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[RP]La plage

Rivale33
Après avoir vue Argo, dissipant ainsi un doute val l'embrassa et le laissa partir travailler, Val prit la direction de la plage avec les enfants....

Elle avait toujours ce besoin de se retrouver dans cet endroit, ce lieu de nature qui permettez de dissiper tout ses doutes, elle posa les enfants sur une couverture, aujourd'hui il faisait bon juste une légère brise ....

Elle s'installa près des enfants s'amusant avec eux profitant de tout ces petits moments de bonheur qu'ils leurs apporter, leurs sourires, leurs gazouillis la faisait sourire....et ces jours ci il n'y avait pas que ça qui lui apporter du bonheur il y avait son Argo, son amour sa moitié celui qui lui avait redonner le goût du bonheur ....Val était à présent sereine et voyait se présager un avenir radieux auprès de lui et des enfants qu'il aimait ....

Val resta une bonne partie de l'après-midi sur cette plage savourant le calme juste interrompu par le clapotis de l'eau et les cris des mouettes au loin.....

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Cibel
Cibel est venue sur la plage pour respirer un air plus frais ...Elle se souvient ,il n'y a que quelques moi,elle a fuit cet endroit qu'elle a tant aimé mais qui est devenu un enfer...

Elle s'assied dans la dune ,les bras autour de ses genoux, rêveuse...

même les anciens ne sont plus là...partis vers d'autres cieux plus clément ou mort ...

La dictature de certaines femmes est parfois pire que tout les cataclysmes...

Cette ville ne ressemble plus a rien de ce qu'elle a aimé...mais les vipères y sont restées pareilles a elles même...Ce sont les seules d'ailleurs...les autres ne se montrent plus ...et les jeunes sont bien a plaindre !

Cibel a bien envie de leur dire " Partez , fuyez cet endroit, il ne vous apportera que du malheur .. "

Elle sait de quoi elle parle cibel,elle a subit tant de choses ...mais elle a eu le courage de partir...

Elle pense a ses ami(e)s chez elle, a son futur époux qui l'attend avec toute sa tendresse... et elle sourit a la joie de son retour.

Pas de bateau dans le port qui a couté si cher...personne dans les tavernes avec qui parler et rire... pas ou très peu d'emploi.... Comment peut on encore vivre ici ...

Toutes ces pensées attristent Cibel...Elle se lève et d'un pas energique elle se dirige vers sa charrette ...attele son cheval ... et sans un regard en arrière et surtout sans regret,elle reprend la route qui la ramenera vers son bonheur...
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Aureanne.rogy
En ce jour du 1er Novembre de l'an de grâce 1459, Anne avait du vague à l'âme...

La vipère avait encore craché son venin... Elle avait refusé ce combat qu'Anne lui avait proposé en lice.

Quel démon pouvait bien habiter cette femme? Dieu seul aurait pu répondre à cela...

Anne n'en avait cure....tout ce, à quoi elle pensait aujourd'hui, c'était à son mari.

Il était parti en retraite et depuis de longs et interminables jours, elle n'avait plus aucune nouvelles...

Les enfants commençaient à être en mal de leur père et la petite Anne aussi...

Sa voix résonnait sans cesse dans sa petite tête: Anna...Mon ange...Ma douce.... Tant de mots qui lui manquaient....

Son cœur douloureux et fatigué, l'empêchait de plus en plus de retenir ses émotions... Et donc, elle préférait s'isoler et rester au domaine, que d'aller faire semblant de rire et d'être joyeuse en taverne...

Alors comme à chaque fois que ça n'allait point....elle se rendit sur sa plage...cette petite crique qu'eux deux seuls connaissaient...Ce petit morceau de plage retiré, où personne n'allait... Là... Juste avant l'entrée de la petite grotte où elle avait tant de souvenirs.

Elle resta longuement...Plusieurs heures sans doute.... Le temps s'arrêtant en ces moments là...

