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[RP] A l'attention des voyageurs : Le campement de Rachelle

Elendillefin
Un nouveau départ se préparait, il fallait à nouveau tout mettre en ordre et prévoir les soins aux chevaux pour quelques jours.

- Jacquette! Jacqueeeeeette!
- Oui, messire Len?
- Ha, vous voilà, Jacquette! Il vous faut préparer un nouveau départ!
- Je sais, messire Len, Jacquouille m'en a parlé.
- Ha bon? Humm, Soit, soit! Il faut une provision de paille pour les chevaux!
- C'est fait, messire Len!
- Ha? Bien, bien! Et il faut des sacs d'avoine et d'orge!
- C'est prêt, messire Len!
- Ha? et de l'eau!
- C'est fait!
- Du bois!
- Il y en a en suffisance, j'ai vérifié!
- Les roulottes sont prêtes pour un visiteur éventuel?
- Oui! Nettoyées, rangées et approvisionnées!
- .... Ha ça, vous avez donc tout prévu?
- Je connais mon boulot, messire Len ...
- Hum, oui, oui, je vois ça!

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R.I.T.M - Respect . Intégrité . Tolérance . Maine
Aure
Aure arriva dans le campement

"Hé ho , ya quelqu'un ?!"
Hé ho , ya quelqu'un ?!
Hé ho , ya quelqu'un ?!


Houla , ça semble bien vide ici ....
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Aure
Ya toujours personne ?!

Aure regarda le campement désert, l'herbe lui arrivant aux genoux. Les mauvaises herbes reprenant le dessus ...

Et il se dit qu'il va remettre tout ça en état avant le retour D'Esqui et de Len.

Il remonta ses manches et se mit au travail

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Jacquette
Enfin de retour après un si long voyage, Jacquette se dirigea vers l'entrée du campement.

La saison était chaude et humide, les chevaux n'avaient surement manqué de rien pendant leur absence.

Sa surprise fut grande en voyant que quelqu'un était visiblement passé entretenir les lieux. Mais il n'est pas donné à tout le monde de pouvoir s'occuper des chevaux. Aussi, c'est un peu inquiète qu'elle fit rapidement le tour du domaine, afin de s'assurer que tout était en ordre.

Mais qui que ce fut qui était venu, il avait fait du bon boulot et c'est donc souriante, qu'elle reprit sa place dans sa chambrette au-dessus des écuries, attendant impatiemment que son Jacqouille vienne lui rendre visite.
Nine.
La brune était arrivée à Laval ce matin très tôt elle avait vagabondé dans les rues à la recherche d'une chambre à louer pour les nombreuses nuits qu'elle allait surement passer ici mais c'est dans une taverne qu'une Dame fort sympathiques lui avait indiquée le campement de rachelle.
Après une marche bien difficile, car la belle avait un petit peu trop but pour sa première soirée dans cette charmante ville, elle était enfin arrivé.


Il y'a quelqu'un?


Aucune réponse, bon aussi vue l'heure tardive cela ne la surpris guère, elle repéra une rivière et cela tombé bien elle avait besoin d'une bon bain pour se remettre les idées en places, après un rapide coup d'oeil elle retira ses vêtements et plongea dans l'eau fraiche. Après quelques minutes de barbotage l'italienne sortit de l'eau se revêtit rapidement pour ne pas être vue, puis se dirigea vers une calèche qui était vide. Elle quitta ses bottes et s'écroula habillée et trempée sur le matelas douillé en s'endormant...
Bon d'accord elle avait légèrement abusée ce soir mais promis demain ça sera différent!

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Jacquette
A l'heure où la lune se lève et où les songes envahissent votre esprit endormi, Jacquette faisait un rêve étrange. Il y était question de Jacquouille qui la cherchait partout mais ne la trouvait pas, alors qu'elle était devant lui, mais incapable de se manifester à ses yeux.

Quelle étrange chose que les rêves où vous êtes impuissant à crier ou à frapper....

