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[RP] Annonces du Grand Duc

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La nouvelle s'était répandu dans la matinée, la veille au soir la Cour de Justice, dernier maillon d'une longue procédure, avait entériné la décision des élus bretons.

Amalric l'apprit au petit matin, après avoir rédigé quelques missives, et tout en pensant qu'il lui en restait encore un bon nombre à écrire dans la journée, il prit rapidement le temps de venir s'exprimer au devant des bretons.
Seul, excepté Gwerig trônant comme à son habitude sur son épaule, il s'adressa donc aux bretons qui déjà devant le chateau rennais se manifestaient suite à l'annonce des portes parole.


Demat deoc'h peuple de Bretagne,

Le choix du Grand Duc étant maintenant effectif puisque le Cromlec’h et la Cour de Justice ont entérinés les votes de vos élus, j’ai l’insigne honneur de m’adresser à vous pour la première fois en tant souverain de la Bretagne.

Mes premières pensées se tournent vers les fiers vannetais, les braves fougerais et les vaillantes rillettes.

Ces bretons qui organisent vaillamment la résistance de nos villes assiégées ou tombées, infiltrant constamment la mairie vannetaise, repoussant les françois sur les murs de Reoz, ou encore organisant la résistance de Felger envahie.
C'est toute la Bretagne qui se bat derrière eux et avec détermination contre l'envahisseur.
C'est toute la Bretagne qui pleure avec moi chaque breton tombé pour son duché, pour la fierté de sa terre, son indépendance et la sauvegarde de l'héritage de notre très Sainte Reyne Nathan.

Je n'oublie bien entendu pas tous les bretons qui, à quelque niveau que ce soit, où qu'ils soient, se mobilisent et organisent la défense de nos terres.
J'encourage d'ailleurs tout les bretons désireux d'apporter leur part à la sauvegarde de la Bretagne à se mobiliser, notamment auprès du prévôt et de la maréchaussée, que ce soit pour la défense de nos villes ainsi que de notre capitale. Que tout à chacun sache que d'un bout à l'autre de la Bretagne, tous les bretons sont solidaires, s'attaquer à un breton c'est encourir la colère de tout un peuple, fier et puissant.

En ces sombres heures que nous traversons, ma première préoccupation n'est pas bien sûr d'engager des actions ou de soutenir des réformes dans notre organisation intérieure, comme tout un chacun, je me pencheras sur ces considérations lorsque des jours meilleurs le permettront.
Dans l'immédiat, il m'apparait évident de focaliser toute mon attention sur la défense de nos terres mais aussi sur le dialogue avec les autorités françoises.

Bretons ! Où que vous soyez, même si vos villes subissent temporairement le joug françois, gardez courage et détermination !
Sachez que désormais, en tant que souverain, je mettrai tout en œuvre pour que soit préservée la fierté bretonne, les valeurs bretonnes et la paix de notre pays.
Pour la Bretagne. Pour Nathan.
Kentoc'h mervel eget bezañ saotret.
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Après une nuit agitée devant les remparts de la capitale, les rapports arrivaient de toute parts, le Grand Duc ne put dormir que quelques heures.
Au petit matin il attendait toujours des nouvelles d'un messager parti la veille sur ces routes bien peu sûres.

Il commença la journée par prendre des nouvelles de ceux qui combattaient à ses côtés, c'est ainsi qu'il appris la blessure de la baronne d'Uzel, qui serait sous peu à nouveau sur pied d'après ce qu'on disait. S'inquiétant du sort d'Alar dont on était sans nouvelles, on lui apprit qu'Imotmizmmm avait reçu de graves blessures.
Se rendant au chevet du vannetais, Amalric apprit de sa bouche qu'avant d'être assaili par les françois il avait porté un coup à celle qui reconnut comme à la tête des françois, la princesse Armoria.

Après avoir passé quelques instants auprès des blessés bretons, Amalric se rendit au chateau rennais afin de s'y exprimer devant la population bretonne.


Bretonnes, bretons,

Cette nuit, les armées françoises ont tentés d'attaquer notre fière capitale, arrivant aussi bien du Sud que du Nord, afin de la prendre en étau.
Les troupes bretonnes des 4 armées stationnées à Roazhon sont sorties à leur rencontre, et ont, sans coup férir, repousé les 10 armées françoises en approche et ce avant même que la maréchaussée de la ville n'ait à intervenir.

Je n'ai encore de chiffres exacts à ma disposition, il est néanmoins d'ores et déjà acquis que les pertes bretonnes sont très faibles.
Du côté françois, d'après les premiers signalements, les pertes ne sont pas immenses mais le coup fut néanmoins plus dur pour les troupes ennemies, qui étaient supérieures en nombre devant Roazhon.

