[RP] Lancer de prisonniers de guerre

Petitrusse jete un oeil sur place, voit un petit attroupement, alors s'approche par curiosité.

Après avoir échangé avec une personne présente dans la foule avant lui, Petitrusse s'avance.

Bonjour Rick,

pour la dernière guerre contre le Berry, je n'ai pas pu me déplacer sur place, étant a ce moment là le Duc du BA.
Et maintenant, impossible de me déplacer,car je suis maire de Clermont, et que j'ai créé mon armée pour défendre pour notre Capitale.

Alors oui, pour une fois que je peux m'amuser avec du Berrichon, ce serait vraiment dommage de louper cette occasion.
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La blonde n'était toujours pas bien décidée sur se qu'elle devait faire ou pas en Bourbonais. Elle y avait bien des champs, mais on ne peut pas dire qu'elle etait ici chez elle.
Elle passait plus de temps avec les voyageurs et se trouvait facilement sur la défensive sitôt que les gents du crus voulait d'office l'envoyer sur les rempart. Bien sur elle était pas la par hasard, elle avais ciamant emménager en Bourbonais mais tout de même, certain avaient des façon plus que cavalière .........

C'est donc perdue dans ses pensées que Miline se retrouve prêt de l'attroupement. Un peut étonnée, presque désorientée, elle regarde se qui se passe autour d'elle.
Puis lorsqu'elle comprend que c'est une animation organisée par celui qu'elle a probablement choquée plus tôt, elle s'éclipse discrètement. Ne voulant en aucun cas luis donner l'impression de le harceler d'une quelconque façon.

Son travail à la mairie terminé, Hygie se rendit de suite à une animation proposé aux Auvergnats afin de prendre un peu de bon temps pendant cette période un peu triste. Elle en avait parlé aux Moulinois et espérait en voir débarquer plusieurs au grand damne du Père Rick. Un mot était même placardé à la mairie.

Il y avait déjà foule. Hygie reconnaissait quelques personnes qu’elle avait juste croisé dans divers endroits, elle les salua de la tête en se faufilant pour essayer de rejoindre ses amis qu’elle avait aperçue de loin. Comment louper la duduche Sofio et son mari Morphey, la collectionneuse de breloques Ninon et Leg, agréable surprise de le voir participer et déjà sur place.

Bonjour tout le monde, bonjour mon Père. Un lancé de prisonniers, excellente idée. Ca va nous permettre de nous défouler. Nombreux sont les frustrés qui ne peuvent aller taper du Berrichon pour diverses raisons, n’est-ce pas mon Père ! Vous participez au moins ? Sourire en coin. Pour ma part, je m’inscris !

Déjà quelques prisonniers étaient marqués, signe d’appartenance, comme un bien qu’on étiquette. Hygie en repère un. L’homme est mince, fuselé, oreilles et nez en pointe, très peu de cheveux. Elle pointe son doigt, le fixe du regard.

Lui là ! Il n’est pas encore marqué… il est à moi ! Je vais l’appeler Têtard !

En écoutant le père Rick, Leg regardait aux alentours et vis quelques têtes connues de plus. Une fois réponse donnée,

"Bonsoir mon fils ! C'est avec plaisir que nous vous accueillons ! Il y a encore des prisonniers qui ne sont pas marqués. Si vous voulez faire votre choix ! "

il fut d'abord étonné par ce "mon fils" s'étant un peu éloigné de la religion. Papa ? pensa-t-il en rigolant. Ecoutant quand même les dires du religieux, il s'en va chercher un prisonnier.

Arrivé devant l’étalage de prisonniers, le blond regarde avec attention chacun clampin afin de choisir le meilleur pour ses lancers. Ah tien, celui là est pas mal, il est grand et tout fin comme lui, sauf qu'il est bien moche et bien poilu. Il commence a marquer son nom sur la tronche du berrichon quand il en vient à déraper.

Oh non j'tai foutu du charbon dans l’œil!

Il le regarde et se met à de manière assez sadique.

Tant pis!

Tenant son prisonnier par le bars, il se dirige vers Hygie histoire de tailler un peu le bout d'gras avant le début des festivité.
Un coup d’œil vers son prisonnier.

