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[RP]Débarquement sur les plages normandes

--Rollon


Juste avant de disparaitre, Rollon entendit le rire "peut-être" gras de celle que certains désignaient comme "peut-être" l'une des responsables des meurtres...
Meurtres ! Il ne pouvait s'agir que de cela !

La guerre est honorable... Le pillage est la raison des traitres et des perfides. Pensa t-il.
Cette femme était "peut-être" une de leur chef et il l'avait repérée avec son rire de "peut-être" sorcière et l'aspect "peut-être" sale et "peut-être" ténébreux.
Elle était "peut-être" grosse, mais peut-être pas et "peut-être" hideuse mais peut-être pas, "peut-être" à l'image des femmes bretonnes.

Rien qu'à l'entendre, il avait la nausée et s'il s'était juré de se venger de ces brigands, il mettait en tête de liste cette méchante dame "peut-être" sorcière ? Dont il apprendrai le nom assez tôt.

Son jet baveux d'idiotie et sa voix "peut-être" acre et "peut-être" nauséabonde lui rappelait les moments qu'il passait à jouer avec des crapauds dans la marre de sa tante.
Il s'amusait à effrayer sa sœur et adorait sa réaction.
Sa sœur...
Ces "peut-être" sales Bretons l'avaient tués alors qu'elle n'avait pas encore atteint sa taille d'adulte.


Cette peut-être dame puante qui rit ! C'est elle !
Se disait-il tout en courant.
C'est elle qui est peut-être responsable !
Je la tuerai peut-être ! Elle et sa famille.
Qu'ils aillent en enfer et que leurs os soient rongés par les diables


Edit de Rollon le "peut-être", pour le plaisir des susceptibles
Arkazhot
[Campement ponantais fin d'apres midi]

La journée s’avançait et l'astre solaire commençait son vertigineux
plongeon dans l'horizon. Une tension palpable régnait dans le camp.
Fidèle a lui même, et de bonne humeur en beaucoup de circonstances,
Arka rédigea un courrier à l'intention de sa compagne, restée en bretagne
pour gérer l'orphelinat :

Citation:

A la plus belle de fleurs de Bretagne et d'ailleurs,

Nous sommes toujours sous les remparts de Rouen ou nous pataugeons un
peu. Il y a quelques jours une armée normande est venu pour tenter de
nous déloger... Les pauvres bougres étaient en sous-nombre
impressionnant... Plus des deux tiers de leur effectif y sont restés. Cela
ressemblait plus à une attaque désespérée guidée par la peur qu'à une
stratégie militaire longuement murie... Alors que je t'écris ces quelques
lignes l'odeur nauséabonde de la mort plane encore sur la plaine. Tres
sincèrement je ne pense pas que Ewen soit pret à voir et sentir cela... Je ne
le souhaite à personne en tout cas.

Je pense constamment à toi, tu es une source de lumière et de réconfort
intarissable en ces temps troublés. J'espère que ce vilain rhume partira
vite et que tu retrouveras vite ta santé infatigable. Adresses aux enfants
ma profonde affection. J'aimerais être à tes cotés le temps d'une soirée
pour rire de la vie et nous enivrer dans l'insouciance.

Il y a parmi les normands, quelques personnes cordiales avec lesquelles
nous avons sympathisé. Bien des autres nous insultent… en même temps
je peux comprendre une certaine rancoeur de leur part. Néanmoins
j'essaie toujours de rester le plus cordial que possible. La fille de Madeline,
la petite de Valendreuse, a installé une taverne et m'a nommé tavernier.
J'en profite pour faire des crêpes et en distribuer à qui veut, normands
comme bretons. J'ai l'espoir qu'un échange de culture serait bénéfique à
nos peuples et permettrait d'envisager un retour à des relations
diplomatiques plus stables… Mais peut être ne suis-je qu'un utopiste ?

Reçois par cette présente lettre, mes plus amoureuses pensées,

Arka


Puis il s'affairait à ranger sa tente en sifflotant... Il retrouva enfin la
dague qu'il avait utilisée à Fécamp pour repousser une sœur qu'il avait
jugée un peu nymphomane... Elle s’était tout simplement glissée sous sa
couverture et Arka la cherchait depuis leur arrivée à Rouen!

Puis pris soudainement d'une envie de changer le quotidien soldatesque, il
se demanda ce qui pourrait être plaisant aux différents soldats
ponantais...

Il retourna la question lors de son bain quotidien dans la plus proche
riviere...

