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[RP] La ferme aux milles senteurs

Marla
Marla était en route pour aller a la ferme d'Esqui et Len. Elle n'avait pas pu renoncer a laisser son louveteau seul à la maison alors avait décider de l'emmener avec elle. Elle lui avait tout de même fais promettre de ne pas embêter et d'être sage. Avec un morceau de viande il l'avait fais... a sa façon.
Marla sautillait en direction de la ferme lorsqu'il s'arrêta à côté d'elle et leva les oreilles. Il semblait avoir aperçu quelque chose et écouter, immobile.
Fronçant les sourcils, elle regarda dans la même direction que lui. Personne.


- Allez crapule! Vient! On va aider Esqui et Len!

Elle se remit a marcher mais vit que Crapule ne la suivait pas. Elle soupira et fit demi- tour, se demandant ce qu'il avait vu. Décidément, il n'allait pas tenir sa promesse!

- Rooh mais allez....viens...

Marla plissa les yeux pour regarder dans la même direction que lui, toujours personne. Crapule devait s'amuser a lui faire peur.
Elle le pris dans ses bras et se remis a marcher en ronchonnant
, comme ca tu me feras plus peur et fais croire que y'a quelqu'un...

Marla contemplait une jolie fleur accroupie sur le bord du chemin. Elle avait reposé Crapule au sol, mais lui avait dis que s'il recommençait il n'aurait pas d'os en rentrant parce qu'il n'aurait pas été gentil. Pensant qu'elle pourrait revenir chercher cette jolie fleur avec Esqui, elle se releva.
Marla entendit soudain un hurlement effrayant.
Sursautant, elle regarda de tout les côté pour essayer de voir d'où provenait ce cris. Faisant le rapprochement avec l'attitude de Crapule l'instant plus tôt, Marla paniqua. Reprenant son louveteau dans ses bras elle partie en courant. Priant pour que la ferme ne soit plus très loin.

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Elendillefin
Suivi de près par Esquimote, armée de sa redoutable poêle angevine, Len ouvrit brusquement la porte d'un coup, espérant surprendre un éventuel intrus qui se tiendrait derrière.

Personne!

Alors qu'il faisait un grand pas pour sortir, il trébucha sur un objet à ses pieds et faillit s'étaler dans la cour. Heureusement Alonzo était resté devant la porte, toujours attelé à la charrette et il put s'y rattraper de justesse. Reprenant son équilibre, il jura.

Haaa, Fichtre! Qu'est-ce que c'est que ça?

Un panier, un vieux panier était posé devant la porte.

Arf, Esqui! attention! c'est un piège!

Regardant tout autour de lui, dans l'espoir d'apercevoir quelqu'un, Len s'approcha courageusement du dangereux objet et le souleva délicatement pour l'examiner.

Ha non ... c'est un panier .... Hoo, il y a quelque chose dedans!
Esquimote
D’un pas décidé, Len avait ouvert la porte. Dans sa détermination à inspecter les alentours, elle le vit subitement se prendre les pieds dans un objet gisant devant la porte,

Tel un pantin, les bras battant l’air, les pieds tentant de suivre le corps, il se raccrocha de justesse à la chariote.

Restant bouche bée un instant, elle contint un fou rire, guère charitable il faut l’avouer, devant la situation.
Puis lâchant pelle et épée, elle se précipita, tout en évitant l’objet, afin de s’assurer qu’il ne s’était point blessé.

Et oui un piège en effet, nullement prévu pour le faire chuter, que nenni, mais bien prévu pour leur jouer un tour.

Le fameux panier, car il ne s’agissait bien sûr que d’un vulgaire panier, renfermait un paquet recouvert de suie. Cette matière noirâtre à l'odeur âcre, provenant probablement d'une cheminée.

A peine Len avait-il soulevé le panier, qu’une poussière grasse et noire s’envola et vint se redéposer autour du panier. Il va s’en dire que Len en fut le premier recouvert.

Le visage maculé, tout autant que les mains, il ressemblait à un charbonnier.

Hé bien mon doux ami, te voici dans un bel état.
Ohhhhhhhh non prend garde à mon Pellisson.



