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[RP] Prison: Visites ....guidées

Sibylle.
Sibylle se tenait devant la prison, se frottant les mains nerveusement.
C'est dans des cas comme celui-là qu'elle aurait bien voulu envoyer promener sa piété et les habitudes de générosité que lui avaient donné les sœurs.
La générosité publique étant bien organisée dans sa ville, le seul lieu où il restait de pauvres âmes sans le secours de la religion était la prison du comté.
Elle avait demandé et reçu les autorisations nécessaires et s'apprêtait à y faire sa première visite
Mais, malgré sa bonne volonté, son courage défaillait.
Distribuer aumône et vêtements en compagnie de bonnes sœurs ou de dévots étaient quand même plus rassurants que de s'aventurer seule dans cette sinistre bâtisse pour aller visiter des gibiers de potence...

Elle ferma les yeux, un instant, récitant une courte prière. Rassérénée, elle alla toquer au guichet.
Celui-ci s'entrouvrit laissant passer une trogne hirsute et une haleine fétide.


C'est pour quoi?
-B-bonjour, je suis S-si-sibylle de la S-serna. J'ai autorisation p-pour visiter les p-prisonniers.
-Ah ouais! Suis au courant. La donzelle au grand cœur...
J'ouvre.


L'huis s'ouvrit avec un grincement sinistre, laissant juste assez de place à la silhouette gracile de la jeune fille pour s'insinuer.
La pénombre ambiante lui fit cligner des yeux.
Le geôlier apparut à ses cotés, la faisant sursauter


Vous ressemblez pas aux vieilles chouettes qui viennent d'habitude!
Pas sur que ce soit un bien...

Il cracha un long jet de chique sur le coté
Allons y!
J'vous préviens: sont plutôt calmes, mais ce sont pas des toutous de salon.
Les approchez pas d'trop près


Sibylle s'accrocha à l'anse de son panier comme à une bouée de sauvetage, pas vraiment rassurée par les paroles de l'homme.

V-vous croyez q-que je p-peux leur lire un pa-passage du Livre d-des Vertus? demanda-t-elle
Le geôlier éclata de rire.
Ceusses là, pour la plupart, ne croient ni en Dieu, ni au Sans Nom
Gâchez donc pas vot'salive.

Lançant un regard à la petite, il reprit sur un ton plus aimable:
Donnez leurs vos provisions, écrivez leur des lettres si ils vous le demandent, donnez leur des nouvelles du monde extérieur, racontez leur votre vie toute mimi, sans trop leur donnez de détails non plus, hein, faut être prudente et vous aurez déjà bien travaillé.

Sibylle remercia le geôlier de ses conseils par un sourire lumineux. Redressant les épaules, elle marchait d'un pas plus alerte.
Ils arrivèrent enfin devant une cellule commune qui contenait 4 ou 5hommes.
Certains dormaient dans la paille, deux autres jouaient mollement aux dés, un agrippé aux barreaux du soupirail scrutait le ciel.
Ils se retournèrent tous aux bruits de la clef dans la cellule.


Vla Damzelle Sibylle qui vient vous apporter nourriture et nouvelles.
Tenez vous correctement, bande de salopiauds. C'étions point une de vos catins qu'vous fréquentiez d'habitude.

Il s'adressa plus bas à la jeune fille:
Je reste dans le coin. N'hésitez pas à appeler si vous avez un souci. Je viendrai vous chercher quand l'heure sera arrivée
D'une main impatiente, il poussa Sibylle dans la cellule, manquant la faire trébucher et referma la porte.

Relevant la tête, Sibylle prit conscience des regards fixes que les prisonniers dardaient sur elle
Elle s'empourpra.

B-b-bonjour......
Nul ne bougeait dans l'étroite pièce.
Le regard de Sibylle balayait la pièce en tous sens. Il se fixa soudain sur les pieds d'un prisonnier.
Celui-ci, portait en effet, une incroyable paire de chaussettes roses.
Ce détail rassura Sibylle et la fit sourire: un homme qui porte des chaussettes roses ne peut être entièrement mauvais,non?


Je suis venue vous porter quelques victuailles: un jambon et les premiers fruits du verger. Vous avez faim?
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Membre du fan-club officiel de Ze Glandu
--Batista
Batista se réveilla entendant une voie de femme il se demandait ce qu'elle foutait la.


Franchement ont à l'air d'avoir faim? Ont meurt de faim ici! Alors donne nous ce que tu nous a apportez et sauve toi ce n’est pas un endroit pour les donzelles dans ton genre.
Puis le brigand vu un autre homme se lever et s'approcher de la femme l'homme qui c'était approché de la femme dit:

A enfin une femme a violer ce n’est pas trop tôt

Batista sauta d'un bond et se mit devant l'homme.