Elle pensait à lui, qui hantait toujours ses pensées... Ses larmes perlaient sur ses joues rougies par la fraicheur de l'air, elle serra fort son pendentif...Celui de leur union...

Elle regardait l'horizon...sans le voir pour autant... Ses pensées bien loin de là... Laissant la pluie tomber doucement...

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Zephir_
Je suis silencieux... invisible... mais ce jour-ci j'ai décidé de jouer. Faire rouler les vagues, déposer du sable fin sur les branches des pins, recouvrir les rochers, j'ai envie d'embêter ce qui m'entoure.

Tiens que vois-je? Âme seule égarée que je pourrais facilement atteindre... Je m'approche doucement. De peur de l'effrayer, je commence par lècher légèrement le tissu de sa robe... Il ondule, découvre ses chevilles.. Cela n'a pas l'air de l'agacer. Alors je poursuis mon approche. Et hop, je m'engouffre dans ses boucles blondes, les fais virevolter autour de son visage de porcelaine, peut être vais je lui arracher un sourire?

Mais non c'est une larme qui me frôle avant de terminer sa course sur le sable. Alors je me fais plus chaud, je ne veux pas la faire frissonner. Je repose ses boucles sur ses épaules, j'aime les âmes tourmentées, j'entends leurs pensées, souvent je soulage leur peine. Je l'entend... Il lui manque...

Tiens sensation bizarre... L'autre soir près d'un monastère une autre âme en peine errait... Je crois me souvenir de ses paroles... Se pourrait-il que ce soit les deux âmes sœurs? Je me résigne, oui même le vent à son destin... Je sais à présent ce qui m'a envoyé. Alors je reprend mon chemin dans ses cheveux or. Je me faufile, caressant son cou, sa tempe, et enfin je la trouve.... Cette oreille a laquelle je vais lui murmurer ce que je sais... Ce que j'ai entendu... Je redeviens plus rapide, je me fais plus grave, j'essaye d'imiter sa voix...


A toi
A la façon que tu as d'être belle
A la façon que tu as d'être à moi
A tes mots tendres un peu artificiels
Quelquefois
A toi
A la petite fille que tu étais
A celle que tu es encore souvent
A ton passé, à tes secrets
A tes anciens princes charmants

A la vie, à l'amour
A nos nuits, à nos jours
A l'éternel retour de la chance
A l'enfant qui viendra
Qui nous ressemblera
Qui sera à la fois toi et moi

A moi
A la folie dont tu es la raison
A mes colères sans savoir pourquoi
A mes silences et à mes trahisons
Quelquefois
A moi
Au temps que j'ai passé à te chercher
Aux qualités dont tu te moques bien
Aux défauts que je t'ai caché
A mes idées de baladin

A la vie, à l'amour
A nos nuits, à nos jours
A l'éternel retour de la chance
A l'enfant qui viendra
Qui nous ressemblera
Qui sera à la fois toi et moi

A nous
Aux souvenirs que nous allons nous faire
A l'avenir et au présent surtout
A la santé de cette vieille terre
Qui s'en fout
A nous
A nos espoirs et à nos illusions
A notre prochain premier rendez-vous
A la santé de ces millions d'amoureux
Qui sont comme nous

A la vie, à l'amour
A nos nuits, à nos jours
A l'éternel retour de la chance
A l'enfant qui viendra
Qui nous ressemblera
Qui sera à la fois toi et moi*


Voilà.. je crois n'avoir rien oublier... Je m'attarde encore pour frôler ses lèvres, baiser furtif qu'il lui donnera avec plus de langueur à son retour. J'aimerais encore rester, la regarder, jouer avec elle... Mais d'autres m'attendent... Alors je passe au dessus de cet océan qu'elle aime tant et lance une vague plus puissante, elle ira lui lécher les pieds. Comme un au revoir silencieux.

Et aussi silencieusement qu'il était arrivé, Zéphyr, vent que je suis, je m'éloigne égrainer d'autres paroles pour d'autres âmes en peine...


