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[RP] A L'Albigeoise-Auberge des amis

Marcj
MarcJ se tenait là, au beau milieu de l’entrée.
Il avait le dos courbé et avait posé les mains sur ses genoux …
Il reprenait son souffle tout en étant impatiemment que quelqu’un vienne lui donner des nouvelles de sa douce.

C’est alors qu’il s’aperçu que messire Little l’avait suivi.
Il tourna la tête, se redressa, et s’approcha de lui d’un pas décidé.
Lui posant la main sur l’épaule, il demanda :


Messire Little……. dites-moi où elle se trouve ? ……Comment va-t-elle ?
s’il vous plait ……répondez moi …… puis-je la voir ?...
Nane94140
MAAAAAAAAAAARRRRRRCCCCCCJJJJJJ !!!!!!

Elle a entendu sa voix dans la grande salle. La pauvre Oba en a les oreilles qui sifflent tant le cri qui sort de la bouche de Nane est puissant.


Dans la chambre en haut !!!!

Elle braille comme un âne mais n'en a cure tout ce qu'elle veut c'est son amoureux, vite, le plus vite possible

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Obanbru
Obane en devint complètement sourde d'entendre Nane hurler de la sorte...

Nanméo t'es pas un peu folle ma Nanou!!! je va finir complètement sourde moi....
Mais bon l'amour ... je comprends ma belle ... Allez je vais te laisser à tes retrouvailles ma belle...


Elle lui dépose un baiser sur le front, et sort de la chambre...
Marcj
Il était entrain de questionner Messire Little quand :




MAAAAAAAAAAARRRRRRCCCCCCJJJJJJ !!!!!!
Dans la chambre en haut !!!!


Il tourna aussitôt la tête vers l'escalier, et bondit.
D''un coup il n'était plus essoufflé, il ne pensait même plus a respirer!
Il avait reconnu la voix de celle qu'il aimait.
Il gravit les marches de l'escalier trois par trois et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire il arriva sur le palier.
En haut de l'escalier, se tenait une silhouette, qu' il faillit renverser, une femme qui tentait de descendre, lui sembla t-il.
De sa bouche sortie, plus par reflex que par politesse ou courtoisie, un :

Pardonnez moi gente dame .........
et il traversa droit vers une porte entrouverte.

Il poussa la porte :


Ma douce êtes vous ici ?

Il s'arrêta net, cette fois si, son souffle était coupé pour de bon, il sentit le feu lui monter à la tête et sa mâchoire inférieure ne répondit plus, laissant sa bouche ouverte de façon fort incongrue.
Le tableau qui lui était offert faisait naviguer ses sentiments entre contemplation et colère:

De l'entrée de la porte il pouvait voir sa douce, lui tournant légèrement le dos.
Sa chemise déchirée retombant sur ses genoux laissant apparaître tout le haut de son corps dénudé.

Il vit tout d'abord son dos traversé de part en part d'affreux traits rouges recouverts d'une sorte d'onguent, qui ne masquait rien de la souffrance qu'elle avait due endurer.

Puis son regard s'élargit.
Il vit ses cheveux, effleurant légèrement des épaules à la peau si fine et si blanche.
Ses yeux ne pouvaient s'empêcher de suivre le chemin que dessinait le contour de son corps. Son regard glissa donc de son épaule jusqu'à son avant bras qui cachait sa poitrine, puis sur son ventre ou paraissait encore la cicatrice d'un blessure un peu plus ancienne.

Comme elle tourna la tête pour regarder qui entrait, il vit son visage et le bonheur pris le dessus sur tout le reste.
Son regard plongeait maintenant dans celui de sa douce et il ne voyait plus que ses magnifique yeux vert....

Il fit un pas en sa direction, bras tendu, de sa bouche s'échappa comme un soupir :

MA DOUCE.....ENFIN.......
Nane94140
La porte s'ouvre avec fracas alors qu'elle est entrain de tenter de remonter les morceaux épars de sa chemise pour se couvrir. Nane n'en a pas le temps.