Sa bouche s'ouvrait grande mais aucun son n'en sortait, elle tentait de venir le prendre et de le secouer alors que lui répétait inlassablement


Il y a quelqu'un? Il y a quelqu'un? Il y a quelqu'un? Il y a quelqu'un?

Sauf que la dernière fois, ça paraissait venir de plus loin ...

Jacquette se réveilla en sursaut. A son tour de se pencher par la fenêtre et de dire


Il y a quelqu'un?

Mais personne ne répondit.


J'ai dû rêver ... On verra demain ...
Jacquouille
Ben qu’est-ce t’as donc ma Jacquette a remuer comme ça ?
Réveillé par les remuements de sa belle, il l’as regardait dormir. Ben vl’a qu’elle cauchemarde…. S’apprêtant à l’as réveiller une voix lui fit dresser l’oreille droite !

        Il y a quelqu'un?


Voix d’pucelle ça ? A c’t’heure ?
Sa belle étant plus calme et reposant, il l'as couvrit du draps d'un geste tendre et s’habilla prestement.

Dans la nuit noire, il se dirigea vers le clapotis du lac.. Une forme au courbes harmonieuse s’y dessinait sous les rayons de la lune.
Mortecouillle c’ pas une heure pour les abblutions…héhéhé voici jolie pucelle ma foi !
Tapis dans un buisson, il ne dit mot et contempla la damoiselle.
Il l’as suivit du regard jusqu’à ce que cette dernière fila vers une roulotte.

Bon ben l’as pas eu b’soin d’aide, j’verrons ça demain..J'vas r'mettre la viande dans l'torchon à c't'heure !
Nine.
L'italienne se leva avec difficulté, c'était comme si un pivert avait décidé de ce loger dans sa tête. Le soleil était déjà bien haut dans le ciel, ses cheveux étaient devenu un vrai champs de bataille, elle resta pieds nus et alla en baillant se tremper les pieds dans la rivière.
Elle se coucha ainsi en mettant son bras sur ses yeux, et se promis plus jamais de soirée comme la veille, enfin bon à chaque fois elle se disait ça mais à chaque fois elle recommençait soit pour oublier soit pour rire avec ses amis.
D'ailleurs elle avait bien envie de rester ici elle avait fais de bonne rencontre et penser au départ l'attristait plus qu'autre chose enfin on en était pas encore là...
La belle bailla encore et encore et finit par s'endormir une main sur la garde de son épée et les pieds dans l'eau fraiche.

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Jacquette
L'été se faisait chaud, les épis ployaient sous le poids des grains gorgés de soleil. Une fois les épis battus et les grains bien à l'abri dans les greniers, il restait la paille qui servirait de litière.

Et il en fallait de la paille pour être sur d'en avoir assez pour tous les visiteurs qui s'arrêteraient au campement jusqu'à la saison prochaine.


Pfff, quelle chaleur! Soupira Jacquette en rangeant les bottes de paille dans le grenier.


Jacquouille? Vas donc nous chercher un peu d'eau fraîche! dit-elle à son homme qui lui envoyait les bottes d'en bas au bout d'une longue fourche de bois.

Elle s'assit et souffla un peu, attendant qu'il revienne.
Jacquette
Hé bien, mais qu'est-ce qu'il fait, mon Jacquouille ? Il va me laisser mourir de soif!

Elle descendit du fenil et partit à sa recherche.
Mylena_di_mancini
[ Octobre Peu être ... ]

Sur l encolure du cheval qui avance , une tourterelles pendu et morte , sur le dos du même cheval une autre tourterelle dépourvu de plumes a demi inconsciente la tête ensanglantée . Depuis combien de temps erraient ils ainsi tous trois ? Nul ne saurais le dire , en tous cas surement pas la cavalière au mantel de cuir . Quelques jours ou peu être même quelques heures avant loin de la ou peu être tous prêt une mauvaise chute avait fait de la cavalière une étrangère sans nom .

