encore celle, lumineuse, juste essayée et jamais étrennée ? Un vêtement de bal de Cour, si riche, si ample et si surchargé ne serait pas sans évoquer la Tour de la Bastille en jupon alors que tu es toujours aussi belle et aussi fraiche ?


Et le Genevois, fit une mimique faussement contrite attendant de tirer la langue à Phonya mais se tournant, il vit que Léandre s'était éloigné un peu trop de ses parents poursuivant les goélands et les mouettes.

Je file Pho ... rattraper l'explorateur infatigable de ses contrées ... à plus tard en taverne ... on va trouver le temps.
Dioscoride.
A la guerre, le borgne se montrait sûr de lui, ne témoignait aucune faiblesse, ne se posait pas de questions...et en héritait d’ailleurs de nombreuses rayures. Pas très malin, mais au moins ne se reprochait-il rien.
Pour le reste, il en arriverait presque à envier la propension du lionceau à manier le verbe jusqu'à la nausée, à faire montre d'autant de confiance en lui pour tirer les ficelles, les confronter à leur point de rupture. Autant de mots pour dire si peu de choses, et sans se perdre entre eux qui plus est, pour un chemin qu'il avait, craignait-il, bien médité.

Voilà qui aurait pu forcer l'admiration de Dioscoride, s'il ne l'avait pas déjà secouru en Savoie, après l'un de ses longs monologues sur ce qu'il voulait faire de son fils, quand confronté à la douleur d'une dent naissante, c'est un mercenaire, un chien de geôles qui avait dû venir en aide à Léandre.
Oui, peut-être une admiration tentée de rancœur, alors que lui, manchot avec les phrases, les commençant de façon abrupte et parfois ne les terminant pas, s'égarait facilement entre les syllabes.

Le sourire qu'adressa Phonya au borgne se refléta sur son visage jusqu'alors impassible. Et avant de nouer ses doigts aux siens, abandonna devant le petit félin un sac de jute garni de provisions, conservant l'eau pour veiller sur le retour de sa femme et de son enfant.

Avant de rejoindre les yeux de sa bien-aimée qui se paraient d'un intense bonheur en vu d'un avenir crémeux, il jeta un seul regard, vers Léandre, trop loin de lui pour bien le distinguer, petit bonhomme insouciant, petit être aux parents exceptionnels… Petit ange qu'il avait eu le bonheur de cotoyer, un temps, trop court, bien trop court.


_________________
Kenjhy
la nuit tomba et kenjhy n'avait aucun endroit ou dormi,la plage été le seul endroit pour vivre en attendant alors il se mi a faire un feu pour eclairé cet endroit sombre que c'etait,il commença aprendre sa guitare et il commença a joué un aire et semit a danser autoure du feu jusqu'au levé du soleil


Sont des hommes de grand courage,
Ceux qui partiront avec nous
Ils ne craindront point les coups
Ni les naufrages ni l’abordage
Du péril seront jaloux
Tous ceux qui partiront avec nous.

Ce seront de hardis pilotes,
Les gars que nous embarquerons.
Fins gabiers et francs lurons
Je t’escamote toute une flotte
Bras solide et coup d’œil prompt
Tous les gars que nous embarquerons.

Ils seront de fiers camarades,
Ceux qui navigueront à bord,
Faisant feu bâbord, tribord,
Dans la tornade des canonnades
Vainqueurs rentreront au port
Tous ceux qui navigueront à bord.

Et des prises de tous tonnages
Nous ramènerons avec nous.
Et la gloire et les gros sous
Feront voyage dans nos sillages.
Vent arrière ou vent debout
Nous les ramènerons avec nous.

Car c’est le plus vaillant corsaire
Qui donna l’ordre du départ.
Vite en mer et sans retard,
Faisons la guerre à l’Angleterre.
Car c’est le fameux Jean Bart
Qui nous commandera le départ

http://youtu.be/9zX9Y-rxSJA
Leandre


J'ai vu des gens et des choses ici. La grande mer qui bouge tout le temps, qui éclabousse. Les barques où Paaaa hisse la voile ou rame. Moi il me met à coté de lui avec une ceinture de liège qu'il a coupé pendant le voyage aller. Il me fait aller dans l'eau comme ça. Ce liège me gratte la peau du ventre, alors il l'a entouré de tissu fin et ça va mieux. Il me dit que je fais le petit bouchon.


