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Information and comments (4)
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[RP] Festivités en l'honneur de la Pacification du Berry!!

Flex
Pas de provocation, ni de pamphlet, de poème satyrique, de défi ou d'incitation à l'agressivité ; de belles paroles tranchantes, ou encore d'attaque piquante. Tout ceci fut en quelque sorte une promesse de jeune homme à une autre qui lui était chère ; cette dernière voulait sans doute s'assurer de la bonne entreprise des festivités.
Mais, Enguerrand de la Mirandole trouvait amusant de prendre ce soir, l'apparence d'un étalon fougueux. Quoi qu'il en soit, devant sa glace énorme, l'appartement Centre de la Casa Aussona était en ce moment témoin des récits les plus machiavéliques, dans le but de tenir pour plus tard une pêche fraîche et un moral d'acier.


« - L. Le plus lamentable, laineux ; laminé des libertin, à la limite du déplorable, je pleure de l'aviser, puisqu'il ressemble à l'eau, limpide, incolore. Il est une lopette liée à la longue lignée des lâche, écervelé sans qualités.

Il se racla la gorge.

P. Une compote de petits pâtés, parlant le patois et puis fait pitié. C'est le pire parasite, une pâquerette appelée pétunia ; il pleure son inaptitude parce qu’il pond ce pourquoy il parvînt : un produit d'épave. »

Après s'être exercé à quelques joutes verbales, le jeune dandy trouva juste de se féliciter. Il s'offrit quelques verres d'alcool sec pour tenir le punch. Le teint cousu de fierté, Enguerrand de la Mirandole se faisait le loisir de retrouver la festivité, dans un palais qu'il n'appréciait guère.

La démarche dégainant tout l'honneur du Mirandole, et le menton très haut, Flex rencontrait déjà quelques personnes à l'arrivée. Lui, il allait entrer et le montrait bien dans ses gestes hautains qu'il en avait le privilège. Rater un bal mondain, une idée impossible pour lui, comme si le poisson pouvait se passer de l'eau. Enguerrand ne vivait que pour ces moments précieux.
Puisqu'il aimait être interloqué, afin de se mettre bien en évidence et d'avoir plus de chances que les autres d'être aperçus de sa présence, le jeune dandy rejoignit le centre de la pièce dans une posture élégante.

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Télécharger le pdf en milieu de page de Mes étoiles obscures.
Eusaias
Foutre Dieu Fanchon ne sers pas mes braies ainsi tu vois bien que ça me boudine !

Ben vous êtes boudiné monsieur, la chemise et les braies y sont pour rien vous avez pris un peu de ventre.

J’ai pris du ventre ! Mais non ! Cesses tes bêtises !

Mais monsieur ce que vous avez donné en modèle c’est une vieille chemise, c’es normal. Maintenant que vous êtes vieux vous êtes un peu moins maigre. Mais vous êtes encore beau si on aime les vieux.

Vieux ? Boudiné ? Fanchon ne soit pas insolente ou je te fais donner de la trique !


Mais j’y peux rien monsieur si vous ne faites pas assez d’exercice.

Fanchon !


Puis un grincement de dents et le Balbuzard pousse hors de la chambre improvisée la Jeune servante Fanchon. Si deux choses énervaient le Balbuzard, ce n’était pas l’infidélité de sa compagne, mais le fait qu’on lui rappelle qu’il vieillissait et le fait de dire que le vin de Bourgogne n’était pas le meilleur vin du Monde. Il finit de ficeler les habits qu’il s’était fait tailler afin d’être beau pour sa bien jeune cavalière.

Pas d’épée à la ceinture, pas de miséricorde, il quitta même par bonne volonté sa bague qui contenait du poison. Il allait prendre la sorti de sa chambre de fortune quand il revint sur ses pas. Un mauvais pressentiment, un besoin d’air frais… Il saisit son stylet et le glissa dans ses braies contre l’intérieur de sa cuisse. Une fine cordelette de cuir le maintiendrait plaquée ainsi toute la soirée. Il était temps d’aller chercher sa cavalière.

