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[RP] A L'Albigeoise-Auberge des amis

Nane94140
La cliente de l’auberge se présente : Gretchen Lindelend drôle de nom, mais normal pour un nom étranger. Heureusement que Nane a vécu en Helvétie, les consonances germaniques ne lui sont pas étrangères.

Elle est curieuse, presque autant qu’elle-même, mais elle est compatissante aussi quand elle remarque sa mine chiffonnée et son air triste.
L’aubergiste n’a pas l’habitude de se confier aussi répond elle d’un ton anodin à la question de la jeune femme qui tente de fouiller son âme de ses magnifiques yeux bleus.


Ça ira Dame Gretchen, juste un mauvais moment à passer, une mauvaise nouvelle à digérer voila tout ! Ne vous inquiétez pas pour moi, ça passera avec le temps. Et puis il n’est pas dans ma nature de m’appesantir sur mes malheurs. Mais votre sollicitude me touche infiniment !

Elle tend une grosse clef à Dame Gretchen en soupirant, dans sa mémoire passe la clef la fameuse clef qui trône sur la table dans sa chambre. Son regard s’assombrit discrètement et elle se tourne vers Prudence qui a patiemment attendu la fin de la discussion.


Prudence ma belle, va donc mener dame Gretchen à sa chambre, c’est la grande au fond du couloir ! Elle se retourne de nouveau vers la voyageuse : Vous y serrez bien, même si vous souhaitez prolonger votre séjour. Je vous laisse profiter du calme campagnard de l’auberge, un bal à préparer pour le Régent et le Conseil.


Le Lendemain vers la fin du jour :

Elle a passée sa journée et une partie de sa nuit à cuisiner, ses efforts ont été récompensés par une montagne de plats, tous plus appétissants les uns que les autres. Les tartes aux menues feuilles s’entassent les unes sur les autres, les tourtes à la viande aussi. Elle a trouvé le temps de rôtir plusieurs chapons bien gras dans la grande cheminée de l’auberge en même temps qu’un petit cochon de lait appétissant en diable. Le four a ronflé toute la nuit, dégageant une chaleur d’enfer dans la cuisine. Si la nourriture est prête Nane quand à elle est prête à s’effondrer d’épuisement. Mais pendant tout le temps ou elle a trimé pour assurer les préparatifs du bal, pas une pensée n’est venue la troubler, pas un sanglot, rien. La thérapie par le travail doit être efficace sans doutes.

Elle charge donc les victuailles préparées sur la carriole et se demande bien quel cheval elle va pouvoir y atteler, Galopain est bien trop épuisé pour continuer, même si elle sait qu’il aurait puisé dans ses dernières forces pour la satisfaire.

Elle ne trouve même plus le courage de quitter la pièce et s’effondre sur le sol même de sa cuisine évanouie de fatigue.

Quelques heures plus tard la froideur du sol de pierres la réveille, l’aubergiste est complètement déconcertée. La pièce est déserte et froide le four qui dégageait une chaleur d’enfer c’est éteint faute de bois.


Mais qu’est ce que je fais la moi à dormir au beau milieu de la cuisine ? Elle se relève, son sommeil a été bien long : déjà le soir tombe. Elle reprend ses esprits et se précipite vers la charrette. Grâce au ciel, personne n’est venu fourrer son nez dans la pile de nourriture. Qui plus est Galopain a bien profité du long sommeil de sa maitresse et est maintenant fringant comme un jeune étalon.

Elle l’appelle doucement, pas besoin de licol ou de barrières pour l’animal qui lui obéit à la voix. Il se positionne entre les deux bras de la carriole et Nane n’a plus qu’à l’atteler.

Il ne lui reste qu’à se préparer elle-même, sa tenue de travail tachée, quelque peu déchirée aussi, a vraiment piètre figure, ses mains brulées par endroit, d’avoir trop sortis de plats chauds du four, sont couvertes de cloques. Elle devra les cacher sous des gants, sa chevelure en bataille, pleine de nœuds ressemble à du foin, après sa nuit sur le sol de la cuisine. Elle est parsemée des brins d’herbe qui recouvrent le sol quand à son visage, maculé de farine et de traces d’œuf cru séché, il n’a pas vraiment une apparence des plus ragoutantes. On croirait qu’elle a participé à une bataille d’œuf et qu’on l’a ensuite roulée dans la farine. Un bon bain s’impose. Elle ne peut décemment pas se présenter ainsi devant les invités prestigieux du bal.