Tu l'as touche je te tue espèce de gros lard! Mais le gros lard se fichait de se que disait batista et il mit sa main sur la femme. Alors Batista donna un coup dans la tempe de l'homme qui le fit tomber au sol.
Puis il regarda la femme.


Bon continué votre charabia!
--Zouz83
posté pour zouz qui est privé de forum


Dans une geôle du Languedoc.


Zouz avait pour habitude de se retrouver seul dans une geôle rien qu'à lui afin de réfléchir à ses actes, devenir mou du cerveau et d'autre part.... Enfin bon pour une fois c'était pas le cas on l'avait accompagner dans une cellule comportant déjà plusieurs autres personnes sympathique en plus. Des voleurs comme lui brigand de petit ou de grand chemin. Que demander de plus il avait des gens avec qui parler et avec qui rire des gens qui le comprenais.... Bah oui y en avait un qu'était vachement pervers dans le tas. Du coup les minutes passaient vite, les nuits étaient fraîche mais réchauffer par le rire des occupants de la cellule en bas.

L'un des occupant racontait comment il avait un jour pris les affaires d'un homme en se battant et une fois l'homme a terre il lui avait piquer sa charrette ou ce trouvait aussi la femme du malheureux qui mangeais la boue. Celle ci devins la femme du brigand. Tout les autres étaient accrocher à ses lèvres une si belle histoire... Enfin bon.

L'un était un guerrier morbide qui aimait à finir les combattants lentement au couteaux pour soit disant leurs soutiré des informations mais ça c'est ce qu'il disait à ses supérieur quoi de mieux qu'une bonne excuse pour pouvoir profité de ses fantasme avec des pauvres prisonnier futur gibier de torture.

Zouz n'était pas le plus gentil des 5 mais pas le plus méchant non plus enfin... Tout dépendais bien sur du point de vue...

La prison était tout de même agréable par rapport à celle qu'il avait déjà occupé en Périgord et en Auvergne ou la pierre était froide et ni paillasse ni rien n'était offert au prisonnier. D'ailleurs dans cette prison du Languedoc on lui amenait même de quoi se remplir la panse vraiment très généreux.

C'était l'heure de la bouffe quand une jolie femme arriva elle semblais impressionner par les hommes et encore plus par les super chaussette du Zouz rose oui! Mais super classe pas mieux pour draguer les femmes. Et surtout pour distraire les victimes lors des vols.

Elle était venue donner du jambon et des fruits... Super rien pour caler la bidoche. Pas de pain... M'enfin comme on dit c'est l'intention qui compte Zouz se leva quand il entendit l'un de ses compagnons envoyer la généreuse se balader. Puis un autre, le pervers, se lever et aller vers la demoiselle pour la défleuré cela mis le sourire au lèvres au brun jusqu'à ce que celui qui voulais renvoyer la femme s'interpose... Même pas marrant l'aurai bien profité de la donzelle le Zouz...

Il pris un bout de jambon et une orange puis alla prendre place pour écouté la femme calmement. S'en foutait un peut de ses dire la seule chose intéressante qui aurait pu arrivé venait d'être compromise par l'autre.

Zouz envoya des épluchure de son orange sur la femme pendant qu'elle racontait son histoire discretos bien sur et quand elle regardait dans la direction d'où venaient les peaux, il faisait mine de rien... Petit jeu d'un pauvre type qui se fait ch*** en prison sûrement.

--Batista
Regardant le zouz dans le yeux après c'etre levé il dit

tu veux te faire assomé aussi toi!?


Il prit son poignard qui était sous son lit et il dit a zouz de s'approcher:

Tu me donne ce que t'as a bouffer ou j'te tue

Puis batista lui tendit la main pour lui dire alles file la bouffe
Sibylle.
[Dans la fosse aux lions...une souris effrayée]

A enfin une femme a violer ce n’est pas trop tôt

En entendant ces paroles et en voyant la brute poser la main sur son bras, Sibylle faillit s'évanouir.
Elle se blottit craintivement contre la grille en voyant le premier malfrat étendre l'autre pour le compte.
Voyant le gorille par terre, elle respira un peu mieux.
Un coup d'œil alentour lui avait permis d'apercevoir le geôlier , non loin. Dans son innocence, Sibylle crut que si ce dernier n'intervenait pas, c'est qu'elle ne craignait pas grand chose.

Prenant son courage à deux mains, son panier plaqué contre elle, futile rempart contre les regards libidineux, Sibylle avança vers la table, courageux petit soldat protégée par sa foi et son innocence...
Elle en profita, vengeance puérile ou mesquine, pour piétiner toute à son aise, le gorille toujours évanoui.
Elle commença la distribution des vivres.