Direction les étuves…

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ellesya
Tanière

Les mondanités, elle connaissait. D'Amboise au Louvres en passant par Vincennes et Meymac, la jeune duchesse s'y était frotté depuis sa plus tendre enfance. Mais un bal organisé par la Enece... Elle avait beau connaître ses compagnons d'armes, elle était très curieuse de voir ce que cela donnerait. Et si des berruyers ou berrichons plus généralement y viendraient.

Au moins, elle ne craignait pas de faire dans un relatif excès niveau tenue, puisqu'Angelyque était dans les parages. Dans le coffre envoyé par Guillemine, elle avait donc opté pour une jolie robe de velours de soie figuré, à la coupe sobre et aux couleurs chaudes comme les teintes automnales dont se couvrait le feuillage. L'étoffe avait la teinte de la rouille où luisaient des motifs de fil d'or. Par dessus, le P'tit Lu -qui avait abandonné la garde des fûts- l'avait aidée à enfiler une houppelande d'un sombre carmin et à ceindre sa taille d'une ceinture fluide rappelant les motifs dorés de sa robe. Quant à sa chevelure d'ébène, elle la tressa simplement avec un ruban d'entrelacs sang et or.
Et pour toute parure, sa gorge marquée d'une cicatrice récente accueillit la croix d'or rehaussée de grenats catalans qu'elle tenait de sa mère, qui l'avait elle même reçue de Kreuz. Enfin, aux pieds, elle ne s'était pas foulée et avait opté pour des bottes de cuir fin et de bonne finition. De toute manière, personne n'était censée aller y regarder.

Satisfaite du résultat, elle décida de ne pas le gâcher par une écharpe pour soutenir son bras. L'état de la plaie s'améliorait et elle n'en souffrait plus guère. Une potion de l'herboriste endormirait suffisamment le reste de douleur pour lui offrir une soirée de liberté. La béquille resterait dans sa chambre également.
Avant de quitter sa tanière, en souvenir de son bon vieux tuteur et père de coeur dont elle portait la médaille à la pourpre cardinalice contre le coeur, elle ajouta, pour parfaire l'ensemble, un petit coutelas dans un pli de son habit. C'était bal, mais pas que. S'agissait pas de prendre un mauvais coup sans dard pour le rendre.



Salle de bal

La Duchesse franchit la porte d'un pas tranquille, son regard vif argent étudiant rapidement et furtivement la pièce, ses occupants et le décor planté. Profusion de mets, de mélodies, de riches atours. L'image de la troupe détrempée, affamée et grognonne de la mine traversa son esprit et laissa un sourire tenu sur ses lèvres.
Et pour une fois, il y avait autant d'hommes que de femmes.

Tout se dirigeant vers son cavalier, elle sourit à Kay et salua d'un signe de la tête le baron qui l'accompagnait. Admira l'audace de Maud. Sourit discrètement d'amusement de l'attitude du Mirandole. Pour enfin parvenir à hauteur des « maîtres de cérémonies » et prendre le bras, sans manières, de son vieil ami Montlouis.


Angelyque, Falco, Pierre, bonsoir à vous.
Angelyque, Maud et vous avez fait des merveilles ! Par contre, il ne faut pas avoir peur des grands écarts... Nous allons d'un extrême à l'autre.

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Taf
Quelque part aux abords du Palais Cueur

Il avait mis temps et tergiversations avant de décider de sa présence ou non. Berrichon il l'était, l'invitation émanait des ennemis.
Berrichon il l'était et briguait un poste de Conseiller.
Là où le soldat se hérissait à cotoyer l'occupant, le politique engagé se devait de prendre bouche. Si en plus libations et mets fins la lui remplissaient...
C'est donc d'un pas pas si décidé que ça qu'il arriva aux portes du Palais investi par la Enece. Quelques va et viens, personne de reconnu.
Allez mon gars faut franchir ce foutu pas. Pas sûr que Claire apprécie ni le reste d'USB d'ailleurs. Quant au Duc... Il préféra ne pas s'apesenatir sur ces considérations qui lui feraient tourner bride, pour peu qu'il eût un cheval.


Aux portes du palais... aux porte du palais ya -t-il tant de belles filles? loin d'là...

C'est le coeur battant plus vivement qu'il se présenta aux portes. Une inspiration un redressement et...

Le bonjour! Je suis Taf, membre de l'Union Sociale du Berry et mande une audience auprès de messire Falco. de Cartel!