Aussitôt dit aussitôt fait elle attrape sa pâte à laver qu’elle fabrique avec des tiges de saponaire, un grand drap épais et bien blanc et file à la rivière toute proche. Bientôt récurée de la tête aux pieds, de retour dans sa chambre, elle enfile vivement ses habits neufs et se coiffe, disposant ses cheveux en couronne autour de sa tête et pique dedans quelques pâquerettes qu’elle a ramassé sur le bord du chemin. Elle prend une grande inspiration pour se donner du courage et ça y est, prête au départ pour la halle, elle ne repassera plus à l’auberge avant le début du bal. Nane s’assure qu’elle n’a rien oublié et la voila dans la cours, Galopain a patiemment attendu, elle se place devant lui et commence à avancer.

Elle marche devant l’animal qui la suit comme un petit chien. A ses cotés Troispattes a repris son poste de gardien. Il trotte lentement autour de l’équipage, surveillant d’un œil passionné la montagne de nourriture aussi bien que sa maitresse.

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---fromFRDame Lindelend
Gretchen écoutait l'aubergiste qui finalement semblait avoir un caractère bien trempé malgrés sa douceur, et d'un air rassurant elle lui exprima les vicissitudes passagères qu'elle traversait sans trop d'encombre ce qui apaisa la Germanique sur cette situation causée uniquement par une "mauvaise nouvelle à digérer" ce qui fit galoper l'imagination de Gretchen.... un homme.... sans doutes....

Mais elle respecta la volonté de Nane de ne point évoquer ce point et prit dans un geste raffiné la clé qui lui était tendue, et Gretchen, dans un respectueux hochement de tête, gratifia d'un sourire chaleureux l'aubergiste qui dans la foulé demanda à sa servante de la mener à sa chambrée. Elle fut ravit car elle pourrais enfin trouver repos, et le calme de l'auberge lui fut vanté ce qui tombait parfaitement bien en phase avec les attentes de Gretchen, lasse des convenances et des manières trop citadines, c'était aussi ce pourquoi elle avait entreprit de voyager dans ce si charmant pays, connaitre ses us et coutumes tout en profitant au mieux d'un salvateur repos loin de toutes pressions et contraintes.

Mais son attention fut tout de même attiré par le bal pour le Régent et le Conseil, car bien que la belle Germanique s'était mise en retrait momentané des gens de noblesse pour partir "à l'aventure" elle n'en était pas moins intriguée par les moeurs des cours Comtales propres à la France et se voyait intéressée... peut-être une occasion de se divertir... et d'éventuellement éprouver le légendaire esprit libertin des Nobles Français... cela allait promettre de se montrer des plus ludiques....

S'inclinant respectueusement face à son hôte, Gretchen prit congé de celle-ci et suivit la servante jusqu'à sa chambrée, gravissant d'un pas lent et emprunt de fatigue l'escalier menant à l'étage. A l'embrasure de la porte elle remercia Prudence et pénétra dans la pièce, non-dénuée de charme, et son regard parcourant les lieux, la belle Germanique fut ravie de constater l'aménagement agencé avec bon goût, quoi que ça priorité du moment soit de sombrer dans les bras de Morphée à défaut de mieux, elle fut tout de même agréablement surprise que cela se fasse tant dans le fond que dans la forme dans cette charmante chambre.

Elle se referma la porte derrière elle a double tours et entreprit de sa soulager de sa robe, délassant lentement les délicates lanières au creux de ses reins, puis détachant le ruban d'étoffe à l'arrière de sa nuque. Elle laissa le tissu glisser au sol, parcourant ses fines courbes, gracieuses, ses jambes au teint diaphane caractéristique aux Germain. Elle plia avec soin l'étoffe et la posa sur la coiffeuse et elle put enfin s'abandonner au drap de sa couche et y prendre un repos salutaire... enfin...