Devinant ses pensées, elle se mit à courir dans la cour, même pas encore vêtue, elle ne tenait guère à se retrouver grimée de noir de suie.

Tels deux jouvenceaux, ils riaient aux éclats en se poursuivant sous le regard impassible d’Alonzo.

S’arrêtant pour reprendre son souffle, son regard rencontra une pierre. Mais pas n’importe quelle pierre. Cette dernière avait une forme bien particulière.
La ramassant, elle l’a tendit à Len

N’est-elle pas étonnante cette pierre ?


Revenant sur le pas de leur logis, elle secoua le paquet, et en sortit deux petite bourses en lin chacune brodée à leur initiale respective.

Ohhhhhh regarde donc quelle gentille attention. hummmmm des amandes.

Ceci dit voilà une curieuse façon de nous les offrir non ?

Oh mais regarde donc là-bas, ne serait-ce pas Marla ?

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Elendillefin
Un nuage noir et collant s'échappa du panier quand Len le souleva pour l'examiner.

Hooo! Mais qu'est-ce que ...



Voyant qu'Esquimote était en train de se moquer de lui, il laissa tomber le panier qui dégagea un nouveau nuage noir et se mit à lui courir derrière.

Attends un peu, toi, je vais te maquiller!

Il se mit à la poursuivre en riant et était sur le point de la rejoindre quand elle s'arrêta brusquement et ramassa par terre un objet qu'elle lui tendit.

N’est-elle pas étonnante cette pierre ?

Len surpris, s'arrêta et sourit, attendri et raccompagna Esquimote jusqu'au pas de la porte. Il regarda les paquets brodés à leurs initiales.

Miam! des amandes! Mais qui a bien pu venir nous offrir cela?

Len jeta un dernier coup d'oeil autour de lui, espérant toujours surprendre le mystérieux donateur et comme Esquimote, il vit Marla qui courait dans leur direction, l'air pas très rassuré et son louveteau entre les bras.
Marla
Marla avait couru le plus vite possible, effrayée, de peur que la personne qui ai crié la poursuive. Commençant a fatiguer, elle ralentit, regardant derrière. Toujours personne.
Les arbres du chemins l'empêchant de voir au loin s'effacèrent, laissant à Marla le plaisir de voir la ferme d'Esqui et Len. Elle les aperçut dehors, l'air de rigoler et se courant après. Ils n'avaient pas l'air de s'inquiéter pour le hurlement, ce qui rassura Marla.

Elle s'arrêta de courir au moment même ou ils se retournèrent vers elle. Elle sourit et leur fit de grand geste de bras.


- Esquiiiiiiiiii! Leeeeeeeen !!

Elle se remit à courir jusqu'à eux, sans peur cette fois-ci. Elle savait qu'elle n'avait plus rien à craindre auprès d'eux, qu'ils la protègeraient si quelqu'un voulait lui faire du mal. Marla avait confiance en eux.
Elle arriva près d'eux en souriant mais essoufflée. Elle avait les joues rosit par sa course et était fatiguée d'avoir couru si vite. A vrai dire ce n'était pas facile de courir avec un louveteau dans les bras. Elle avait fait attention de ne pas le laisser tomber et en avait mal aux bras.
Marla posa le louveteau par terre et dut reprendre son souffle un instant avant de pouvoir commencer à leur parler:


- Oooooh ! Je suis contente que vous ètes la vous savez! Pfffouuh! j'ai entendu un cri mais ca m'a même pas fait peur !...

Marla rit nerveusement en jetant un dernier regard un peu inquiet en arrière puis leur sourit.
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Elendillefin
Un peu honteux de son aspect, Len accueillit Marla, sans oser la bisouiller, de peur de la noircir.

Bonjour, jeune fille! Tu as aussi entendu ce cri?
Il était effrayant n'est-ce pas!


Len lui jeta un coup d'oeil rassurant et lui présenta une amande.

En fait c'était une blague d'un ami qui nous a apporté un cadeau. Tiens, prends donc une de ces amandes...
Marla
Marla regarda Len en fronçant légèrement les sourcils, se demandant pourquoi il était ainsi noirci.