Puis je suis allé chez Maman. Vous savez, elle est venu me chercher sur la plage et Paaa m'a amené à sa taverne. Enfin celle où elle travaille. Elle m'a fait de la tarte aux pommes ... avec plein de crème.
J'en ai donné à "Sssien". C'est le chien de Ma'an et de son propriétaire, de la taverne qui m'amène voir des animaux, même des canards qui me rappelle la chanson que chante Paaaa O' Pato. Il dit . Enfin, je leur dis pas mais c'est Mon Sssien. Et il m'obéit ... quand il veut mais il me lèche la figure surtout quand j'ai un biscuit à la main.

Ma'an je l'aime. Elle me serre fort contre elle et pleure un peu. Peut être parce qu'elle a un gros ventre avec un frère ou une soeur dedans. J'espère qu'il aura deux bras et deux yeux quand même.

On va partir, vers Genève, et je vais voir Lonie. J'étais content quand Paa'aa me l'a dit et hier et aujourd'hui M'aan a pleuré. Alors je sais pas si je dois êtres content encore. J'ai bien envie des deux moi, d'être là bas et ici avec Sssien mais on me demande pas mon avis, je crois. Et puis de mes deux parents aussi, mais on me demande pas mon avis non plus.

Mais je sais déjà sourire et en faisant des baisers aux deux, je me dis que ça changera peut être et que j'aurais ce que je veux. Ni Ma'an ni Pa'aaa sont obéissants complètement avec moi. Je leur fais faire beaucoup de ce que je veux mais là, ils sont comme Ssien. Ils m'écoutent pas.

Bon, je vais aider Pa'a, il joue dans le sable et fait un château ou une digue. Un barrage contre le Pac'... heu non l'Atlantique. Il dit que c'est pas bien solide, même si on est obstiné.

Et puis je veux me baigner moi, c'est pas dans le Léman que c'est le plus agréable.
Fannette_du_fayt
Du sable, du sable et encore du sable... après Mimizan voilà une autre cité en vue.

Deux jours et deux nuits déjà que Fannette se fatigue sur des sentiers sablonneux.
Mais au moins elle en profite pour se remplir les yeux de l'horizon infini en toute tranquillité.
A peine quelques cabanes ici ou là, parfois des pêcheurs au travail, des ramasseuses aussi, dans la nuit une troupe en armes mais qui visiblement avait autre chose à faire que de s'inquiéter d'une voyageuse solitaire...
Finalement, après avoir tenté l'option naviguation pour pouvoir épater Termin le matelot perdu à son retour -si elle en revient jamais de ce voyage!- Fannette a préféré rester sur la terre ferme.

Quoi que... avec le sable, la brune a parfois l'impression de patauger en cherchant son équilibre.
Depuis longtemps déjà ses chausses pendent à sa besace, inutiles et peu adaptées.

La progression est moins rapide qu'elle ne le voudrait mais en même temps elle a tout loisir de jeter un oeil sur la végétation alentours.
Petite et couvrante plutôt que montante...


Assurément la faulte à ce vent qui décornerait des vaches et qui déplaist si fort à mon pauv'e Courte-Queue...

Le Courte-Queue en question qui refuse de mettre le bout du museau hors de la besace où il s'est réfugié en feulant après avoir avalé du sable suite à une rafale de vent et rencontré de trop près un de ces chardons bleutés aux feuilles si coriaces.

Malgré quelques petits désagréments, Fannette, elle, avance tout en satisfaisant sa curiosité et cueillant ce qui pourrait lui être utile.


Camomille... ça tombe bien!
...
Et cette grand herbe qui ondule au vent... ça doit avoir un usage... mais bon sang que ça coupe!
...
Euphorbe? L'est tout petiote... la faulte au vent...
Hum... de l'armoise...