Quand il pénètre dans la pièce Nane retient son souffle. Comme lui !

Sa peau commence à rosir tout d'abord puis à rougir.
Mais la gène de son regard qui la détaille, découvre le haut de son corps et les marques laissées par la vie.....

Son cœur serré attend le verdict et les premier mots de l'homme qu'elle aime à la folie. Mais ses pieds se sont mis en mouvements, ses bras se sont levés, elle a commencé à avancer vers lui.

La pièce n'est pas si grande et elle se retrouve bientôt devant lui, puis tout contre lui retrouvant enfin la chaleur de cet homme qui lui a tant manqué.

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Marcj
Il la voit qui avance vers lui, son regard plongé dans ses yeux…

En un instant, réalisant qu’elle ne cache plus rien de son buste en avançant, son visage s’empourpre, la gêne le gagne, il tourne la tête et porte une main sur ses yeux.
Il ouvre la bouche avec l’intention de lui demander de se couvrir un peu, mais avant qu’il ait le temps de dire quoi que ce soit il sent la chaleur du corps de Nane contre son torse.

Leurs respirations sont fortes et les amples mouvements de leurs poitrines, l’une contre l’autre, s’accordent, dans un rythme régulier, donnant à MarcJ l’impression que son corps tout entier est bercé par les vagues de la douce marée de la cote d’Emeraude.

Il s’apaise, rouvre les yeux et baisse la tête pour contempler le visage de celle qui se serre contre lui.
L’une de ses mains s’était posée sur le flan droit de sa douce, par réaction, quand son corps avait senti le contact chaud, maintenant avec l’autre, il dégage une mèche de cheveux qui couvre le front de la femme:


Ma douce, comme j’ai eu peur de vous perdre!

Il dépose un baiser sur son front, puis un deuxième sur le coin de son œil et sa bouche descend ainsi jusqu'à trouver les lèvres de sa bien aimée.
Nane94140
Quand il est entré elle a tout oublié
Sa tenue plus que suggestive même si ce n'était pas voulu, sa douleur au dos , sa fatigue tout quoi !

Elle ne réfléchit pas à sa vue elle agit.

Quel meilleur remède que sa présence pour oublier les mauvais moments.


J'ai eu si peur de ne plus jamais vous revoir mon ange !

Les mains de son fiancé s'enroulent autour d'elle, elle se rend compte alors que sa peau est nue mais n'en a cure, elle ne pense à rien qu'à ses baisers qu'il parsème sur elle et à sa chaleur qui la réconforte si bien.


Je vous aime tant mon ange maintenant que tout cela est passé pensons à l'avenir, à notre avenir voulez vous ? Oublions ces mauvais moment qui nous ont séparés.

Elle prend sa main et l'entraine vers le tabouret ou elle le fait assoir. Elle prend ensuite sa place favorite sur ses genoux.

Voila ma place s'est la ou je veux demeurer ma vie entière dans vos bras au plus près de vous !

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Marcj
Il se laisse mener, comme un enfant tenue par la main, et s’assoit sur le tabouret.
Elle s’installe en amazone sur ses genoux, et passe un bras autour de son cou.
Il se sent bien ainsi.




Voila ma place c'est la ou je veux demeurer ma vie entière dans vos bras au plus près de vous !


Il saisit le bord de l’étoffe déchirée qui pend sur ses jambes et remonte doucement le devant de la chemise pour couvrir partiellement sa nudité.
Il prend soit de ne pas effleurer son dos et de le laisser nu.

La joue de Nane appuyée sur son torse, il pose une main sur son genou, pour la maintenir et la serrer contre lui, et avec l’autre lui caresse les cheveux.


Vous avez raison ma douce, oublions vite cette mésaventure et ne pensons plus qu’a nous.

