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[RP] Festivités en l'honneur de la Pacification du Berry!!

Furette
Citation:
Bonsoir Furette, comment vas-tu ??? Waouh ta robe est sublime et les coquelicots rehaussent bien ton teint.


Furette un peu confuse par le compliment baisse la tête en souriant.

Citation:
Oui comme tu voix je suis venue seule, Pika a été obligé de partir en retraite juste avant ce bal... Quelle déveine.
Mais j'espère que l'on va s'amuser...


pas de chance alo.....

Pas le temps de terminer sa phrase que Lily est entraînée par Alpha pour aller danser.
Elle sourit et continue à boire son vin tout en regardant autour d'elle.
C'est à ce moment qu'elle reconnait Miss qui s'éloigne vers le balcon. Là aussi elle admire son élégance et se dit qu'elle la retrouvera un peu plus tard dans la soirée.

Elle profite du moment pour jeter un coup d'oeil au buffet et de choisir déjà ce qui la tenterait lorsque Lily revient avec deux verres de vin en main :



Citation:
Tu as vu, Furette, il y a pas mal de Berrichons tout de meme, c'est bien, j'espère que l'on va finir par s'entendre pour remonter ce Duché qui en a bien besoin.


j'espère qu'il y en aura encore d'autres, ce serait bien je trouve...

Citation:
Tiens, goute , il est bien frais ce vin.



Furette prend le vin un large sourire aux lèvres :

ohh merci Lily, ce soir j'ai vraiment envie de perdre un peu la tête, alors allons y !

Elle trinque avec son amie tout en regardant l'assemblée.
_________________
--Marais
En soit, Marais ne se sentait pas jaloux. Chipolata était une cavalière ravissante, mais guère plus qu'une dame avec laquelle il passerait la soirée en s'amusant. Et s'il pouvait en profiter pour améliorer sa situation auprès des régents, ça n'en irait que mieux. Mais qu'ils roucoulent comme ça, vraiment, c'était désagréable.
Enfin les faits rassuraient sans mal Marais: c'était dans ses bras qu'elle dansait. Et ce plaisir chassait tous les concurrents du monde pour un temps. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas parcouru les pistes, mais il n'avait pas perdu la main. Ou plutôt le pied. Une infime partie de sa tête persistait à compter les temps, mais la principale se satisfaisait de prendre du bon temps.

"C'est vraiment dommage que vous ayez dû écrire un courrier pour trouver un cavalier. Les Berrichons sont des rustres, et plus encore en temps de guerre. La rancoeur tenace... Un drame qui nous pèse depuis longtemps !
En tous les cas, pour une première, ce fut un succès que votre appel ! Vous avez même réussi à faire naître des jaloux en à peine quelques jours. D'ailleurs, combien de mes rivaux voyez-vous ce soir ?"
Un sourire prend une toute autre dimension quand on le fait de près. Et Marais ne s'en privait pas. Cet homme aux allures de soldat était le signe pour lui qu'il devrait jouer de son mieux pour ne pas voir sa saucisse aller dans le garde-manger d'un autre.

Et un deux trois, un deux trois...
Miss.
[ Du Balcon à la salle de bal ]

L'air frais lui avait fait un bien fou.
C'est presque frissonnante que notre Miss rentra de nouveau dans la salle de bal, adressant des sourires aux personnes croisées ou encore de petits gestes de salue à ceux qu'elle n'avait pas encore eu l'occasion de rencontrer ce soir ..
Silencieuse, comme souvent lorsqu'il y avait du monde, elle préférait observer plutôt que se faire remarquer, d'un naturel discret, elle se faufila entre les danseurs et autres petits groupes de personnes en train de bavarder pour rejoindre de nouveau le buffet.

Elle n'eut pas besoin de réfléchir avant de se servir : du MontreCul, forcément. La brune admira le nectar qu'elle s'amusait à faire tournoyer dans son verre, le Bourgogne était son péché mignon.
Miss sentit le vin, remuant le vin en douceur pour laisser les arômes venir chatouiller ses narines, s'enivrant de ce doux parfum qui lui rappelait son enfance.
Doucement, elle porta le liquide grenat à ses lèvres pour déguster ce subtil grand Cru.
C'est un sourire de satisfaction qui se dessina sur son minois après avoir bu une gorgée.