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Eric.mrk
Sa promenade le menant dans le quartier de la gentille Nane, Eric décida de s'arréter quelques instants dans son auberge...

Hola, y a quelqu'un??

Mais hélas point de réponse... quelle tristesse... il espère bien la recroiser bientot ou la voir lui souhaiter la bienvenue en venant partager un godet chez lui... Remplis de ces heureux espoirs, il reprit sa route en sifflotant gaiment...
Grandlaurent
Gl rentra dans l'auberge ca valise dans une main, Il contempla la bâtisse fort jolie et se décida à entrer. Nane lui avais parlé de cette endroits mais bizarrement il ne l'imaginer pas comme cela. Nane blottit contre lui, ils entrèrent dans l'auberge main dans la main, heureux d'être ensemble. Dans l'entré il vit un jeune homme qui attendais visiblement une chambre. Nane tenancière qui devait bien s'occuper de ces clients donna la clef et m'indiqua la direction de la chambre. Il monta l’escalier regardant l'architecture de l'auberge. Il se retrouva devant une porte ou il entra la clef dans la serrure et la tourna, avec chance il trouva la bonne pièce tout seul. Il posa sa valise dans un coin et s'allongea sur le lit, attendant le retour de nane. Après une journée comme celle ci, la fatigue ce faisait sentir et le sommeil dur à repousser. Gl n'eu pas la force d'attendre le retour de la belle et s'endormis sur le lis confortable...
Nane94140
Nane sourit en voyant filer Laurent vers l'étage, il est tellement distrait qu'il n'a pas remarqué qu'Eric quittait l'auberge, elle met ça sur le compte de l'épuisement.

Il a escaladé l'escalier quatre à quatre comme si un instinct sur le guidait.

Quand elle réussit à le rejoindre après un dernier tour de l'auberge pour s'assurer que tout est bien calme, c'est pour s'apercevoir qu'il dort comme un bienheureux.

Elle s'assied sur le rebord du lit et le regarde dormir cet ange blond qu'Aristote a mis sur son chemin.

Elle s'allonge enfin contre lui et s'endort simplement heureuse de sa présence à ses cotés.

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Nane94140
Tap ! Tap! Tap !

Des pas se font entendre devant la porte de la chambre. Le bruit s'arrête et la poignée de la porte se tourne lentement.

Nane est nichée dans les bras de Laurent elle dort du sommeil du juste.


Crrrrrrrriiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!


La porte grince un peu en tournant sur ses gonds laissant passer un petit museau de fouine. La Tête de Tristan passe discrètement par l'entrebâillement de la porte le reste du corps suit bien vite. C'est le seul moment ou son chevalier, comme l'appelle Nane, reprend son âme d'enfant, le petit garçon a en effet grandit trop vite, depuis son plus tendre age il s'est instauré le protecteur de sa mère et de ses sœurs, Il a une très haute conscience de son devoir d'homme de la famille . Le garçonnet est bien vite rejoint par ses deux sœurs qui se glissent elles aussi dans la chambre. Fini le repos les trois enfants se ruent sur le lit en criant :

MAMANNNNNNNNNNNN !!!!!!!! DEBOUUUUUUTTTTTTTTTTT !!!!!!!!


avant de s'apercevoir que maman n'est pas toute seule dans le lit comme d'habitude. Stupéfaits les petits poucets se reculent pour observer et essayent de voir qui dort ainsi avec maman une pointe de jalousie se lit dans leur regard.

Mais ... Mais .... Mais c'est tonton Laurent !!!!!!!!!!! Tristan est éberlué quand il reconnait ce tonton à la mode de Bretagne
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Grandlaurent
Gl très fatiguer par sa journée de la veille, avais dormis très facilement, trop peut être, sentit le lit bouger ce qui le réveilla. Il s’attendait à voir nane, mais ce fut tout autre chose. Les 3 enfants de nane, debout devant lui, Gl était stupéfait de les voir, pourtant il n'y avait rien d'étrange il était dans la maison de nane la ou vivais toute la famille. Après avoir remit les yeux en face des trous, il s'asseya sur la lit

Et oui, c'est tonton Laurent surprise les enfants, les choses évolue les enfants et il ne faudra pas être étonné de me voir un peu plus souvent aux cotés de ta chère mère.