Il savait qu'un premier écueil n'allait pas tarder à pointer. Joviale... il ne cèdera pourtant pas de plein gré.
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Estainoise
Réception ?.....En quel honneur ?

Esta sentait bien que dame Ysabeau, qu’elle tenait fermement par le bras, n’allait pas d’un bon pas à la réception.
Elle sentait bien que si cette dame avait pu s’échapper, elle n’aurait pas hésité !
Cependant, fuir était bien improbable, car toutes les portes du palais étaient gardées et bien gardées, par des gardes aguerris.
Plus elle approchait de la grande salle et plus dame Ysabeau avait le pas lourd.
Esta, sans pour autant dire un mot, restait tout de même à l’affût de tout ce qui aurait pu lui paraitre étrange, comprenait ses hésitations.
Elle pouvait bien s’imaginer toutes sortes de pensées qui devaient traverser l'esprit de cette noble qu'elle accompagnait.
Traitre à son duché !
Pactiser avec le diable !
.....Trouver solution pour que le Berry sorte de cette crise sans nom…mais comment ?

Esta savait aussi que le sort de cette dame n'avait pas encore été décidé…Tout le monde attendait ce procès annoncé avec impatience.
Oui, Esta pouvait comprendre qu’en ces temps troublés, il était difficile de trouver réponse à ces questions que la dame devait se poser.

Devant la grande porte, Esta s’arrêta, tenant toujours le bras de la dame et elle la regarda….
Nous voilà rendues…..
Déjà de nombreuses personnes étaient lŅ
Allons Damemtout va bien se passere..

Esta se voulait rassurante m si elle ne savait pas ce qui allait advenir. Elle ne se sentait aussi pas trs taise, ayant si peu lshabitude de vivre dans le luxe.
Esta franchit alors la porte au large ouverte tout en entrainant Dame Ysabeau.
Buffet fournit
Musique duambiance se voulant do enjoud.
Elle se dirigea aussitrers le commandant Perevert et le Seigneur dtOserez ressuscitst vz comme elle ne lêtuavait jamais vu encore.
Bons nombres de ses compagnons d arme faisaient attroupement tout autour.
Elle se posta alors fisment devant ses chefs et ses amis en les saluant, se demandant sails allaient reconnaitre la sapeuse quaelle lit, alors que dans cette robe et ses cheveux pour une fois peignx elle avait du mal ne reconnaitre.


Messiresn.Mission accomplie dit-elle alors simplement.
Elle salua encore en l/ant le bras de dame Ysabeau tout en lui souriant dbun air engageants..
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Maud
Salle bal- Du cade la Duchesse

Oh qu'elle reconnaissait ce petit air pinc"'Angqque Maud. Elle riait sous cape et sa bonne humeur eit revenue apraavoir prcrpout le banquet. Presqu'autant que quand elle avait recousu Falco;

Faisant un effort surhumain pour paraoe -'aise dans cette robe qui avait plus de trous que du tissu:

Merci m'dame Ang/que, je m'doute bien qu'mon Grand Monsieur il a du avoir comme un coup qui lui a r'monto'en bas quand il vous a vue habillmd'la sorte. Vous savez, j'ai failli croire que c'est Falco qui l'avait choisie. Il voulait m'offrir un bustier apr'sa capture en Bourgogne. Mais il vit trop p'tit m'dame. Il vous en a offert un aussi?

Et toc! seconde pique. Maud se retenait d'un rire bon enfant.

M'dame Angnque, vous savez bien qu' il y a qu'une seule Mamelue dans tout l'royaume hein? C'est vous.

Elle salua Elleysia et la remercia d'un sourire. Sauf que ses pieds lui faisaient horriblement mal. Discrament, elle les S.. les repoussa en dessous d'une table et se haussa sur la pointe des pieds...Elle ne releva pas la question des ls.. Maud avait cachle qui restait dans sa besace.; Pas voleuse non.. juste prudente.

Vous z'auriez pas vu l'S
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Ellana
["Chambre" d'Ellana au Palais Jacques Coeur]

Sortie des Pves, Ellana s'Cit directement dirig vers sa chambre, pour se pr=rer pour la ription, elle avait étu obligll aller sans vraiment l' e par Kayhan. Elle avait donc acceptp contre coeur, sachant qu'elle le regretterait sans doute.