Une grande inspiration et elle essaya de communiquer avec les brutes présentes.


Si v-vous le souhaitez, je p-peux écrire une lettre à vos pr-proches, votre avocat ou qu-qui vous voulez.

Un frisson de l'air... Sibylle , instinctivement, porta la main à ses cheveux et y repêcha une pelure d'orange. L'homme aux chaussettes roses la regarda d'un air innocent quand elle tourna la tête, alors qu'il n'y avait que lui de ce coté là. Le coté puéril de la situation lui apparut soudainement et elle sentit un fou rire la gagner. Avec un sourire taquin à l'homme, elle mit la peau d'orange dans son panier.

M-merci, p-pour l'offrande, Me-messer. Vous m'auriez envoyé un pé-pépin, j'aurais p-pu planter un nouvel arbre et lui d-donner votre nom.

Alors que l'atmosphère semblait se détendre, le premier condamné recommença à faire de l'esclandre. Sous les yeux horrifiés de Sibylle, il sortit même une arme de sous sa paillasse.

Il voulait visiblement soulager l'homme "rose" de sa part de nourriture.
la colère envahit Sibylle, ne lui laissant ni le temps d'avoir peur, ni le temps de réfléchir.
Elle saisit le jambon par l'os, joli jambon d'un peu plus de cinq kilos, franchit l'espace qui la séparait des deux hommes d'un pas rapide et en balança un grand coup sur l'occiput de l'assaillant.


Non mais, bande de brutes sans cervelle!
Y en a marre!
Je veux bien me d-décarcasser et faire mon d-devoir de bonne aristotélicienne, mais le respect, c'est pa-pas fait pour les chiens!
Alors, si ça ne se p-passe pas mieux, le jambon ira aux chiens et vous p-pourrez toujours rêver pour avoir droit à d-de nouvelles visites!
Capite?


Elle toisa les hommes, les poings sur les hanches, une main tenant toujours sa massue improvisée, haletante, un pied posé sur l'homme maintenant évanoui.
Le silence lui répondit.

Ou alors, vous p-préférez q-que j'appelle le geôlier et q-qu'il vous apprenne la cou-courtoisie à c-coup de fouets?
Q-qui a une satanée lettre à écrire?

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Membre du fan-club officiel de Ze Glandu
--Leptit
Le ptit était mit dans un coin il vu son frere se faire frapper par une femme.Il se mit debout et s'approcha inquietement vers la Dame il la regarda et pris la parole.


Pourquoi vous...vous avez fra-frapper mon grand f...fere?Il vous a aidé pou...pourtant.Il...Il vous a sauvez la...La vie.


quand il la vue le regarder il recula de quelque pas inquiet.


Ne...Ne me tuez pas..je...je vous en suplie.Mon grand frere ma dit de jamais faire confiance a quelqun qu'on ne...ne connais pas


Il courut vers son grand frere batista et mit ses bras autour de sa taille.
Zouz83
Peau d'orange ou peaux douce?

L'homme dévisage le Zouz et lui propose avec courtoisie de lui mettre un délicat revers dans sa trogne. Le brun avait pas trop envie et alla prendre place dans son coin.

La demoiselle lui sourit... Il s'était fait avoir le coup des peaux d'orange c'est sur c'est pas très délicat... m'enfin comme on dit l'effet peau d'orange ça fait quelque chose et la sur le coup sa à rempli le panier de la donzel. Elle avait pris sa comme une offrande... Pauvre enfant c'était pas une offrande c'est juste que le Zouz était à la pêche au jolie demoiselle et qu'il avait envoyé une sorte vers de terre pour attirer l'attention avant de pouvoir faire de cette attention un rite amoureux.... La femme était peut être trop jeune pour comprendre ou elle avait été ramolli par les nonnes.

Le type revins à la charge. Il voulait à présent lui piquer son orange et son bout de jambon alors que la femme qui d'ailleurs ne s'était pas présenté en avait plein le panier de ses denrées mangeables.Le bras de la jeunette se lève le jambon frôle le plafond avant de retombé sur la tête du maraud. celui ci s'écrase par terre.

Elle parla énervé la donzelle ce qui la rendu plus attirante encore. Ça ne lui allais pas du tout Zouz avait le sourire au lèvre de la voir respiré si vite.


Moi j'ai pas de courrier demoiselle mais si vous faite rien cette nuit on pourrai se tenir chaud.

D'ailleurs on sait même pas qui vous êtes... Moi c'est Zouz.


Il fit une révérence. Le gamin pris peur de la demoiselle ce qui fit rire le Zouz. Il le regarda et lui envoya un quartier d'orange.
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Sibylle.
[Tournicoti-tournicoton, Tourbillons d'émotions]

Moi c'est Zouz.