Que tout à chacun sache en ce jour qu'on ne tentes pas impunément de fouller du pied le sol de Roazhon la grande.
Que tout à chacun sache que même si aujourd'hui deux des filles de la Bretagne sont sous le joug et l'occupation de l'envahisseur, la Bretagne ne tombera pas et se dresse fièrement face aux forces ennemies.

Bretonnes, bretons,
Soyez fiers ce jour de la resistance exemplaire de votre capitale.

Bretonnes, bretons,
Soyez sûrs que Roazhon n'oublie pas ses enfants vaillament tombés au combat.
Soyez sûrs que Roazhon n'oublie pas ces bretons qui subissent autour d'elle l'occupation, et qu'elle se dressera toujours fièrement pour préserver les valeurs bretonnes et venger les sévices subis.

Pour Sainte Nathan !
Kentoc'h mervel eget bezañ saotret !
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Une fois de plus les combats avaient fait rage devant Roazhon, Amalric avait passé le reste de la journée à recevoir, écrire, contacter, faire le point, discuter.
La nuit à venir s'annonçait plus tranquille, les bretons pourraient panser leurs plaies et refaire leurs forces.

Il n'avait pas encore eu le temps de s'enquérir de l'état de santé de plusieurs bretons tombés aux combats, notamment du Dug ou encore de Dudze, tous deux tombés sous les yeux d'Amalric. Se promettant de prendre le temps d'aller à l'infirmerie par la suite, il s'adressa aux bretons.


Peuple de Bretagne,

Cette nuit encore le bruit des armes a retentit sous les murs de Roazhon.
Cette nuit encore les glorieuses armées bretonnes ont repoussées 10 armées françoises sans que celles ci ne puissent s'installer devant la capitale.

Cette nuit encore, hélas, le sang breton fut versé.
Si après un premier bilan rapide, nos pertes sont plus élevés que la veille, elles restent relativement faible, en particulier par rapport au nombre des assaillants.
De plus beaucoup de bretons se remettent de leurs blessures et reprennent avec vaillance et courage leurs armes en mains, d'autres arrivent toujours sur Roazhon, gonflant les rangs de nos armées.

J'invite une fois encore tous les bretons présents sur Rennes à rejoindre les armées en place dans la ville et à participer ainsi à la défense de notre pays.
C'est en montrant notre détermination face aux envahisseurs, et en opposant toujours plus de bretons à la défense de notre capitale que nous repousseront les françois de nos terres.

Pour Breizh !
Plutôt la mort que la souillure !
---fromFRAnonymous
Les Héraults du Duc de Brocéliande, aidés des Héraults de Bretagne parcourent sans relâche le terrain, les villages, les villes et les plus petits hameaux afin de porter cette grande nouvelle…
les courageux et infatigables héraults de Breizh a écrit:
Oyez ! Oyez !
Bretonnes, bretons,

Le Grand Duc Amalric36, notre souverain depuis peu, sera couronné le mercredi 4 Juin prochain, jour de la Sainte Nathan, en la Cathédrale de Rennes par Monseigneur Clodeweck, Primat de Bretagne.

En ce jour que nous souhaitons tous, malgré les circonstances, être un jour de joie et d’espoir, tous les bretons sont chaleureusement invités à participer à cette cérémonie et à célébrer dignement cet évènement, début d’une nouvelle ère.
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Il tourne et retourne dans sa tête la façon dont il va rédiger sa missive.
Il veut qu’elle soit à la fois une réponse à celle que Messire Adkan lui a envoyée et également une lettre adressée à tous les bretons, à qui il se doit d’être proche et attentif.
Mais finalement, il se dit que point n’est besoin de réfléchir et que les bretons, ainsi que Messire Adkan, méritent ce qui vient du cœur et non pas le résultat d’une réflexion politique ciblée, qui n’a pas lieu d’être dans ce message à son peuple, peu intéressé par la politique, mais plutôt par son quotidien.
Alors, il s’installe à son bureau et écrit rapidement, sans réfléchir, car ses propos viennent de son amour pour les bretons et pas d’une quelconque stratégie.


Chers bretonnes, chers bretons,

Je vous ai fait part dès mon élection de mon soutien et de mes encouragements dans cette guerre qui nous atteint tous.
En ce jour, je vous remercie encore et après avoir attendu, mais en vain, que vos dirigeants ducaux fassent un pas vers vous, c’est à nouveau votre souverain qui le fait.

Mon idée c’est vous assurer de mon soutien moral et physique en cette période si troublée.
Mon but, celui de vous affirmer une fois de plus que je suis aussi proche de vous que votre voisin ou ami le plus cher et à votre écoute.
Mon ambition, celle de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que la Bretagne retrouve enfin la paix que tous les bretons souhaitent ardemment.
Mon souhait, que vous soyez persuadés que même du haut de mon trône, je suis d’abord et avant tout un breton comme vous, qui subit toutes les affres de cette guerre longue, coûteuse et usante.