La Rrnia avait finalement rnsi cccher une robe qui lui convenait parfaitement. Elle avait un moment pens>enir dans sa houppelande bleue que son mari appr ait tant, mais la porter dcrmais lui ait pratiquement impossible, et cette dernii n'ait de toute fan pas du tout en concordance avec son humeur, elle avait donc optlour une longue robe noire sans perles ni dentelles composid'un bustier sans broderies recouvrant une simple chemise bouffante le tout surmontant quelques jupons, mais pas trop, d'une belle effe mlement noire, sobre elle avait dit, sobre elle serrait. Elle ne voulait pas e le centre des regards, ne pas se dsrquer, se fondre dans la masse et ne pas marquer les esprits.

Enfilant pil par pio ce qui composait sa robe, elle pensait omment allaient pouvoir se dduler les festivite Un moment qu'elle n'avait plus > uelque chose du genre et ses souvenirs n'oient pas vraiment bons, nnt faits de profonds ennuis.

Etant enfin prU elle s'approcha du miroir qu'elle avait il y a quelques jours eon investissement des lieux recouvert d'un drap pour ne plus avoir n'y regarder hacun de ses passages, le deuvrant pour s'observer. Son visage creuslses yeux profondunt cernn une taille plus que fine jurant avec sa pradente grossesse, ont passyn quelques mois de bourdon bien nourrit écouv anorexique, le corset lui enserrant la taille accentuant cet effet. Ellana ne se reconnaissait plus dans ce miroir, ni nue, ni en braies, ni en robe, alors elle les fuyait, refusant d'observer ce tas d'os qui se pr ntait devant elle lui faisant croire qu'il s'agissait de son reflet. Seule sa chevelure restait identique, maintenant parfaitement propre, les boucles bien dessino se rendant en cascade d'un noir profond sur ses ules.
Elle qit prs, il sit maintenant temps de rentrer dans l'ars et de rejoindre les fauves, et comme attaquer un fauve sans arme eit plut uicidaire, elle prit soin de cacher ouelques endroits strat ques des stylets bien tranchants dont elle ne se s rait en rritaresque jamais.
La Lochoise pris une inspiration avant de commencer sa lente marche vers la salle opaient se deuler les fameuses festivits


[Salle de bal]

Ellana entrait d'un pas assurtil n'éroit plus temps de douter alors que le crieur annonrt >on passage "Ellana de la Renia", un regard circulaire vers ce qui se passait alors dans la salle, un attroupement, de longues tables remplies de victuailles et de vins.
Apparemment la seule e pas Ee accompagn elle opta pour un rasage de mur scrupuleux pour s'approcher du buffet et y r per de quoi boire pour patienter avant de pouvoir repartir.

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Falco.
Fo et Chatiment!

Hum...?
S'il porte une arme, tuez le..S'il fait jurement et me la remet ou un autre noble de laEnece ..Qu'il vienne.


Ainsi vont et viennent bas feutraentre les convives de plus en plus nombreux des messagers, des estafettes, des valets, des..Tous ayant papier emettre, courrier capturrrumeur urgente ou simplement annonc/u'un berrichon dnre le voir.
Par Dieu! Ils sont tous invits
Juste qu'ils doivent se faire l'idcde dvser les armes et cotoyer des gens qui en portent..
Lui d'ailleur est sans armes aette f .
Mais son ce et son u armorigsont sur une table avec d'autres..
La fr en terre conquise est chose dlcate.
Les berrichons se montrent retors.
Du moins certains.
Combien devra t'il en occire pour que ce Duchroit soumis?

Donc pour faire court, il a une oreille sans cesse drngrpar le bourdonnement des affaires courantes..Et l'autre grande ouverte aux tanges préliminaires entre compagnons d'armes et arrivants de Bourgogne ou d'ailleur.


Dame Elleysia.
Vous os.....Hum...D'une beauteoute ligerienne malgréravos ans en Bourgognes.
Je n'ai pas de cavali ...Si cela vous agrr.