Un porcelet grillé


Outre le fait que cela changerait un peu l'humeur des soldats du ponant,
notre bougre comprit fort bien que les soldats affamés sur les remparts
seraient témoins de l’alléchant spectacle.

Il trouva dans la verte campagne aux abords de Rouen un paysan qui ne
s'encombrait pas de principe, et lui racheta un porcelet...

Un feu fut mis en route, et bientot une odeur de viande grillée s'eleva
dans le ciel...
_________________
Cpt.picard


[Dans la nuit du 27 au 28 septembre
autour de Rouen]


Le vieux capitaine avait reçu ses ordres, il se dirigea donc vers les portes de la ville. Il devait être le plus discret possible, peu de personne connaissaient sa mission et c’est en silence et sans avertir personne qu’il franchit les portes. Devant lui, les feux de camps des armées bretonnes, artésiennes et irlandaises scintillaient dans la nuit. Il entendait les soldats ennemis plaisanter. Le vieux marin réussi sans encombre à passé la première patrouille qu’il avait croisée, mais, il n’eu pas cette chance lorsqu’il rencontra la seconde. Ne pouvant plus reculer, il jeta son sac au sol et sorti son épée avant de se lancer vers l’ennemi. Le capitaine n’eu pas le temps de donner son premier qu’un breton lui assena un coup d’épée, fracassant ainsi son bouclier, les coups suivant furent tous plus violent les uns que les autres, et les bretons, passant sans doute à une nouvelle attaque, étaient très nombreux face à lui. Après seulement quelques minutes de combat, il s’effondra au sol, à la limite de la mort. Et laissé pour mort par les bretons, il ne repris connaissance plus tard dans la nuit. La seule chose qu’il pouvait faire désormais était de tenter de retourner à Rouen. Ce n’est qu’au petit matin que soutenu par sa précieuse canne qui avait survécu ai combat que Jean-Luc se présenta devant les portes. Les gardes l’ayant reconnu, ils l’aidèrent à rentrer et lui donnèrent les premiers soins.

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Bannière confectionnée par Divine de D.E.C.O.
Rowenda
[Journée du 28 Septembre au campement des Pennegs ar Lug]

Le blondinet sortait d'un bain rafraichissant dans la Seine, profitant que la journée soit claire et que les sentinelles avaient une bonne vue sur la plaine environnante, les hommes faisaient relâche. L'ennemi serait repéré de loin et si nécessaire on aurais le temps de s'équiper bien avant qu'ils soient là, comme toutes les armées en campagne ils étaient installés prêt d'un point d'eau, en l'occurrence la Seine. Et si les nuits étaient moites et parfois désagréables a cause des moustiques, au moins avaient ils de l'eau claire a disposition, ressource vitale lors d'une campagne.
Le blond donc revenais de sa toilette quotidienne lorsqu'il entendis les différentes chansons, suivi de la crécelle désagréable a son oreille d'un oiseau étranger. Il rejoint alors Anastriana d'un pas vif pour scruter la plaine et débusquer l'oisillon dans son envol lâche direction Rouen, il regarde le commandeur et lâche.


Rime pauvre mais langage sacrément enrichi, on entend pas autant de jurons par chez nous, dois-je demander aux archers de l'abattre ? Ou d'utiliser une flèche a gibier pour l'assommer, il est largement a portée puisqu'on peux l'entendre si bien.
Enfin, faudrait qu'ils se décident a arrêter d'envoyer leurs femmes et leurs enfants, c'est leurs hommes qu'on est venu combattre après tout.

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"L'ancien forum ou rien !"
Anastriana
Alors que l'on commence à sentir la bonne odeur d'un porcelet qui grille au-dessus de braises rougeoyantes, Rowenda Junior, l'un des nombreux rejetons de Rowenda Sénior, s'empresse de faire ce pour quoi il est là, c'est à dire, protéger le camps, et notamment la duchesse.

"Ils nous envoient des vieillards aussi, Blotus et Criandre ont débusqué un pauvre bougre qui trainait non loin de nos camps. Ils ont cru à un éclaireur, précédant une attaque, ils lui ont pas fait d'cadeaux... Laisse-le donc galoper vers sa ville, on ne tue pas les enfants, tu le sais bien. C'est la règle. Enfin sauf s'ils nous attaquent. Lui il nous a attaqué par des mots, laisse couler, on en fait autant, c'est normal, ça détend... Puis il ira rapporter nos joyeuses chansons à ses compatriotes, ça leur fera plaisir j'en suis sûre! Ils vont enfin comprendre pourquoi qu'ça les brule quand ils pissent! Mwahaha!"