Chaque jour je reçois la liste des personnes touchées par ce conflit, morts, blessés ou démunis.
Chaque jour, je vois que je les connais à peu près tous et ma tristesse est infinie devant le chagrin de perdre un membre de sa famille, un ami, un proche.
Je voudrais assurer chacun de ma profonde solidarité aux victimes, à leur famille, à leurs amis.
Je remercie d’ailleurs chacun d’entre vous pour son sens civique et la façon dont tous les bretons se sont sentis concernés par l’appel à la défense que ce soit dans les armées ou à la maréchaussée.

Je demande régulièrement des états des besoins en nourriture auprès des villages et j’essaie de faire en sorte, avec ce qui est en mon pouvoir, que le moins de bretons possible ne souffre de la pénurie engendrée par la guerre.
Ce n’est pas facile, car nos artisans et paysans sont presque tous à la défense de notre Duché.
Mais le Conseil ducal et les maires essaient de faire leur possible pour pallier les diverses pénuries.

Les opportunités de reprendre les négociations, ce que j’avais tenté de faire accepter par la GMF Armoria, se sont malheureusement trouvées en attente, puisque celle-ci a été grièvement blessée par nos armées.
Je n’en abandonne par pour autant l’idée.

Sur le terrain, nos stratèges évaluent d’heure en heure les opportunités à envisager ou les manoeuvres à ne pas faire, avec les éléments fournis de tous côtés.
Bien évidemment le Duc est à leur tête et tranche sur les actions à mener, il ne faut pas oublier qu’il est lui seul chef des armées et décideur de leurs actions.
Pour ma part, je ne peux que donner un avis ou un argument exploitable lors de sa décision, ce que je ne manque pas de faire.

Depuis le début de cette reprise de la guerre, à laquelle je n’étais pas favorable, je suis engagé militairement dans la défense de notre pays ainsi que tous les bretons.
La guerre n’épargne personne, grands ou petits et comme tous ma vie est mise au service de la défense de la Bretagne.
Elle peut m’être prise et comme vous tous je peux être blessé, comme l’a été le Duc Elfyn, le Chambellan Archimbaud ou notre ex Reyne Evenice.
Pour autant, je reste confiant dans l’achèvement de ce conflit qui semble sans fin.

Après la guerre viendra le temps des comptes, moraux ou financiers, soyez en sûrs.
Un dossier est déjà ouvert à la Cour de Justice mais ce ne sera certainement pas le seul.

Bretonnes, bretons, sachez que régner en commençant par une guerre n’est pas chose aisée, mais que j’ai accepté cette charge avec l’espoir de faire en sorte qu’elle ne tue pas notre pays en tuant ses enfants.
Je sais que mon peuple souffre et se sent abandonné en voyant tomber nos villes, nos mines tout autant que les hommes.
Je sais que les mots ne feront pas revenir ceux qui ont laissé leur vie pour défendre notre devise et notre terre.
Mais je m’engage devant vous aujourd’hui à ce que ne soient jamais oubliés ceux qui ont donné leur vie, à honorer ceux qui restent et que nos enfants gardent en mémoire que leurs proches « y étaient ».

Bretonnes, bretons, je suis fier de vous, fier d’être breton et fier de mon pays.
Bretonnes, bretons, permettez à votre souverain qu’en ce jour ce soit lui qui s’incline devant vous pour vous saluer respectueusement.
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En ce jour de célébration de la très vénérée et sainte Nathan, Amalric tient à nouveau faire passer aux bretons les sentiments qu’il éprouve dans les graves moments que vit la Bretagne.
Quittant quelques heures son armure, le Grand Duc alla d’abord se recueillir dans la Chapelle du Château afin de penser au message qu’il va leur adresser, puis se rend dans son bureau pour préparer la missive à afficher dans les neuf villes du Pays.


Citation:
Chers bretonnes, chers bretons,

C’est à vous tous que je m’adresse aujourd’hui en pensant à notre Reyne Nathan.
Que vous soyez à Fougères, à Vannes, Nantes ou Saint Pol de Léon, que vous soyez dans les autres villages qui ont souffert de l’invasion françoise ou épargnés, où que vous soyez ailleurs qu’en Bretagne, en ce jour vous êtes tous présents dans mon cœur car je sais que vous souffrez.

Ce jour de célébration de notre Sainte Reyne est encore une fois l’occasion de nous rappeler que la Bretagne a toujours été et est encore une force vive, une force composée de tous les bretons.
Cette force vive est capable de donner sa vie et tout ce qu’elle possède pour défendre ce en quoi elle croit, pour défendre ses valeurs et ceux qu’elle aime.

Depuis mon élection, je dis et répète que la Bretagne est une force dont je suis fier, qui a prouvé et prouve encore qu’elle était capable de se battre contre beaucoup plus fort qu’elle.
Et pourtant, il ne faut pas oublier, tout particulièrement en ce jour que la paix est une des valeurs fondamentales que Nathan, dans sa sagesse nous a inculquée.
Chaque breton doit pouvoir vivre sans appréhender le lendemain et les listes de blessés ou de morts dans chaque famille.