C'est que la musique commence aercer malgrlun brouhaha de discussions crois en augmentation!
Il se retrouve avec un verre de vin dans la main.
A la gauche de son Capitaine et sous peu Duc R nt de Berry, Pervert.
Bonne place, sa place.
La senestre.
Et puis Ang que est un excellent pendant au Val de Loire.

Voyant un gandin se frayer un passage vers le centre des regards il a un sourire coquin vers son leuse.

C'est Flex, si je ne m'abuse?
Un mot et il est mort, ma Dame..Comme convenu.


Son regard s' re ensuite vers Maud.
Il l'a connue jeune Agent du Guet en sabot et fleurant la bouse..La voila pouvant presque passer pour nobliote..Presque.
La cuisse rsl tout autant qu'une poitrine de bonne nourrice en devenir..Comme quoi entre nue aux Etuves et vpe de peu..Un gouffre sire les choses.
D'une gueuse s'impudicituaysanne elle est d'un coup pi use de regards envieux grace eux fentes et trois lacets..

La enece.
Un pied en palais, l'autre sur le pied de l'ennemi.

Il tente un mince sourire dllesya.
Sa balafre b te rend ses jovialitdterrorisantes alors il tache de controler ses traits , un peu.
Sa gorge le gratte, son lation le dsnge, le bon vin l'ennivre vite aprfces enchainements de p.p es houleuses.



AU BERRY!
Aux VASSAUX Coalisret victorieux partout!
A CARABOS..A la Reyne!


Une entrante.
Jolie comme tout.
Et une deuxi !
Dingue que les Berrichons n'affluent pas au galop!
Il se gratte distraitement le cr .
C'est sa Leftenante,
Estainoise?
L'exilARSrmXvagabonde?
Il retient un juron.

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Kayhan
[Salle de bal]

Contente, la Kay ! Il semble qu'elle ait pas fait de boulettes avec le baron pour le moment. Juste tellement pas t'aise dans sa tenue qu'elle se contraint te pas trop serrer le bras de son cavalier. Faudrait pas lui laisser en bleu la marque des doigts, quand me. Elle avait indiquf Agapee qu'il lui faudrait faire confectionner /a tisserande Divine une tenue pas trop voyante, sans perles ni pierreries, et si possible solide, avec un bustier de cuir qui tienne bien euh... la route quoi. Avec un sourire be, elle avait ouvert le colis envoytar le messager de la tisserande : ouah ! C'eit joli ! C'pit en fait de toute fa la plus belle robe qu'elle ait eu, puisque c'iit l'unique.



Par contre pas commode pour deux ronds. La brune aimait pas .. Une soirbdarm au milieu de Berrichons, s'ils daignaient venir... Et elle avait r a petite dague chle apr'une s ce d'exercice de son art en matie de gravure de portrait de Miss. sur le postieur d'un messire en taverne, la veille au soir. Affublmen plus d'une telle couche d'.ffes, elle esp"it vivement que la soirpne partirait pas en barquette.

Elle salue Angelyque au passage, et glisse un discret : Merci ! Parce que c'est un peu grm tlle, la robe. Fait un petit signe de main lllesya, Ainsi qu' llana qui semble avoir trouvea place idAe, prée du buffet, et enfin Estainoise. Fichtre, elle l'aurait pas reconnue Esta presque !

Citation:
Bien, je propose qunon se saoule de suite, et une fois que vous serez suffisamment faite, je vous emmr danser, vous verrez, lEalcool dee les jambese


Toute perdue dans ses r"exions, dans un premier temps, Kay n'entend que la proposition de se pochtronner, et se d>nd une fraction de seconde. Pas plus... Heiiiin danser ?! Elle stoppe net d'avancer, retenant de ce fait Enguerrand, et lui faisant signe de se pencher un peu, lui balance ooix basse :

- De quoi ?! M'enfin, vous m'aviez pas dit l'autre fois qu'vous saviez pas danser ?! Parce que soyons clairs hein, je peux vous envoyer, a limite, valser un emmerdeur s'il s'en prpnte un. Mais sinon, je pratique pas la danse... Oh pis si vous tenez os souliers et ce qu'il y a dedans, je vous dnnseille d'essayer de me faire tournoyer. Hmmm... En fait j'ai pas pu me raudre
--Gaillarde.alatinte