Dans un coin de sa tête demeure la mission qui l'occupe et la fait vagabonder ainsi, cherchant des assemblages nouveaux, des plantes inconnues afin de trouver le remède qui pourrait fonctionner... si jamais la mort veut bien attendre.
Swan
[Un après midi sur la plage !]

Elle arrivait en courant, bouillante de colère et de rage. Elle avait peu dormi, passant une bonne partie de la soirée et de la nuit avec Ignace à essayer de le convaincre. Qui aurait cru qu'un jour, elle aurait essayé de réconforter un homme, alors qu'elle avait toujours ou presque autant de mal à leur faire confiance. Cette histoire avec Souris avait tout plombé et si elle croisait l'autre « truffe de traite », comme elle l'avait surnommé, pour sûr qu'elle lui casserait la figure !!!

Ca la démangeait déjà énormément d'aller le sortir de son trou à rat, mais elle n'en faisait rien. Ignace passait avant toute autre chose et le voir dans cet état, ne lui plaisait pas du tout ... Elle était sortie de sa roulotte où Billy était à son chevet, brulant de fièvre ... Qu'avait-il fait après son départ pour être dans aussi malade ? Il lui avait pourtant promis ...

Elle était debout sur la plage à regarder l'horizon, ses yeux clairs fixant un point invisible, ses doigts se serrant le manche de son bâton à en faire blanchir ses jointures ... Elle avait sa tenue d'entrainement. Elle avait besoin de se défouler, d'évacuer la colère qui bouillonnait dans son sang d'irlandaise.

Droite comme un « I », les jambes légèrement écarté, elle regardait les vagues en ressassant cette histoire. « Il » n'aurait jamais dû toucher à l'intouchable. Quand elle avait vu Feust, elle l'avait prévenu, mais si elle avait su, elle aurait dû surveiller une autre cible et elle enrageait de s'être trompée !

D'une main, elle tenait son bâton de combat aux pointent acérées, dont-une était planté dans le sable. Elle avait ses protections en cuir et sa dague toujours caché dans son dos. Elle avait aussi natté sa très longue chevelure couleur de feu. Depuis quelques temps, elle songeait sérieusement à la couper. Elle aimait ses cheveux, mais ils devenaient gênant et surtout handicapant en cas de combat. Elle en avait trop souvent fait les frais à son gout ...

Prenant une profonde inspiration, elle leva son bâton et avec ses deux mains se mit à le faire tourner, telle une Ellice. Faire ça était assez facile, là où ça ce compliquait c'était quand elle le faisait autour d'elle-même en passant d'une main à l'autre. Généralement c'était là que ses jambes ramassaient le plus, d'où l'importance des protections que ses tibias ! Et le coup était tombé, elle fit une belle grimace en ronchonnant !

Changeant de mouvement, elle prit son bâton et l'envoya comme si elle percutait quelqu'un, en avançant d'un pas ! Elle fit le même mouvement plusieurs fois d'affilé et elle continua comme ça, alternant différente action jusqu'à ce qu'elle soit en sueur et un peu plus calme. A bout de force, elle se laissa tomber sur le sable. Elle ne voulait pas que Billy s'en aille, elle voulait qu'Ignace aille mieux, mais elle ne savait pas quoi faire ...

D'un mouvement rageur, elle posa son fessier sur le sable, prit sa dague dans son dos, défit sa lourde natte puis mèche par mèche coupa ses cheveux au niveau de ses épaules ...

Elle venait aussi de prendre une autre décision ! Mais ça, les autres le sauraient bien assez tôt ...

_________________
Samsayonara
Sam se promenait sur la plage, au calme, respirer un air pur. Depuis quelque temps, une idée tenace lui trottait dans la tête ...
De loin, elle vit une des femmes qui soutenait ignace qui semblait s entrainer. De si loin, c était difficile à voir.

