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[RP] A l'attention des voyageurs : Le campement de Rachelle

Jacquette


Jacquette fut vite rassurée en voyant les regards que la rousse et l'homme se jetaient.

Hmmm, viens mon Jacqouille, je crois qu'on va les laisser seuls un peu ...
Max_premier
Il n'avait d'yeux que pour elle et sourit quand à l'entendre et reçut avec plaisir sa bise.

Je suis bien heureux moi aussi même si c'est de courte durée, vous voir méritait le voyage. Ne vous inquiétez pas, je voulais simplement me dépoussiérer avant de vous retrouver. Une deuxième bise, un message de bon voyage.

Soyez en sûre, je vais tâcher de rester en entier, je pense que mes muscles peuvent encore servir. Un clin d’œil et je reviendrai le plus vite possible pour que vous soyez mon guide.

Jacquouille... demoiselle, je suis désolé de vous avoir déranger et de repartir aussi vite mais promis dès mon retour, je discuterai un peu plus longuement et visiterait peut-être ces roulotes qui m'ont l'air bien confortable.


Il se retourne à nouveau vers Maélia.
Faîtes attention à vous aussi joli souffle, je reviens le plus vite possible. Ses joues sont chaudes, il le sent, il doit être rouge mais il s'en moque, il ne peut résister à glisser une bise sur la joue de la jolie rousse tout près de son oreille. A très vite.

Il reprend son sac, sa charrette, se retourne un moment, sourit puis repart sur les routes, un compagnon de route l'attend pour la bonne cause. Il espère que le groupe qu'ils rejoindront seront assez forts pour faire impression.
Plectrude.
[Du coté des roulottes un soir : A la recherche d’un endroit où crecher]


Sa fierté venez d’en prendre un coup.
Elle Magaline Reudi, ex ambassadrice diplomatique de touraine, belle fille d’une Salières de Villandry, devenue précieuse par la trop grande indulgence d’une Baronne et adolescente pourrie gâtée par un père repentant. Elle, princesse au petit pois déchue, chassée du foyer comme une malpropre, partie du domaine la tête haute et les poches pleines.
Comment cette Magaline Reudi là pouvait elle tomber si bas?

Errant depuis une semaine d'auberges en auberges et d'aubergistes à tourmenter en aubergistes à tourmenter, son chemin avait été stoppé à Laval par des bureaucrates bretons trop méfiants.
Un soupire de désespoir lui échappa la vue des roulottes dont on lui avait pourtant vanté les mérites plutôt dans la journée. Certes elles semblaient confortables et bien tenues, mais tout de même ! Au domaine des Salières, elle disposait d’une pièce bien plus grande rien que pour ranger ses toilettes.
La voix glaciale d’une marâtre malfaisante vient alors raisonner entre deux synapses de sa majesté névrotique aux caprices foisonnants :
"Voyez ma fille ce que c’est que de ne pas savoir tenir sa langue. Déshonneur et disgrâce. Pourtant ce n’est que le début. Bientôt vous vous trainerez, miséreuse, dans la boue en mangeant des racines. Et ce jour, je reviendrais à vos côtés pour vous écraser de ma victoire. Alors vous me supplierez de vous reprendre et moi, en grande dame que je suis, je vous tendrez un bout de soie pour vous moucher le nez … avant de vous laisser choir."

Réprimant un frisson, la jeune névrosée mit pied à terre. D’une main elle alla caresser l’encolure de son étalon tandis que de l’autre elle hélait les environs.

Heps toi là-bas ! Commença-t-elle en appelant une figure qui lui semblait domestique. Sans doute ceux dont on lui avait parlé, Jacquette ou jacquouille … ou quelque chose du même genre.
Aurais-tu l’amabilité de m’indiquer un endroit ou crécher. Il me faut un toit pour dormir et pour entreposer mes malles.

D’un geste elle indiqua les objets en question. Deux grosses malles de chaine aux verroux épais, montées sur un plateau de bois à roulettes que tirait sa monture. Une malle pour ses effets personnels et la seconde pour les souvenirs emportés avec elle du domaine des Salières. De cette seconde malle d’ailleurs, elle venait de tirer un paquet qu’elle déballait avec soin. Dénouant une cordelette de cuire elle put déplier un torchon qui laissa apparaitre quelques pointes d’argent.

Cette chose-là, continuait elle en désignant une des roulottes inoccupées, cette cabane montée sur roues me semble correct. Je te l’achete !
Acceptes-tu d’être payé en argenterie ?


Drôle de question et drôle de mœurs, voilà que la jeune fille tire de son paquet défait quelques couverts en argent blanc estampillés du sceau de Salières de Villandry.