Rue du Puits Noir, mourges.
Nous sommes loin du dnr du prestigieux palais Jacques Ccur mais dans une des rues sombres et malfame de Bourges. La vie y est difficile comme elle l'a toujours p pour ceux qui y de... meurent. Peu importe qu'il vente ou qu'il pleuve, peu importe les changements de conseils, peu importe les promesses des politiques, peu importe la guerre. Rue du Puits noir, on y nton y mendie, on y vole, mais surtout on y meurt pas forcrnt DEux fois, car le manque de foi ne force pas kourir mais vous condamne e'enfer lunaire. On y cr la gueule et la bourse... ouverte, le bide gonflme vide, comme la bourse dmailleurs.

Pourtant, en cette plode difficile, c'est peu de le dire, la ruelle tortueuse grouille d'une manil inaccoutumuet presqu'insolante de vie. Aux habituels coupe-jarrets, putrelles, mendiants, tires-laine se mp une population plus enrobdet mieux fagoto Des paysans regiipour la plupart. A l'aube de la guerre, ils avaient abandonnseurs fermes pour se rigier o'abri des remparts lorsque les arm royalistes marchaient sur Bourges. Et depuis, ils avaient r contraint de rester en la Capitale. Faute de mourir d'un coup de lame dans le ventre, il ptraient plus vraisemblablement de faim ou d'ennui...

Une faible lueur s'nappe d'une maison qans de bois en partie d brbet dont le auvent mange la rue sale et boueuse. Il s'agit de l'ul d'un vendeur de laine qui n'a su tirer profit de la manne ovine et a l contraint de migrer vers ce quartier misiux . Au XVe sile, Bourges est une ville prosp et sa principale richesse, la fabrication de textile basisur la laine des moutons du Berry v ou les poils des berrichons - a donnt la ville ses armoiries. Et de cette maison fuse une voix claire, forte et audible. La voix d'une personne fermement drd/


S'il y a une chose irrbagable dans ce bas-monde ! C'est que jamais personne n'a porttussi bien son prvm que notre che Gaillarde ! C'est kek disait mon diacre de p en parlant de mou Oui-da !
Et quand j'vous dis que j'va y aller, c'est qu'j'vai y aller ! Comptez pas sur mousour tomber roide sur le sol eause que j'mange point assez. L as.
.. indiquant la direction approximative du palais Jacques Cuur... c'est un festin et c'est pour tout le monde, y z'ont dit !

Mines effarb, facideffraye cris uffa.. et... oh! Un rat vient de mourir dans la rue.

La population paysanne rassembl sous le toit de la bicoque n'en croyait pas ses oreilles. Pourtant, c' it bien le genre de Gaillarde de se rendre avec dprmination et entrain dans les pires endroits qui soient. Paraique son diacre de ps la protp depuis le paradis solaire.

La femme se leva et se prpra malgrces protestations de son entourage. Par dessus sa chanse en futaine blanche, elle enfila une cotte des plus simples en lin bleu. Une tenue simple et modeste, mais tout uait honorable pour quelqu'un de sa condition. Ses cheveux clairs furent nouren chignon puis recouverts d'une coiffe blanche. Elle se passa un peu d'eau sur le visage. Et c'est ainsi, qu'elle poussa la porte de la chaumine et se rendit jusqu'au palais Jacques C ur. Devant l'entr des gardes battaient la semelles et vefiaient chaque personne entrant. "Tiens", se dit la paysanne, "ils contrnt e'entremais point a sortie. Y'aurait ben moyen que j'lar ne quelques denra pour les autres couards. Vais pas les laisser crever de faim quand mg". Et sur ses pensl tr"aristotnciennes, la bougresse s'avanid'un pas darminoles bras suivant le mouvement et se planta devant la soldatesque. Elle r usta sa coiffe avant de s'adresser aux gardes pas effarouchspour un denier. Si elle devait tr sser, aserait la panse pleine, foi de Gaillarde !