C'est avec ça que tu veux lancer loin? J'te préviens, j'vais te coller une rouste et ça va te couper l'envie d'aller jouer dans la lice avec tonton Legond.

Ninon s'arrête tout net en voyant Rick, son bras retombe et elle affiche un sourire un peu crétin ... Erfff merdouille ! Encore lui ?

Ah mais voilà une voix que je reconnais et le visage d'une adepte des pêchés ! Seras-tu capable de faire mieux que ton amie ? J'ai des doutes ! Puis, il paraît que la Duchesse est mauvaise perdante et envoie tout le monde aux oubliettes, si on lui fait l'affront de la gagner.

Son sourire s'accentue, dents serrées... visage d'adepte des péchés ? Vraiment ?... Préférant ignorer les propos du cul béni, elle se tourne vers la rouquine arrivée avant elle mais n'a pas le temps de l'ouvrir que la foule semble s'être donnée le mot et chacun y va de ses désidérata dans le choix des projectiles. Les voix fusent de toutes parts et le choix diminue a vue d'œil. Rho, même Hygie a déjà trouvé chaussures a son pied... 'fin... Berrichon a sa massue

Ah oui mais nan ! Z'allez pas tous les prendre, hein ! J'en veux deux ! Un pour m'entraîner et un pour Bourges !

La brune se précipite vers l'enclos ou sont parqués les cochons et commence son inspection. Un grand bien gras aux riches atours attire son attention.

Hum... T'a l'air d'un noble, toi, je crois que tu feras l'affaire, viens par là, que je t'examine

Et de lui mettre la main aux braies d'un air concentré, sans s'occuper des glapissements ulcérés del'intéressé puis de le regarder après avoir retirer sa paluche, un énorme sourire éclairant son visage...

Héhé... Mais ça m'a l'air parfait tout ça... Bon, on va te chercher un pti copain d'entraînement, maintenant. Suis-moi et ferme la, j'ai besoin de toute mon attention.
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Il s'était prudemment écarté lorsque le Padre avait donné le signal aux participants de choisir son prisonnier.
Dame ! c'est qu'on se serait cru chez Sarenza, célèbre marchand de chausses italien installé à Clermont, un jour de solde !
La ruée avait été épique, chacune se précipitant dans une joyeuse mêlée digne du pays de l'ovalie où l'objet de leur convoitise n'était plus une soule mais un berruyer soudain moins pressé de rentrer chez lui, on se demande pourquoi....
Horrifié, il avait même vu Ninon, pour ne pas la nommer, mettre la main dans la "boite" afin de s'assurer de la pointure !

Lorsqu'enfin chacune eut marquée son prisonnier, il attendit que la poussière retombât et que se turent les "pamoi pamoi" avant de s'avancer à son tour dans l'enclos.
Bien entendu le choix était moindre, mais la démarche bien moins périlleuse.
Les prisonniers restants ouvraient de grands yeux hébétés, encore surpris de n'avoir pas été piétinés par la horde d'amazones.

Il avait appris les grands principes des mathématiques auprès d'un maitre arabe et se remémora ce qui permettait à un oiseau de voler : son poids et sa forme certes, mais aussi et surtout ses ailes pour la portance
(on évitera ici, en raison des âmes sensibles, de parler de sa queue, qui comme chacun le sait, lui sert de gouvernail...).

Il passa rapidement sur les premiers qu'il observa et qui ne présentaient pas les caractéristiques qu'il recherchait, avant de repérer un prisonnier prostré dans une position simiesque.

Un large sourire vite refréné fendit le visage de l'Impétueux seigneur de Castelpers.
Il contourna l'objet de sa convoitise, admirant la longueur des bras qui devait lui permettre de se gratter les pieds sans avoir à se baisser.
L'homme semblait ne pas avoir inventer la poudre, mais ça tombait bien : c'est pas ce qu'on attendait de lui.

- Enfile ça, Norf !

Il lui tendit une curieuse chemise dont les manches et les côtés avaient été ouverts et recousus ensembles et la trame recouverte de plumes d'oiseau collées à la poix.