Divin. Pensa-t-elle.

La Bourguignonne s'adossa ensuite au mur non loin du buffet et observa la salle avec curiosité, cherchant son cavalier qui s'était éclipsé peu de temps après leur arrivée.
Petit sourire en voyant Marc rejoindre une donzelle et de rire un peu en voyant Marine danser avec Eusaias, non pas par moquerie, simplement le fort caractère de la jeune rouquine qui la faisait marrer..
Une autre gorgée de Montrecul est rapidement avalé, alors que le pied -caché sous les jupons- se met à taper doucement sur le sol au rythme de la musique.

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Chipolata
Décidément, ce cher Marais la surprenait d'instant en instant ! Voici maintenant qu'il la dirigeait élégamment, le pied sûr et la main rassurante, au milieu des danseurs ! Elle se laissait mener, tournoyant avec légèreté dans ses bras, tandis qu'il lui faisait la conversation…

Citation:
"C'est vraiment dommage que vous ayez dû écrire un courrier pour trouver un cavalier. Les Berrichons sont des rustres, et plus encore en temps de guerre. La rancoeur tenace... Un drame qui nous pèse depuis longtemps !
En tous les cas, pour une première, ce fut un succès que votre appel ! Vous avez même réussi à faire naître des jaloux en à peine quelques jours. D'ailleurs, combien de mes rivaux voyez-vous ce soir ?"


- Oh mais je n'ai été obligée à rien, Marais ! M'imaginez vous réellement sans prétendants ? ^^ Si j'ai fait appel à la populace pour trouver un cavalier, c'est juste par esprit de jeu ! Et un peu aussi pour faire sortir les berrichons de leurs tanières, il faut le dire ! Il y a si peu de temps, ils étaient encore mes voisins et amis… ce temps reviendra...

En tous cas ce fut une belle ruse de femme ! ^^
continua t-elle dans un éclat de rire… Car je n'ai plus eu que l'embarras du choix !
Je dois aussi vous avouer que certains de ces messieurs plus timides, m'ont fait parvenir directement leurs demandes et enfin, bien des bourguignons de ma connaissance se sont alarmés de mon petit "concours" et se sont proposés à leur tour pour m'escorter ! ^^

On m'a aussi reproché vilainement, d'aligner les hommes comme des moutons pour faire un choix sectaire ! J'y réponds que sans ma petite initiative, des messieurs, charmants inconnus, ne se seraient jamais présentés ici ! Je suis peut être frivole, mais certainement pas méchante !

Hummm… Combien de vos rivaux je vois ici ce soir… attendez… un.. deux… sept…
Elle tournait la tête de gauche et de droite pour arriver à mieux voir toute l'assemblée et faisait ainsi mine de compter… vingt-six… ah non ! vingt-huit ! fit-elle au bord du fou rire en voyant le visage effaré de son chevalier servant dont la mine s'allongeait au rythme de l'énumération ! ^^

Je plaisaaante Marais !!! Remettez-vous !!! s'écria t-elle gaiement !


Et la valse l'emportait joyeusement ! La tête lui tournait bien un peu, mais quel intérêt d'une danse qui ne vous met pas les sens quelque peu sans dessus-dessous ?

Malgré tout, à chaque tour, son regard la portait malgré elle, là-bas, dans un recoin, tout au fond de la salle… Vers la silhouette négligemment appuyée contre le mur tapissé.
Il tenait un verre de vin à la main, qu'il portait par instant à ses lèvres. C'était le seul mouvement qui le faisait paraître vivant… Hormis l'éclat de ses yeux dont les pupilles ne la quittaient pas un instant… si fort… qu'elle en ressentait la brûlure sur sa peau…

Elle riait et plaisantait avec son charmant cavalier, de fort bon aloi. Chipo était une âme généreuse et ne souhaitait certainement pas le mettre en mauvaise posture. Pourtant toutes ses pensées naviguaient prestement vers la silhouette dans l'ombre… qui la troublait… et dont elle ne pouvait se détacher, tel un aimant, tel… elle ne savait quoi ! Et foi de Saucisse elle le saurait !