Puis vers Arka.

"Dis donc t'avais pas besoin d'aller l'acheter, tu sais bien qu'on a des réserves pour au moins un mois entier. Moi je me méfie de la viande locale, ils pourraient nous l'empoisonner..."
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Duchesse de Rohan, Dame de Coëtlogon, Chevalier de Tregoat
Nuage
Nuage sortait rarement du campement trop de chose la retenait...Elle courait de tous les côtés...On l'avez prévenu que sa fille avait fait une fugue…. Nuage dormait peu entre la caserne les rondes et maintenant la recherche de sa fille. Elle avait quitté les rues de Rouen pour fait sa garde comme chaque nuit, Laissant des consignent à ses amies que si ils croisaient Natascha qu’ils la ramènent chez son Père...
…………………………………………

Dans la nuit des bruits d'armes la firent sursauter, elle faisait son tour de garde mais là son cœur se serra
Natascha ...non pas elle...

Elle essaya de mieux voir...Se penchant au risque de sa vie au-dessus des remparts...
Les bruits des épées croisées, l’acharnement des cris lui fit monter une angoisse... Puis plus rien un silence de mort….


........

Quand de loin elle vit ramper un homme le pauvre homme pensa-t-elle les gémissements de douleurs remontés à elle

Un soldat vient l'avertir que c'était son ami qui était là gisant...

Ho Cpt je suis désolée pensa Nuage. Il était seul? Il n'y avait pas Natascha?
Le soldat la regardait et fit signe de la tête non... Elle ne pouvait pas rejoindre son ami pour le soigner, dans quelques heures au petit matin quand la relève sera là, elle ira le rejoindre...
Elle vit plusieurs personne prendre en charge Cpt et le porter au campement les femmes de Rouen arrivaient...

Elle reprit son chemin de ronde, elle ne parlait pas...ce soir-là son cœur souffrait sa tête était pleine, la pression des gens sur elle à Rouen, les attaques nocturnes rares mais là quand même... se silence ou de temps en temps remonter les rires les chants des bretons...

Nuage regarda l'horizon ou était le temps où elle promenait la nuit avec lui. Il lui manquait...il n'était pas loin mais leur séparation avait révélé un amour tous neuf...Soli tu me manques.............. avait elle envie de hurler...
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Azarelle..
Alors qu'Azarelle revenait vers le campement en compagnie de Guyzmo, d'Elim et d'Elouen, ils furent attaqués par un individu solitaire.
Ne comprenant pas grand chose à ce qui se passait, ils se défendirent comme un seul homme.
Hélas , leur jeunesse et leur spontanéité n'allégèrent pas leurs coups donnés dans la précipitation des premiers combats. Rapidement, le jeune homme fut grièvement blèssé et déclara forfait.
les adolescents l'empoignèrent et le déposèrent aux pieds des remparts de Rouen, le laissant aux bons soins de ses compatriotes.


Citation:
29-09-2011 04:04 : Vous avez été attaqué par EXXX
29-09-2011 04:04 : Vous avez frappé EXXX. Ce coup l'a probablement tué.

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Blotus1er
au petit matin, blotus fut informé du rapport de la nuit...et cette nuit encore il y avait eu des interceptions... 2 types avaient été pris, et laissés pour mort devant les remparts.

A priori, à Rouen, on cherchait à communiquer, avoir des informations...Des personnes mouraient inutilement et d'autres devaient être responsables de cela.

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Blotus de kerdren /Kastellan de st pol/ Breizh souleur / Clan Gwenn ha du
Maywenn
[ Coté Normand, Fécamp ]


Sur les remparts de la ville, parmi les normands postés là, il y avait une rouergate, Maywenn.

Qu'est ce qu'elle fichait là ?
Au début, elle se posait également cette question, après tout c'était pas vraiment sa guerre, les raisons de cette situation lui échappèrent encore, elle était venue ici pour des vacances, pour l'allégresse des retrouvailles familiales et aussi pour l'ivresse amicale...

Ni normande et encore moins soldat, elle était pourtant là, sur les remparts...

La Normandie l'avait si bien accueillie, elle y avait croisé des personnes attachantes et pour certaines d'entre elles, elle les considéra comme des amis...
Ajoutez à ceci que certains d'entre eux furent blessés par les "brouteurs de choux", ainsi que son grand frère Salim ...
Il était maintenant évident pour notre petite espalionnaise, qu'elle devait apporter sa contribution, même maigre...