Je remercie encore une fois, car ce n’est jamais assez, les combattants des armées qui sont sur la brèche, mes pensées se tournent bien évidemment vers les défenseurs bretons et les blessés.
De mon côté je continue à essayer d’œuvrer pour cette paix tant souhaitée maintenant.
Mais ce n’est pas en trois mots qu’un résultat verra le jour.
Pourtant je garde bon espoir pour que très bientôt, Bretagne se réveille sous un ciel plus clément, loin du bruit des armes, loin des cris des blessés, loin des râles des mourants, loin des pleurs des familles.

Pour finir, en souhaitant qu’Aristote et notre bonne Reyne Nathan continuent de nous protéger, que les bretons gardent espoir, le jour où Bretagne baissera la tête n’est pas encore venu et loin s’en faut.
J’ai foi en vous tous et je suis fier de vous tous.

Kentoc'h Mervel Eget Bezañ Saotret !
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Le Grand Duc avait passé ces derniers jours à travailler, négocier, pinailler et tenter de convaincre tout à chacun des avantages que tous avaient à une solution au conflit actuel pendant qu'il en était temps.

Néanmoins le Duc Ascoli, bien que maladroit dans ces décisions, était lui aussi pour beaucoup dans l'accord finalement passé et qu'Amalric allait annoncer aux bretons, et il espérait qu'aucun breton ne l'oublierait.


Bretonnes ! Bretons !

Que ce jour reste gravé dans nos mémoires à tous, il marque un tournant dans un conflit qui dure depuis bien trop longtemps et qui pèse sur chaque breton, qu'il soit défenseur de Roazhon, habitant de Felger sous le joug françois, ou encore soldat éloigné de ses terres et des siens.

Ce jour, une solution est apportée aux principales préoccupations de chacun, l'avenir de nos terres, le sort de Felger, mais aussi la tenue de négociations visant à établir une paix durable.

Aux grands discours je préfère donc vous laisser la lecture de la trêve signée ce soir même par le Duc Ascoli et moi même.

Que chaque breton prie et fasse tout ce qui est en son pouvoir pour le respect de ce texte, et l'espoir qu'il débouche sur la fin d'un conflit qui s'éternise.

Citation:
Protocole d'accord de retrait des troupes et de cessation des combats

Il est entendu les faits suivants entre les deux parties, à savoir le Grand Duché de Bretagne, représenté par le Grand Duc Amalric de Brocéliande et le Duc Ascoli, et la Couronne, représentée par le Grand Maître de France la Princesse Armoria de Mortain et le Connétable de France Enguerrand de Lazare.

Que d'une part trêve est accordée de façon bilatérale sans limite de temps.
Cette trêve concerne toutes les forces armées engagées entre les deux parties, chacune d'entre elles s'engageant solennellement à ne pas effectuer d'action de guerre à l'encontre de l'autre.

Que par ailleurs les soldats bretons blessés ou capturés à Orléans seront considérés comme prisonniers de guerre et seront par conséquent non soumis aux éventuels procès en rapport avec leur occupation de la ville d'Orléans et de son duché, à condition qu'ils ne portent nulle arme sur eux et qu'ils s'engagent à quitter le Duché et le Domaine Royal dès lors que leurs blessures le leur permettront (fin de l'immobilisation IG). Cette date de départ devra être signalée par tous les bretons concernés par écrit au Prévôt Orléannais.
Les procès engagés contre les soldats bretons actuellement à Orléans, en relation avec l'occupation de la ville et du Duché seront annulés.

Que d'autre part il est convenu un retrait des troupes de la zone de conflit, suivant le calendrier suivant.

Lundi 28 juillet 1456 :
    Retrait des troupes bretonnes, à savoir l'armée be'ch, la relève dirigée par Yyrkoon, l'armée Breizh commandée par Giwdull et l'armée l'armée Montfort commandée par Necrobouffon de devant les murs d'Alençon et positionnement de celles-ci devant les murs du Mans.
    Retrait de l'armée Licorne de devant les murs de Fougères en direction d'Avranches.


Mardi 29 juillet 1456 :
    Retrait des troupes bretonnes sus citées de la ville du Mans vers la ville de la Fleche.
    Passage de la Ville de Fougères en Ville Franche par l'armée de Cir@mor.
    Sortie hors des murs de la ville de Fougères de l'armée de Cir@mor.
    Engagement de la part des habitants et présents à Fougères de ne pas engager de révolte à l'intérieur de la ville.


Mercredi 30 juillet 1456 :
    Poursuite du retrait des armées bretonnes de la Fleche vers la Bretagne.
    Retrait des troupes françaises de la ville de Fougères vers Avranches et Laval.