- Bien ! Écarte les bras pour voir...

Bras écartés, on eut dit une chauve souris grotesque aux plumes bariolées.

De Valmonte conclut l'examen en estampillant l'homme oiseau d'un MdV. Certains y liront Moment de Vie d'autres Maitrise du Vol, c'était plus modestement Morphey de Valmonte.
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Dict l'Impétueux

Le temps du choix....

Déjà le sexe hommes ou femmes, une femme plus fluette mais moins résistante, ne pourra peut être pas assumer atterrissage, alors qu'un homme avec une bonne prise au vent risquerait de se débattre et agitant bras et jambes pourrait gagner encore quelques mètres.

A la suite de son époux, elle longea aussi la file, grimaçant sur certains, trop gros, trop petit, air niais, c'est que le premier prisonnier a faire voler ca compte autant que l'achat de sa première paire de braie, la couleur et la forme, le coup de cœur doit se faire, sinon on le regrette longtemps après.

mouais

Elle venait de s'arrêter devant un homme dont l'aspect lui paraissait correct, de taille moyenne, ni trop gros ni trop maigre, des épaules carrés parfaitement adaptée au reste du corps.Le détail le plus important restait la laideur, il le fallait très laid boursouflé disgracieux, si laid pour que son ne prenne pas l'idée a son époux de devoir le tuer avant le lancé , espérant que celui ci convienne autant pour le vol futur qu'aux yeux de Morphey elle pointa son doigt sur son torse.

Lui!
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Sa dernière fournée de pain vendue sur le marché en houspillant les moulinois qui trainassaient. Orckis arriva sur le lieu des inscriptions fort en retard. Manquerait plus que par leur faute, elle puisse pas balancer du berrichon elle aussi. Déjà qu'elle avait pas pu aller leur taper dessus et que pas un seul de ces idiots patenté n'avait osé pointer son nez crotté au village. Alors pour sur, elle allait prendre un malin plaisir à ce concours organisé par le curé.

Elle s'approcha du bureau des inscriptions grillant la place de quelques étourdis qui lorgnaient le popotin de la duchesse Sofio.

"Salut vot' seigneurie !!" dit la moulinoise qui n'avait qu'en de rares occasion franchit la porte d'une église et ne savait pas trop comment on parlait à ces oiseaux endimanchés qu'on appelait des curés. "Je suis Orckis, boulangère moulinoise, copine de Ninon et de la duchesse aussi." Petit sourire de coin, dire qui on connait des fois, ça peut aider. "Il vous reste un imbécile de Berrichon ? Je voudrais le bénir à ma façon..."

A ce moment précis, elle aperçoit son amie Ninon qui tâte la marchandise avant de faire son choix.

"Ninoooooooon !!! Youhouuuuu !!" Grands mouvements de bras pour attirer l'attention de son amie. "Tu m'en mets un de côté, ni trop grand ni trop p'tit, ni trop gros ni trop maigre mais chauve surtout. Rhoooo pi laisses tomber pour le chauve, au pire j'lui arracherais les ch'veux un par un !!!"

Puis elle se tourne de nouveau vers le curé et avec un sourire qui se veut angélique, elle ajoute:

"heu... c'est par charité aristéto... je ne sais quoi là comme vous dites souvent. Vous comprenez, c'est juste pour éviter qu'il soit infesté de vermine. Moi j'aime pas ça la vermine."
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Animation ! Animation ! Lancer de prionniers de guerre ! Berrichons sans doute ! Qu'on les jette le plus loin possible ces maudits ! Jusque sur leur terre, et qu'en atterissant il détruisent tout ! Tout ce vil duché rasé de la carte, et enfin on respirerait tranquille durant des décennies !!

Elle ne vient pas s'inscrire Gypsie, mais soutenir les participants, car elle manque de force pour en jeter un assez loin. Mais si un poil ou une oreille traine quelque part, elle se fera un plaisir de le souffler, ou de taper dedans.
Maudits berrichons.