La valse vive l'emportait, aérienne, sur ses trois temps marqués… Avec délice, chaque tournoiement lui apportaient tour à tour, douces brûlures sur sa nuque et plaisir de l'apercevoir… une incendiaire torture mettant ses sens en éveil… provoquant un cataclysme d'émotions mêlées… … … …



Puis… Un instant… une seconde… le vide ! le froid glacial du néant ! Elle ne sentit plus son regard attentif ! Vivement elle tourna la tête vers lui, brusquement paniquée ! Tournait et retournait la tête afin de voir ce qui se passait et malgré tout suivre son cavalier en cadence !


Un homme lui parlait… sembla lui remettre un message… qu'il décacheta prestement, nerveusement… il le lut attentivement, sourcils froncés… Puis redressa la tête lentement… si lentement… Son regard assombri la chercha… la trouva… la cerna… l'enveloppa…
Lentement il ouvrit les deux mains dans un geste navré… un geste d'excuse… agitant tristement la missive dans sa main… Le coeur de Chipo se serra… D'où elle était elle ne pouvait apercevoir, mais devina, à la couleur du vellin qu'elle connaissait si bien, et qui seyait aux armées… "L'ordre transmis et exécutable immédiatement"…

Ils échangèrent un dernier regard ardent… dépourvu de promesses inutiles… Et il tourna les talons pour se diriger vers la sortie…


Fin de l'Acte…


Foutue guerre...


Chipo, effondrée, inclina la tête doucement sur la poitrine de son cavalier… Laissa échapper une larme sur le beau costume… Plissa les yeux si fortement pour les contenir, que tout son visage la fit souffrir… Elle se mordit les lèvres si désespérément pour reprendre contenance, qu'elles devinrent écarlates, ressortant avec violence sur son visage soudain si pâle… Elle pria un instant pour que l'on n'aperçut point son désespoir, et encore moins le cavalier qui continuait à l'emporter à grand rythme…

Puis redressant la tête dans un geste vif, reprenant pour la galerie, son habituel visage de "Saucisse conquérante", elle sourit à Marais et lui dit en serrant les dents…


" Marais, je vous charge ce soir de m'amuser et de me faire boire ! Fêtons dignement cette fichue pacification ! Je vous donne également la responsabilité de me ramener si j'abuse trop des vins envoutants ! Et souvenez-vous que Tolosa veille à mon retour ! finit-elle dans un sourire avenant à défaut de joyeux...

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Eusaias
Les pigeons ?

Le bourguignon se souvient de ce mandat ducal durant lequel une flopée de Bourguignons évincés de la scène politique par le Balbuzard n’arrêtaient pas de lui envoyer missives sur missives afin d’exprimer leurs indignations. Eusaias avait donc décidé de faire abattre tous les pigeons qui volaient autour du château de Dijon.

Marine, sachez jolie princesse que certains être vivants sont juste bons à déverser leur fiente sur d’autres. Et un peu comme la reine en ce moment, ou Georgepoilu avant. Du coup, pour éviter de se retrouver dans un bourbier infecte il ne faut pas hésiter à éliminer les fienteux.

Il arrêta ses pas afin de corriger a nouveau Marine qui progressait à vu d’œil. Les onyx scrutèrent la petite un instant alors qu’elle l’interrogeait.

Être ton professeur pour quoi ? Que veux tu apprendre ? Si c’est dans mes cordes, j’accepterais.
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Drunk
[Sal de Bal - Petite mise au point]

Esta semblait retrouver un peu de joie, la fête battait son plein, point d’esclandre à l’horizon, que demander de mieux.
Boire pour s’oublier n’est pas la solution Esta, et je sais de quoi j’cause.

Tout en la regardant avec un franc sourire, il ajouta
Tu es belle, pleine d’intelligence et de bonté, ouvre toi un peu plus et tu trouveras l’homme qu’il te faut, mais peut-être est-ce d’autre chose dont tu as besoin ?

Sourire en coin.
Peut-être te manquet-il l’action de guerroyer tout simplement, alors si tel est le cas, j’te propose malgré nos blessures de nous entraîner ensemble dés que tu le voudras. On s’foutra sur la goule dépensant c’te trop plein d’énergie qui est en nous autre d’la Enece.
Pas facile, hein, de passer de l’action de guerre au pacifisme quand on a encore le goût du sang dans la bouche.