*[A toi de Joe Dassin]
Kateyll
Un long périple de quatre mois se terminait, Kate se retrouvait enfin à la Teste mais elle ne savait pas encore pour combien de temps. Les portes de la ville à peine passées, ses pas la menèrent directement vers la plage. Elle s'installa sur le sable et regarda les vagues venir mourir à ses pieds. Ses souvenirs la ramenèrent à son arrivée ici avec ses deux enfants. Maintenant Jade avait pris son envol et avait décidé de vivre en Champagne. Kate ne pouvait lui reprochait son envie d'indépendance, et puis elle n'était jamais bien loin et des pigeons réguliers venaient lui donner des nouvelles. Son fils Loris était en sécurité, Kate avait préféré le placer chez une nourrice, le temps que tout redevienne à la normale. Ils lui manquaient tout les deux mais bientot elle pourrait serrer son petit garçon dans ses bras. Elle continua de regarder tranquillement l'océan et se remémora ses derniers mois, tout les gens qu'elles avaient pu rencontrer, de nouvelles amitiés étaient nées avec des gens dit "ennemis" mais elle se foutait de tout çà. Et puis elle avait tué et ce geste etait resté ancré en elle, elle reverait longtemps le regard de surprise quand son épée avait pénétré dans les flancs de l'homme devant elle. Il faudrait qu'elle fasse avec çà dorénavant. Mais la Guyenne était la Guyenne et elle devait restée entière. Elle resta ainsi encore un long moment, il serait toujours temps de retrouver sa petite demeure et d'y faire un grand ménage. Pour le moment, elle profitait de l'océan, elle aimait l'eau et n'avait qu'une hâte pouvoir repartir en bâteau. Elle resta là encore un long moment, c'était le meilleure endroit pour elle pour se ressourcer.
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Et si on essayait d'être heureux, ne serait-ce que pour montrer l'exemple (J.Prévert)
Amael59
Après s'être débarrassé de sa lourde armure de guerre Amael enfila vite sa tenue de bain pour aller s'allonger au soleil de la belle plage de sable fin s'étendant devant ses fenêtres, le bruit des combats était loin et il n'entendait plus que le murmure des vagues clapotant sur la grève. Il aperçut non loin de là une vieille connaissance, son amie Kate qui se remettait comme lui des horreurs de la guerre, il lui sourit et ferma les yeux, la petite brise venant du large fit passer une douce chaleur sur son visage, comme la vie lui semblait belle maintenant qu'il avait frôlé la mort et échappé à de vilaines blessures, il regarda pensivement la cicatrice qu'il conservait au flanc de sa première guerre contre les Bretons, alors qu'il se battait sous la bannière du Limousin, il avait été laissé pour mort sur le champ de bataille jusqu'à ce que des soldats entendent ses gémissements, l'armée avait du continuer sans lui, laissant ses blessés dans un hôpital de fortune, comme c'était bon de se sentir vivant.
Ermelyne_
Stella venait de quitter le dispensaire...inquiète...même si elle essaie de ne pas le faire voir...elle avait un besoin de marcher..de penser..son aimé lui avait parlé de cette plage ou il devait l'emmener...malheureusement...il est si occupé...qu'il ne peut point le faire..

L'envie d'y aller est plus forte que tout...elle se renseigne ...ne connaissant pas la ville...pour le chemin le plus court..
Elle voit leurs visages étonnés de sa demande...vu le temps qu'il fait..mais rien ne l'arrête..

La voilà arrivée...un grand sourire aux lèvres se dessine...elle prend une profonde inspiration ...le visage offert à la petite pluie qui tombait...
Pas une âme sur cette plage...la seule qu'elle aurait voulu à ses côtés..c'est celle de son amour... soupire..

Mais ...la voilà qu'elle enlève ses bottes prestement...malgré son ventre bien rebondi..apprécie de sentir le sable sous ses pieds comme une caresse...l'appel de la mer se fait sentir...elle retrousse sa houppelande...le plus qu'elle peut décemment le faire...entre un peu et laisse les vagues...lui fouetter les jambes.....comme une enfant...elle saute les vagues en riant...

