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[RP] A L'Albigeoise-Auberge des amis

.mahaut.
Mahaut était ravie. Elle avait trouvée sans le savoir une hôtesse prête à lui céder un peu de confort. Elle ne savait pas combien de temps elle allait rester à Albi. Mais là, comme quoi ça pouvais toujours être utile de rendre service. Et puis, une bonne paillasse, un bon baquet d'eau... et un bon repas chaud. Elle sourit à son hôtesse.

Allons, allons on finira les présentations quand votre chien sera soigné.
Et pour le reste aussi. Il faut bien admettre que je ne vais pas rechigner à plonger dans un baquet. La poussière des chemins, ça vous colle à la peaux !

Mahaut se dirigea sans attendre vers la bête. Elle eu un mauvais rictus : pauv'e bête se dit elle. Elle attrapa le drap par deux des coins. Elle se saisit des coins et les serras fermement. Elle était prête à lever.


Quand vous voulez. Je suis prête.
Nane94140
Ahanant tant qu'elles peuvent, c'est qu'il est lourd l'animal et en plus vu qu'il est a demi mort il semble peser encore plus lourd, les deux femmes bandent leurs muscles et portent avec douceur le chien jusqu'à la grange.

Un beau lit de paille fraiche attend son pensionnaire. au fond de la grange qui lui sert d'écurie Galopain renâcle a l'odeur du sang mêlé à celle de sa maitresse et de son ami Troispattes.

Voila ici tu seras bien pour guérir ! Je sais que tu préfèrerait être aux cotés de Landry mais pas tout de suite, quand tu iras un peu mieux.

Nane parle au chien comme s'il pouvait tout comprendre et c'est presque le cas semble t'il, si l'on se fie à la queue qui bat un peu plus fort, bien que très faiblement tout de même comparé aux joyeux battements habituels.

Pardonnez moi Dame Mahaut, mais Trois patte est mon compagnon depuis tant de temps que je le considère comme faisant partie de la famille.
Je ne sais même pas ce qui s'est passé le concernant.
Comment a t'il reçu ce coup de lame ?
Je ne le sais pas !
A t'il déranger un braconnier ?
je l'ignore !
A t'il voulu défendre quelqu'un ?


La jeune femme arrête un instant sa litanie de questions et prend le temps de réfléchir un instant .

Peut être a t'il défendu quelqu'un mais il faut que ce soit quelqu'un de la famille ou qu'il considère comme tel.
Toutes ces questions sans réponse m'angoissent !


Pendant qu'elle parle à sa nouvelle pensionnaire ses mains ne sont pas restées inactives volant sur le pelage poissé de sang elles ont nettoyée la plaie d'un geste délicat elle a rasé les bords de la blessure afin de bien voir elle sait cependant que le chien va souffrir il lui faut recoudre. Comment va réagir l'animal ?

Ses souvenirs remontent du fond de sa mémoire, elle se souvient comment une nuit elle s'est éveillée à Carcassonne avec une irrésistible envie de rejoindre le bord de l'Aude. Comment au cours de cette ballade nocturne, un gémissement l'a attirée vers la rive ou elle a trouvé le pauvre animal entrain de se débattre pour remonter sur la berge. Comment elle dû suppléer à la patte manquante, qui valut son nom à l'animal, en tirant de toutes ses forces pour l'aider à se hisser.

Se secouant légèrement elle espère que la reconnaissance de l'animal à son endroit lui permettra d'être stoïque. Un peu inquiète tout de même elle se décide à commencer à recoudre l'animal.

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Eurice
Ces quelques effets balluchonnés sur son dos, il appercu Nane ainsi qu'une autre damoiselle dont la carrure ne lui était pas inconnu. Elles semblaient prête à s'affairer à une lourde tache.

Cela ne sera pas facile Nane lança t il tout en souriant vers ce mastodonte dégoulinant de bave.
Avez vous besoin d'aide ?