Bien qu'il ne soit que peu réveiller, Gl eu les souvenirs émouvants comme lorsque nane lui avais annoncé qu'elle était enceinte, qu'il la voyait gonfler, gonfler. Combien de plaisanterie avais t il fait sur ca. Ensuite un souvenir plus étrange de si bon matin lui parvint a l'esprit, il était un des rares avec sa petite teratosaurus à avoir assisté à l'accouchement et a être encore vivant, spectacle unique mais particulièrement éprouvant pour les yeux.

Il se retourna vers nane qui était allongé sur le lit et l'embrassa tendrement. Il se posa encore quelques instants pour visualiser la scène, c'était la chose qu'il avait toujours rêvé de vivre. Une femme qu'il aime plus que tout a ces coter, des enfants merveilleux qui viennent s'amuser avec eux dans la chambre, un raillons de soleil par la fenêtre, la journée ne pouvais commençait mieux.

Les enfants montèrent sur le lis et narrèrent leur histoires, car il était vrai que ca faisait quelque temps que Gl n'avais pas vue c'est petits brigands, qui avais grandit d’une façon spectaculaire. Tristan était devenu un petit homme et ses sœurs des femmes en devenir. Voir ces petits être plein de vie lui donna un soudain coup de vieux, mais c'était la vie, on ne fait que vieillir de jour en jour ...
La matinée continua, les petits et les grands jouaient ensemble dans la chambre maternel, Il se sentait comme une famille bien que les enfants n'était pas de lui. Midi sonné à la pendule, il était leur de se bouger un peu. Les enfants retournèrent dans leurs chambres finir de se laver.
Gl sorti du lit pour aller faire ca toilette matinal, puis revenu s'habillé.


Quel enfant merveilleux tu as mon amour, c'est toujours un enchantement de les voir, ils sont a l'image de leur mère. Je suis ravi qu'il n'est pas montré d'hostilité à notre nouvelle vie.
Nane94140
Elle fond à voir Laurent jouer avec ses enfants, elle sent son cœur s’affoler quand il annonce aux enfants qu’il sera presque toujours la. Le jeu se prolonge vu les circonstances bien au delà des habitudes . la matinée est bien avancée quand les enfants soulés de rire laissent enfin la place libre et le lit dévasté.

Laurent mon cœur tu es sur de vouloir bouger de cette chambre ou nous sommes si bien ?

Devant la détermination de son amour elle n’a guère d’autre choix que de se préparer à son tour elle se lève donc et s’installe devant la table de toilette. Elle relève ses cheveux et passe un tissu, qu’elle trempé dans l’eau fraiche de la cuvette, sur son visage puis sur son buste frissonnant de la fraicheur de l’eau claire. ! Elle a décidé de le tenter de l’aguicher même elle n’a pas envie de voir s’achever ce moment privilégié. Elle laisse courir ensuite le tissu lentement sur sa peau frémissante.

Un regard caressant lancé vers son ange et elle recommence lentement son manège laissant des perles liquides glisser le long de sa chair. La peau frémissante se hérisse un peu mais la sensation est loin d’être désagréable. Elle ressent le regard de son homme qui ne peut se détacher d’elle . un sourire gourmand vient illuminer ses yeux a demi voilés pourtant par ces paupières languissamment baissées.

Un soupire s’échappe de ses lèvres. Elle dépose délicatement le tissu dans la cuvette et détache ses cheveux long qui s’affalent jusqu’au creux de ses reins . elle saisit le peigne et commence à démêler très lentement ses cheveux.

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Grandlaurent
Gl qui finissait de mettre son mantel, regardait sa belle passer sensuellement son tissu humide sur son doux visage. Il ne pouvait parler, bouger, ni même s'approcher, Gl était ébloui par la beauté raillonante de nane. L'eau perlé sur sa peau parcourant les courbes divine de son corps, le froid de l'eau la faisait frissonner malgré la clémence du temps. Le spectacle ne pouvait être plus agréable, il était comme mystifié devant cela. Nane qu’il croyait connaître ne faisait que le surprendre depuis leur rapprochement. Elle était si belle, si gracieuse, si désirable qu'il se demandait encore pourquoi il restait là, sans bouger.