Puis le visage du routier se ferma.
Mais il n’y a pas que la guerre dans la vie, ouvre toi à la prière et fait partager aux autres nos idées de réforme, j’ai bien vu sur le champ de bataille que tu as les compétences pour mener les hommes, et bien utilisent les à bon escient.

Drunk eut l’impression d’assener des coups de marteau sur la tête d’Esta. A la fin de la danse, il lui fit une révérence et ajouta.
Je retourne dans l’ombre surveiller ce beau monde, je suis à ta disposition si tu veux que nous parlions de nos idées mais en attendant amuse toi ! Mais te noie pas dans l'alcool, hein !

Petit clin d’œil et un, deux, trois pas, Drunk retourna se cacher.
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Amorri
Amorri resta fort surpris de voir autant de monde et d'aussi belles toilettes dans une seule salle.
Il se sentait un peu mal à l'aise au milieu de tout ce monde mais il se devait d'accompagner Keltica car elle lui avait demandé et il voulait surtout la rendre heureuse et lui offrir tout ce qu'elle désirai.

Il regarda la jeune femme à son bras et admira cette tenue qu'elle portait et se remémora l'après midi de fous qu'ils avaient fait subir aux couturiers de Bourges pour qu'elle trouve cette toilette.

Il avait de son côté revêtu une tenue spéciale pour lui. Un ensemble fait d'un pourpoint de collants et de chausses hautes le tout recouvert d'une houppelande d'une étoffe très riche.
De couleurs Bleu profond pour la houppelande et de cyan pour le pourpoint des dorures brodées avec comme dessin un compas et une équerre se croisant en écusson sur la gauche de sa poitrine.
Il ne portait aucun couvre chef.

Oui allons la voir et la saluer.


Fier de porter cette tenue en public il suivit le pas de Keltica au travers de la foule et ils se dirigèrent vers Angélyque.
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Marineblanche
Marine Blanche sourit en entendant Eusaias parler des pigeons. Une vision à laquelle elle n'aurait jamais pensé mais les pauvres volatiles ne faisaient obeir qu'aux gens qui les envoyaient mais elle pouvait comprendre son point de vu. Elle imagine pleins de pigeons en train de battre des ailes près d'Eusaias, n'hésitant pas à l'emmerder dans tout les sens du terme. Un sourire s'esquisse sur ses lèvres.

Il la corrige de nouveau. La môme se mord la joue car c'est pas si facile que ça la danse. Si elle a compris le principe, elle a du mal à synchroniser ses pas. Ce qu'elle veut apprendre? Les prunelles azuriennes rencontre les onyx. Pour ne pas changer l'art du combat. Elle aime se battre. Elle aime gagner, elle aime terrasser ses adversaires. C'est une chose qu'elle a appris quand elle vivait dans la rue.


Eh bien...Z'aimerais apprendre l'maniement des z'armes. Ze sais m'battre comme une gueuse, c'est à dire que ze m'bat plus à l'instinct ou n'importe comment...Z'aimerais apprendre les techniques. Ah et z'aimerais apprendre à reconnaître l'goût des z'aliments...Enfin, ze sais que la viande n'a pas l'même goût que l'poisson mais...L'goût...Bah, ze ne le ressens pas tellement...

Quand elle vivait dans la rue et même avant, manger n'était que vivre pour elle. Tout ce qui lui importait, c'est qu'elle ait mangé quelque chose pour ne pas mourir. Pour l'alcool, elle boit pour boire et non pas parce qu'elle aime le goût. Lorsqu'elle a été recueilli par Garrett et Nayiel, elle a pu constater que la nourriture pouvait avoir un goût et ces braves gens auraient pu lui apprendre mais elle a été buté. Garrett était un cuisinier, choisissant les meilleurs ingrédients. Elle n'avait jamais compris jusqu'à peu. Où certaines personnes de la Enece lui demandait de savourer quelque chose au lieu de boire cul sec par exemple.

Quelque part, elle n'a plus envie d'être une petite vaurienne qui ne fait que boire, voler des bourses ect... Elle a envie de découvrir pleins de choses.


Z'êtes d'accord, diiiiiiiites? Et euh...Ze suis pas une élève facile, hein ! Z'ai une réputation à tenir !
--Roxy.



Maudites langues de boeuf !