Jeudi 31 juillet 1456 :
    Une armée bretonne vide de tout soldat hormis son chef d'armée viendra prendre place aux portes de la ville de Fougères.


Vendredi 1er août 1456 :
    entrée de l'armée bretonne dans Fougères et retour de la ville sous autorité bretonne le lendemain.


Les négociations concernant la fin de la guerre commenceront entre les représentants des deux parties dès le lendemain samedi 2 Août.

Nul retard dans la mise en œuvre de ce plan de retrait ne saura être toléré sans que l'autre partie en ait été avisée.

Durant toute la durée des négociations aucune autre armée ne se présentera aux portes de la ville de Fougères que que l'armée bretonne de rattachement.

Les mouvements de troupes dans chacun des deux camps sont autorisés dès lors qu'ils n'entravent pas le mouvement de retrait des troupes concernées par cet accord et que communication en est faite vers l'autre partie.

Pour la Couronne,
Armoria de Mortain, Grand Maître de France


Enguerrand de Lazare, Connétable de France


Pour le Grand Duché de Bretagne,
Amalric de Brocéliande, Grand Duc de Bretagne


Ascoli, Duc de Bretagne

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Très pris par les négociations à préparer, Amalric n’avait pas eu le temps d’écrire une longue missive aux bretons, mais en ce jour de célébration de la Sainte Nathan, il tenait à leur adresser quelques mots simples mais qui lui viennent du cœur.

Citation:
Bretonnes, bretons,

La trêve que nous connaissons désormais me laisse l’esprit plus libre et plus tranquille pour d’abord vous remercier tous, civils et militaires, pour votre engagement dans les armées.
Merci pour la motivation et les heures passées à défendre notre Duché.
Merci pour avoir suivi vos meneurs et tous les Chefs d’armée qui se sont succédé.
Merci à nos alliés qui se sont joints à nous dans cette reprise de la guerre et nous ont suivis.
Merci aux familles de ceux qui ont été touchés, blessés ou morts, et avec lesquelles je me sens solidaire.
Merci à tous ceux qui ont aidé à la bonne marche des armées à quelque niveau que ce soit, du simple soldat au plus haut gradé, en passant par toutes les charges qui permettaient le bon fonctionnement de celles-ci

Que ce jour de Sainte Nathan soit une date heureuse et place notre pays sous de bons auspices pour les négociations qui vont s’ouvrir demain avec la france.
Cet arrêt des combats est un premier pas, nous espérons que le résultat sera à la hauteur de nos espérances.
Je conduirai moi-même la délégation bretonne et serai accompagné du Duc Ascoli, du Capitaine Maf1978, du Dagsit qu’il n’est pas besoin de présenter et de Monseigneur Clodeweck, Primat de Bretagne.

Vous serez informés au jour le jour de l’avancée de ces négociations et un endroit sera réservé à tous pour que vous puissiez adresser remarques, questions et tout ce qui vous semblera utile à la poursuite de celles-ci
Je ne doute pas que chacun d’entre vous aura à cœur de suivre l’évènement qui va préparer l’avenir de notre pays.

C’est avec l’espoir que celui-ci soit l’aube d’une nouvelle ère pour la Bretagne, qui montrera une fois de plus s’il en était besoin que nos valeurs sont toujours fortes, notre motivation toujours égale, notre amour pour notre pays toujours vivant.

Que chacun d’entre vous ait en ce jour une pensée pour notre Sainte Reyne Nathan, symbole breton et protectrice de notre Duché, comme je l’ai moi-même.

Kentoc’h mervel eget bezan saotret.

Roazhon d'ar Mec'hrer 6 a viz Eost 1456

Amalric de Brocéliande
Dug meur Breizh.
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Citation:
Nous, Amalric de Brocéliande, Grand Duc de Bretagne, estimons qu'il est de notre devoir de réguler la noblesse bretonne et d'assurer le maintien de ses valeurs et devoirs, et nous jugeons le moment, les récents combats prenants fin, même si la paix n'est pas encore au seuil de notre porte, opportun pour ce faire.

Ainsi, nous invitons la haute noblesse bretonne, Ducs et Marquis, à venir en notre cour répondre de la tenue de leurs fiefs,vassaux, et personne. Nous attendons de même l'ensemble de nos vassaux directs, ayant fief en le domaine grand ducal, a répondre de la gestion desdits fiefs et de leurs devoirs.

E Roazhon,
D'ar Yaou 14 a viz Eost 1456
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Les négociations du Mont Saint Michel se traînant lamentablement en longueur, il a le mal du pays.
Pendant une des innombrables pauses des intervenants françois, il laisse un moment ses accompagnants et se retire dans un bureau attenant, mis à leur disposition par la GMF Armoria.
La pièce est minuscule et le mobilier rudimentaire, d’aucuns diraient que c’est pour faire croire que la France est pauvre et rogne sur tout, mais ce seraient des mauvaises langues pour sûr.
Comme c'est le jour de célébration de la Sainte Nathan, il trouve que ce discours aura une valeur symbolique plus forte.
Il s’installe donc devant la table légèrement bancale, comme ces négociations pense t il, et se met à écrire aux bretons un message qu’il fait envoyer ensuite pour placarder dans tout le pays.