Trois fourchettes et deux cuillères, ça devrait faire l’affaire. Refondu ça vaut une fortune. Allons prend, ne soit pas timide!

Oh et mon cheval aurait besoin d’etre pensé.

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Jacquette


Jacquette admira d'un oeil expert la superbe monture qui entrait dans le campement, surmontée d'une jeune femme dont l'expression laissait percevoir un mélange de supériorité mais aussi d'agacement et beaucoup d'épuisement.

Tel maitre, tel cheval ... se dit Jacquette.

L'étalon, fort bel animal au demeurant, semblait pourtant ne plus avoir vu une vraie écurie depuis longtemps et le pauvre avait bien besoin d'une bonne litière de paille fraîche et d'un picotin d'avoine.

Jacquette aida la dame à mettre pied à terre et lui sourit aimablement.


Bienvenue au campement, noble dame. Mon maître messire Len m'avait prévenu de votre venue probable.


Répondant à l'interpellation de la dame, Jacquette lui désignait les roulottes lorsqu'elle lui tendit des couverts comme jamais de sa courte vie de paysanne elle n'avait eu l'occasion d'en voir.

Elle mit un certain temps à comprendre que la dame voulait acheter la roulotte. Elle rougit violemment.


Heuuu, vous vous méprenez, dame ... cet endroit est fait pour accueillir les voyageurs ... les roulottes ne sont pas à vendre, ni même à louer ...
Vous vous installez dans celle que vous voulez, vous restez aussi longtemps que vous voulez ... et vous n'avez rien à payer ...


Jacquette lui adressa un grand sourire.
Plectrude.
De la préceptrice :


Vous n’avez rien à payer.

Une simple petite phase, six mots. Un sujet, un verbe, un complément, une négation. Rien qui ne fût exceptionnel donc. Et pourtant cette si petite phrase déclencha d’une une série d’émotions plus ou moins profondes chez notre mégalomane en herbe.

Rien à payer … comme dans gratuit ? De quoi réveiller la cupidité de la jeune fille qui voit s’afficher un symbole totalement inconnu au fond de ses deux pupilles ; un grand S capital barré de deux barres verticales.
Ce qu’est gratuit elle adore ! Elle en use et en abuse. D’ailleurs quel plus grand plaisir dans la vie d’une jeune personne vivant au-dessus de son rang, au crochet de ses parents, que de se faire offrir des trucs.
Gratuit ? ah oui oui oui !

Puis vient la méfiance.
Apres tout jamais acte n’est totalement désintéressé dans la vie. Gratuit comme dans « vient de faire plumer mon pigeon » ?
Nez relevé, sourcils froncés, Magaline passe la Jacquette en revue. Elle n’a pas l’aire d’une voleuse cette brave femme. Et puis elle donne le nom de son maitre, ça serrait tordu comme arnaque !
Mais alors pourquoi ?
Mais c’est gratuit bon Dieu ne te turlupine pas et dit oui !

Très vite remplacé par l'incompréhension.
Reprenant les couverts qu’elle avait sortis, la demoiselle Reudi questionna :

Comment ça on ne paye rien ? Comment fait-on vivre cet endroit ? Des dons ? Et on ne vous paye même pas vous ?!?

Suivi alors d’une once de compassion.
N’avait-elle pas passé la première partie de sa vie chez les nones après tout ?

Tenez, déclara-t-elle en fourrant une petite cuillère en argent entre les mains de la jeune femme. Coïnciderez cela comme un pourboire pour vos services, ou si vous ne pouvez pas accepter de payement comme le cadeau d’une âme généreuse en remerciement pour votre accueil charmant.
Allons prenez ! Faites-vous en dont faire une broche, vous tomberez tous les hommes avec.


Et puisque rien n’est jamais gratuit dans la vie, surgit soudainement l’intéressement.
S’il y a une chose à savoir sur Magaline c’est qu’elle déteste suer. Deux grosses malles bien lourdes, une roulotte en hauteur, l’addition était vite faite.

Et puis euh …. Peut-être que comme ça vous pourriez me trouver quelqu’un qui m’aiderait à porter mes bagages ….
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Jacquouille
Bien qu’un peu bredin, jacqouille avait quand même une once de savoir vivre. Décelant une certaine.. complicité entre .. hmmmm il s’éclipsa. N’était-il pas revenu pour trouver jacquette.

Ahhh la voilà… Huuuuu mais c’est quoi donc c’t’attelage. Vindiouuuu mais c’est qu’v’là qu’des nobliotes. L’es réputé not’ campement.