Je les déteste ! Boudiou, comme j'en ai envie !
Elles m'obséde les langues de boeuf !

J'en ai marre ! Je les veux ! C'est décidé !

Bien beau, les résolutions mais je fais comment, moi? Bah oui, la table est trop haute pour moi.

Je reste assis en train d'observer les langues de boeuf...

Maudites langues de boeuf...
Fcpa79
[ Salle de Bal ]

Il regarda amusé les danseurs. Esta et Drunk ou encore Marine et un sire qu'il ne connaissait pas. Puis toujours Kay et le jeune baron à ses côtés.
Alors qu'il ne faisait pas grand chose, pour changer, il rejoint les convives à la table, où tout les vivres était postés. Il se servit car il commençait à avoir un creux. Après s'être gavé un petit peu et s'être servi du vin, du Montre-Cul pour être précis, dont il profita et le laissa en bouche un petit moment.
Ensuite, il sortit dehors rapidement et pris une feuille de menthe, pour avoir l'haleine fraiche. Il regarda la nuit éclairé par la magnifique lune.

Le paradis..

Il faisait très doux, et une légère brise caressait la peau. Il avait reprit bonne mine et était en forme. Il vit au loin sa cavalière seule. Il esquiva bon nombre d'inviter et se rapprochait de la belle brune qui ne l'avait pas vu arriver. Discrètement et à pas de velours, il lui glissa un murmure à ses oreilles d'une voix légère et envoutante.

M'accordez vous cette danse ?

Bah oui, le brun aimait bien danser, même si il y avait meilleur danseur que lui, il se débrouillait et ne marchais pas sur les pieds de ses cavalières.
Il sourit et sans attendre la réponse, car la brune était dans le rythme, il l'a pris par la main et l'entraina avec lui.
ellesya
Salle de bal

Angelyque venait de planter ses griffes dans le Falco, laissant la jeune femme osciller entre colère et surprise. Les paroles de la duchesse du Charolais piquèrent Ellesya au vif malgré le miel de ceux-ci. Elle se promit de mettre les choses au clair lorsqu'elle la rencontrerait au calme. Il n'était pas le temps de se chamailler pour des bêtises mais ne rien dire la laisserait à ressasser sa mauvaise impression. Jusqu'au jour où...
Les paroles de Falco l'adoucirent, aussi lui sourit elle en retour avant de les laisser filer.

Ils s'étaient déjà éloignés qu'elle était toujours plantée là, toute à ses pensées. Donner quelques conseils lors de la régence, elle qui n'avait pour toute expérience que Rome, ses blasons et sa Maison. La joie se mêlait à l'inquiétude. Il n'était pas temps de faire honte à ses aïeux.
Les gestes ralentis par ses réflexions, elle se décida à ne pas prendre racine en pleine salle. Et s'approcha d'une tablée où quelques pâtes de fruits lui faisaient de l'oeil. Et d'un geste se fit servir un nouveau verre de vin. Ce fut le P'tit Lu qui lui en tendit un. Un « Chance y est ». Un vague sourire effleura ses lèvres à cette saveur fruitée et légère de coteaux tourangeaux, loin de la lourdeur capiteuse des Bourgognes.

La danse lui avait égaillé le coeur. Et ravivé la douleur de son flanc. Avisant un coussiège dans l'encadrement d'une fenêtre, elle s'y installa pour s'y reposer un moment. Son verre posé à côté d'elle et quelques douceurs dans le creux de sa main, elle s'interdit de chercher du regard son « chef », désireuse de s'épargner toute blessure autre que physique, mais ne manqua pas la leçon de danse de Marine. Une vague de tendresse s'insinua en elle en admirant discrètement sa petite soeur.

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--Marais
Elle ne manquait pas de salive, cette Chipolata !
Ni d'humour d'ailleurs. Sa voix un peu aigüe fichait un sourire désormais permanent sur les lèvres de Marais. Mais il se défit petit à petit à mesure qu'un sourcil mi-étonné mi-désapprobateur se haussait au dessus de son oeil droit. Puis soupir de soulagement. Un peu comme une outre remplie d'eau qui se vide.

"S'il y en avait eu temps, même sans armes, cette soirée aurait fini en pugilat !"

