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[RP] Église Saint-Germain-l'Auxerrois

Breydel_charles


[Dans la calèche]

L'ambiance entre Antoine et lui était excellente. Et tandis que la voiture avançait dans les dédales parisiens, ils se remémoraient certains passages de la soirée passée. Moment qui restera aux yeux du Géant comme sa dernière soirée d'homme seul devant Dieu. Enfin plus exactement de sa dernière soirée d'homme veuf et divorcé. Ce n'était peut-être pas la première fois mais c'était un cas rare qu'il représentait. Troisième mariage. On dit souvent "jamais deux sans trois". Une chose était sur pour le Géant. Si la première fois il n'avait pas vu le jeu que lui cachait sa promise, et si la deuxième fois il n'avait pas pris le temps de réfléchir, ce troisième mariage représentait pour lui le véritable Amour, la véritable symbiose des corps et d'esprit. Une véritable communion d'amour. Plongé dans ses pensées, Charles n'avait pas remarqué que cela faisait déjà quelques instants que la voiture s'était arrêtée devant le parvis de l'église.

C'est Antoine qui le sorti de ses songes, un main sur son épaule, grand sourire sur son visage. Le Vicomte de Fontrailles ouvrit la porte de la voiture et descendit le premier laissant le Baron prendre une grande bouffée d'air avant de le suivre.



Le Baron ne savait où regarder. De nombreuses personnes étaient là. Quelques armagnacais et Lectourois. Cela lui fit vraiment plaisir. Il vit aussi Zender. Tokagero lui sourit, cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas vu.
Senocq
Parce qu’on ne peut aisément tenir tête à l’ouragan notoire qu’était sa tante, que c’était inutile, voir très inconfortable, Aelyia s’était vite vu abandonner la douce quiétude de sa chambre au manoir où elle travaillait consciencieusement pour se retrouver galopant sans relâche à ses cotés sur les routes de Bretagne puis d’ailleurs.

L’arrivée à Paris lui fit l’effet d’un choc. Elle regardait de toute part, ralentissant le pas de son cheval malgré les remontrances de Leyah qui s’impatientait de peur du retard.
Une chambre les accueillirent un bref instant, le repos n’était pas à l’ordre du jour, semblait il.

Le temps de mettre un vêtement plus adapté à la cérémonie et à son rang, la porte parole de Breizh suivit sa tante dans les rues de la grande ville jusqu’à l’église où devait se dérouler la cérémonie.
Une foule importante se trouvait déjà là attendant dans la bonne humeur et la curiosité les héros de ce jour heureux.

En ville inconnue, entourée de personnes qu’elle ne connaissait pas encore, la jeune bretonne ne quittait pas sa tante d’une semelle.
Une voiture s’arrêta sur le parvis, captant toute l’attention de la foule.
Elle suivit du regard l’arrivée de celui qu’elle supposa être le marié, admirant son aisance à parcourir l’attroupement qu’il avait généré.
Un regard à sa tante, l’entrée à l’église était imminente.

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Clemence.carpadant
A peine rentrée à Monbazillac après son court séjour en Armagnac, qu’un autre voyage était prévu pour rallier la capitale en compagnie de son époux et de ses enfants.
Dès que les malles, et leurs gens furent prets, les voitures s’élancèrent sur les routes en direction du Nord.
Des ordres avaient été donné afin que tout soit prêt à leur hôtel pour accueillir les maîtres des lieux durant leur séjour.

Ils arrivèrent de longue journée de voyage à traverser les campagnes du royaume.
S'arretant à la principauté, le temps de passer des habits convenable et de faire une toilette afin d’effacer toute la poussière du trajet.
Puis de se faire conduire à l’Église de Saint Germain l’Auxerrois où devait se tenir la cérémonie.
Sur le parvis et à l’interieur de nombreuses personnes étaient présentes avec leur plus beau atours pour ce grand jour.

Tout en se remémorant son propre mariage qui avait eu lieu ici, il y a pas si longtemps encore.
A la pensée de cette merveilleuse journée, elle lançant un regard affectueux à Hugues et lui prit la main.


_ « Venez entrons la cérémonie ne devrait pas tarder à commencer. »

Tout en traversant la nef pour trouver la place qui leur avait été reservé, la princesse admira les superbes décorations faites à l'occasion de la noce, saluant, au passage, les gens qu’elle connaissait parmi la foule.
Antoineleroy
[Dans la calèche]

Ils riaient en se rappellant la soirée d'hier et d'autres moments vécus depuis leur recontre tandis que la Calèche avançait à travers les rues de Paris...
Antoineleroy commençait à devenir un peu tendu pour ce grand évènement, si bien qu'il but une gorgée de sa flasque d'Armagnac pour se remettre d'aplomb!


" Tu as bien de la chance mon ami... Moi, ma fiancée à rejoins le Très haut! "

Large soupire... Etait-ce réellement le jour pour plomber l'ambiance?La voiture s'était arrêtée devant le parvis de l'église, et un brouhaha pouvait s'entendre à l'extérieur.

