Jules.
Soupirs, ondulation encore timide mais ô combien délicieuse. Sans cesser ses caresses, le soldat se risqua lui aussi, plus par besoin que par décision, à onduler du bassin, et sa main libre quitta la hanche pour venir taquiner un sein haletant.
Comme ça... c'est... bon?
Foutre Dieu, pourquoi fallait-il qu'elle soit si... généreuse, à se préoccuper de son plaisir à lui en un pareil moment ? Attendri, les barrières soignement érigées s'effritant peu à peu, il redressa lentement le torse avec un léger grognement d'effort, et sa main quitta le petit orbe blanc pour se glisser derrière la nuque d'Emilla et l'attirer à sa rencontre. Baiser lent, et pourtant emprunt d'urgence, profond... dans lequel il déversa tout ce qu'il se refusait à lui dire.
Retombant sur le lit sans pour autant rompre le baiser, il la forcait à le suivre, à se plaquer à lui, torses collés, bassins ondulants, lèvres jointes. La main à présent coincée entre leurs ventres prit soin de séparer les douces lèvres pour que le bouton salvateur puisse encore recevoir le doux frottement de sa toison, avant que de s'extirper, se posant au creux des reins pour l'encourager encore à danser sur lui.
Mais malgré lui, entre deux baisers avides, la phrase qui lui brulait les lèvres réussit tout de même à se frayer un chemin, s'échappant d'une voix rauque tout contre les lèvres de la jeune fille.
A moi.. tu es à moi.
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Comme ça... c'est... bon?
Foutre Dieu, pourquoi fallait-il qu'elle soit si... généreuse, à se préoccuper de son plaisir à lui en un pareil moment ? Attendri, les barrières soignement érigées s'effritant peu à peu, il redressa lentement le torse avec un léger grognement d'effort, et sa main quitta le petit orbe blanc pour se glisser derrière la nuque d'Emilla et l'attirer à sa rencontre. Baiser lent, et pourtant emprunt d'urgence, profond... dans lequel il déversa tout ce qu'il se refusait à lui dire.
Retombant sur le lit sans pour autant rompre le baiser, il la forcait à le suivre, à se plaquer à lui, torses collés, bassins ondulants, lèvres jointes. La main à présent coincée entre leurs ventres prit soin de séparer les douces lèvres pour que le bouton salvateur puisse encore recevoir le doux frottement de sa toison, avant que de s'extirper, se posant au creux des reins pour l'encourager encore à danser sur lui.
Mais malgré lui, entre deux baisers avides, la phrase qui lui brulait les lèvres réussit tout de même à se frayer un chemin, s'échappant d'une voix rauque tout contre les lèvres de la jeune fille.
A moi.. tu es à moi.
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