Salut vous r ! J'vins pour la saut'rie organisipar les trait'es de f ns roy'listes ;a couronne, annon't-elle sans malice. Autant elle n'avait jamais su ce qu'lit un f n et un royaliste, autant elle avait bien compris ce que le mot r trait'es i signifiait.

e doit avoir rapport avec les vé, ches. Y aura du fromage, c'est s pan>, avait-elle dit fes compagnons d'infortunes qui n'avaient pas encore trouvde courage de venir jusqu'au palais. De qu'en tant normal et surtout depuis que la Jaunisse avait tabass n paysan par plaisir, ils n'y mettaient jamais les pieds. Alors ls.


Ysabeau
Salle des festivit1.. puisqu'il le faut

Porte s'ouvrit, Estainoise l'entrah dans la salle.

Nous voilsendues ..
Allons Dame tout va bien se passer ..


puis elle lui lfa le bras.
Ysabeau avan0d'un pas. Observa.

Nombre de personnes ient l sans armes comme il l'sit prescrit. Gardes ya porte, gardes pr"des fenses, lourdes tentures cachant les murs.
Buffet bien garni, au fond de la salle, comment avaient-ils trouvnoutes ces nourritures alors que les marchsse vidaient ?
Nombre de ceux qui occupaient le duch-quasiment point de berrichons... Ah si, Taf !
Elle s'avantvers lui, souriante, s'apprpit ui parler quand...
Une voix rauque, mais sonore cependant...


AU BERRY!
Aux VASSAUX Coalisset victorieux partout!
A CARABOS..A la Reyne!


Elle grimad Reconnut celui qui l'avait arr e, celui qui avait voulu lui faire signer des aveux dsonorants. Celui qui l'avait recluse dans la salle 'oge.
Falco trinquait ueur victoire. LEUR victoire qui n' it nullement celle du Berry, mais celle de ceux qui voulaient l'asservir, le ruiner, le d uire.
Elle eut un lrr sourire quand il parla de la Carabosse... Le mot lui avait oapp...
Se retourna vers Taf, dont elle avait fait la connaissance dans les bureaux de l'USB.


Tu es venu... Je ne serai pas la seule berrichonne icelieu, tu m'en vois bien aise Taf.
puis lui murmura /'oreille
je suis prisonni , j'attends mon procx.. et difficile de prendre la poudre d'escampette... Regarde, observe... MF si les invittn'ont point d'armes, il y a des gardes partout... et regarde celui qui trinque... C'est Falco, c'est lui qui m'a arree ua mairie...

Elle se tut, ne voulant pas que des oreilles ennemies l'rutent.
Regarda Falco. L'inviterait-il n'approcher ?

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Enguerranddevaisneau
[salle de bal]

Il saluait "out va les visages.
Connus, inconnus, peu lui coutait "ire vrai, lui qui dit depuis sa prime jeunesse, passpape dans l4art des petites sauteries organisb.
Il lorgne sans pudeur les entrantes, souriant devant un tel afflux de froufrous et de dentelles.
Seul signe perceptible que le Berry 0it en guerre, les messagers qui virevoltaient dans la salle, soucieux de ne pas dtnger les invitw

Voila que sans gt, sa main glisse dans celle de sa compagne du soir, l/entrainant vers le buffet. Il tute sa srnade, hoche la tl, et retient nrande peine un rire moqueur.


Allons, vous verrez, ce n

Quelques pas encore, et il se stoppe, pour chuchoter :

Je ferai avec vos bottes..Quant te pas savoir danser, jfai mentidJe suis noble de sang, jlapprends depuis mon plus jeune éta

Ils dient enfin devant les victuailles, et c est d/une voix claire quêneil r ame deux verres de vin. Bourguignon.
Les coupes servies, il en tend une ca cavalis, tout sourire, avant de se saisir de la sienne.
Il mit temps de trinquer, ce que fit le blond, ajoutant au pr able.


A la couronne, rette soirà d cos drts de danseuser

Il laemmtrait danser, me si pour cela il se devrait de la porter sur son oule.
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Miss.
[ Salle de bal ]


Miss vit arriv.au bras de son compagnon de chambre et cavalier, Jsmie. En temps normal elle adorait les r ptions, m" si elle n'eut que peu d'occasion d'y participer ces derniers temps.
Elle avait mis l'une des dernics robes qu'elle s'>it cousue et avait prit le temps de bien coiffer ses cheveux, puis, de se parfumer sa violette, edemment.




