--L_assassin
L'Assassin voyant que sa cible lui proposait une fenêtre de tir dans un mouvement corporel digne d'une offrande qu'on ne saurait refuser, arrêta son choix.
L'acier n'était définitivement pas le meilleur moyen de commettre son forfait avec tout ce monde en présence ... Il ne serait probablement pas sorti du tribunal avant que sa victime aie touché le sol.
Il se décida pour une mort moins suspecte mais tout autant en douleur.
S'avançant vers sa prochaine forfaiture, il s'affairait discrètement sous son grand mantel. Un mauvais mouvement et il mourrait instantanément.
Il attrapa une aiguille par l'extrémité la plus proche de la sortie de sa pochette. En la tenant ainsi, il ne laisserait pas la muscarine qu'il utilisait pour ses victimes lui retourner les boyaux.
Puis il inséra l'aiguille dans un petit tuyau de bois, s'assura de la prise à l'intérieur et continua à s'approcher à distance de jet.
Les choses semblaient un peu figées heureusement Raul, Barramine et Greewarrior se donnaient en spectacle à quelques longueurs de banc de lui, prêts à se mettre sur la trombine ... Une échauffourée .... Le moment idéal pour frapper ...
Ils étaient la la main sur la garde, ou l'épée plantée dans un banc, les cordes vocales tendues, le fiel jaillissant par tout leurs orifices faciaux.
Quand la tension fut à son comble, il porta sa petite sarbacane à sa bouche, puis dissimulé sous sa capuche, feint d'éternuer permettant ainsi d'expulser en toute discrétion son projectile empoisonné.
Brisant le petit tuyau de bois et dispersant les morceaux sur le sol, l'Assassin passa devant quelques personnes assises, puis se dirigea vers le banc près de la sortie.
Il s'assit un petit sourire sadique sur les lèvres et regarda Macricri chanceler ....
L'aiguille de la vengeance avait probablement touché sa cible ... Il ne restait plus à l'Assassin que d'attendre qu'elle s'effondre ... Les premiers spasmes musculaires devaient bientôt faire leur apparition, laissant place à l'écume rageuse d'une contraction mandibulaire.
Avec la muscarine et sans un médicastre savamment instruit, dans quelques heures la Comtesse ne serait plus et il pourrait aller couler quelques jours tranquille aux frais de son illustre employeur ....
Maintenant que ceci était réglé, il lui allait falloir attendre qu'ils l'emmènent pour pouvoir lui délivrer son message et ou .... finir sa tâche proprement au calme, dans un torrent de vermeil ....
L'acier n'était définitivement pas le meilleur moyen de commettre son forfait avec tout ce monde en présence ... Il ne serait probablement pas sorti du tribunal avant que sa victime aie touché le sol.
Il se décida pour une mort moins suspecte mais tout autant en douleur.
S'avançant vers sa prochaine forfaiture, il s'affairait discrètement sous son grand mantel. Un mauvais mouvement et il mourrait instantanément.
Il attrapa une aiguille par l'extrémité la plus proche de la sortie de sa pochette. En la tenant ainsi, il ne laisserait pas la muscarine qu'il utilisait pour ses victimes lui retourner les boyaux.
Puis il inséra l'aiguille dans un petit tuyau de bois, s'assura de la prise à l'intérieur et continua à s'approcher à distance de jet.
Les choses semblaient un peu figées heureusement Raul, Barramine et Greewarrior se donnaient en spectacle à quelques longueurs de banc de lui, prêts à se mettre sur la trombine ... Une échauffourée .... Le moment idéal pour frapper ...
Ils étaient la la main sur la garde, ou l'épée plantée dans un banc, les cordes vocales tendues, le fiel jaillissant par tout leurs orifices faciaux.
Quand la tension fut à son comble, il porta sa petite sarbacane à sa bouche, puis dissimulé sous sa capuche, feint d'éternuer permettant ainsi d'expulser en toute discrétion son projectile empoisonné.
Brisant le petit tuyau de bois et dispersant les morceaux sur le sol, l'Assassin passa devant quelques personnes assises, puis se dirigea vers le banc près de la sortie.
Il s'assit un petit sourire sadique sur les lèvres et regarda Macricri chanceler ....
L'aiguille de la vengeance avait probablement touché sa cible ... Il ne restait plus à l'Assassin que d'attendre qu'elle s'effondre ... Les premiers spasmes musculaires devaient bientôt faire leur apparition, laissant place à l'écume rageuse d'une contraction mandibulaire.
Avec la muscarine et sans un médicastre savamment instruit, dans quelques heures la Comtesse ne serait plus et il pourrait aller couler quelques jours tranquille aux frais de son illustre employeur ....
Maintenant que ceci était réglé, il lui allait falloir attendre qu'ils l'emmènent pour pouvoir lui délivrer son message et ou .... finir sa tâche proprement au calme, dans un torrent de vermeil ....