Citation:
Mes très chers bretonnes et bretons,

C’est du Mont Saint Michel que je vous écris et c’est avec beaucoup de nostalgie que je pense à vous tous.
En effet, en ce jour de célébration de notre Sainte Nathan, je ne serai pas auprès de vous pour la fêter, mais c'est pour le bien être de tous que je suis loin et souhaite qu'avec sa bienveillance légendaire, elle me soutienne dans les discussions.

En effet, les négociations se poursuivent très très lentement et même si je me doutais que tout ne serait pas bouclé en deux jours, il est évident que l’avance est très laborieuse.

Le point positif acquis depuis le début de ces débats est que le nœud situé entre Fougères et Laval est rattaché à nouveau à la Bretagne.
Pour le reste des sujets abordés, je vous passe la façon que la france a eu de noyer les vrais problèmes en nous ressassant toujours les mêmes choses « vous avez été attaquants », et en occultant le nombre de fois où nous n’avons été que défenseurs.

Toutefois, une proposition concrète de la Bretagne avait été faite par Myrlin, notre inestimable juriste et historien.
Celle-ci assurerait notre indépendance et la coopération Bretagne/France.
De son côté la GMF, Dame Armoria avait fait une proposition de faire de la Bretagne une Principauté.

Depuis quelques jours, il semblerait que nous avancions un peu puisque les françois soient d'accord sur l'idée de reconnaitre notre indépendance, nous en sommes donc à réfléchir sur l'établissement du traité et des coopérations que nous pouvons envisager, que ce soit au niveau judiciaire, commercial et autres, ainsi que des garanties dont nous voulons entourer cette paix, dans l'espoir qu'elle perdure.

Maintenant que le processus des négociations est engagé, je prends le temps de venir à nouveau remercier tous les soldats, bretons ou non, pour leur engagement envers la Bretagne.
Une pensée particulière va à ceux qui étaient toujours bloqués à Orléans, mais qui maintenant sont sur le chemin du retour.

Je comprends tout à fait la détresse qu'a provoqué l’éloignement et cette impression d’être abandonnés.
Mais la trêve installée permet que chacun reprenne les forces nécessaires au retour vers la Bretagne, que j'espère sans encombres suivant l'assurance du Connétable de france.

J’espère que chacun comprendra l’importance de cette trêve pour notre Duché, qui doit aussi se relever des effets de la guerre et qu’il serait mal venu qu’elle ne soit pas respectée, obligeant alors les gouvernants à les considérer comme traitres à la Bretagne, du fait de la compromissions des négociations.

Toutefois, je tiens à rappeler, et m’y engage, que quels que soient les torts reconnus dans les procès faits à l’encontre de ceux qui ont combattus pour notre cause, les condamnés seront dédommagés par la Bretagne.

Sachez, bretonnes et bretons, peuple bien aimé, que tout est mis en œuvre pour que cette trêve se termine par un résultat conforme à nos aspirations qui nous permettra de vivre ainsi que nos enfants enfin comme nous le souhaitons, libres et en paix.

Qu’Aristote veille sur chacun d’entre vous et que notre devise continue de briller ardemment en éblouissant ceux qui nous envie.
Et enfin que Nathan soit toujours présente à notre esprit comme l'exemple de l'unité bretonne.

E Menez Mikael ar Mor,
D'ar Mec'hrer 3 a viz Gwengolo 1456

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Citation:
Bretonnes, Bretons, mon peuple bien aimé,

En ce jour de célébration de notre Sainte Nathan, c’est toujours avec beaucoup d’espoir que je viens vers vous, certain qu’elle veille sur nous avec sa tendresse coutumière.

En effet, il semblerait qu’après des débats parfois houleux, longs, difficiles et souvent avec une issue incertaine, les négociations du Mont Saint Michel touchent à leur fin.
En résumé, la France est sur le point de reconnaître l’indépendance de la Bretagne et d’accepter de traiter d’égal à égal avec moi, en tant que Grand Duc.
C’est donc une avancée indéniable dans le processus des négociations et que jusqu’à présent nous n’avions pas connue.

Il y a bien eu quelques soucis inquiétants du côté de la frontière poitevine, mais grâce à Aristote, tout est rentré dans l’ordre sans trop de heurts et c’est rassurant.
Pour autant, nous avons préféré assurer la sécurité de notre frontière sud car il vaut mieux prévenir que guérir.
En tout état de cause, seraient condamnées de la façon la plus vive toutes les actions de bretons pouvant porter préjudice au déroulement des négociations et allant à l’encontre de la paix avec nos voisins.

