Cardogol
Il avait beaucoup promis aujourd'hui ... Il avait promis le vin, le repas, le raisin et le logis. Nombreuses auraient été les personnes qui n'aurait pas fait tant de promesse à une personne connue du jour même, mais lui ... il n'avait pas hésité une seule seconde. Son vin était fait pour être bu, ses repas pour être mangés, ses raisins aussi et son logis ... pour être habité. Que ça soit par lui ou elle, qu'elle était la différence ? La propriété ? Ce mot avait bien peu de sens à ses yeux, encore moins pour son coeur.
C'était risqué, diraient certains, daccueillir une étrangère chez soi ... Risque limité quand vous ne possédez que des meubles miteux, des habits miteux et quelques miches de pain. La seule chose de valeur qu'il possédait c'était son vin, et il lui était de toute façon réservé maintenant. Ce qu'il possédait lui était promis, on ne vole pas ce qui nous appartient.
C'est donc l'esprit léger qu'il tenait cette main, et marchait, sans se presser, vers sa ruine. La main, il ne l'avait pas lâchée, et elle non plus d'ailleurs, depuis ce qui devait être une poignée et qui n'avait jamais finie. En tenant cette main, il nespérait rien en réalité, son esprit était bien trop naïf pour cela ... Il lui tenait juste la main, comme un enfant l'aurait fait.
Quelques minutes plus tard, ils furent arrivé devant la ruine. Il se tourna vers elle.
Ce n'est pas reluisant ... Je sais, mais nous devrions vous trouvez une pièce sans vue sur le ciel pour y installer votre chambre. Et puis si on y arrive pas ... Vous dormirez dans la mienne et je resterais sous les étoiles.
Mais rentrons, avant que votre ventre ne refasse des siennes.
Il eut un peu de mal à prendre sa clé dans sa poche, surement du fait qu'il dû se servir de son bras gauche pour la prendre dans sa poche droite, pour ne pas lui lâcher la main. Il ouvrit la porte, et ils entrèrent.
La pièce était plutôt grande, on voyait que le parquet du dessus avait dû un jour exister, mais avait aussi dû sécrouler, on voyait donc la toiture, et la charpente. Quelques trous étaient visibles, ou plutôt, quelques tuiles était visibles, car dans cette première pièce le toit était en très mauvais état. Mais mis à part cela, la pièce ne faisait pas sale. Les meubles était en état de marche.
Il se tourna vers elle, et avec un petit sourire, lui demanda :
Vous êtes sûre que vous ne regretterez pas vos granges et votre foin ?
C'était risqué, diraient certains, daccueillir une étrangère chez soi ... Risque limité quand vous ne possédez que des meubles miteux, des habits miteux et quelques miches de pain. La seule chose de valeur qu'il possédait c'était son vin, et il lui était de toute façon réservé maintenant. Ce qu'il possédait lui était promis, on ne vole pas ce qui nous appartient.
C'est donc l'esprit léger qu'il tenait cette main, et marchait, sans se presser, vers sa ruine. La main, il ne l'avait pas lâchée, et elle non plus d'ailleurs, depuis ce qui devait être une poignée et qui n'avait jamais finie. En tenant cette main, il nespérait rien en réalité, son esprit était bien trop naïf pour cela ... Il lui tenait juste la main, comme un enfant l'aurait fait.
Quelques minutes plus tard, ils furent arrivé devant la ruine. Il se tourna vers elle.
Ce n'est pas reluisant ... Je sais, mais nous devrions vous trouvez une pièce sans vue sur le ciel pour y installer votre chambre. Et puis si on y arrive pas ... Vous dormirez dans la mienne et je resterais sous les étoiles.
Mais rentrons, avant que votre ventre ne refasse des siennes.
Il eut un peu de mal à prendre sa clé dans sa poche, surement du fait qu'il dû se servir de son bras gauche pour la prendre dans sa poche droite, pour ne pas lui lâcher la main. Il ouvrit la porte, et ils entrèrent.
La pièce était plutôt grande, on voyait que le parquet du dessus avait dû un jour exister, mais avait aussi dû sécrouler, on voyait donc la toiture, et la charpente. Quelques trous étaient visibles, ou plutôt, quelques tuiles était visibles, car dans cette première pièce le toit était en très mauvais état. Mais mis à part cela, la pièce ne faisait pas sale. Les meubles était en état de marche.
Il se tourna vers elle, et avec un petit sourire, lui demanda :
Vous êtes sûre que vous ne regretterez pas vos granges et votre foin ?