Cagou59
Cagou réagit à l'intervention de Paquerette.
" Non, Paquerette, ne rentrons pas dans de telles divisions.
Le Très Haut sait pourtant que je ne porte pas le sire Toucoule dans mon estime, mais je ne veux pas croire en sa trahison et je ne veux pas que toutes les forces dont nous disposons se divisent ainsi.
Que nous ayons des désaccords, c'est une chose, que nous ne voyions pas les moyens de parvenir à nos fins du même oeil est également une évidence, mais je pense qu'il ne faut surtout pas nous faire la guerre entre nous.
Les habitants de ce comté, du moins ceux qui s'y investissent, ont tous un objectif commun qui est le bien être de ses habitants.
Que nous ne soyons pas d'accord sur les routes à emprunter de doit pas nous élever les uns contre les autres, ne nous trompons pas d'ennemis.
Jusqu'à preuve du contraire, chaque personne qui tente de se battre pour la collectivité mérite le respect, et je n'accepte pas plus tes suspicions à son égard que les sempiternels reproches qu'il formule à l'encontre du conseil et des personnes qui aident ce comté.
Il faut nous battre contre ceux qui nuisent au comté par leurs actes ou par leur incompétence, pas contre ceux qui n'ont pas les mêmes idées mais le même objectif.
Je t'estime beaucoup pour ton travail et ta franchise, Paquerette, et j'estime très peu le sieur Toucoule qui fait preuve pour moi d'un esprit trop fermé et d'intolérance.
Ne réagissons pas comme nous lui reprochons, acceptons sa façon de faire car je le crois sincère néanmoins dans son attitude.
Ce n'est pas en nous divisant et en se jetant la faute les uns aux autres que nous serons plus forts.
Si certains le font, ce n'est pas une raison pour avoir la faiblesse de les imiter dans ces basses attitudes.
Se tournant ensuite vers Nael:
" J'entends votre cri Dame bourgmestre, et soyez assurée que le conseil, ou du moins la partie de ceux qui font acte de présence et de réaction, tente toutes les actions possibles pour contrer les exactions des gens mal intentionnés.
Vous avez constaté vous même la fourberie de ces gens qui avancent dans l'ombre et qui profitent de bien plus d'avantages que ceux qui sont du côté de l'ordre et de la morale.
Vous n'y pouvez rien et nous non plus, nous devons composer avec ces données en ne pouvant y opposer que notre bonne volonté et le sacrifice de notre temps et de nos forces.
Soyez assurée que tout sera entrepris, comme cela fut le cas à chaque fois qu'un habitant de ce comté a été en danger, dans la mesure de nos possibilités et de nos moyens."
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Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.
" Non, Paquerette, ne rentrons pas dans de telles divisions.
Le Très Haut sait pourtant que je ne porte pas le sire Toucoule dans mon estime, mais je ne veux pas croire en sa trahison et je ne veux pas que toutes les forces dont nous disposons se divisent ainsi.
Que nous ayons des désaccords, c'est une chose, que nous ne voyions pas les moyens de parvenir à nos fins du même oeil est également une évidence, mais je pense qu'il ne faut surtout pas nous faire la guerre entre nous.
Les habitants de ce comté, du moins ceux qui s'y investissent, ont tous un objectif commun qui est le bien être de ses habitants.
Que nous ne soyons pas d'accord sur les routes à emprunter de doit pas nous élever les uns contre les autres, ne nous trompons pas d'ennemis.
Jusqu'à preuve du contraire, chaque personne qui tente de se battre pour la collectivité mérite le respect, et je n'accepte pas plus tes suspicions à son égard que les sempiternels reproches qu'il formule à l'encontre du conseil et des personnes qui aident ce comté.
Il faut nous battre contre ceux qui nuisent au comté par leurs actes ou par leur incompétence, pas contre ceux qui n'ont pas les mêmes idées mais le même objectif.
Je t'estime beaucoup pour ton travail et ta franchise, Paquerette, et j'estime très peu le sieur Toucoule qui fait preuve pour moi d'un esprit trop fermé et d'intolérance.
Ne réagissons pas comme nous lui reprochons, acceptons sa façon de faire car je le crois sincère néanmoins dans son attitude.
Ce n'est pas en nous divisant et en se jetant la faute les uns aux autres que nous serons plus forts.
Si certains le font, ce n'est pas une raison pour avoir la faiblesse de les imiter dans ces basses attitudes.
Se tournant ensuite vers Nael:
" J'entends votre cri Dame bourgmestre, et soyez assurée que le conseil, ou du moins la partie de ceux qui font acte de présence et de réaction, tente toutes les actions possibles pour contrer les exactions des gens mal intentionnés.
Vous avez constaté vous même la fourberie de ces gens qui avancent dans l'ombre et qui profitent de bien plus d'avantages que ceux qui sont du côté de l'ordre et de la morale.
Vous n'y pouvez rien et nous non plus, nous devons composer avec ces données en ne pouvant y opposer que notre bonne volonté et le sacrifice de notre temps et de nos forces.
Soyez assurée que tout sera entrepris, comme cela fut le cas à chaque fois qu'un habitant de ce comté a été en danger, dans la mesure de nos possibilités et de nos moyens."
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Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.