A l’occasion du passage de Monseigneur Poltau en Bretagne, Monseigneur Clodeweck, notre Primat, a organisé un Tro Breiz dont vous trouverez l’itinéraire un peu partout.
Vous savez que tout breton devrait faire ce pèlerinage au moins une fois dans l’année.
Je participerai moi-même à celui-ci et j’ai quitté l’armée de défense de la frontière sud pour cela, les devoirs de ma charge en plus de ma foi aristotélicienne imposant ma présence à ce Tro.Breizh.

Comme vous le voyez, nous vivons une période relativement calme et espérons que ceci perdurera.
En tout cas je m’y emploie pour le bien être de tous.

Et c’est pourquoi en cette Sainte Nathan, je pris de tout mon cœur pour que tout se déroule selon mes vœux et vous souhaite peuple bien aimé de trouver la paix et la sérénité que vous avez tous tellement méritées.

Kentoc’h mervel eget bezan saotret

Amalric de Brocéliande,
Dug Meur Breizh
pnj
Citation:
Bretonnes, bretons,

Qu'il soit su de tous en Bretagne, que concernant le recours porté devant le Grand Duc de Bretagne concernant l'affaire RA/19 "Elvis de Châteaubriant contre le Grand Duché" toute personne, ou institution, estimant avoir droit à la parole au sein dudit recours, que ce soit pour se défendre, pour apporter de nouveaux éléments ou autres, est invité à le faire par missive à l'intention du Grand Duc Amalric36, et ceci dans un délai de quatre jours à compter d'aujourd'hui.

E Roazhon,
D'ar Yaou 23 a viz Here 1456.
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Après des mois de négociations, pour une fois, celles ci étaient fructueuses, Myrlin et Amalric avait attendu jusqu'aux derniers moments, réussit à négocier un accord sans précédent autant en Bretagne que dans toute l'Europe, et patienté des jours durant avant une signature finale, enfin ce jour était arrivé ...

Citation:
Demat deoc'h bretonnes et bretons,

Réjouissez vous en ce jour de paix, car oui, enfin, après des mois, et même des années, de guerre contre notre voisin français, nous sommes venus aujourd'hui à bout de ce conflit.

Le traité du Mont Saint Michel, signé ce jour, est une avancée sans précédent dans notre histoire, parachevant l'oeuvre commencée il y a longtemps par la volonté de nombre de bretons illustres, au premier rang desquels notre Sainte Reyne Nathan.

En effet, pour la première fois de notre histoire, la couronne française renonce clairement à ses prétentions sur le territoire breton, pour la première fois elle reconnait clairement notre pleine indépendance, pour la première fois, elle traite avec nous en tous points d'égal à égal.
En outre, ce traité assure entre nos deux pays une coopération dans un certain nombre de domaines, aussi bien défensifs que judiciaires ou autres encore, et une communication constante afin de ne pas répéter les erreurs du passé.

Ce traité à été signé par la couronne française, au nom de l'ensemble du Domaine Royal, ainsi que par un certain nombre de provinces françoises, nombre qui pourra d'ailleurs s'accroitre encore par la suite, nous assurant ainsi une paix durable avec l'ensemble de la France, qui sans la couronne et ses principaux vassaux n'a jamais montré d'animosité à notre encontre et n'en aurait d'ailleurs pas les moyens.

A partir de ce jour nul, dans toute l'Europe ne pourra plus contester l'indépendance, l'intégrité, la force et la grandeur de la Bretagne.

Kentoc’h mervel eget bezan saotret.
Amalric de Brocéliande,
Dug Meur Breizh.
pnj
En ce nouveau jour de célébration de la Sainte Nathan, Amalric se rendit compte de la vitesse du temps qui passe.
Déjà de nombreux mois qu’il avait accédé à la charge de Grand Duc et pourtant il lui semblait que c’était hier, au vu tout ce qui s’était passé depuis.
Comme à son habitude, il prépara un petit discours à placarder l’attention de son peuple, malgré le fait que la plus importante nouvelle ait été diffusée deux jours avant concernant le Traité de paix avec la france.


Citation:
Demat deoc'h bretonnes et bretons,

Voici à nouveau un jour de fête pour nous tous, celui de la célébration de notre Sainte Reyne Nathan.
Jour de fête mais aussi de ferveur et de remerciement car elle serait fière de voir que les négociations ont enfin abouties à force de ténacité.

Ce traité de paix réciproque est une grande avancée pour la Bretagne.
Je sais qu’il a été chèrement payé que ce soit par la mort de nombreux bretons que nous n’oublions pas et par les efforts de guerre que notre Duché a assumés.
Pourtant, nous souhaitons maintenant qu’avec ce traité, nous puissions reconstruire un Duché stable et fécond.