Il espérait que Nane le reconnaitrait et qu'elle pourrait lui proposer un lit pour cette nuit.
.mahaut.
Mahaut avait aidé du mieux qu'elle le pouvait Nane. C'est qu'elle pesait bestiole. Elle écouta son hôtesse.

Ce n'est pas moi qui vais pouvoir vous répondre.

Nane semblait très attachée à sa bête. Pourquoi pas après tout. Certains animaux semblaient bien plus fidéles que les hommes eux mêmes. Après ils sont sans concessions. Vrai et entier. Un instant un peu primaire... quelque fois fourbes, mais pas autant que peut l'être un humain.

Elle était perdue dans ses pensées quand elle entendit alors une voix qui lui était familière. Elle se retourna et son visage s'éclaira d'un sourire.


AHHH Messire le responsable de mon voyage. Bonjour Eurice, comment allez vous ?
Eurice
Mahaut !! Quelle surprise ! Vous qui étiez mourante il y a quelques jours, et vous voilà à traverser villes et campagnes pour venir à ma rencontre et me rendre ma tunique. Il va falloir m'expliquer autour d'un verre pourquoi autant d'empressement. Mais avant, il me faut demander une chambre à Nane.

Il se tourna vers Nane et l'interrogea du regard, d'un air la suppliant de lui avoir gardé un lit. Il soupesa même bruyamment sa bourse cette fois ci.
Nane94140
Les mains rougies par sa tache sanglante, Nane se relève difficilement elle a passé un long moment accroupie à coté de Troispattes, ses jambes engourdies ont peine à la porter.

Eurice vient d'arriver et lui demande une chambre.


Patiente un peu mon ami et range ta bourse ce n'est pas pour l'argent que je tiens auberge mais pour la compagnie que cela m'apporte et pour le plaisir des rencontres.

Tu peux utiliser la même chambre que la dernière fois elle est libre.

la chambre voisine est disponible aussi vous pourrez vous y installer dame Mahaut. Eurice peux tu lui montrer le chemin ? Pendant que vous vous installez je vous prépare de quoi manger. Et Prudence vous montera des seaux d'eau chaude pour votre bain Mahaut



retour ce soir vers 17 h pas avant donc n'attendez pas de réponse avant.

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.mahaut.
Mahaut fit un large sourire à Eurice. Oui elle avait été mourante, Eurice lui avait même laissé sa tunique de peur qu'en plus elle n'attrape mal. C'était bien la première fois que quelqu'un avait prit soin d'elle. ça l'avait touchée, et bien plus qu'elle n'aurait pu le croire. Elle était ensuite partie en retraite, se refaire une santé auprès des soeurs. Elle en était revenue toute neuve !

Mais voilà, lui était déjà partie. Tout le temps de la retraite elle n'avait eu d'autre loisir que de penser à lui. A se prévenance, à son charme. Il charmait toutes les femmes. Elle aussi s'y était laissée prendre. La première fois également qu'un homme faisait battre plus fort son coeur dans sa poitrine. Certaines personne appelle ça un coup de foudre, pour elle s'était juste un amour naissant, mais de l'amour quand même. Ce sentiement là était nouveau pour la jeune femme. Elle n'aimait pas l'inconnu même si elle était capable de traverser le royaume sur un coup de tête.

Il y avait tant de légende sur ce qu'était l'amour que, jusque présent ça ne l'avais pas tenté... jusqu'à ce qu'elle rencontre Eurice.


Ah donc vous connaissez les lieux Eurice. Bien !

Elle passa son bras sous celui d'Eurice.

Ne vous inquiétez pas alors Nane, Eurice va me montrer tout ça. Si vous voulez rester avec votre compagnon canin un instant, dites vous que le temps que je me décrotte, vous pourrez réchauffer 3 fois cette fameuse potée.

Elle se dirigea vers la Taverne en compagnie d'Eurice
Nane94140
Il n'y a plus rien à faire pour le moment que de laisser dormir l'animal.

Elle jette un dernier regard à son compagnon, regard de gratitude pour la confiance sans faille qu'il a montré à son endroit, regard inquiet aussi quant à sa guérison.