Elle s arreta et décida de s asseoir, mangeant un brouet de maïs aux navets. Puis elle se mit a dessiner des arabesques dans le sable. Puis s amusa à faire couler le sable entre ses doigts. Sa vie ne menait à rien. Elle avait une maison, son estomac était rempli, mais son coeur aspirait à autre chose. Des paysages. Des vallées, des forets... Passer dans le pays de feu sa cousine, pour voir si le fameux lavoir était toujours debout.

Rien n est simple. Berny pouvait tout changer. Mais elle le voyait peu..
Et laisser Frederine? Après tout ce temps?

Elle sentait le vent soulever sa coiffe. Cette dernière s envola, libérant une masse de cheveux sombres. Elle regarda l horizon, se disant qu un jour peut etre, elle embarquerait pour tailler la route. Quand elle sera prête.

Elle pensait à tout ce qui se passait en ce moment sans pouvoir comprendre le tableau. Nouveaux arrivants, armée, guerre, reformés, athées, procès... Tout ceci devait avoir un sens. Mais lequel?
Frederine
Frederine nostalgique va se promener sur la plage, la ville est calme , trop à son gout, les habitants sont dures à venir se détendre sur cette plage , même si ils passent, personne ne laisse d'écrits.

A droite le port d'où, son amie Harpège part vers d'autres horizons . Elle lui a promis de revenir vite la voir . Ce fût une bonne rigolade en taverne, la soirée a passée tellement vite.....
Déjà un premier bateau s' éloigne, le deuxième prend le même chemin .

Durant plusieurs heures elle reste là, assise , jouant avec le sable et le laissant filer entre ses doigts.


Allez ma vieille il te faut retourner travailler , la mairie ne va pas tourner toute seule .

Lentement elle se lève ,regarde encore un fois l'horizon et se dirige vers le coeur de la ville.....

Ce qui est agréable ce sont tous les amis qu'elle c’est fait, des gens sur qui elle peut compter et ses anciens amis qui l'ont suivi , quelle chance elle a.

Swan
Elle faisait face à l'océan, tournant le dos à tout le reste. Elle ne voyait pas les deux femmes au loin qui devisaient. Assise en tailleur sur le sable, sa chevelure maintenant défaite lui arrivait au niveau de son fessier et touchait aussi, dans de petites boucles rousses, le sable fin.

Sa dague en main, elle prit une à une des petites mèches longues et d'un coup sec les tailla. La première mèche, elle la garda dans sa main un long moment, le coeur un peu serré. Elle ne les avait jamais coupés jusqu'à maintenant, mais il le fallait pour recommencer une nouvelle vie. Celle qu'elle avait choisie ...

Posant délicatement la longue mèche sur ses jambes croisées, elle continua avec toutes les autres jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus. Elle avait désormais ses jolis cheveux roux au niveau de ses épaules. Une longueur suffisante pour ressembler encore à une femme, enfin une toute jeune femme a peine sortie de l'adolescence, mais assez court pour ne plus être attrapé aussi facilement.

Quand elle eut fini, elle remit sa dague dans son dos et attrapa toute la masse de cheveux roux qu'elle avait sur les jambes. Elle allait les garder en souvenir d'une vie passée. Elle avait aussi décidé de reprendre son nom. Son vrai nom, celui de son père. Même si elle ne pourrait plus jamais les retrouver, elle était fière d'être une Irlandaise et elle aimait son prénom plus que tout. C'était pour cette raison qu'elle avait décidée de le reprendre et de laisser à sa grand-mère le sien ...

Swan O'Connor, dict Swan la Rouge était de retour !

Elle se releva, la masse de ses cheveux dans une main et elle prit son bâton dans l'autre. La plage était désolante de tranquillité et c'était dans un soupir désabusé qu'elle se remit en marche pour rejoindre sa roulotte, au campement.

Petit mouvement au loin et elle vit deux silhouettes qui devisaient. Elle reconnut la brune de la place public. Elle s'arrêta et un petit sourire étira ses lèvres. Elle avait retrouvé cette facilitée à sourire et ça, elle le devait à Ignace qui avait su le lui rendre ...