S’approchant tel un furet, quelques mots captées par ses oreilles aux aguets le firent bondir.

Bien l’bonjour à vous M'Dame.

Embrassant sa jacquette avec toute la tendresse dont il était capable, il fronça son minois en regardant la voyageuse.

M’sieur Len est bon maitre. Repoussant l’instrument à souplette, il le redonna à la voyageuse.

Ma jacquette l’as point besoin d’ça. J’suis là moi. Soyez remercié la gueu.. euh la Dame.
J’vas vous amener vos malles. Jacquette faut préparer un coin pour la caravane des Sarrazins. Pis surtout mette leurs drôles d’ mules à grandes pattes loinnnnnnn des ch’vaux.
Euh bon la p’tite dame, v’la vos malles. Dites z’avez dévalisé un château ? Si vous vouloit d’leau, y as l’puit tout près, z’avez un seau dans la roulotte. Sinon z’vez la rivière.
Bon c’est pas l’tout ma jacquette, viens donc préparer d’la place pour la caravanne.

A la revoyure Dame. Si z’avez besoin savez où nous trouvez hien ???
okayyyyyyyyy
Ghostika
Attiré par l'odeur des bètes, Krabat, traînant la patte, Golem (son corbeau) sur l'épaule battant des ailes, s'avançait vers le campement...
Il avait perdu un ami et était à sa recherche..
Il se demandait si il pouvait se planquer là, parmis les chariottes.
Il resta un long moment planté au bord du campement, fronçant les sourcils, balayant du regard les personnes présentes.
Il ne le voyait pas..
Il s'avança cependant lentement, et resta posté là, batton encré dans le sol à attendre de voir figure souriante.
Il savait que chez les voyageurs, il n'était souvent pas bon de s'introduire sans y avoir été invité..
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Plectrude.
De la préceptrice :

Apres Martine va à la plage, Magaline découvrant les joies de l’émancipation.

Retour à l’expéditeur pour la petite cuillère d’argent qui finit sa course dans les mains d’une Magaline aux cils battants. C’est un Jacquouille pressé et pressant qui monta ses malles jusqu'à sa roulotte, la plantant là, abrutie par quelques paroles incompréhensibles : Un puit, un seau, une rivière … pour la toilette ? Mais comment fait-on pour chauffer l’eau sans femme de chambre. Tant d’interrogations sans personne lui y trouver les réponses.

Un okayyyy filant au loin et la princesse au petit pois se retrouva seule. La roulotte était ridiculement petite par rapport à son ancienne chambre, d’ailleurs ses malles en prenaient presque toute la place. Grognant, elle se chargea de pousser la première contant ses toilettes dans un espace de rangement sous le tas de draps qui devait servir de lit. Puis s’agenouillant auprès de la seconde elle en sortit son écritoire. L'objet était plutôt grossier mais d'une valeur inestimable au yeux de la jeune fille. Dernier cadeau de son précepteur en mémoire de leur nombreuses heures a philosopher au coin du feu. Elle posa délicatement la boite sur un coin de table en en sortie son encrier fétiche et quelques anciennes correspondances.
Caressant distraitement un vélin froissé elle hésita un instant avant d’entamer son courrier. Ecrire à père ? Certainement pas ! il s’excusera le premier ou rien ! Non il avait plus prévenant que lui quand elle avait besoin de réconfort.

Très cher Parrain, Commença elle à écrire.



Grande nouvelle, je ne suis pas morte !
La guerre est passée en Touraine sans nous atteindre. Je n'ai même pas eu besoin de toucher à une épée. Mais hélas elle ne fait que commencer.

Suite à une série d’évènement totalement fortuits dont je ne suis absolument pas responsable, j'ai du quitter la Touraine et je me retrouve maintenant coincée à Laval dans le Maine. La vie y est charmante, j'y ai fait la connaissance d'un poète qui m’écrit depuis une comptine, et je dors dans une charmante roulotte mise gracieusement à ma disposition par la ville. Pittoresque à souhait !

Mais hélas la guerre est arrivée jusqu'au Maine et je me retrouve une fois de plus obligée de défendre une terre en échange de l'asil. Car il est absolument hors de question que je retourne chez mes parents.

Figure-toi que mon père m'a mise en la porte. Tout ça parce que j'ai malencontreusement appelé sa femme la catin de luxe. Est-ce une insulte que d'appeler un chat un chat ? Et il est a noté que je n'ai pas dit "catin syphilitique bourré de bébettes", mais "catin de luxe ». N'est-ce pas là un complément dissimulé?
J'ai peut etre légèrement exagéré en écrivant plus tard à mon père qu'il pouvait se considérer comme n'aillant jamais eut de fille et ce jusqu’à ce qu'il retrouve la paire de bijoux de famille que sa femme garde précieusement enfermée dans un de ses nombreux coffres d'or sur lesquels il vit .... Mais c'est secondaire.