Maintenant malgré sa fatigue elle doit s'occuper de ses pensionnaires.

D'un pas lourd elle traverse la cours de l'auberge et rejoint la cuisine. Aura t'elle un peu de temps pour elle pour se rafraichir pour détendre un instant ses muscles gourds ?

Nane va vérifier la cuisson de la potée qui mijote doucement au coin de l'âtre, elle goutte, d'un palais tatillon, la préparation.


Mmmmmmmmmmmm !!!! A point ! Il ne faut pas que les pensionnaires tardent.


La tavernière ne s'inquiète pas pour la jeune Mahaut, elle sait bien que Prudence aura fait le nécessaire pour que la jeune femme trouve un bain fumant à son arrivée dans la chambre.

Elle prend donc le soin de dresser la table familiale en ajoutant les deux couverts des voyageurs.

Enfin elle s'installe sur un confortable fauteuil de bois qui trône à coté de la cheminé et qu'elle se réserve pour les moment trop rares ou elle peut se détendre. Le silence de la pièce ou pour une fois elle se retrouve seule, le crépitement du feu qui la berce et la voila bientôt endormie paisiblement.

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Grandlaurent
Au fur est à mesure que les jours et les mois passes au côté de sa chère nane l'idylle des premiers instant s'amenuisé au fil du temps. Bien que Gl avait réussit à avoir ce qu'il désirait plus que tout avec son fils Landry et son amour nane, il sentait quand même que quelque chose lui manquai. Mais qu'est ce ? Là était la question ... Il avait ce que tout homme pouvait désirer, une femme, un foyer, une famille qu’il aime, mais visiblement Gl n’arrivais a se satisfaire d’une paisible vie aux cotés de sa femme et de son fils.

Il ne pouvait partir loin d'eux, il ne pouvait sans séparer, mais il lui fallait trouver ce dont il cherchait. Après des mois à se demander ce qu'il lui fallait, une lettre de son parrain où il racontait son tour du royaume lui fit ouvrir les yeux, ce qu'il voulait tant c'était la sensation de liberté qu'il aimait temps ressentir dans son ancienne contré de Carcassonne. Le bonheur de se retrouver seul au bort d'une rivière ou toutes les pensées s'envole pour ne garder que le bonheur d'être là, vivant et heureux.

Partir loin d'elle était trop dur, mais depuis quand ce souciait il de la douleur qu'il ressentait ? La seule chose à faire pour lui comme pour nane était de se séparer pour qui sait pourquoi ne pas se retrouver plus tard ...

Il remplit son baluchon de toutes les affaires qu'il possédait. Il alla voir Landry qui dormait. Gl posa sa dague qu'il gardait toujours avec lui, orné de ses initiales, c'était la chose matériel qui avait le plus de valeur à ses yeux, désormais elle était à lui ... la dernière chose qu'il gardera de son paternel.

Il posa une lettre sur la petite table de la chambre :

Citation:
Amoureux de toi je le suis
Mais rester à tes cotés n'est raisonnable
Ne pense pas que je fuis
Je ne veux plus de cette vie stable
Ton bonheur je le vois
N'est plus vraiment avec nous
Je ne pense pas à moi, mais à nous
Comment faire autrement, je ne le sais pas
Tu es tout ce qu'un homme peut espérer
Ma muse tu m'as transporté
Je n'imaginai le pouvoir bonheur
Tu resteras a jamais dans mon cœur
Ma nane resté je ne le veux
Je désire te voir heureuse
Sans moi tu le peux
C'est la fin d'une histoire loin d'être creuse
Prend soin de notre fils
Il deviendra grand quoi qu'il finisse

Au revoir femme que j'ai tant aimée
GL
Eurice
Bras dessus-dessous, Eurice l'accompagna jusqu'à la porte de sa chambre mitoyenne à la sienne. Il s'accorda quelques secondes d'absence en rêvant d'une porte commune, mais il devait en toute priorité amener Mahaut à son bain.

Vous voici arrivé ma chère Mahaut. Entrez donc je vous prie.