" C'est l'heure je crois! "

Large sourire avant de poser sa main sur l'épaule du Baron et de sortir tout en tenant la porte ouverte. Le Vicomte fit un clin d'oeil et ils gravirent les marches menant au parvis
Caerellyn
Le carrosse aux armes d'Armagnac etComminges s'approchait doucement de la cathédrale de Saint Germain l'Auxerrois.

La presse était grande et les chevaux renaclaient sous les efforts du cocher qui tentait avec difficultés d'éviter les curieux.

Que de souvenirs. Voila bien peu de temps, elle avait assisté ici aux épousailles de ses parents.

Appuyée confortablement contre son époux, elle maintenait son pauvre ventre malmené par ce si long voyage. Le baron d'Encausse était un de ses conseillers, elle voulait partager avec sa charmante future épouse et lui-même, ce moment empli d'émotion et de joie.

Elle se pencha à la fenêtre pour apercevoir le marié en compagnie de son ami, son frère, Antoineleroy, ils grimpaient les marches et un instant leurs pas lui parurent hésitants. Elle avait du rêver.

Elle tendit à Yop sa main pour qu'il l'aida à descendre.
Dieu qu'elle se sentait lourde. Elle songea qu'elle eut pu accoucher en ce lieu, elle chassa vite cette pensée.

Sa Chambrière qui voyageait dans la calèche qui la suivait, s'empressa de venir donner plis corrects à sa robe qu'elle avait voulue stricte , cachant au mieux sa grossesse par trop visible. Pourtant, elle avait choisit une couleur dorée comme le soleil, ce qui mettait en valeur la couleur de ses cheveux d'ébène. Son hénin, n'étant point trop haut, sa crinière dévalait en liberté, sur ses fines épaules.

Montons, mon ange, la cérémonie ne va pas tarder à débuter, je ne veux rien rater, je veux admirer la mariée à loisir, elle est tout à fait charmante.

Elle lui murmura

Mon amour, vite un banc, je suis épuisée.
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Manuella
[Dans une auberge tout près de St Germain]

Une fenêtre. Ouverte sur Paris. Léa immobile, regarde et écoute. Ces gens là ne parlent pas comme elle. Langue d'Oil...
Déjà ce matin, l'aubergiste a glissé vers elle un regard interrogateur. Sourires.
Sa voix douce s'éraille quelquefois sur une consonne, gravité rocailleuse qu'elle tient du parler de son père.

Elle a tressé sa lourde chevelure couleur de blé tendre, dont la natte retombe sur sa gorge drapée d'incarnat. Regard d'eau claire qui s'accroche et se fixe. Univers étranger.
Instinctivement, Léa cherche la main de celui qui lui manque. Ses pensées volent tout près d'une forge, vers l'homme blond qui l'attend, là-bas. Le pays d'où elle vient.

Une calèche passe. Léa y découvre, yeux agrandis de surprise et de plaisir mêlés, Antoine et sa flasque et le futur époux, le géant si tenace. Qui n'en mène pas large!
Sourire magnanime.

S'élance et avance sur le pavé, les cloches tintent. Léa arrive alors que Charles descend à la suite d'Antoine.
Et le monde... Léa s'y perd.
S'engouffre dans la fraicheur de l'église, y découvre Clémence auprès de son époux. Large révérence accompagnée d'un sourire complice. Et Monseigneur tout à son affaire.
Une union! c'est sérieux une union et celle-ci est si belle, l'amour y est si présent.
Amusée, Léa repense à cette soirée à Lectoure, le regard stupéfait d'Hida, les intempestives allées et venues du géant...

Découvre sa place où elle se tient, droite et légère, laissant son regard glisser sur la flamboyance fleurie de l'église.
Mayouche.cardofer
[La veille, arrivée à Paris]

Dem et May n'avait eu que quelques jours de repos après leur long voyage pour le compte de Marmande, May ayant été MA. Elles étaient donc reparties de leur ville, ensemble, inséparables, pour aller au mariage de la mairesse de Lectoure, rencontrée lors de ce même voyage de MA. Exténuées, sales... bref non-présentables, elles arrivèrent dans la grande ville de Paris, un peu perdues. Mains dans la mains, elles marchaient dans les rues, essayant de trouver la fameuse église pour s'héberger proche. Cette ville ne ressemblait en rien à leur Marmande, ni même aux villes aux alentours. Énormément de gens, tous ayant l'air pressés, et surtout ... Beaucoup de nobles et de bourgeois. Surtout, beaucoup de batisses!!! May et Dem se regardèrent un instant, comparant leur état à celui de leur entourage.

"Il nous faut vraiment trouver refuge et vite, soeurette, pour se nettoyer!", chuchota May dans l'oreille de sa soeurette. Les 2 soeurs s'empressèrent à retrouver leur chemin jusqu'à finalement voir ce qui ressemblait à une auberge. Le quartier semblait douteux mais elles n'avaient pas vues d'auberges depuis un moment et la nuit était déjà tombée.

Demoiselleremoise a écrit:
C'est endroit me semble parfait et toi?