J'ai donc quitté le domaine des Villandry, non sans emporter avec moi quelques souvenirs au passage. L'argenterie, quelques chandeliers, de la toilette fine et autres trésors familials.
Cette malle étant bien trop lourde pour être trimbalée sur les routes, j'accepte de céder quelques souvenirs.
J'ai de très belles robes en velours ayant appartenu à la Baronne qui siéraient parfaitement à ta femme.
Intéresse?

Ta Filleule, libre comme l'aire.



Trop occupée à la rédaction de son courrier, blondie n’avait pas vu le temps passer et ce ne fût qu’une fois la lettre soigneusement repliée qu’elle s’aperçut que la nuit tombait.
Flûte et l’eau qui lui fallait trouver !
Repensant au côté pittoresque de la chose elle se saisit du sceaux qui gisait dans un coin et claqua la porte derrière elle. Sifflotante, elle descendit les quelques marches de son abris de fortune avant de relever sa robe jusqu'à ses chevilles pour n’en rien salir. Puis elle partit à la recherche du puit sans même remarquer les ombres qui trainaient dans le coin.

Certes il lui fallait un font d’eau pour se décrasser avant de pouvoir fermer d’œil. Mais la donzelle n’avait plus rien fait de ses dix doigts depuis des années.
Arrivé devant le puit, objet de tous ses espoirs elle resta planté là, penaude, quelques instants. Comment est-ce que ça pouvait bien marcher? S’en approchant la jeune femme examina la bête de plus près, un trou et une corde. Il ne fallait tout de même pas y descendre ?
Hum et si la place était déjà prise ?
Blonde qu’elle était la gourde se penche par-dessus l’abime les deux mains en porte-voix.


euh .... Il y a quelqu’un ?
Jacquette


Jacquette sourit à Jacquouille. Elle se doutait bien de ce qui l'avait agacé dans les paroles de la dame et il lui fallait le rassurer.

Je passerai chaque jour voir si rien ne vous manque, dame. Entretemps, n'hésitez pas à venir me voir si besoin, je suis la plupart du temps aux écuries.

Une fois les malles de la dame installées, ils s'éloignèrent bras dessus bras dessous, la laissant prendre ses marques et s'installer à son aise.

Elle murmura à Jacqouille


Tu craquerais pour une cuillère à souplette, toi? Héhé, je sais bien que ce n'est pas ça qui te plait chez moi, pas vrai?

Son sourire s'effaça lorsqu'elle aperçut un personnage à l'air inquiétant qui attendait, appuyé sur son bâton à l'entrée du campement.

Serrant le bras de Jacquouille, elle l'entraina avec elle vers l'homme.


B... bonjour messire ... Bien... bienvenue au campement.

Elle se força à faire son plus joli sourire.

Pouvons-nous vous aider?
Ghostika
Il regardait d'un air nonchalant la marmaille gitane qui s'affairait dans tous les sens.. Posé.. Respirant l'air profondément, le visage impassible, stoïque, il regarda le couple d'amoureux qui s'approchait de lui, et dans une grimace indescriptible, arracha à sa bouche ce que l'on pouvait nommer un "sourire", histoire de repondre à celui de la donzelle qui avait eue l'amabilité de lui adresser la parole..

Citation:

B... bonjour messire ... Bien... bienvenue au campement.


Elle se força à faire son plus joli sourire.

Pouvons-nous vous aider?


Il ôta poliment son chapeau et les salua..

Possible.. Ou pas..
Je cherche quelqu'un..


Et fouillant dans la poche de son manteau, retira un petit parchemin, salie par le temps qu'il tendit au couple..
Une fine écriture y était posée.



Msieur Krobat,

J'ai la triste nouvelle de vous annoncer que votre petite nièce à succombée à ses blessures lors d'une attaque cette nuit.
Pouriez vous prévenir son frère de coeur afin que l'esprit de la petite repose en paix. Je vous joins un petit colier de bois représentant une tête de loup. Elle aurait aimée que vous la rendiez à son frère Lelldorin ou lellurin.. Un nom comme ça..

Bien à vous

Soeur Maturine de Sizak
L'an 1458 du mois de juillet
Genève


Faut que je lui donne en main propre le collier. Je parcours tout le royaume depuis des lustres, et j'en ai ma claque de faire tous les gourbis pour ce machin.