Il espère avoir mis suffisamment de conviction dans sa voix pour être cru, mais il n’est pas prêt d’oublier… Et gare à l’inquisiteur si leurs chemins devaient de nouveau se croiser.
Sans qu’il sache pourquoi, une larme coule sur sa joue.
D’un gente vif et discret, il la balaye du revers de la main.
Caressant de nouveau les cheveux de sa douce :


Vous devez être épuisée, désirez-vous vous étendre sur votre lit et dormir un peu ?
Nane94140
Les yeux dans ceux de son amoureux Nane se sent revivre, la fatigue bien que présente n'est plus qu'un mauvais souvenir.

Si je me met dans le lit resterez vous a mes cotés ? J'ai tellement peur que le cauchemar recommence si je dors.

Votre présence me réconforte et me rassure.

Mais je ne veux pas non plus vous emprisonner.


Le dilemme est cruel qui lui ordonne de le laisser partir afin de respecter son vœux ou lui demander de rester pour pouvoir se reposer enfin sereinement.

Elle retient les pans déchirés de sa chemise puisqu'il le désire ainsi et se lève à regret de ses genoux afin de lui laisser le choix.

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Marcj
Ma douce , je ne vous quitterai pas, je reste prés de vous....

Joignant le geste à la parole il se lève, attrape le tabouret d'une main , et le dépose juste à coté du lit.
Puis il prends la main de sa douce, et l'entraîne pour qu'elle s'assoie sur son lit.


Allonger vous ma douce, je resterai à vous veiller le temps que vous soyez complètement reposée.

Marcj esquisse un sourire rassurant et s'assoie sur le tabouret.
Nane94140
Elle soupire de soulagement quand il lui confirme ce qu'elle espérait c'est a dire qu'il passerait la nuit a la veiller. Puis se laisse entrainer vers la couche attirante, leur mains entrelacé comme si elle ne devaient plus jamais se dénouer.

Pourtant elle lâche sa main le temps d'ôter ses habits et de se glisser sous la couverture. Elle tique un peu quand elle le voit approcher le tabouret et s'y installer tranquillement.


Toi mon ange tu vas pas rester tranquille bien longtemps pense t'elle.

Puis elle commence à greloter sans doute le contrecoup de sa peur et le froid humide de l'automne qui se glisse par les interstices de la fenêtre.


J'ai froid mon cœur !

Il se penche sur elle un peu inquiet et elle enroule les bras autour de son cou l'attirant sur le lit , elle sous les ouvertures lui dessus.
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Marcj
Il détourne le regard le temps que sa douce se dévêtisse et se couche.



J'ai froid mon coeur !


A ces mots il s'approche et tends la main vers son front pour voir si la fièvre ne l'a pas gagnée....mais il n'a pas le temps de finir son geste, qu'elle l'entraîne avec elle dans le lit.

Il ouvre de grands yeux surpris, mais n'a pas le temps de dire quoi que ce soit, que sa bouche et déjà recouverte par un tendre baiser.
Il se retrouve couché sur le lit auprès de sa douce, il tente de se redresser sans grande conviction mais l'étreinte de Nane est trop agréable pour qu'il puisse y résister.

Il sent le corps nue de Nane sous la fine épaisseur des draps, il sent le désir monter en lui, ses mains ne lui répondent déjà plus et semblent agir d'elles mêmes.
Elles se muent sur les formes recouvertes par les draps, effectuant le mouvement d'une vague. Elles explorent l'ensemble du corps, passant de creux en crêtes, de vallons en collines, de collines en plaines, prenant de la hauteur puis se laissant glisser pour remonter sur de nouvelles formes à explorer.

Ces lèvres sont toujours attachées à celles de sa douce, quand d'un bond il se recule.


Ma douce........ma douce ! .......arrêtons là...... nous ne devons pas dépasser nos limites.....c'est une torture inhumaine, que nous nous imposons !
Je n'aurai point la force de résister plus avant ! Dans ces conditions, ce simple draps ne suffira pas à arrêter mon désir!


Il se retourne,allongé sur le flan, tournant le dos à cette femme qu'il désire plus que tout, honteux que son corps ait échappé à son contrôle.

Ma douce ne m'infligez pas à une telle épreuve! Ni mon coeur, ni mon esprit, n'y résisteront.