Danser, c'est profiter de l'autre, mais aussi regarder alentours. Il y avait ceux qui dansaient déjà, une jeune fille parmi eux. Les autres qui s'invitaient à venir, ceux qui buvaient et riaient, parlaient sérieusement ou non. Un chien qui lorgnait un plat où de temps à autres quelqu'un venait se servir. Les cruels !
Et il y avait cet autre, là-bas, qui les regardait. Qui la regardait. Décidément, il devait être bien seul celui-là pour n'avoir personne à qui parler. Sans doute ne faisait-il pas parti des Coalisés. C'était drôle de se dire qu'il s'agissait au fond d'un allier, alors qu'ils se comportaient comme ennemis. Le pouvoir des femmes !

Le plus grand pouvoir des femmes est dans leurs yeux. Même si souvent les poitrines tentent de faire concurrence à grand renfort de décolleté et de dentelles, ce n'est jamais qu'une diversion. Aussi Marais ne manqua pas de voir les œillades qui partaient toujours vers ce pauvre soldat là-bas au coin. Alors oui, il fut assez heureux de le voir partir.
Il fit de son mieux pour trouver quelque chose d'intéressant à regarder pour lui laisser croire qu'il ne voyait rien. Il regarda donc le chien. Un instant, il y vit une comparaison avec le soldat. Il dégagea un peu son épaule pour qu'elle puisse y reposer autant qu'elle voulait, et l'air de rien serra un peu plus sa main dans la sienne. Il ne s'agissait que de la réconforter sans vraiment le faire. Heureusement, ce passage ne fut pas long.

"Vous amuser et vous faire boire ? Eh bien soit ! Il en sera ainsi. Mais commençons par quitter la piste alors. Valse et boisson font rarement bon ménage." dit-il en l'entrainant à petit pas vers les buffets. Il y prit deux verres de vin et lui en tendit un en laissant leurs doigts tout juste s'effleurer. Un petit jeu avec les convenances. "Alors si je dois me méfier de votre servante en plus de vous satisfaire, soyez sûre que je serez un cavalier tiré à quatre épingles sur tous les points !" sourit-il en lui tendant sa coupe pour trinquer avant de boire une première gorgée. "Au moins n'êtes vous pas de ces demoiselles à s'effondrer au premier verre !"
Bobbynight
Profitant de ses quelques jours de convalescence, le Sieur Bobbynight était heureux de se rendre à la réception données par la Duchesse.
Il mit les plus beaux habits qu'il avait emmené et se rendit au Palais.

Il n'était pas accompagné, mais les visages qu'il reconnut ici lui mit du baume au cœur. Il y avait là tant de Bourguignons qu'il n'avait pas croisé depuis qu'il avait quitté Dijon qu'il se sentait en confiance. Il reconnut également des compagnons d'armes qu'il s'était fait durant la campagne.

Malheureusement, parmi toutes ces personnes d'excellente compagnie il avait du mal à trouver son hôte pour la saluer. Il fouinait du regard par ci par là sans succès....

...Bien, je m'en vais prendre un verre, ça le fera surement venir.

Il leva son verre dans un regain de confiance :
Salute compagnons!!
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Kayhan
[On the dancefloor - Fallait pas l'y traîner]

Kay siffle sa seconde chope pleine à raz bord de Vouvray, chopes qui font suite à un godet de Bourgogne. Au delà du fait que ça lui donne ce sourire idiot que seule les pochetronnettes arrivent à se graver sur la figure, ça amoindrit visiblement aussi ses réflexes. Sa proposition de découverte de l'art brut faite au baron quelques minutes avant n'a pas eu l'air d'étonner le blond plus que ça.

Tant pis, se dit la brunette, j'le louperai pas à l'occasion. Ah p'tain c'quoi c'te musique d'chnoque ? Et sa Chope désormais vide de lui être enlevée de sa main, dont on s'empare aussitôt.

Hmmm.... ? Gniiiiiiiiiiiii ! Gégispassssssse ?!

Oui Kay a plus l'habitude du tsoin-tsoin qu'on joue sur la place du village que de la musique jouée aux réceptions hein... Sauf que l'instant suivant cette réflexion, le décor change elle se retrouve au milieu de la salle, les deux mimines dans celles du Baron, qu'elle regarde interloquée.
Citation:
- Allez ma jolie, dansons !

