Deedee
Le diplôme entre les mains, Adeline sentait son cur battre a tout rompre. Enfin ! Elle y était parvenue.
Enfin elle avait atteint le but quelle sétait donné le jour où elle avait commencé à apprendre la médecine. Apres des mois et des mois détudes acharné, des heures et des heures le nez passé dans les parchemins, grimoire et autre texte, elle avait réussit.
Elle se senti alors gonfler dun sentiment de fierté, bien vite redescendu en croisant le regarde de sa marraine. Elle avait certes réussit, mais cétait avant tout grâce à ceux qui lavait soutenue. Baissant la tête un instant, elle soupira discrètement pour reprendre contenance et écouta de nouveau le Grand Recteur qui visiblement nen avait pas fini avec elle.
La suite, elle ne sy attendait pas du tout. Elle pensait avoir terminé sa « mission » confié au pied levé a la suite de lélection du Grand Recteur, menée comme elle avait pu malgré tout ce qui avait pu se passé et ses charges à elle également. Elle pensait réellement que tout était fini maintenant, quelle allait pouvoir se reposer un instant, souffler, se reposer aussi, peut être, un peu Comme son corps le réclamait ardemment. Mais .
Mais visiblement non. Enfin pas tout de suite. A moins que Et puis pourquoi pas Et si
Cherchant des réponses à la demande quon venait de lui faire, Adeline parcourrait des yeux lassemblée, chercher du regard un signe, une aide, un indice, nimporte quoi qui pourrait laider a prendre une tel décision et puis, elle se décida, regardant le Grand Recteur attentivement, se souvenant des heures et des heures de travail pour tout remettre en place, elle hocha doucement la tête.
-Je euh Je ne sais que dire. Tout ceci est assez inattendu Cest
*Bon sang mais reprend toi ma fille, tous le monde te regarde là !*
-Je serais heureuse messire de Valombre de continuer le travail commencer, en espérant continuer à vous aider et vous portez satisfaction. Jespère cependant que vous ne men voudrais pas si je décidais tout dabord de passer quelque jour auprès de ma famille et de mes amis pour me reposer un instant ?
Oui bon certes, reposer était un bien grand mot, surtout avec ce qui les attendait en Normandie. Pas sûr quelle trouve un moment de repos entre les gardes et les tentes médicales avec cette guerre, mais bon.
Quoiquil en soit, il lui tardait maintenant de quitter cet estrade et rejoindre sa marraine et saluer le Vicomte de Vire qui avait fait le déplacement.
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Enfin elle avait atteint le but quelle sétait donné le jour où elle avait commencé à apprendre la médecine. Apres des mois et des mois détudes acharné, des heures et des heures le nez passé dans les parchemins, grimoire et autre texte, elle avait réussit.
Elle se senti alors gonfler dun sentiment de fierté, bien vite redescendu en croisant le regarde de sa marraine. Elle avait certes réussit, mais cétait avant tout grâce à ceux qui lavait soutenue. Baissant la tête un instant, elle soupira discrètement pour reprendre contenance et écouta de nouveau le Grand Recteur qui visiblement nen avait pas fini avec elle.
La suite, elle ne sy attendait pas du tout. Elle pensait avoir terminé sa « mission » confié au pied levé a la suite de lélection du Grand Recteur, menée comme elle avait pu malgré tout ce qui avait pu se passé et ses charges à elle également. Elle pensait réellement que tout était fini maintenant, quelle allait pouvoir se reposer un instant, souffler, se reposer aussi, peut être, un peu Comme son corps le réclamait ardemment. Mais .
Mais visiblement non. Enfin pas tout de suite. A moins que Et puis pourquoi pas Et si
Cherchant des réponses à la demande quon venait de lui faire, Adeline parcourrait des yeux lassemblée, chercher du regard un signe, une aide, un indice, nimporte quoi qui pourrait laider a prendre une tel décision et puis, elle se décida, regardant le Grand Recteur attentivement, se souvenant des heures et des heures de travail pour tout remettre en place, elle hocha doucement la tête.
-Je euh Je ne sais que dire. Tout ceci est assez inattendu Cest
*Bon sang mais reprend toi ma fille, tous le monde te regarde là !*
-Je serais heureuse messire de Valombre de continuer le travail commencer, en espérant continuer à vous aider et vous portez satisfaction. Jespère cependant que vous ne men voudrais pas si je décidais tout dabord de passer quelque jour auprès de ma famille et de mes amis pour me reposer un instant ?
Oui bon certes, reposer était un bien grand mot, surtout avec ce qui les attendait en Normandie. Pas sûr quelle trouve un moment de repos entre les gardes et les tentes médicales avec cette guerre, mais bon.
Quoiquil en soit, il lui tardait maintenant de quitter cet estrade et rejoindre sa marraine et saluer le Vicomte de Vire qui avait fait le déplacement.
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