Elle avait erré dans une forêt durant des heures , complètement perdue , trempé par la pluie battante . Le sang de sa blessure a la tête avait fini par séché alors qu elle c était évertué a stopper la petite hémorragie avec un morceau de robe qu elle avait déchiré puis abandonné . Habituée pourtant a se repérer facilement la jeune femme avait pourtant tournée en rond au milieu des arbres , les ronces qui jonchaient le sol avaient eu raison du bas d un de ses jupons , la pluie et le froid eux avaient fini par faire sombre la Lombarde . Au matin quand le jour c étais enfin levé c étais un timide rayon de soleil qui filtrais au travers des branches d arbres qui fit sortir la jeune femme de sa torpeur . Elle était transit de froid , sa tête lui faisait affreusement mal et la faim lui nouais l estomac . La faim aussi qui devait tenailler l animal qui semblais la renifler alors qu elle tentais d ouvrir les yeux . Elle pouvais sentir son souffle chaud tous prêt d elle . C étais donc ainsi qu elle allais mourir ? Au milieu de nul part , sans même pouvoir se rappeler de qui elle était et dévorée par une bête sauvage poussée par la faim !

Par chance , les équidés sont herbivore !! Et celui qui reniflait le corps inerte au sol n avait pour l heure aucune intention de dévorer quoique se soit . Bien au contraire , de son museau il poussait ce corps endormis et endolori . Au prix d un effort presque surhumain la jeune femme se releva et grimpa sur le dos de se cheval qui semblais la connaitre . Un regard circulaire , il fallais sortir de la forêt et trouver un chemin , mais ou ? Par ou aller ? D ou venait elle ? Avait elle une famille , des enfants ? Tans de questions sans la moindre réponses tournait dans l esprit de cette femme qui avançais au dos d un cheval pour seul compagnon de galère .

Quand l étalon s arrêta enfin , sa cavalière a bout de force , ouvris les yeux pour apercevoir quelques roulottes ... Un campement surement . Mais ou était elle ?
Emya
Emya était perché sur son cheval, elle rentrait chez elle après être passé à l'Eglise. La cape d'un ami à elle était posé sur ses épaules pour la réchauffer, ses gants au mains, elle donnait quelques petits coup au cheval pour qu'il avance plus vite. Le vent glacial giflait ses joues devenu rouge, elle avança petit à petit, traversa la foret, puis passa à coté d'un petit court d'eau. Elle fit boire Crystal, son cheval un moment puis en profita pour se dégourdir les jambes, elle marcha le long du ruisseau.

Allez Crystal, on n'y retourne, il fait trop froid.

D'un geste ample et gracieux elle se remit sur selle puis partit en direction de chez elle. La pluie tombait à flot sur sa capuche, une pluie froide qui la faisait frissonné. Elle frotta son bras droit endolorie sous le froid puis le gauche. Les yeux ouvert tant bien que mal à cause de cette pluie battante, elle passa comme à son habitude devant le campement.
La brune vit alors une femme sur son cheval, ne reconnaissant pas cette personne, et curieuse de savoir pourquoi cette femme restait sous la pluie, elle alla à sa rencontre.


Une fois à coté d'elle, elle descendit de son cheval, c'est alors qu'elle vit une femme au cheveux sombre avec sur le front une plaie encore fraiche.


Dame, Bonjour. Est-ce que tous va bien ?? Vous êtes blessée, avez-vous besoin d'aide ?!

Emya s'approcha de la dame encore perché sur son cheval et lui tendit la main en guise d'aide.
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Mylena_di_mancini
Perché sur le dos du cheval , tenant difficilement assise , du regard elle cherchais ou elle pouvait bien se trouver . Elle ne reconnaissait pas l endroit , était elle chez elle ? Pourquoi le cheval c étais arrêter la , pourquoi ne bougeait il plus ? Et cette maudite pluie qui ne cessait de tremper son corps meurtri et affaibli , le cuir du mantel qu elle portait se faisait de plus en plus lourd , détrempé par cette eau venue du ciel . Incapable de bouger , de parler même car aucun son ne sortais de sa bouche bleuie par le froid . Pour dire quoi d ailleurs ? Parler a qui ? Elle étais la au milieu d un nul par totalement hagarde , la pluie s abattais sur elle en un milliers de gouttes , ses long cheveux noir dégoulinaient et quelques mèches collé par la pluie lui barraient le visage . La pâleur cadavérique de son visage pouvais laisser penser que la mort l avais visité et qu elle ne tarderais pas a l emporter . Sa mémoire l avait abandonné , elle n avait aucun souvenir , peu être pas d avenir car a bout de force elle se laissait aller doucement vers les abysses d un puy sans fond .

