Harlequin
Telle un doux vent de fraicheur dans la chaleur d'un été torride il la vit arrivée. Pour elle le mot ''vent'' était léger, car elle avait plus de la tornade que de la brise. Mais elle insufflait quand même cette fraicheur bienvenue. Le soldat se surprit à sentir son cur battre un peu plus fort dans sa poitrine. Il était tellement obnubilé par le charisme de cette belle dame qu'il n'avait pas vue tout de suite le pantin accroché à son bras. Il regarda la scène elle virevoltait, légère, passant d'un groupe à l'autre usant parfois de son esprit affiné, d'autre fois de son humour cinglant. Toujours sa belle humeur et son sourire enjôleur. Sa beauté lui coupait le souffle et il ne pouvait se résigner à rien faire, à seulement la contempler, il devait aller la rencontrer.
Il sortit de sa cachette. Marchant d'un pas souple et précis. Le côté militaire de l'homme l'emportant sur lui, il se surprit à calculer se qui se passait autour de lui. Moult royaliste imbus de leur personne. Parvenu, obéissant aveuglément à la folie humaine. Il les aurait méprisés si la pitié n'avait pas été plus forte. Puis le doute. Et si... et si ont le chassait, et si on le capturait et si... Baliverne! Il se ressaisit car un doute plus fort s'était emparer de l'Harlequin: et si il ne la revoyait pas? Il fendit la foule doucement, un sourire avenant accroché à son visage. La leçon de sa mère portait leurs fruits. Si il avait été à La Rochelle et avait vêtit ses plus beaux vêtements il aurait été un véritable petit poisson dans l'eau. Il arriva à la hauteur de celle qui le rendait comme un gamin de 15 ans. Il fit une révérence parfaite, prit la main de la dame dans la sienne et lui déposa un doux baiser remplis de son affection.
Dame Chipolata, vous êtes d'une beauté époustouflante. Je sais que mes écris suggéraient que je ne viendrais pas, mais la nécessité de vous rencontrer m'était imposer.
Il lui fit un sourire remplis d'une douce quiétude avant de se retourner vers l'homme qui servait de cavalier.
Monsieur Moron bougeais, petit sourire sarcastique, ou Marais Bourgeon? Peut importe. J'espère que vous réalisé la chance que vous avez d'être le chevalier servant de cette jolie dame?
Sans attendre la réponse il se retourna vers la belle saucissonne.
Vous savez que nulle dame ici ne peut rivaliser avec votre charme. Pour un peu j'oublierais la dame qui promettait de me veiller si jamais elle venait à me percée de sa lame. Vous savez, c'est dans ces moments que je maudis la guerre.
Il fit une courte pause, commanda un verre de rouge espérant que ce serait un Bordeaux.
N'ayez crainte, je ne papoterais pas sans discontinuer sur la guerre, bien que nous soyons ici pour la fêter. Je voulais vous voir, vous contempler. Maintenant que j'ai eu cette chance et que mon âme est repue de votre beauté, je vais vous laisser à votre cavalier.
Il se pencha vers elle et lui souffla à l'oreille:
Si vous le voulez, je guetterais la moindre occasion et vous inviterais à valser avec moi?
Il s'éloigna doucement, guettant la réponse de la dame.
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Il sortit de sa cachette. Marchant d'un pas souple et précis. Le côté militaire de l'homme l'emportant sur lui, il se surprit à calculer se qui se passait autour de lui. Moult royaliste imbus de leur personne. Parvenu, obéissant aveuglément à la folie humaine. Il les aurait méprisés si la pitié n'avait pas été plus forte. Puis le doute. Et si... et si ont le chassait, et si on le capturait et si... Baliverne! Il se ressaisit car un doute plus fort s'était emparer de l'Harlequin: et si il ne la revoyait pas? Il fendit la foule doucement, un sourire avenant accroché à son visage. La leçon de sa mère portait leurs fruits. Si il avait été à La Rochelle et avait vêtit ses plus beaux vêtements il aurait été un véritable petit poisson dans l'eau. Il arriva à la hauteur de celle qui le rendait comme un gamin de 15 ans. Il fit une révérence parfaite, prit la main de la dame dans la sienne et lui déposa un doux baiser remplis de son affection.
Dame Chipolata, vous êtes d'une beauté époustouflante. Je sais que mes écris suggéraient que je ne viendrais pas, mais la nécessité de vous rencontrer m'était imposer.
Il lui fit un sourire remplis d'une douce quiétude avant de se retourner vers l'homme qui servait de cavalier.
Monsieur Moron bougeais, petit sourire sarcastique, ou Marais Bourgeon? Peut importe. J'espère que vous réalisé la chance que vous avez d'être le chevalier servant de cette jolie dame?
Sans attendre la réponse il se retourna vers la belle saucissonne.
Vous savez que nulle dame ici ne peut rivaliser avec votre charme. Pour un peu j'oublierais la dame qui promettait de me veiller si jamais elle venait à me percée de sa lame. Vous savez, c'est dans ces moments que je maudis la guerre.
Il fit une courte pause, commanda un verre de rouge espérant que ce serait un Bordeaux.
N'ayez crainte, je ne papoterais pas sans discontinuer sur la guerre, bien que nous soyons ici pour la fêter. Je voulais vous voir, vous contempler. Maintenant que j'ai eu cette chance et que mon âme est repue de votre beauté, je vais vous laisser à votre cavalier.
Il se pencha vers elle et lui souffla à l'oreille:
Si vous le voulez, je guetterais la moindre occasion et vous inviterais à valser avec moi?
Il s'éloigna doucement, guettant la réponse de la dame.
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