En attendant le début de ce fameux lancer, Gypsie salue ceux qu'elle connait, comme ceux qu'elle ne connait pas. Bonjour bonjour, moi c'est Gypsie, citoyenne de Clermont, prête à vous encourager tous pour ce lancer de prisonniers !!

Sourit plus particulièrement à Rick, dont la dernière entrevue était à Montensier, lors de son mariage avec Jazon, Jazon actuellement à la guerre quelque part...
Pas penser à ça, mais plutôt à l'animation du jour !
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Le marquer...pas avec du charbon...elle en avait un bout toujours sur elle pour ceux qui ronfle en taverne...pas avec un cailloux...quand elle en a dans les poches c'est pour les lancés sur les piafs, un sourire se dessine sur ses lèvres, elle retourne au camp, il y en a un parmi eux ce sera facile d'avoir ce dont elle a besoin.

Un moment plus tard la voilà traversant la foule qui commence vraiment a afflué et regarde vicieusement sa victime en lui faisant un grand sourire...

Oh regarde c'est pour toi, mais il faut que tu te retourne...promis ça fait pas mal...

Croise les doigts derrière son dos et menace sa victime avec sa tige en fer devant sa négative et ses billes ronde du a la frayeur, relève sa chemise elle même devant son refus et descend a peine ses braies pour le marquer sur la hanche. Elle appui vivement et fortement des fois que soit plus très chaud. Sa victime hurle avec la peau fumant un peu ce qui amuse la brunette et comme pour sa vache lui colle une tape franche sur...la hanche en souriant.

Et voilà t'es a moi !

On lui avait promis elle pourrait le garder, alors là elle était plus que certaine que personne lui prendrait son Berrichon. D'ailleurs elle avait pas l'intention de l'envoyé a Bourge mais plutôt vers chez elle pour le partager avec sa mère quand elle reviendrait.
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Il aurait pourtant juré être discret dans son coin, mais appuyé sur une jambe au sol et en équilibre avec son coude contre un mur, il faillit perdre l’équilibre

TRIDANT, vieux frère!

S’il n’avait pas pris quelques réflexes lors des combats pour ne pas perdre n’équilibre il serait tombé au sol. A l’écoute de son nom, il n’eut que pour simple réplique, un sursaut, et dans un effort, il mit tout en œuvre pour ne pas perdre équilibre et donnant un petit coup au mur pour ce redresser.
Un coup d’œil à gauche à droite, ne voyant personne il crut a une farce, mais persistant ses recherches il vit Badboy quelques mètres plus loin, un sourire sur ces lèvres avant de s’avancer à ses côtés. IL ne l’avait pas vu depuis des lustres, il fut un ami proche, un collègue, un voisin, une personne qui fut parti de sa vie, il ne trouva rien de mieux que de répondre

Badboy…. Accompagné d’un sourire
C’est un plaisir de te voir aussi ! Je deviens…ce que je suis devant toi, un peu usé, mais tellement ravie de revenir au bercaille !

Je n’ai rien de spéciale à te dire, enfin si tellement, que je ne peux trier de suite, si je devrais tout te dire, nous n’aurions pas finis !

S’apprêtant à reprendre la discussion, il vit Rick sur ces entrefaites se rapprocher , petit sourire, de Montpensiérois,

Mon père, c’est toujours un plaisir !

C’est comme un jeu de lui parler ainsi, pour tout dire il n’ne avait pas réellement l’habitude,

Partir moi ? Mais….non bien sûr.

En fait si, il y avait pensé, du moins, il n’avait pas vraiment prévue de passer à l’origine, mais maintenant…..il ne pouvait plus partir, il n’était pas , du moins plus habitué un climat si festif, mais après tout !
Sur ces mots, une jeune femme arriva, il l’avait déjà croisé à un anoblissement, fixant du regard les faits et gestes, il regarda Rick, puis s’excusant, il prit la décision de s’approcher.

