Elendillefin
Le campement de Rachelle.
Laval ... une ville bien sympathique et pleine d'animation. Une ville où on faisait la fête sans discontinuer. Tout y était prétexte à amusement, les bals y succédaient aux banquets et les loteries aux concours. La place communale était constamment noire de monde qui prenait plaisir à y passer du bon temps.
Mais Laval était aussi une ville dans laquelle de nombreux voyageurs faisaient étape. En effet, la ville était un point de passage obligé, qu'on veuille entrer ou sortir de Bretagne ou d'Anjou, se rendre dans les autres villes du Maine ou aller vers l'Alençon ou la Touraine ....
Tous ces visiteurs de passage étaient évidemment les bienvenus à Laval, pour peu qu'ils y apportent des nouvelles de contrées plus ou moins lointaines et leur bonne humeur de circonstances. Souvent, ils se trahissaient par leur accent ou par leurs traditions quelques peu différentes de celles du Maine. D'autres souhaitaient pouvoir y revenir et y avoir un pied à terre pas trop cher qui leur permettrait d'y passer quelques jours de repos dans une ambiance décontractée.
Mais si les tavernes de la ville leur ouvraient grandes leurs portes, il n'était point toujours aisé de trouver où les loger. De plus, les voyageurs pressés étaient toujours à la recherche de chevaux frais afin de repartir à bride abattue pour de mystérieuses et lointaines missions ...
C'est ainsi que d'aucuns décidèrent d'installer un campement de roulotte ainsi qu'un relais de chevaux à l'entrée de la ville. Comme il fallait quelqu'un de compétent pour s'occuper des chevaux et les soigner, il fut demandé à Len de s'en occuper.
Un site situé le long d'un petit affluent de la Mayenne fut trouvé et aménagé.
Len décrivait ainsi la disposition du campement:
La rivière permettra aux chevaux de boire et aux occupants d'avoir de l'eau fraîche à disposition. Il y a des arbres pour avoir de l'ombre, une place pour se réunir autour du feu de camp et des bâtiments abriteront les latrines et autres commodités nécessaires aux voyageurs.
Le relais des chevaux avec les écuries sera situé le long de la route.
Des pâtures permettront aux chevaux de se repose, de se dégourdir les jambes et de se régaler d'herbe fraîche.
Avec l'aide des villageois, un panneau fut installé au dessus de l'entrée:
Les voyageurs trouvaient de la place pour leur propre roulotte, mais pour ceux qui n'en avaient pas, quelques une furent disposées dans le campement et aménagées.
Tout était prêt pour accueillir les voyageurs.
_________________
R.I.T.M - Respect . Intégrité . Tolérance . Maine
Laval ... une ville bien sympathique et pleine d'animation. Une ville où on faisait la fête sans discontinuer. Tout y était prétexte à amusement, les bals y succédaient aux banquets et les loteries aux concours. La place communale était constamment noire de monde qui prenait plaisir à y passer du bon temps.
Mais Laval était aussi une ville dans laquelle de nombreux voyageurs faisaient étape. En effet, la ville était un point de passage obligé, qu'on veuille entrer ou sortir de Bretagne ou d'Anjou, se rendre dans les autres villes du Maine ou aller vers l'Alençon ou la Touraine ....
Tous ces visiteurs de passage étaient évidemment les bienvenus à Laval, pour peu qu'ils y apportent des nouvelles de contrées plus ou moins lointaines et leur bonne humeur de circonstances. Souvent, ils se trahissaient par leur accent ou par leurs traditions quelques peu différentes de celles du Maine. D'autres souhaitaient pouvoir y revenir et y avoir un pied à terre pas trop cher qui leur permettrait d'y passer quelques jours de repos dans une ambiance décontractée.
Mais si les tavernes de la ville leur ouvraient grandes leurs portes, il n'était point toujours aisé de trouver où les loger. De plus, les voyageurs pressés étaient toujours à la recherche de chevaux frais afin de repartir à bride abattue pour de mystérieuses et lointaines missions ...
C'est ainsi que d'aucuns décidèrent d'installer un campement de roulotte ainsi qu'un relais de chevaux à l'entrée de la ville. Comme il fallait quelqu'un de compétent pour s'occuper des chevaux et les soigner, il fut demandé à Len de s'en occuper.
Un site situé le long d'un petit affluent de la Mayenne fut trouvé et aménagé.
Len décrivait ainsi la disposition du campement:
La rivière permettra aux chevaux de boire et aux occupants d'avoir de l'eau fraîche à disposition. Il y a des arbres pour avoir de l'ombre, une place pour se réunir autour du feu de camp et des bâtiments abriteront les latrines et autres commodités nécessaires aux voyageurs.
Le relais des chevaux avec les écuries sera situé le long de la route.
Des pâtures permettront aux chevaux de se repose, de se dégourdir les jambes et de se régaler d'herbe fraîche.
Avec l'aide des villageois, un panneau fut installé au dessus de l'entrée:
Les voyageurs trouvaient de la place pour leur propre roulotte, mais pour ceux qui n'en avaient pas, quelques une furent disposées dans le campement et aménagées.
Tout était prêt pour accueillir les voyageurs.
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R.I.T.M - Respect . Intégrité . Tolérance . Maine