Elle jeta un regard aux personnes d2 prhntes, ldr sourire dessin Elle avait rlpc la dague de la brune aprrune soirn encore une fois, bien amusante en taverne.
En effet, elles avaient enfin trouv n volontaire pour se faire graver le portrait de Miss sur une de ses fesses, sieur Davidus. Un homme qui devait s'y connaqe en art.
Sa compagne de picole eit une artiste, le portrait ressemblait comme deux gouttes d'eau ta Bourguignonne qui avait vers ne larme tellement elle /it 7e.

Kay avait donc laissiomber sa dague en taverne .. Mais la Miss l'avait r"po et comptait bien la lui rendre.
Elle se pencha vers Jnmie :

Je dois rendre sa dague aay, je reviens.

La donzelle adressa un petit sourire eon cavalier et s'approcha de la brunette en bottes, ignorant son jeune cavalier, le blond baron.

Psssttt, j'ai retrouvra dague.

Et de lever un peu ses jupons, sans aucune dvcatesse pour attraper la dague cachadans ses bas.

LBoilg

Miss regarda la tenue de Kay, souleva un des nombreux bouts de tissus pour y glisser son arme, en toute discrion. Elle lui claqua un petit clin d'oeil et tourna les talons pour rejoindre son cavalier, cherchant dr du regard les f"e MontreCul.

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Kayhan
[ Salle de bal 1 En approche du buffet]:

La Kay pensait avoir pimptoire sur la question de la danse. 0, c'est fait, s'eit-elle dit en finissant sa tirade en mode messe basse. En jetant un coup d'oil .a mine du Baron, elle plisse le nez. Ce serait pas un air narquois qu'elle entrevoit ? Elle doute.

M'prend pas au s3eux l'grand blond, ou j'rn ?

Bingo...
Citation:
Allons, vous verrez, ce nts.

Pas le temps lui de rfndre qu'il se mettra leuvoir des noix avant qu'il n'arrive la coller sur la piste, qu'elle l'entend murmurer :
Citation:
Je ferai avec vos bottes..Quant


Oh le p'tit crevard !

C'est la première chose qui erge du citron de la brune. Par chance, ereste bloqucaCoup de bol parce que souvent, dsort un peu comme plui vient. Il l'avait donc dupa.. Soit, elle s'
Citation:
A la couronne, nette soiro tos d"ts de danseuser

- Hmpf ! Oui trinquons...

Voilça u'il la nargue... Mais l'attention de Kay est d urnsun instant par l'arrivide Miss, qui s'approche d'elle, et dans son dos lui chuchote :

Citation:
Psssttt, j'ai retrouvsa dague.

Le sourire de la brune s'irgit.
Citation:
- La voils=

Elle sent la main de son amie farfouiller sous l'effe dans son dos, pour fourrer la fidn lame sous le revers de son bustier. Kay drurne un peu la ta, juste vemps pour apercevoir le petit clin d' il de Miss, qui dc amorce son demi-tour afin de rejoindre J

Tiens mais j'me demande... J'ai pas propost Enguerrand de connaoe mon art du dessin élaa dague...

Kay ouvre la bouche, et se ravise. Elle avait du le proposer aux deux tiers des gens qu'elle avait crois Bourges, tous camps confondus. Fallait p't'be pas se aussi directe que d'habitude, parce qu'un paquet de gars avaient da fui les tavernes comme s'ils avaient le feu aux braies quand Miss et elle avaient abordee sujet de but en blanc. D lant...

Soyons plus fine sur ce coup...

Dites, Enguerrand, v's'aimez l'art ?

Et taaac. Bonne amorce. Avec un peu de bol en plus, il en perdrait l'idede vouloir danser.


















Maxifred
maxifred arriva au ch au comme promis mais si cela ne lui plaisait gu".
auparavant il s ait lavminsi que sa tunique pour >e correctement habill>our cette soira
lorsqu il arriva dans la salle , il vit tout le monde qui 8it dp arriv=t s exclama :

bonsoir tout le monde

en regardant autour de lui il ne vit que beautl oui des beaut de femmes , une aussi belle que l autre.
maxi vit une table avec un pichet , il s y dirigea et vit du vin , il se prit une chope , se servit et commen_a boire tranquillement en attendant de voir ce qu il allait se passer .
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