- Aah ben il est pas méchant alors votre ami...Mais heu... C'est lui il vous a mis du noir partout comme ca..??

Marla sourit, rassurée que personne ne viendrait les embêter. Elle pris l'amande que Len lui tendait puis le remercia. Mmh! elle était bien bonne cette amande.
Marla s'approcha un peu plus de Len et le tira un peu par le bras pour qu'il se penche vers elle. Elle se mit sur la pointe des pieds pour lui essuyer un peu la joue et lui faire un petit bisou.


- Merci beaucoup elle était très bonne cette amande!


Elle fit un grand sourire et alla bisouiller Esqui toute contente.
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Esquimote
[Quelques jours plus tard]

L’automne était bien présent et la pluie n’arrêtait de tomber.

Elle avait accueilli à son bureau une jeune damoiselle qui venait s’installer à laval. Devant la lassitude de la damoiselle, c’est naturellement qu’elle l’avait invitée à passer la soirée à la ferme, le temps que la damoiselle répondant au nom d’Anais puisse trouver un logis à son goût.

La rencontre ayant eu dans la matinée, elle avait eu le temps de repasser dans la journée afin de rendre présentable la pièce du fond à l’étage, qu’ils réservaient pour recevoir leurs amis.

Armée d’un balai et de chiffons, elle avait ouvert la porte de cette pièce quand de surprise, bien agréable, elle lâcha chiffon et balai. Son tendre Len, avait installé leur chambre, mais avait également remit en état cette pièce.

Il y avait notamment installé le grand lit qu’elle avait ramené de Montmirail. Replacer quelques sièges. Bien qu’étant pourvu du strict nécessaire, la pièce était des plus agréable.

Elle y déposa un petit bouquet, pour y adjoindre une touche de couleur. Alluma un bon feu dans la cheminée, puis alla déposer quelques linges propres dans la petite pièce contigüe où siégeait un cuveau.


Une fois la pièce prête, elle descendit allumer un grand feu dans la cheminée, en attendant qu’Anais qui était restée visiter un peu le village vienne la retrouver.
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Anais
Anais venait de débarquer à Laval, de suite elle était allée en taverne pour se réchauffer , se reposer de sa longue route depuis Honfleur.
Elle avait été accueillie avec beaucoup de gentillesse par les Lavalloises des dames fort charmantes .
Une invitation lui avait été faite par Dame Esquimote pour hébergement en sa ferme des mille senteurs...Elle tourna et retourna dans la ville, puis elle se souvint que Esquimote lui avait dit que sa ferme était près du lac à l'extérieur de la ville.
Elle cueillit quelques fleurettes dans les massifs de la maire, prenant garde de ne pas se faire repérer .
Soudain, elle aperçu une magnifique ferme.
Esquimote l'attendait sous le pas de porte, elle lui fit un gros sourire.

"Bonjour, Esqui, eh bien me voila, je suis très intimidée car je n'ose te déranger, mais ta gentillesse a eu raison de moi, je suis très affamée, j'aurais besoin de me rafraichir aussi et un bonne nuitée fera le reste."

Anais resta là, regardant les alentours et se promit de visiter cette jolie ferme.
Esquimote
[RANGEMENT DE L’ETAGE DE L’ATELIER]

L’absence de Len était quelque peu compensé par la gaité d’Anais.

L’automne et son flot de pluie ne permettant guère les travaux au jardin, elle s’attela à réorganiser son atelier.

Beaucoup de lumière étant nécessaire pour un bon tissage, surtout
si le travail à exécuter est fin. Le métier fabriqué en pin, venait d’être déplacé près de l’immense ouverture vitrée afin de profiter du maximum de lumière nécessaire.



Les laines mal entreposées jaunissent, chauffent, perdent de leur qualité. Les caves, les endroits humides, étant donc à proscrire. Elle avait décidé d’entreposer dans la soupente les toisons.


La laine fraîchement tondue est remplie de suint, cette graisse sécrétée par les glandes sudoripares de l’animal ce qui lui donne un toucher gras et une odeur forte : Il fallait pour l’éliminer ce suint, laisser d’abord tremper dans l’eau froide toute une nuit. Puis de taper sur la laine avec un battoir pour enlever les impuretés.