Marchant d’un pas lent mais assuré, il arriva derrière la jeune femme, qui choisissait son prisonnier à lancer, se mettant à côté d’elle, sans la regarder, il prit la parole,

Si je puis vous conseiller celui-ci, il me semble bien moins lourd, et bien qu’il soit un peu plus grand, si vous prenez un bon élan, je suis sûr qu’il fera plus de distance que votre premier choix,

Un petit sourire s’afficha sur son visage, avant d’être pris d’un doute, le prendrais-t-elle bien ? Puis repensant à la politesse, il prit soin de rajouter, en se tournant vers elle,

Je suis Tridant, je ne me suis pas présenté l’autre jour, étant en cérémonie, ce qui est, je dois l’avouer, impolie de ma part, mais j’en assume mon impolitesse,

Si je me souviens bien, vous êtes Thyra ? Charmant prénom !

Se retourne vers le berrichon qu’il avait conseillé,

Je me demande s’il n’a pas un peu trop de poids tout compte fait….

Examinant les autres minucieusement
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Le moins qu'on puisse dire c'est que les auvergnats étaient très remontés contre les Berrichons et certaines scènes de violence se déroulèrent sous les yeux du curé qui fronça les sourcils. Il était temps de lancer le jeu pour éviter d'autres crimes. Avant cela, Rick sourit à Gypsie qui venait d'arriver. Comme à son habitude la doyenne de l'université n'hésitait pas à venir soutenir les actions du comité des fêtes. Au moins une fidèle parmi les fidèles ! pensa le jeune homme.

Oyez Oyez chers joueurs ! Il est temps pour vous de vous mettre sur la piste ! Vous trouverez devant chaque piste de lancement quelques petits outils pour vous aider à lancer votre berrichon ! La seule consigne est de mettre votre prisonnier sur l'estrade et de lui demander de sauter. S'il refuse de le faire, nous avons quelques videurs qui les pousseront légèrement de leur estrade. A vous alors de trouver le moment idéal pour frapper votre ami du jour.

Rick sourit avant de reprendre

Dès que vous avez effectué vos trois lancers, venez me rapporter les notes de l'arbitre. Et pour permettre aux quelques retardataires de venir nous rejoindre, je vous invite à vous entraîner un peu.



Le curé leva le bras pour lancer le jeu et laissa les uns et les autres se jetter sur les pistes de lancers.

Tridant ! Gypsie ! Vous participez ?
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Ayant reçu un pigeon de Rick, LadyXena vint voir ce fameux lancers de prisonniers.Elle trouva ca très amusant et "défoulant", elle mit donc un message à Polignac pour que les villageois viennent s'amuser.
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Hanna avait fait le tour des prisonniers et en cherchait un assez proche du portier qui tenait la porte de la taverne de Belle...ben oui autant continuer à s'exercer sur le même gabarit, vu qu'il en avait déjà vu des vertes et des pas mures...

Hum... lui trop petit... les nains je les zigouille à la mine...

Elle poursuivit son petit tour d'horizons et se retrouva face à une armoire à glace.

Euh on peut taper dans les parties ?Parce que là... trop haut pour moi

Elle trouva enfin celui qu'il lui fallait, ni trop grand, ni trop petit,mais bossu !

Ahhh faut toucher la bosse, paraît que ça porte chance !

Elle toucha la bosse et lui donna un coup de pied dans le derrière.

Parfait, il tient pas debout, il ira loin en le lançant ! Toi tu vas payer pour envoyer mon fiancé à l'armée !!!! J'ai une folle envie d'en lancer plus d'un !
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Galaan arrivait de Bourges et après des semaines de batailles, de chevauchées épuisantes, un tour en gargote s'imposait.

Il avait entendu parlé d'un jeu bien à la mode de chez nous. Le jet de Berrichons. Remis des blessures que ces crevures lui avaient fait, l'idée de jeter quelques prisonniers lui faisaient bien envie.

Envie de se venger...non...quelle idée...juste de s'amuser un peu et de leur en donner pour leur compte. Il eut un petit sourire à cette pensée. Et les voir voler dans le ciel Bourbonnais, quel spectacle après les avoir vu fuir devant les armées.

- Gardez m'en un peu. Rien qu'un peu....

Il vit aussi qu'il fallait les marquer comme sa propriété. Qu'à cela ne tienne. Un beau GV serait appliqué sur leurs fessiers.
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