La brune en sort à regret..les cheveux défaits...mouillés...des mèches la font loucher...elle souffle dessus...et les déplace...

Une petite douleur se fait sentir ...P'tit coeur..danse dans son ventre...tout naturellement...elle le caresse...mais ça ne l'apaise pas autant...que les caresses de son aimé..

Stella voit un rocher où elle va pouvoir se reposer et penser à sa vie future...là...elle redevient plus sérieuse...ses doigts qui démêlent et arrangent sa belle chevelure...elle a beau voir ce magnifique paysage...mais là...elle se sent seule...même si elle se sent aimée...choyée...la voilà qui ferme les yeux doucement...

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Clealan
Une soirée...une belle soirée pour tout dire...un mariage. du bonheur...des promesses...et il avait quitté ses amis...laissant celle qui habitait son coeur échapper à il ne savait quels fantômes, bien sur sa maternité récente y était sans doute pour quelque chose!


Il avait la garde des enfants, et s'était acquitté de sa tache...une histoire à des visages ensomeillés, une visite à la dernièr née...qui avait faim!...Qu'avait dit Jacques??? Ha oui du lait de chèvre coupé d'eau...il s'appliqua a respecter les dosages et la première tétée à la corne fut laborieuse, il laissa à la nourrice le soin de changer l'enfançon, il s'était essayé mais norf vraiment ce soir...un regard protecteur...il vérifia que tout le monde dormait, puis se glissa hors de la demeure accueillante.


Vétu de son mantel, chaudement emmitouflé, il arpenta les rues de la ville qu'il connaissait à peine, sans vraiment s'en rendre compte ses pas le menèrent vers la plage, le bruit du ressac le guida, un mouvement éternel des vagues qui venaient mourir sur le sable. son regard se perdit sur les ombres sombres, éclairées d'une lune éclatante, qui dispensait ses rayons sur le cret des rouleaux écumeux. Il se laissa choir sur le tapis sableux, les genoux repliés sous le menton, les bras soutenant les jambes, se laissant doucement bercer par les flux et reflux, où était elle....il le savait au plus profond de son ame, laisser les enfants...la petite...dormir avec eux...comment aurait il pu dormir...la sachant dehors...Il n'aurait été qu'une source de mauvais rêves...



Les yeux dans le vague , et dans les vagues, il resta là..laissant le temps égréner ses minutes, la nuit froide et claire, il ne bougeait pas...recroquevillé sur lui même, les heures passèrent, quand il remarqua le ciel qui s'éclaircissait peu à peu, des lambeaux de clarté, le soleil sans éclat allait sonner l'heure du lever du jour.


Difficilement il se déplia et se mit debout...il se devait d'être là pour le reveil...le reveil...pas le sien celui de ceux qui avait besoin de lui, il reprit d'un pas lourd le chemin du village, se perdant dans les rues, enfin il reconnu une place et rejoignit la demeure de ses amis...s'y glissa...ni vu ni connu, il n'avait plus qu'à attendre que la maison s'eveille, peut-être sa fille chouinerait elle son lait.

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Eve_
Eve était sortie en pleine nuit. Elle ne trouvait pas le sommeil, retournant nombreuses pensées, se posant sans cesse toute sortes de questions. La jeunne femme, appelée par son instinc marin de Bretonne avait parcourue les ruelles de la ville jusqu'à la plage. Arrivée, elle avait couru à tout allure , et en était même tombée. Elle rigola toute seule et se roula dans le sable. Elle se releva lorsqu'elle sentit l'écume des vagues sur son flanc et regarda autour d'elle. Quelques silouhettes se dessinaient au loin. Devant elle, les vagues. Elle respira profondément et se mit à crier, de toutes ses forces. Un an sans voir l'océan, c'était long, pesant. Elle avança doucemment jusqu'à sentir le goût salé de l'eau sur ses lèvres. La jeunne femme resta, espérant que personne ne passerait dans le coin.
Kerrydan
L'océan ...
Il le connaissait à la perfection, quel cap prendre pour éviter tel houle, quel cap prendre pour survivre à une tempête, cependant il ignorait quelle attitude prendre face à un début de mutinerie ...