Jolie ? Oooh c'gentiiiiil ça ! * réaction en deux temps de la Kay emêchée* Ah mais bordel, il a mis son idée à exécution !

Feignant la décontraction, la brunette tire donc les mains de son cavalier pour le rapprocher. Un peu. Enfin suffisamment près pour lui murmurer à l'oreille :

Ça mon coco ! Ça s'dit ça a un Baron ? Rah pis mer'de, m'fiche la honte, c'est l'minimum. Z'allez me le payer mais alors, chéro, et à vue de nez z'allez même me l'payer longtemps !Tiens ben j'me d'mande s'il sait que M'sire Eusaïas m'a filé un contrat pour lui louer mon épée et le bras qui la manie. Héhéhé donc longtemps, j'blague pas forcément...

Un sourire en coin, lourd de la promesse qu'elle en restera pas là même si pour le moment elle est bien dans la panade, et elle remet un peu de distance avec son partenaire de danse. Un petit pas en avant, talon de botte vers le bas. On écrase discret le pied droit. Pratiques, les robes longues en fait !

Oupsssss ! J'suis pas adroite, pardon ! J'crois que j'vais vous laisser mener la danse hein. J'essayerai de suivre...

Ça c'est fait. Un à zéro. Son sourire angélique s'efface un 'tit peu alors qu'elle attend la réaction d'Enguerrand. C'est pas tout ça mais elle sait toujours pas danser, la brune...
Estainoise
Salle de bal

Esquisse d’un sourire sur ses lèvres…..
Esta s’amusait aux bras de Drunk à essayer de sonder les pensées de cet homme insondable.
Les jours partagés au sein de l’Enece depuis le début de cette guerre, les épreuves traversées avaient fait que tous s’étaient serrés les coudes.
Et Drunk en avait fait autant, tout en gardant encore une certaine distance.

Etait-ce de la pudeur ? De la méfiance vis-à-vis du genre humain ? A moins que ce ne soit elle qui le percevait ainsi !
Pourtant Drunk l’entrainait dans cette danse tout en lui répondant
….Je peux être un bon garde du corps et dans tous les sens du terme !

Esquisse encore d’un sourire sur ses lèvres alors que tous deux suivent à pas comptés la musique. Drunk ne lui avait jamais parlé ainsi et cela amuse Esta qui le surprend ensuite à rougir.
Celui-ci regarde alors ailleurs….Esta suit son regard….Oui, il y a de plus en plus de monde et la piste de danse est maintenant pleine de danseurs.


Tiens Messire June est venu ...Et Esta de suivre encore son regard….Faut l’avoir à l’œil Drunk….

Et voilà que Drunk, pourtant si avare de paroles l’en abreuve…
D’abord, un peu de morale et Esta se renfrogne un peu et perd à nouveau son sourire
.
Je bois pour oublier que je bois figures toi….lâcha t’elle bêtement.

Mais Drunk continue de lui parler doucement.
Je ne cherche pas à trouver un homme répond encore Esta légèrement sur la défensive….même si parfois, la solitude peut me peser et que l’envie de poser ma tête contre une épaule solide me prend parfois.

Et Drunk continue de lui parler encore…de la guerre, de ce qu’il perçoit d’elle….
Décidément, Esta n’avait jamais pensé paraitre si guerrière, elle qui se retrouvait dans ce conflit un peu par hasard et n’ayant jamais été très combative auparavant.
Esta se savait juste une brave fille…..
Cependant, l’idée de Drunk de se défouler un peu lui fit retrouver encore le sourire. C’est qu’elle en avait besoin de se défouler
,

oh oui….J’veux bien qu’on s’entraine à combattre Drunk, je ne manie pas encore très bien l’épée…et quand à la prière, je m’y adonne en silence…et oui, j’aspire aussi à trouver la paix dans la lecture des saintes écritures. Nous pourrons effectivement en parler plus sérieusement un autre jour. J’aspire à mieux connaitre et faire connaitre la réforme.
Nous avons peut être à travailler ensemble dans cette voie aussi.


Drunk la raccompagna ensuite vers le buffet et se retira….
Esta se servit un godet et bu tranquillement alors, plus calmement, tout en regardant la salle.

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