Il ouvrit la porte et ne pouvant détourner son regard, il l'a dévisagea le temps qu'elle prenne possession de ces lieux. Elle semblait contente de sa chambre, surtout du bac à eau pret de la porte où l'on ressentait la chaleur émaner.


Je vais aller faire ma toilette également. Nous nous retrouvons en bas ? Ou passez me chercher si je ne suis pas encore descendu.
Je vous laisse maintenant. A tout à l'heure Mahaut.

Il referma doucement la porte, ne laissant pas un instant ces yeux déviés de ce qu'il semblait aimer par dessus tout. Et souriant, d'un pas léger, il se dirigea vers sa chambre.
.mahaut.
Mahaut entra dans la chambre, simple mais douillette. Il n'y avait pas de quoi contenter une reyne mais pour elle c'était bien suffisant voir même un peu luxueux par rapport à ce qu'elle avait vécu. Elle regarda le baquet avec à coté des seaux d'eau fumante. C'était bien mieux que de dormir et se laver au lac.

Puis elle regarda amusée Eurice, il semblait rêveur. Elle aimait le voir en ces instant. Il semblait mystérieux. Elle lui sourit et lui répondit.


Le temps de sortir cette poussière, je passerais vous prendre et nous rejoindrons notre hôtesse. J'espère ne pas être trop longue pour l'aider un peu. Quand je suis prête, je toque à votre porte.

Puis elle regarda la porte se fermer lentement. Elle ne quitta pas son regard, son beau et doux regard. Lui qui charmait tant de personne. La porte se ferma. Elle tapa du pied et lança un juron. Elle savait, après cet un instant, qu'elle aussi avait succombé. Pourtant, c'était bien la dernière des choses à laquelle elle s'attendait !

Sans attendre, elle ôta le peu de vêtements qu'elle avait sur elle, s'installa dans le baquet et fit couler un seau sur elle. elle se lava faisant disparaitre petit à petit toute la poussière et apparaitre sa peau mate légèrement dorée. ça avait du bon de travailler dans les champs.

Une fois séchée, elle se rhabilla, elle n'avait que peu de vêtements mais assez pour ne pas remettre les affaires qu'elle avait quitté un trentaine de minute plus tôt. Une fois prête, elle sorti et alla frapper à la porte d'Eurice.


Eurice ? c'est Mahaut, vous êtes prêt ? je vous attends.
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Nane94140
Le matin suivant après que Nane ait regagné sa chambre.

Le corps moulu des efforts de la veille l'esprit inquiet pour son chien elle se lève en gémissant avec difficulté comme une petite vieille.

Son regard comme chaque matin cherche Laurent qu'elle pense trouver endormi a ses coté.


C'est la première fois que je m'éveille et qu'il n'est pas la ! Ce n'est pas normal ça !


Son inquiétude change d'objet, elle fouille scrupuleusement la pièce du regard, enfilant ses habits de manière machinale, comme un geste acquis depuis des lustres et qu'il ne serait pas concevable de ne pas faire au saut du lit.

Son geste s'interrompt brusquement quand son œil accroche le parchemin déposé sur la table. Elle saisit fébrilement le document et le déchiffre peu à peu. Au fur et à mesure la lecture en devient plus difficile, sa vision se trouble du fait des larmes qui viennent, une à une au début puis de manière ininterrompue quand elle parvient enfin au bout du poème que Laurent a laissé la !

Seuls ses sanglots viennent briser le silence de la pièce.

Brisée elle s'effondre lentement au sol et ses pleurs s'intensifient encore, sanglots déchirant.

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.mahaut.
La nuit avait été courte, très courte, alors qu'elle avait voyagé vite pour arriver à Albi, elle aurait souhaité se reposer une nuit entière. Mais un imprévu et pas des moindres avait écourté sa nuit.

La veille au soir, après le délicieux repas préparé par Nane, Eurice et Elle étaient allés en taverne. Ils avaient discuté, longuement, sur les sentiments, le fait qu'il fallait oser. Alors elle avait osé... Elle était comme ça Mahaut, il ne fallait pas lui dire 2 fois les choses. Doucement, elle avait caressé la joue d'Eurice, puis l'avait embrassé. Il ne s'en était pas offusqué.