Puis avec un premier triage à la main sont enlevés grossièrement les brins de paille, feuilles et autres impuretés

Ensuite, lavage. dans une grosse marmite d'eau laissée au soleil plusieurs heures avant de changer l'eau et recommencer le trempage. Bref, ca n'est plus plusieurs heures mais plusieurs jours pour que l'eau soit à peu près claire.

Les feuilles et les racines de saponaire écrasée dans l'eau produisaient une mousse savonneuse qui permettait de laver la laine.

Au fur et à mesure que les toisons étaient lavées, elles étaient étalées toujours dans la soupente, mais dans le côté opposé.
Depuis une dizaine jours équipée d’une fourche en bois, elle aéreait la laine, lui permettant de sécher.


Il ne lui restait plus que le cardage pour pouvoir ensuite filer la laine à l’aide du rouet.



Elle se réservait cette dernière étape le soir au coin de la cheminée.

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Elendillefin
Sortant de chez les moines, Len revint à la ferme, tard un soir. Il avait plu tout le long de la route et il était pressé de retrouver la tiédeur du logis et la douceur des bras d'Esquimote.

Esquimooote! Je suis làààààà!

Un grand silence lui répondit.

Esqui? Où es-tu?

Len se mit à la chercher partout dans la maison.

Hoo, elle avait parlé de devoir aller au Mans! Peut-être ...

Len courut à l'écurie. Eole et Alonzo levèrent à peine la tête de leur botte de foin en l'entendant pousser la porte.

Mais? où est-elle?


Soudain, un bruit à l'étage attira son attention. Il leva la tête et se dirigea silencieusement vers l'échelle. Il passa la tête par la trappe du plafond, s'attendant à surprendre quelque oiseau de nuit qui serait venu s'abriter dans la soupente.

Hooo! Mais c'est mon Esqui! Que fait-elle?

Il la regarda en silence pendant qu'elle secouait la laine avec la fourche en faisant des tas puis en l'étalant.
La laine avait l'air chaude et douce ... Qu'il serait bon de s'y coucher ...

Len gravit silencieusement les derniers échelons et s'approcha d'Esquimote, prenant bien soin de ne pas faire grincer les lames du plancher.
Doucement il la prit par la taille et lui enleva sa fourche puis la fit tomber avec lui dans le tas de laine presque sèche.


Surprise!
Anais
Anais ne se sentait vraiment pas à sa place dans cette ferme.
Elle dérangeait à coup sur.
Par politesse pour son hôte , elle glissa un petit mot sous la porte d'entrée.

"bonjour Esqui, mille grâces pour votre hospitalité, mais vous avez surement besoin d'intimité Len et Vous....Je vais de ce pas faire ma demande au cadastre pour une maisonnette, je dois acquérir mon indépendance"

Elle s'en fut au village, en souhaitant tous les voeux de bonheur à ce couple.
Un jour je serai comme eux, heureuse avec un homme à aimer, pensa t elle.
Elle sourit à ses pensées. Elle rêva à son Prince Charmant. Mais ou est il ? quand frappera t il à son cœur ?
Elendillefin
Au retour de leur tour du Maine, Esquimote et Len trouvèrent le paysage lavallois envahi par la neige.

Le lac gelé, les arbres blancs de givre, tout annonçait l'arrivée de l'hiver et avec lui, la plus belle fête de l'année: Noël. Le calendrier de l'Avent commencerait sous peu et Esquimote aurait surement bien du travail pour s'en occuper.

Cette après midi-là, après avoir mangé, Len se dirigea vers la forêt proche, une hache sur l'épaule. Ce n'était pas pour couper du bois de chauffage, non! Celui-ci était déjà rangé au sec depuis plusieurs mois dans la réserve à bois!

Len avisa un jeune sapin dont le port et la taille lui semblaient convenir.




En quelques coups de haches, il coupa proprement le jeune arbre, le chargea sur son épaule et reprit le chemin de la maison.