Que cette grande nouvelle ne nous fasse pas oublier le quotidien.
La nouvelle Constitution a été adoptée et partant de là, j’ai souhaité ouvrir des postes de délégation de mon pouvoir afin que divers secteurs soient plus efficacement menés.

C’est pour ces motifs que j’ai nommé Dame Roxadana, dont il est inutile de donner les qualités de juriste émérite et de franc parler, comme commissaire rapporteur à la Cour de Justice.

Pour parler encore de la Justice, la nouvelle Institution de la Chancellerie, qui aura comme rôle de reconnaître aux coutumes leur caractère officiel en les formulant et en les enregistrant, a ouvert ses portes et est déjà à pied d’œuvre.
D’ailleurs, j’engage vivement les bretons qui prétendent au titre d’avocat ou de jurisconsulte à y faire leur demande pour que soit reconnus leur titre.

Pour continuer dans les délégations, suite au départ de Dame Giwdull de son Poste de Maréchale, que je remercie pour les services rendus, j’ai nommé Messire Nilas à cette charge, car il me paraissait tout à fait convenir.
En effet, du fait que désormais celles-ci sont sous ma tutelle, comme il a une grande connaissance des armées privées, il sera mon représentant dans les relations avec elles afin de mieux les encadrer et qu'elles restent dans les limites légales, toujours pour le bien de la Bretagne.

Autre grande nouveauté, le Parlement, auquel tous les citoyens bretons peuvent participer, donner un avis et voter.
Il a également ouvert ses portes et de nombreux sujets y sont déjà traités.
Afin de canaliser les interventions et faire la synthèse de ce qui en sortira, j’ai nommé Messire Archimbaud comme Président.
Inutile également de donner toutes les qualités de ce dernier, il a déjà fait ses preuves dans bien des domaines.
Ce Parlement est une grande première aussi puisque chaque citoyen peut y venir librement et donner son avis, alors profitez en, c’est le moment d’y courir.

Enfin, notre Cromlec’h est un peu moribond, c’est un fait, aussi un projet de réforme est en cours avec Fulbert et Myrlin et devrait intervenir assez rapidement pour faciliter l’ouverture des maisons.
En attendant, j’ai tout de même nommé Fulbert Intendant du Cromlec’h, à charge pour lui de réguler les actions des clans dans cette Institution.

Comme vous le voyez, la Bretagne bouge et j’espère que c’est dans le bon sens.
Tout est mis en œuvre pour que chaque bretonne, chaque breton ait sa part de responsabilité dans la gestion de notre pays et se sente concerné.
En tout cas c’est mon but et mon souhait le plus cher.

Qu’Aristote et Nathan protègent la Bretagne comme ils l’ont toujours fait.
Kentoc’h mervel eget bezan saotret.
Il ne me reste donc plus qu'a vous souhaiter à tous un joyeux non anniversaire.

Amalric de Brocéliande,
Dug Meur Breizh

pnj
Citation:
Son Altesse Grand-ducale dans un sérénissime élan de justice déclare dans son infinie sagesse :

Après avoir posé mes posé nos yeux étincelants sur la décision de la Cour de Justice sur le recours Elvis contre le Grand Duché et retenu que les magistrats ont failli à leur tâche en ne recevant pas chacune des personnes qu'ils ont finalement condamné, s'opposant ainsi aux droits sacrés de la défense;

Que la Cour a manqué à ses devoirs en ne cherchant pas réellement à évaluer les répercussions financières de la décision de reprendre la guerre sur notre économie aujourd'hui morose;

Que la Cour a manqué à ses obligations en ne respectant pas les délais légaux, je prend à ce propos ma part de responsabilité pour avoir suspendu le recours visé lorsque j'étais encore président de la Cour;

Qu'il apparaît au final que la responsabilité du conseil ducal aurait pu être établie de façon plus sérieuse et plus éloquente quant à son manque de préparation sur la reprise de la guerre;

Décide avec force et fracas que :
-La décision de la Cour est brisée
-Le conseil ducal de l'époque doit néanmoins effectuer la repentance prévue car sa responsabilité est plus qu'avérée
-Le conseil ducal de l'époque devra en outre faire un pèlerinage sur la tombe de Sainte Nathan pour se souvenir que le propre de la Bretagne est de chérir sa terre et non de ravager celle des autres
-Les juges de la Cour de Justice ayant statué devront quant à eux s'excuser publiquement de leur mauvaise décision et devront se rendre sur la tombe de Saint Jarkov, voisine de celle de Sainte Nathan, pour y réfléchir et croiser par le plus fortuits des hasards ceux qu'ils ont condamné
-Les juges de la Cour de Justice devront en outre s'excuser du retard pris dans cette affaire, excuses auxquelles nous nous joindrons dans notre grande bonté pour assumer notre part de responsabilité.

D'ar Sul 9 a viz Du 1456


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