Posté face à l'étendue d'eau salée, Kerry se tenait debout, droit et fier devant la tueuse de marin.
L'homme se pencha doucement, prenant dans sa main une poignée de sable fin. Il se releva, le regard fixé droit sur l'horizon, écartant faiblement ses doigts afin de laisser couler le sable, porter par le vent.
le vent frais fouettait le visage du pirate, faisant rougir ses joues.

Ker jeta un coup d'oeil à ses cotés et vit non loin une demoiselle à la chevelure de feu, allongée à même le sable. Il la vit jouer, l'eau salée venant caresser ses courbes.
Un reflexe, il se tourna pour se rendre dans sa direction, mais seulement quelques pas de fais, il se ravisa ... se retournant pour contempler de nouveau les vagues qui se formaient au loin du rivage.
Eve_
Eve, alors dans l'eau, entendit des pas sur la plage. Elle se retourna tout doucemment et aperçu une silouhette qui se raprochait. Ne voulant pas qu'on la dérange, elle hésita entre prendre la fuite ou bien opter pour la méthode sous marine. Elle plissa les yeux, essayant de distinguer un visage, mais voyant que l'ombre faisait demi tours, elle en profita pour sortir de l'eau.
Une fois sur la plage, la jeune femme secoua ses cheveux et s'enroula bien vite dans sa couverture. Maintenant, plus près de la mystérieuse forme, elle crut reconnaitre Kerrydan.
Elle éternua, malgrès tous ses efforts pour se retenir, puis, espérant que personne de l'aurait entendu, elle prit sa besace rapidement. Se souvenant du léger désaccord qu'elle avait eu en taverne avec le pirate, la rousse se retourna et marcha doucemment dans la direction opposée pour de pas l'alerter.
Opaline.
Elle avait dormi une bonne partie de la matinée la blondinette et a son reveil, elle s'etait retrouvée seule. Certainement Space s'etait rendu chez lui pour s'occuper de ses affaires. S'etirer et se lever tranquillement, la blonde a envi de rien faire. L'attendre ici ou partir a la decouverte de la ville ? Elle s'habille et grignote un fruit et du pain puis se decide et file decouvrir la ville. c'est en errant ainsi seule qu'elle arrive vers une plage...

Regard qui s'illumine en voyant l'ocean et de retirer rapidement bottes et bas puis de s'avancer lentement sur le sable en direction de l'eau. Elle frissonne en sentant la texture froide et mouvante sous ses pieds et le vent la cinglant, fait rougir ses joues et son nez et defait son chignon lache, laissant sa chevelure voler. Elle ne s'inquiete pas des quelques rares personnes presentes sur la plage et va plus loin.

Plus qu'a quelques mettre de l'eau elle pose besace et bottes puis avance jusqu'a ce que les vagues viennent lui lecher les pieds la faisant crier de surprise saisie par le froid et eclater de rire en reculant un peu. Retrouvant son enfance et son innocence pour un temps, elle reste là a jouer avec les vagues, sautant dedans a pieds joints, les evitant un peu plus tard et de s'amuser jusqu'a ce que le froid la fasse trembler de tout ses membres et qu'essoufflée elle se pose pres de ses affaires et se seche et se frictionne les jambes et les pieds avec le sable et se rechauffer un peu...

Regard qui plonge vers l'horizon, la blondinette pensive recroquevillée sur elle meme ses bras entourant ses genoux, elle reste là et laisse ses pensées partir loin...
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Margaux..
Margaux était attirée par l'eau comme l'est la puce par le chat. Elle avait senti l'odeur de l'iode et son nez la guidait l'amenant indéniablement vers la plage. D'où elle était, elle admirait l'horizon. Que pouvait il y avoir de l'autre côté de cette ligne ? Le vide ? le néant ? était-ce la fin de la terre ? ou de la mer ? Elle frissonnait à l'idée d'aller jusque là bas et de tomber dans le vide. En fait, si elle frissonnait c'était surtout de froid. Vite retourner en taverne, quand ses yeux se posèrent sur une silhouette accorte qu'elle connaîssait bien. Ses cheveux blond volaient au vent, Margaux s'approcha à petits pas. Arrivée à la hauteur de son amie, elle prit une grosse voix, voulant imiter un sieur quelconque.