Déboussolée,Sibylle abaissa le bras qui tenait le jambon et rendit machinalement sa révérence au jeune homme.

Si-si-sibylle p-pour vous servir, Messer

Elle le dévisagea attentivement. Il ne ressemblait guère à l'idée qu'elle se faisait d'un brigand: ni gras, ni hirsute et édenté, le jeune homme brun qui lui faisait face semblait plutôt musclé et silhouette déliée. Son sourire et l'étincelle dans ses yeux faisaient battre la chamade au cœur de Sibylle.

V-vous t-tenir chaud? Ils n-ne vous fournissent d-donc p-pas de cou-couvertures?
V-vous f-faites bien d-de me le dire: j'essaierai d-d'en apporter la fois p-prochaine.


Un gamin que Sibylle n'avait vu au premier abord s'approcha du deuxième évanoui qui commençait à reprendre conscience.

Ne...Ne me tuez pas..je...je vous en suplie


Sibylle réprima un fou rire nerveux. Cette visite de bienfaisance tournait au cauchemar ou à la mascarade. Trop de choses se passaient trop vite.
Calme toi, ma fille. Ce n'est pas le moment. Reprend toi , tout peut encore déraper.
Elle prit une profonde inspiration et cacha le tremblement nerveux de ces mains.

T-te t-tuer?
J-j'ai vraiment l'air s-si t-terrible?
J-je n'ai assommé t-ton frère q-que parce q-qu'il menaçait Messer Zouz.
Rien d-de grave, rassure toi. Un jambon n'est p-pas arme fatale.


En parlant d'arme...
Sibylle se baissa et ramassa le couteau qui trainait à terre.


J-je suppose q-qu'il n'est p-pas p-prudent d-de le rendre à son p-propriétaire ...
Et, je n'ose imaginer ce q-que le geôlier v-vous ferait à tous, si il t-trouvait une arme d-dans la cellule.


Le premier mouvement de Sibylle était de dissimuler l'arme dans son panier, mais elle s'arrêta.

J-j'imagine q-qu'il va vouloir vérifier q-que je ne sors rien ;dit elle d'un ton plaintif
B-bon, m-messieurs, retournez vous q-que je p-puisse le cacher, m-même toi, le gamin.
La jouvencelle, poings au coté, attendit impatiemment que les prisonniers accèdent à sa requête.
Bien que l'envie de reluquer en taraude plus d'un, ils ne se firent prier pour se retourner tant la peur du fouet l'emportait sur leur lubricité.

Sibylle releva sa robe et son premier jupon et glissa le couteau dans la poche de son deuxième jupon. Tout ne faisant, elle s'interrogeait
comment a t il pu faire rentrer cette arme? je gage que les prisonniers sont fouillés à leur arrivée...[pour ménager la sensibilité de mon lectorat et la pudeur de Sibyllle, cela restera une interrogation sans réponse]
Elle redescendit prestement ses cotillons.

C'est b-bon. Je suis dé-décente.
D-dis, moi gamin?
Q-que fais tu en prison?
Ce n'est p-pas la p-place d'un enfant?
Tu as s-suivi t-ton frère, c'est ça?
S-si jamais, t-tu veux changer d-de vie, viens me voir à Alais.
Je ne s-suis p-pas riche et ne p-pourrais te payer. Mais j-je peux au moins t'offrir le vivre et le c-coucher en échange d-de menus services
proposa t elle distraitement, les yeux sans cesse attirés par le sourire du Zouz aux chaussettes roses.
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Membre du fan-club officiel de Ze Glandu
--Leptit
Leptit regardait le brun qui lui balançait des peaux d'oranges

Hey!!!Ca te...Te fais rire toua de me lan...Lancer des...Des peaux d'oranges?!!!Moi j'appelle les...Gens comme...Comme touoi les cloches!!!Espèce de...Heu...Vieux croutons!!!


Puis le môme écouta la Dame qui avait assommé son frère et il lui fit sa tronches d'enfant malheureux

Rend le couteau s'il te plait...C'est tout s'qu'il reste de mon popa alors redonne s'il te plait...Puis ne laissant pas la femme répondre le gamin reprit

Ben ouais z'ai racketté un de ces nobliaux qui ont un cheval tout bouseux d'ailleurs leur cheval il leur ressemble. Le môme avait plus peur de la donzelle qui c'était ramené

Et z'men fiche de ton village ze veut pas changer de vie car ils sont méchants les autres avec mouoi la preuve il y a l'autre crouton qui me lance des trucs

Puis le p'tit s'approcha de l'autre brun et lui donna un coup de poing dans le visage


Tiens!Mouoi z'suis po une tapette comme toua
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