Entrouvrant sa chemise on pouvait apercevoir une lannière de cuir où pendouillait un pendentif sculpté en bois d'une tête de loup.
_________________
Jacquette


D'abord davantage effrayée par la grimace qui déforma le visage de l'homme, Jacquette fut un peu rassurée lorsqu'il ôta son chapeau pour les saluer, comprenant que c'était un sourire qu'il leur adressait.

Jacquette prit le parchemin sur lequel des signes incompréhensibles pour elle étaient tracés et le regarda en rougissant.


Haaa, Excusez-moi, messire ... mais je suis fille de basse condition et je ... je n'ai jamais appris à lire ...

Après un moment d'hésitation, elle lui rendit le parchemin.

Vous .... vous cherchez quelqu'un, dites-vous? Quel est son nom? Pensez-vous que cette personne est passée par ici?

Elle regarda l'homme qui soudain ne lui paraissait plus aussi effrayant.

Hum, voulez-vous vous reposer et vous désaltérer quelque peu avant de continuer votre quête?
Ghostika
Il regarda la gueuse lui toper le papelar, et s’essuyant le front qui ruisselait fit grise mine lorsque la fille lui répondit...

Citation:

Haaa, Excusez-moi, messire ... mais je suis fille de basse condition et je ... je n'ai jamais appris à lire ...


Après un moment d'hésitation, elle lui rendit le parchemin.

Et voilà.. pensa t'il.. on est pas dans la mouise..

Citation:
Vous .... vous cherchez quelqu'un, dites-vous? Quel est son nom? Pensez-vous que cette personne est passée par ici?


Mouai j'en sais fichtre rien mamzelle..


Se concentrant sur le vélin, l'approchant de son oeil valide, essayant de déchiffrer les lettres..

Un Lell..do..rin ou el..do..rin ou un nom à la mort moi le noeud dans le genre, faut que je lui file un machin.


Citation:
Hum, voulez-vous vous reposer et vous désaltérer quelque peu avant de continuer votre quête?


Son oeil se mit à briller à la seule pensée de pouvoir se désaltérer le gosier ..

Mouai , ça serait la bienvenu mamzelle


Il remit son chapeau et attrapant son corbac le poussa dans les airs pour qu'il prenne son envole.
Le suivant des yeux..

Z'inquiétez pas , faut qu'il bouffe , sinon va nous faire Ch.. Enfin.. Faut qu'il bouffe..


Et esquissa ce qu'on pouvait appeler un sourire à la gosse.
_________________
Jacquouille
Arrivé aux cotés de Jacquette, lorgnant sur le lettres qu'il ne savait pas plus déchiffrer que sa bonne amie, il finit par secouer la tête...

On l'connait point ton homme l'ami. J't'avions encore jamais vu ici, t'es d'passage ?

L'avait une sale trogne le bougre... T'as soif l'ami ? tiens la gourdasse c'est d'la bonne vinasse bien goulayante.
Ghostika
Citation:
On l'connait point ton homme l'ami. J't'avions encore jamais vu ici, t'es d'passage ?

L'avait une sale trogne le bougre... T'as soif l'ami ? tiens la gourdasse c'est d'la bonne vinasse bien goulayante.


Krabat regardait le couple déçus..
Mais il avait pris l'habitude à ce qu'on lui fasse cette réponse , il se dit que décidément il était voué a chercher partout cet homme. Il émit un grognement et regarda le garçon.

Mouai on va dire ça que je suis de passage, vu que j'l'ai pas trouvé..
Oui j'ai soif parbleu et sacrément encore..


Il prit la gourde que le ptit lui tendait et en pris une énorme lampée..

Elle avait le goût du vin de messe... âcre et lourd, mais il avait soif et ne fit grise mine.
Pour le coup , il sortit un morceau de bidoche qu'il tendit aux gamins..

C'pour le r'merciement, si j'pouvais crécher un temps dans vot camp..??
J'prend pas de place et j'emmerde personne tant qu'on me fou la paix.

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Esquimote
Se rendant au campement afin de préparer la caravane des marchands Egyptiens venue d'orient lui livrer les marchandises nécessaires pour les thermes, elle s'approcha de jacqouille et jacquette en discussion avec un curieux personnage qu'elle avait déjà croisé.

Son comportement, tout autant que ses demandes était des plus curieuses. Le prévot lui avait signalé que ce dernier d'ailleurs était actuellement à Mayenne. Comment donc pouvait-il se trouver en deux endroits en même temps ? voilà qui tenait de la sorcellerie.

Le bonjour à vous Sieur, pourriez-vous m'éclairer sur le fait que vous puissiez être en même temps à Mayenne et icelieu ?

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