Esquiiiiii! Regarde ce que je ramène!
Esquimote
Noël est le temps de la joie et de la paix de l'âme, où l'on reçoit et offre beaucoup d'amour et de candeur. Ca se voit surtout dans l'enthousiasme des préparatifs pour l'accueil de cette fête.

Un des moments les plus importants de la veille de Noël est la décoration du sapin à laquelle participe toute la maisonnée.
Depuis ces attaques incessantes contre la mairie, et les tours de garde, ils n’avaient guère eu le temps de s’occuper de leur ferme.

Len avait ramené un magnifique sapin. Le sapin toujours vert, était signe d'immortalité.

L'arbre de Noël regroupe plusieurs symboles montrant les richesses que nous offre la nature : la lumière, les anges, les fruits des vergers, des champs, de la forêt et de la mer. L'étoile qui brille à son faîte annonce la fin du voyage, le havre de paix.

Garni de pommes rouges, un sapin symbolisait alors l'arbre du Paradis

Elle avait donc mit de côté dans le cellier des pommes rouges. Les avait enrobés d’un caramel mélangé à des fruits rouges..

Les pommes d’amour étaient bien alignées sur la table et ils entreprirent de les accrocher au sapin.



Connais-tu cette légende Len :


A propos des guirlandes qui illuminent nos sapins, la légende raconte qu'il y a bien longtemps, en Allemagne une maman s'affairait pour Noël. Pour ce faire, elle avait dressé le sapin, briqué sa maison, chassé les araignées à grands coups de balai.

Effrayées, celles-ci étaient parties se réfugier au grenier. Le calme et la sérénité revenue, hardiment, les araignées redescendirent et découvrirent le sapin.

Elles trouvèrent l'arbre si joli, qu'elles en entreprirent l'assaut le couvrant de leurs toiles grises et poussiéreuses. Quand le Père Noël arriva un peu plus tard pour distribuer les cadeaux, il fut ravi de découvrir nos araignées heureuses, pleinement satisfaites de leur savant maillage mais il pensa aussi à la tristesse de la maman qui allait retrouver son arbre enveloppé de toile grise.

Du coup, pour satisfaire tout le monde et parce qu'il était aussi un peu magicien, le Père Noël transforma les fils grisâtres en fils d'or et d'argent.

L'arbre se mit alors à scintiller et à briller de tous ses feux… il était devenu magnifique. C'est pour cette raison que depuis, nous couvrons nos sapins de belles et brillantes guirlandes. C'est également pour cela qu'à Noël, il nous faudrait toujours glisser au milieu des branches du sapin, une gentille petite araignée.


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--Les.petits.lavallois
Le petit groupe était à présent hors les murs de Laval. La petite troupe chantait joyeusement sur le chemin menant au lac.

Ouahhhhhhhhhh on as eu pleinnnnnnn sucettes.. chic chic chic

Ouep sont chouettes les grands quand c’est Noël

On s’arrête là, c’est qui qui habite là ? qui c’est qui connait ?

Moiiiiiiiiii j’sais c’est la ferme de M’dame Esquimote et de M’sieur Len

Ouaissssssss on y courttttttttttt… J’l’aime bien m’sieur Len, il donne toujours des sucettes aussi..

M’dame Esquimote aussi…on leur chante une belle chanson pour eux ?





Un deux trois

Les anges dans nos campagnes
Ont entonné l'hymne des cieux,
Et l'écho de nos montagnes
Redit ce chant mélodieux :
Gloria in excelsis Deo (Bis)

Bergers, pour qui cette fête ?
Quel est l'objet de tous ces chants ?
Quel vainqueur, quelle conquête
Mérite ces cris triomphants :
Gloria...

Ils annoncent la naissance
Du libérateur d'Israël
Et pleins de reconnaissance
Chantent en ce jour solennel :
Gloria ...

Cherchons tous l'heureux village
Qui l'a vu naître sous ses toits
Offrons-lui le tendre hommage
Et de nos coeurs et de nos voix :
Gloria ...

Bergers, quittez vos retraites,
Unissez-vous à leurs concerts,
Et que vos tendres musettes
Fassent retenir les airs :
Gloria ...
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