Il s'approcha doucement d'elle, pris le peigne de ses mains et le posa à côté de la cuvette. Il posa quelques baisers dans son cou, caressant ses cheveux. Nane fit volte face, passa ses mains autour de son cou et l'embrassa a pleine bouche. Gl enleva son mantel pour plus d'aise et l'embrassa de plus belle. L'étreinte fut torride, il posa ses mains sur les hanches de sa belle l'embrassant avec fougue.


Oui je suis sur de vouloir bouger mais pas de cette chambre, nous y sommes si bien mon amour.
Nane94140
Le peigne s'envole de ses mains, elle ne l'a pas vu se glisser derrière elle mais elle est tellement consciente de sa présence que le mouvement ne lui a pas échappé.

Le baiser qui s'ensuit la laisse debout dans ses bras, pantelante, arrimée à son cou, comme ci elle ne voulait plus jamais le lâcher. C'était d'ailleurs exactement le but recherché, pense t'elle.

Un regard en direction du grand lit qu'ils jettent tout deux au même instant et leurs pas les entrainent. Ils s'effondrent, enlacés, leurs caresses et leurs baisers s'intensifient pour les unir dans une étreinte torride. Bras et jambes se mêlent, deux corps s'étreignent pour la première fois, plaisir de la découverte, plaisir des sens et de l'âme.

Les prévisions pour la journées sont belles et bien oubliées. La vie au dehors de la chambre ne semble plus exister pour les amants. La passion et la tendresse les ont remplacés avec bonheur. Pourtant la vie les rattrape l'auberge doit tourner le repas des clients de passage être préparé à temps.

C'est avec un immense regret que Nane revient à la réalité quelques heures plus tard. Heureuse comme cela ne lui était pas arrivé depuis fort longtemps, comblée repue, elle sort du lit afin d'aller vaquer à la préparation du repas.

Mais quelle idée j'ai eu de prendre une auberge !!!!! quand je penses mon ange que je pourrais rester tout le jour et toute la nuit dans tes bras !
Enfin c'est la vie il faut hélas en passer par la !


Elle s'habille cette fois rapidement sous le regard inquisiteur de Laurent sans résister toute fois à lui offrir au passage quelques chatteries de son cru et quitte la chambre le laissant un moment refaire ses forces.

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---fromFRcastelreng
Ils étaient arrivés…



Gamin les attendait donc sagement assit devant la porte, Castel l’ouvrit en grand afin de ceder l’entrée à Oriabel, mais le chiot impatient fut le premier à la franchir.

Il va falloir lui apprendre les bonnes manières et surtout à rester dehors…

Il laissa entrer Oriabel, passa la porte qu’il laissa ouverte. Le soleil brillant, s'infiltra à l’intérieur, permettant aux arrivants de découvrir avec plaisir la beauté du lieu.



Depuis son arrivée à Albi, Castel n’avait encore pas prit le temps d’aller visiter l’auberge de sa sœur. Il ne savait que trop que celle ci avait bon goût, mais n’en resta pas moins épaté par ce qu’elle avait accompli. Tout comme Oriabel qu’il avait reprit par la taille, il laissait son regard parcourir le lieu. Il trouva l’endroit vraiment parfait pour leur premier tête-à-tête. Un regard vers la Belle qui semblait tout aussi ravie que lui, il se pencha doucement vers son oreille et lui murmura

L’endroit vous plait….

Puis ajouta

Venez…. Allons découvrir le reste en allant trouver Nane.

Si le reste était aussi charmant, qu'il devait être doux d'y passer une nuit se dit-il en entraînant la jeune fille à la recherche de la propriétaire.
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---fromFROriabel
Le chien était parti sur un pas décidé à trouver cette odeur enivrante de nourriture. Il devait surement être affamé après tout, quoi de plus normal. Le marchand ne devait surement que les nourrir très peu, juste pour dire qu’il les laissait en vie comme cela en tirerait un plus grand bénéfice à la vente.