Fixant les deux femmes, son sourire s'accentua. Pour rien au monde, elle retournerait à sa vie passée, même si être séparé de toute sa famille lui pesait. Sur ce coup-là, le blond avait marqué un point, mais c'était bien le seul qu'elle pouvait lui accorder. La vie insignifiante de petites bourgeoises n'était décidément pas faite pour elle.

Laissant les deux femmes à leurs discutions surement sans intérêt, elle leur fit un signe quand même de la main qui tenait son bâton pour leur montrer qu'elle les avait vus, puis elle partit en courant en direction du campement, laissant cette plage un peu plus vide encore.

_________________
Ange_noir76
Arrivée depuis peu elle n'avait pas encore eue le temps de venir sur cette plage, plage dont son amie raffolait et ou elles s'étaient promises de se promener ensemble, hélas il en avait été autrement... Elle se sentait bien ici malgré tout.

Elle s'assied un instant devant cette immensité de bleue, on au loin un bateau, un de ceux qui a du lever l'ancre il y a peu de temps, les yeux perdus sur cette horizon elle pensait à son avenir ici, il s'annonçait pas trop mal tout compte fait, elle avait rencontré Frederine dont son amie lui avait dit tant de bien et qu'elle aimait beaucoup, de vivre avec les gens qui l'avaient connue c'était un peu comme si elle était encore là.... Mais bon maintenant il fallait passer à autre chose la vie continuait...

_________________
Rivale33
Val en arrivant n'avait qu'une hâte aller voir l'océan, cet endroit qu'elle avait laissé jadis ...

Portant les enfants avec elle, elle arriva devant cette immensité, le regardant prenant une grande respiration .... elle enleva bottes et bas et continua a avancer sentant le sable sous ses pieds....

Arrivant sur le bord elle déplie une couverture et pose Chloé et Théo dessus puis elle alla juste sur le bord le sable humide et frais sous ses pieds, l'eau faisant des allers venus elle se sentait bien....

Puis elle alla s'asseoir près des enfants restant ainsi.....

_________________
Slyvester
Arriver de Bordeaux et venu prendre un bol d'air frais et
Après avoir déballer les affaires Sly arriva pret de sa petite famille prenan ses petit l'un après l'autre dans ses bras et les embrassant fortement tout les deux avant de les reposer .....

Puis enserra sa femme dans ses bras venant s'assoire dans le sable a ses coté et l'embrassant tendrement dans le cou.....

Et lui chuchottant bonne anniversaire pour nos un mois de mariage mon amour c'est le jour tant rever ,espérer et attendu pour nous ....

je t'aime ma petite femme d'amour

_________________
Rivale33
Val vit arriver son mari, souriant quand elle le vit avec ses enfants

En sentant ses bras autour d'elle elle posa sa tête sur son épaule appréciant ce moment ...

Citation:
Et lui chuchottant bonne anniversaire pour nos un mois de mariage mon amour c'est le jour tant rever ,espérer et attendu pour nous .
je t'aime ma petite femme d'amour


Se tourne vers lui le regardant et vient lui déposer un doux et tendre baiser

je t'aime amour, et ce mois en tant que mari et femme à était que du bonheur, bonheur qui à grandi avec l'arrivée de Chloé et Théo une vraie petite famille comme on voulait puis Val se blotti dans ses bras regardant le paysage qui s'offrait à eux.....
_________________
Slyvester
Posant joue contre joue se collant contre son corps puis regardant l'horizon il continua de lui murmurer dans le creux de son oreille......

Alors amour c'est ici que tu as grandit....
cette plage et magnifique.....il est vrai aussi que le sable et doux amour tu as senti sous nos fesses sa doit etre agréable de s'alloger dessus le soir en regardant .....la lune....

puis la regardant du coin de l'oeil en souriant .....

Si on rentrais manger un bout histoire de coucher les petits au chaud...?
Ensuite on pourrai profiter de ce calme percer par le bruit des cagues...non?

_________________
Rivale33
Val sourit en entendant les dires de son mari...

Amour franchement toi allez on rentre les petits vont bientôt avoir faim....

Val se leva tout en regardant son mari et ils prirent chacun un petit et rentrèrent chez eux.....
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10, 11, 12   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)