Soudain une voix , fit remonter la moribonde a la surface du trou noir .


Citation:
Dame, Bonjour. Est-ce que tous va bien ?? Vous êtes blessée, avez-vous besoin d'aide ?!


Les yeux mis clos , elle jeta un regard en coin en direction de la voix , qu elle ne reconnaissait bien évidement pas . Une voix féminine , une image flou d un visage qu elle tentais d identifier . Une main tendue vers elle qu elle fixe sans réaction . Un son rauque sort alors de sa bouche ... sa propre voix qu elle entend pour la première fois depuis ... elle ne sais même pas depuis combien de temps . Ou suis je ? parviens t elle a prononcer . Ses yeux ne cessent de cligner d épuisement , la main de l inconnue toujours tendue vers elle . Doit elle la pendre et accepter l aide que cette femme lui propose ?
Emya
La pluie battait son plein, Emya regarda la femme, inquiète, tendant sa main vers elle. Ses cheveux sombre dégoulinais sur elle.
Elle sourit à la Dame en insistant pour qu'elle vienne avec elle. Une cabane à quelques mètre à pied avait dans ses armoires quelques couettes et une trousse de secours, à la disposition des étrangers qui viendraient camper ici durant quelque jours.
La brune avait l'air perdue, elle regardait dans le vide, sans dire mot, son visage était sans expression et son corps grelottait, Emya attendit un moment avant que la Dame prenne la parole.


Citation:
Ou suis je ?


L'italienne lui répondit aussitôt...
Vous êtes à Laval Dame, dans le Maine, je me nomme Emya, venez avec moi, il y a pas très loin d'ici une cabane, vous pourrez vous réchauffez et nettoyer cette plaie, vous allez l'air perdue, allez venez, lui dit Emya tous en tendant sa main vers elle.
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Mylena_di_mancini
La main toujours tendue vers elle , une aide enfin , une présence . Méfiante la cavalière blessée hésite quelques instants , mais as t elle vraiment le choix ?
Citation:
Vous êtes à Laval Dame, dans le Maine, je me nomme Emya, venez avec moi, il y a pas très loin d'ici une cabane, vous pourrez vous réchauffez et nettoyer cette plaie, vous allez l'air perdue, allez venez,


Un vague hochement de tête , Laval ... elle a beau cherché dans sa mémoire "vide " cela ne lui dit pas grand chose . Et puis elle est épuisé , trempé et blessée . Doucement et un peu craintive , elle prend la main de celle qui probablement lui sauveras la vie . Son corps endolorie glisse lourdement au sol , ses jambes se dérobent et chancelle avant de reprendre un fébrile équilibre . Avant de suivre l inconnue , elle se tourne vers le cheval qui reste immobile ... va te mettre a l abris ... prononce t elle sans même réfléchir .

Appuyée comme elle peut sur la jeune femme qui lui porte secours , un peu genée d être un tel fardeau ... merci ... merci de votre aide . Le vent se levais et commençais a souffler , pliant la cime des arbres les plus robuste . Un tourbillon de feuilles virevoltaient , emporté au gré du souffle des dieux .
La pluie semblais vouloir se calmer , pourtant le ciel étais si sombre . Ou était ce ses yeux qui fatigué , brouillais sa vue . A quelques mètres des deux femmes , des roulottes en bois ou elles pourraient s abriter . Emya étais donc le nom de cette femme qui lui portait secours sans même la connaitre .
Elle tenterais de s en souvenir ... et de la remercier comme elle pourrais . Peu être même que cette femme pourrais l aider a retrouver la mémoire ... ou peut être pas . Le regard toujours dans le vague , avançant vers un abris ... Quel jour sommes nous ?
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