Ensuite ils étaient rentrés à l'auberge, ils avaient regagné la chambre d'Eurice. Ils avaient continué à parler, puis s'étaient endormis dans les bras l'un de l'autre. Dans la nuit, elle s'était réveillée. Elle l'avait regardé dormir un instant, elle avait hésité à lui caresser le visage. Et puis ne voulant pas le réveiller, elle était sorti de la chambre doucement pour regagner la sienne.

Elle eu du mal à retrouver le sommeil. elle ne faisait que penser à lui, à leurs discussions. Sa tendresse, sa prévenance, son charme... lui...
Le matin c'est un rayon de soleil qui la sorti de son rêve. Elle se leva s'habilla. Passant devant la porte d'Eurice elle hésita. Puis elle pris la décision de descendre. Si elle était la première levée, elle préparerais le déjeuné pour tous.

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Nane94140
Dans la grange aux cotés de Troispattes

Elle a fuit la chambre. Seuls les murs ont été témoins de son chagrin. Elle s'est réfugié dans la grange au cotés de Troispattes le Grand chien a battu légèrement de la queue en la voyant arriver heureux malgré sa faiblesse de voir sa maitresse qu'il idolâtre.

La jeune femme s'allonge à coté de l'animal. Quoi de mieux que la présence chaleureuse d'un animal fidèle, aimant et qui ne pose pas de questions pour se remettre de son chagrin.

Ces quelques moments paisibles ont requinqué la jeune femme même si le chagrin reste il devient moins atroce.

Nane se redresse enfin après avoir de nouveau beaucoup pleuré contre son compagnon blessé.


Mon Trois pattes ! Heureusement que tu ne m'a pas laissé toi aussi ! Tu as l'air d'avoir repris quelques forces ! On va regarder ta blessure !

Doucement sans gestes brusques Nane découvre la blessure sous le tissus qu'elle a posé pour la protéger.
Une grimace s'affiche sur son visage la blessure semble saine mais malgrè son habitude de ce genre de chose Nane ne peut réprimer un frisson rétrospectif à la souffrance qu'a du supporter l'animal.

Un peu de baume sur la blessure un nouveau pansement une gamelle d'eau fraiche, quelques caresses et une pâtée composée des restes de la veille qu'il mangera quand il en aura la force et Nane se relève laissant le grand chie se reposer au calme a coté de son copain Galopain qui avance un nez inquiet pour le renifler.


L'aubergiste repousse doucement le nez de l'étalon.

Surveille le mais ne l'embête pas mon beau il ne peut pas jouer avec toi en ce moment.

Je m'apaise avec vous deux mais je dois retourner me consacrer aux humain mes tout beaux.


Sur ces mots Nane quitte la grange d'un pas las et rejoint la grande salle ou elle trouve Mahaut aux fourneaux

Il ne fallait pas vous donner cette peine Dame mais .... Merci !!! je n'ai guère de courage ce matin !

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.mahaut.
Mahaut avait préparé sans bruit le déjeuner. Elle avait du fouiller un peu dans la cuisine de Nane. Elle espéra que son hôtesse ne lui voudrait pas trop.
Elle avait fait chauffer le lait. Elle avait aussi trouvé du pain et de la confiture. Elle remonta dans sa chambre et sorti de son sac un pot de miel.

Une fois en bas, elle surveilla la température du lait. Si ses compagnons ne tardaient pas, ils le trouveraient surement à leur gout. Elle entendit Nane Arriver. Elle lui trouva petite mine. Ses dires ne vinrent que renforcer son sentiments. Quelque chose n'allait pas. Nane revenait de la grange, peut être 3 pattes n'allait pas mieux.


Nane, appelez moi Mahaut, ça me ferait plaisir. Et pour le repas c'est bien normal. Vous êtes si accueillante. Mahaut se tu un moment. Vous semblez soucieuse. Votre chien ne vas pas mieux ?
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