Alors ! Damoiselle Opaline ? que cherchez vous en ces lieux ?

Puis elle se mit à rire et fit une bise à Opale.

Tu vas attraper la mort ma belle si tu restes ici trop longtemps. C'est beau toute cette immensité ! t'es tu déja demandé ce qu'il y avait après ? Puis elle la regarda mieux et la trouva pensive. C'est quoi toutes ces pensées dans ta tête ? Tu veux pas qu'on aille en parler au chaud devant une chope ? Allez viens la dernière arrivée paye une tournée ....

Et voila la brune partie sans laisser à Opale ni le choix ni le temps de pouvoir lui répondre. Et puis, tricher pour gagner, Margaux adorait ça. Et sur ce coup là elle avait pris une certaine avance sur son amie.

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Opaline.
Trop plongée dans ses pensées, Opale ne sursaute meme pas et se tourne vers la voix un peu perdue avant de sourire a Margaux et de lui faire la bise. Elle l'ecoute lui faire la morale en souriant tout en regardant l'ocean puis realise enfin ce qu'elle lui a dit et se retourne vivement la voyant deja a quelques metres d'elle.

Heyyyy mais tu triches !! Attend Margaux !

Et de prendre a bras le corps besace et bottes et de courir apres son amie. Perdre un bas glissé d'une botte s'arreter et revenir en arriere en grognant le recuperer et repartir a la suite de Margaux.

Margauuuux !! attend mouaaaaa !!


Oublié le froid, oublié les pensées mélancoliques, juste le plaisir d'un pari et de courir. D'essayer de rattraper son amie pour gagner une tournée de bière. Le regard brillant, le souffle legerement court et les pommettes rouges du vent froid et de la course elle arrive pres du chemin et se retrouve obligée de ralentir a cause de la boue glissante et des pierres douloureuses sous ses pieds nus.... Regard devant elle et de voir Margaux bien loin puis de rire amusée.
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Aureanne.rogy
L'air était doux ce jour.... Le ciel était bleu....Presque aussi beau que les prunelles de son amour.
Le temps était enfin un peu plus clément, alors forcément notre petite blonde nationale, n'avait pu s'empêcher d'aller se promener sur leur crique.

Elle s'était assise au même endroit que d'habitude, sur ce petit rocher, là, depuis des siècles surement.

Elle avait amené sa besace et son matériel d'écriture... Son châle glissant de ses épaules, les cheveux lâchés, virevoltant au gré du vent, le teint laiteux, mais les pommettes rosées par la fraicheur... C'est ainsi qu'elle avait eu l'envie d'écrire quelques lignes pour son époux...L'amour de sa vie... Son autre, sa moitié...




Dans tes yeux mon cœur s'est posé
Et à présent , il ne veut plus en sortir
Quand un jour je viendrais à mourir
Il sera encore à toi, pour l’éternité

Tout homme a quelque part son autre
Et incontestablement, tu es le mien
Indéniablement je n'en veux point d'autre
Car seul toi, est fait pour moi et mon bien

Je pourrais écrire des pages
Te révélant tout mon amour
Écrire ou te le dire tout court
Notre bel amour sans nuages

Mais rien ne sera jamais assez fort pour te dire
A quel point je t'aime et réaliser vraiment
Ce sentiment qui m'emporte tel un aimant
Et qui me raccroche à toi, comme à la vie...


Certes, elle n'écrivait point aussi joliment que lui, mais ses mots étaient sincères.
Elle lui ferait peut être lire un jour...

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