Passant une main dans son dos il attrape celle de sa douce, presse son dos contre la poitrine de sa douce, et enroule son bras autour de lui.


Ainsi vous profiterez de la chaleur de mon corps............et la .......tentation.....me sera moins forte.
Nane94140
Nane s’éveille de bon matin selon son immuable habitude, elle a passé une merveilleuse nuit, la meilleure depuis celles qu’ils ont passés tout deux blottis l’un contre l’autre dans le fauteuil de la grande salle.

Pendant leur sommeil les corps des deux amoureux ont bougés, se sont collée l'un à l'autre, le drap a glissé seules les habits de Marcj les séparent maintenant, leurs membres sont étroitement entremêlés. Comme elle aimerait demeurer auprès de lui ainsi enlacée, ce n’est pourtant pas sage au regard des contraintes qu’impose le vœu qu’elle a fait à Aristote.

A regret, elle se dégage lentement de son étreinte, pose un baiser délicat sur ses lèvres pour ne pas le réveiller, puis se lève discrètement et enfile une chemise propre soigneusement pliée dans le coffre à habits au bout du lit, afin d'aller préparer le petit déjeuner.

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Marcj
Il se réveil doucement , encore engourdit de la nuit qu'il vient de passer.
Il n'a pas beaucoup dormit, hier soir, Morphée à été étrangement longue à venir l'emporter...
Sa main cherche la chaleur du corps de sa douce,


Nane .......mon amour .........

plus rien, il ouvre les yeux, se redresse, sa place dans le lit est vide. L'angoisse le gagne....
puis constatant qu'il n'a pas rêvé, qu'il est bien dans la chambre de celle qu'il aime,


Elle à due se lever plus tôt, voilà tout.

Il avait prononcé cette phrase à voix haute, pour se convaincre, et cela marchait.
Par contre, il sait désormais, que, même s'il se couche seul, ses mains rechercheront son corps tous les matins.

Assis sur le lit, il regarde la pièce. Dans un coin de la chambre, une petite console sur laquelle trône un broc et une vasque.
Un brin de toilette s'impose, il se dévêtit, l'eau du broc est fraîche, et cette fraîcheur ravive sa peau . La toilette, somme toute sommaire, à fini de le réveiller.
Il décide de descendre en cuisine voir si sa douce n'y est pas , et lorsqu'il ouvre la porte de la chambre, à l'odeur qui monte à l'étage, un sourire traverse son visage.


Nane est en cuisine, c'est sure....

Il descends les escaliers le coeur léger, il ne s'était pas senti ainsi depuis fort longtemps....
Nane94140
Dans la cuisine Nane fredonne elle est d’une humeur de rêve ce matin. Un pas descend l’escalier qui lui met un sourire encore plus radieux sur le visage. Le petit déjeuner est près ils vont se régaler.
Une belle miche craquante dorée et appétissante, une motte de beurre frais qu’elle a baraté du jour et ses fameuses confitures qu’elle prépare tout au long de l’année avec les fruits du moment. Un pot de lait chauffe doucement au coin de l’âtre.

La porte s’ouvre et Marcj pénètre dans le saint des saints la cuisine de l’aubergiste. Très peu de monde y est convié encore moins en la présence de la cuisinière.

Elle est un peu honteuse pourtant de son attitude de la nuit passée. L’avoir tenté de la sorte n’était ni sage ni prudent. Même si son corps et son cœur le réclament douloureusement elle sait qu’elle doit maitriser cette demande pour ne pas être parjure.
Ses yeux lancent pourtant un regard des plus tendres à l’homme qui vient de la rejoindre.


Installez vous amour je vous apporte de quoi manger ! Avez-vous bien dormis ?

Elle pose sur la table le pot de lait tout chaud et lui prépare de belles tranches de pain beurrées et couvertes de confiture.

Il faut que nous parlions mon cœur ! Non n’ayez pas peur cette nuit dans vos bras m’a ravis même si elle me laisse un peu un gout de trop peu en bouche. Je souhaitais juste que nous parlions de notre voyage dont le départ se profile bientôt.
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