Entourée de sa section, la brune observa l'horizon, les sublimes lueurs crépusculaires, cet instant où le temps semble suspendu, un calme si placide, permettant à son esprit de vagabonder...vagabonder vers son Complice...du moins quelques instants, avant que la gravité du moment, reprenne le dessus...


_________________
--M_et_son_grand_bazar
[Campement Breton. Encore un matin..un matin pour rien]

Mais ils sont fous ces normands!

La brune pestait, la nuit où elle fut de garde deux trous du cul avaient encore voulu forcer le passage, cette fois pas de quartier tant pis pour eux, savent pourtant qu'il fait pas bon trainer la nuit au dehors de la ville.
D'un autre côté ça lui permettait de former la gamine qui avait fait le voyage avec elle, elle apprenait même plus vite qu'elle n'aurait pu se l'imaginer, frappant parfois même plus souvent qu'elle, un comble, l'élève allait dépasser le maître.
Bref! Tout ça pour dire que ses nuits elle ne les passait pas à dormir, mais elle se rattrappait en journée, se prélassant au bord de l'eau allongée sous un pommier à profiter de la douceur automnale, même si on se serait cru en été tant à certaines heures la chaleur était accablante.

C'est d'ailleurs depuis cet endroit qu'elle observait le bain quotidien du blondinet qu'elle s'amusait à effrayer dès qu'elle avait l'occasion de le croiser.
C'est qu'il était pas trop mal fouttu, de quoi attiser plus d'un regard, bon il était un peu taillé comme un cure dent, mais il était plaisant à regarder, et puis elle n'avait surtout rien d'autre à faire la journée, fallait bien s'occuper à quelque chose, et jouer les voyeuse n'était pas pour lui déplaire.
C'est ainsi que chaque matin elle prenait place en son lieu favori et se délectait du spectacle qu'il lui offrait à son insu.
En hommage à cette vision elle ne pouvait s'empecher de lui dédier cette ôde.


Citation:
Dans l'eau de la Seine
Il se baignait tout nu
Une saute de vent soudaine
Jeta ses habits dans les nues

En détresse, il me fit signe
Pour le vêtir, d'aller chercher
Des monceaux de feuilles de vigne
Fleurs de lys ou fleurs de pommier

Avec des tiges de lin
Un bout de chemise lui fis
La beau était plutot fin
Une seule tige a suffi

Avec le pampre de la vigne
Un bout de slip lui fis
Mais sa verge était si petite
Qu'une seule feuille a suffi

Il me tendit ses bras, ses lèvres
Comme pour me remercier
Je les pris avec tant de fièvre
Qu'il' fut toute déshabillé

Le jeu dut plaire à l'ingénu
Car, dans la Seine souvent
Il' s'alla baigner tout nu
En priant Dieu qu'il fit du vent
Qu'il fit du vent...
Rowenda
[camp des Pennegs ar lug toujours]

Il avait pu dormir a peu prés tranquillement même s'il s'était souvent réveillé pour attraper son épée en tressautant lorsqu'une branche sèche cassait sous les pas d'un soldat. La nuit avait été un peu agité en fin de compte a se méfier de la possibilité qu'une certaine personne tente d'entrer dans sa tente dans la nuit.
Ce matin pour sa toilette il avait demandé a des gardes de surveiller les alentours au cas ou elle serait encore dans les parages a essayer de l'épier comme elle lui avait dis qu'elle le faisait depuis quelques jours. Il espérait juste que ces saligauds de gardes allaient pas la laisser passer volontairement juste pour s'amuser en le mettant dans l'embarras.

Il sortait de sa baignade matinale, regardant les alentours d'un air légèrement paranoïaque lorsqu'il entendis les soldats qui devaient surveiller les alentours reprendre un étrange chant... Il tend l'oreille pour entendre les paroles et vire rapidement au pivoine se dirigeant vers ses hommes en remettant sa chemise, l'air de mauvaise humeur.


Ah mes salopiots, j'vais vous apprendre moi a chanter ces cochonneries ! D'où vous la sortez c'te ritournelle ?
Et j'vous préviens j'attends des réponses, sinon va y avoir de la sanction, nan mais oh...


Il croise les bras en toisant ses hommes les regardant d'un oeil noir en tapant du pied.
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"L'ancien forum ou rien !"
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