Oriabel et Castel se regardaient, se souriaient juste par le plaisir d’être ensemble lorsqu’ils arrivèrent à la taverne où Gamin attendait sagement devant la porte. A peine une petite ouverture que déjà le chiot se ruait à l’intérieur sous le regard de Castel désapprouvant.

Il va falloir lui apprendre les bonnes manières et surtout à rester dehors…

Oriabel éclata d’un rire chaleureux. Elle délaissa ses doigts des siens et caressa sa joue tout en souriant ensuite.

Vous devriez cesser de râler contre ce pauvre chiot, il est adorable, tout comme vous….


Ses yeux pleins de malices mais, étonnamment sincères également. Elle le précéda dans l'auberge ensuite. Elle fut surprise de voir la pièce principale baigner dans un grand halo de lumière qui donnait un cachet splendide à ce lieu. Les boiseries étaient magnifiques, la décoration à couper le souffle. La soeur de Castel avait beaucoup de gout, son air béat d'enchantement était là pour le prouver.

Elle revient à la réalité par des paroles de l'homme qui l'accompagnait.

L'endroit vous plait.... Venez.... Allons découvrir le reste en allant trouver Nane.


Il avait probablement observé chez Oriabel cette stupeur face à l'auberge qui était magnifique, pas d'autre mot pour lui dire cela. Elle hocha la tête sans trouver les mots adéquats et le suivi par jusqu'à l'accueil où ils trouveraient sans doute Nane, qu'elle rencontrerait pour la première fois.

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---fromFR*GaMin
Enfin la porte s'ouvre... c'est bien ici que ça sent si bon ! j'ai faim, faut que je trouve à me mettre sous la dent.

Le chiot franchit donc le seuil de l'auberge . Il profite de plus être surveillé pour traverser la salle et se dirige droit vers les cuisines d'où arrivent ces odeurs alléchantes.


[ dans la cuisine]

La truffe aux aguets, il va et vient cherchant et recherchant fouinant, fouillant. Lorsque ! il finit par trouver.
Près de l'âtre était posé une grande gamelle, servant sans doute à la préparation de diverses soupes. A l'intérieur non pas du potage, mais de l'eau afin de pouvoir la récurer plus facilement. Le chiot alors grimpe sur le rebord de la cheminée...... pose ses deux pattes sur le bord de la marmite ...... et ....


BADABOUMMMMMM !!!!!!!!!

... se retrouve trempé et sous la marmite. Bougeant, remuant pour essayer de se sortir de là.

Ou je suis là.... Whouarffff....

On put donc entendre, provenant de la cuisine, un grand fracas de fer et des bruits métalliques

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Nane94140
Elle referme tout juste la porte de la chambre que le grincement de la porte d'entrée de l'auberge se fait entendre.

Juste à temps ! Un peu plus j'étais encore au lit !

Elle descend l'escalier quatre à quatre pour accueillir les clients.

Quelle surprise !!!! Son frère et une jeune femme tendrement appuyés l'un à l'autre se tiennent dans la grande salle, leurs yeux cherchent. Mais que cherchent-ils d'ailleurs ? Elle peut être !


CAAAAASSSSSSTTTTTTTTTTTT !!!!

Comme je suis contente de te voir ici cela me fait un immense plaisir.

Plus bas, pour n’être entendue que de lui seul, elle reprend :
Qui est cette demoiselle que tu ne lâches pas d’un poil ? Tu sais elle ne va pas tomber ! Tu peux la lâcher éventuellement à moins qu’elle ne sache pas marcher !

Elle saute au cou de Cast selon son habitude. Puis se recule en rougissant un peu. Sa tenue est bien loin d'être impeccable elle s'est rhabillé à la va vite en sortant des bras de Laurent. Quelques mèches sortent de sous sa coiffe. Son devantier pendouille encore qu'elle n'a pas eu le temps d'attacher convenablement. Elle achève de se rajuster les mains un peu tremblantes gênée que son grand frère la surprenne au sortir des bras de son ange.


Elle se reprend un peu.

Que me vaut le plaisir de votre visite ? Voulez vous déjeuner avec nous en famille ou peut être jouer les amoureux avec chandelles et roses rouges sur la table ?

Sa propension habituelle à la taquinerie prend vite le dessus sur sa gêne momentanée. Mais son visage change de nouveau c'est qu'elle n'avait prévu personne pour le repas. Que va t'elle bien pouvoir leur concocter en si peu de temps et surtout que reste t'il en cuisine ?

Une boule de poil se précipite entre ses jambes manquant la renverser.

mais qu’est ce que c’est que ca ??????
Elle se retourne d’un bloc prête à poursuivre l’intrus.

BADABOUMMMMMM !!!!!!!!!

Trop tard, le chiot, car s’en est un, a déjà été puni de sa gourmandise et de sa curiosité. Le voila emprisonné sous la marmite, les trois humains, qui le voient par la porte de la cuisine demeurée ouverte, rient à gorge déployée.

Nane au moins tant qu’il reste sous la marmite il ne pourra pas faire de sottises et me chiper le chapelet de saucisse.
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---fromFRcastelreng
Un bras autour de la taille de sa Belle, sa main dans la sienne, alors qu’il voulait y déposer ses lèvres, arriva Nane, lorsqu’elle les vit dévala les quelques marches restantes…

CAAAAASSSSSSTTTTTTTTTTTT !!!!

Comme je suis contente de te voir ici cela me fait un immense plaisir.


Des jours qu’ils ne s’étaient pas vu tout les deux. Castel avait eut le grand plaisir de la retrouver à Albi le jour de son arrivée, lorqu’il était parti visiter la ville le temps qu’Oriabel s’était délassée dans un bain, une fois leur emménagement terminé. Depuis, il avait repris la maréchaussée et le travail ne lui avait pas laissé de temps de profiter de sa sœur. Elle lui sauta au cou, lui demandant tout bas qui était la Belle qu’il tenait par la taille. Il prit le temps de lui coller deux gros bisous avant de poser un regard tendre à Oriabel.

Ma Mie, je vous présente ma sœur Nane que nous avons du mettre en bas du lit à en voir sa tenue.

Reposant alors son attention sur sa sœur, il se retint de rire en la voyant rougissante, essayant maladroitement de remettre en ordre sa coiffe.

Nanou, cette chamante damoiselle est Oriabel.


Inutile d’en dire plus, Nane connaissait de nom la jeune femme, Castel n’avait parlé que d’elle à leur dernière rencontre. Elle savait que celle ci s’occupait des enfants, remplaçant leur mère depuis leurs naissances, elle avait du comprendre, à l’écouter lui en parler qu’il en était amoureux.

Nous sommes ici pour diner Nane le déjeuner est déjà loin tu sais…. T’aurait-on fait perdre la notion du temps ma Sœur ?

Aucun doute la dessus, Castel eut tôt fait de comprendre en la voyant débarqué autrement qu’impeccable, que sa jeune sœur devait cacher un amant quelque part. Il doutait fort que ce soit ses deux nièces et son neveux qui soient la cause de sa présentation quelque peu négligée. En d’autre temps il se serait fait un malin plaisir de lui demander des explications, là, il n’en fit rien, ayant en tête bien d’autres choses.

Voulez vous déjeuner avec nous en famille ou peut être jouer les amoureux avec chandelles et roses rouges sur la table ?

Un sourire tendre à Oriabel, plongeant ses yeux dans les siens..


Un tête à tête, Nanou .. avec roses rouges … et une branche de ton camélia blanc…


Il ne put apprécier bien longtemps le minois rosissant d’Oriabel à ses mots. Un grand fracat se fit entendre en direction de la cuisine.


BADABOUMMMMMM !!!!!!!!!


Ils se précipitèrent tous trois vers l’entrée de la cuisine et Castel qui en avait un instant oublié le chiot, eut vite de se le remettre en mémoire lorsqu’il vit, non loin de la cheminée, une belle mare d’eau et une grosse marmite bouger où juste la queue du chien en sortait. Les deux femmes en éclatèrent de rire, lui, riait plutôt jaune, se disant que le début des ennuis commençait.


Bin voilà Nane…. J’te présente Gamin....
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