Crevée de fatigue, May s'empressa d'entraîner sa soeur à l'intérieur de la batisse et toutes les deux prirent une chambre ensemble. Elles se laissèrent tomber sur le lit et s'endormirent aussitôt. Elles se laveraient et trouveraient l'église le lendemain.

[Jour des noces]

"Dem!!!! Dem!!!!!! Réveilles-toi!!!! Allez, il faut que l'on se prépare vite! La cérémonie va pas tarder et on ne sait même pas ou se trouve l'église! Allez, je suis déjà allée me laver, à ton tour d'y aller!!!!"

Voyant que sa soeur se réveillait, May la laissa et alla enfiler la belle houppelande rouge bourgogne tissée par feu Alexis pour le mariage de Garzimlebo, ex-Duc de Guyenne, et Isambre. Elle eut une pensée pour son cher ami, décédé recemment.

Comme à son habitude, pour les grands évènements, elle releva tant bien que mal ses cheveux mais certaines mèches se révoltèrent et se laissèrent tomber dans son cou. Elle ne pouvait faire mieux, de toute manière.

Ainsi prête, May attendit que sa soeur, qui était maintenant allée se laver, finisse de se préparer pour qu'elles aillent enfin à cette cérémonie dans l'église dont l'emplacement leur était encore et toujours inconnu.
Yopyop
Le voyage jusqu'à Paris semblait ne jamais devoir finir. Le grand blondinet observait par la fenêtre les paysages, leur différence, leur monotonie parfois aussi. Puis régulièrement, il levait les yeux au ciel, partant dans ses pensée... Voyant un oiseau il ne pu s'empêcher d'imaginer oh combien il eut été plus confortable et probablement plus amusant de faire ce voyage s'ils avaient pu voler ! Il était inquiet de voir son épouse voyager ainsi dans son état, il s'enquerrait régulièrement de sa santé et de sa forme. Mais cette dernière ne s'arrêtait point de travailler. Souvent, il était ramené à la réalité par quelques travaux, parchemins à lire ou comptes à effectuer que lui passait son épouse. Puis, Blois, sa ville natale qui attira toute son attention. Ils approchaient ! Il eut une petite pensée pour Nevers qui n'était pas si éloignée que cela et où il avait rencontré Cae... Ville de sa renaissance s'il pouvait l'exprimer ainsi. Et enfin, Paris. Ses somptueux monuments. Enfin, ils y étaient et le jeune fonctionnaire ne se lassait pas de remarquer chaque détails de cette cité et de les partager avec son épouse. Son visage c'était illuminé. Il avait devant les yeux la récompense de tant d'inconfort d'un voyage trop long et trop pénible.

Mon ange, nous y sommes ! Laissez donc tous vos parchemins de côté et profitons de ce moment, de cette ville et de la fête que seront ces épousailles. Il lui prit la main affin de l'aider à descendre. Ils saluèrent quelques personnes connues tout en se dirigeant assez directement dans l'église afin de permettre à Cae de s'asseoir. Ménagez vous mon ange, je le vois bien que vous êtes épuisée. Ils s'installèrent dans un confort somme tout relatif, mais la fraicheur et la pénombre qui régnaient dans l'église étaient propices au repos et à la méditation.
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Odas
[Sur le parvis de l'église]

Après quelques minutes d'inquiétude bien légitimes, il soupira de soulagement lorsqu'il vit petit à petit de nombreux invités formidablement habillés, tous présents et arrivant de loin pour cette grande occasion. Il n'avait point souhaité visiter Paris tout de suite, pensant s'y perdre ne voulant surtout pas rater le mariage d'Hida.

Se relevant, lissant son pantalon des grandes occasions, tirant sur sa chemise richement brodée et sur son gilet qui tombait sur ses épaules, il espérait bien également retrouvé certains de ses amis de son époque ou il avait vécu à Laval, son village de naissance. Il se remémora ses épopées Mainoises ce qui ne manqua pas de le faire sourire largement.

Tout curieux qu'il était, il fixait en essayant d'être le plus discret possible les invités qui commençaient à se masser sur le parvis ou même qui pénétraient déjà dans l'église. Il ne connaissait pour l'instant personne à part Hida mais qu'il savait forcément plus qu'occupée en ce jour si spécial pour elle. Il espérait au moins l'appercevoir et lui glisser un mot ou même deux avant son entrée dans l'église même si ce n'était point trop le protocole. Il avait l'habitude de surprendre et il n'était pas prêt de changer ...

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Demoiselleremoise
(Jour de noces)

Citation:
"Dem!!!! Dem!!!!!! Réveilles-toi!!!! Allez, il faut que l'on se prépare vite! La cérémonie va pas tarder et on ne sait même pas ou se trouve l'église! Allez, je suis déjà allée me laver, à ton tour d'y aller!!!!"

Oups! elle sursauta aux cris de sa sœur...

Ouvrant les yeux, elle ne savait plus trop où elle se trouvait si ce n'est que sur une bonne paillasse, ce qui la changeait de l'ordinaire. Ses mollets étaient très dures et ses jambes raidies..les cheveux complétement ébouriffés.

Regardant sa sœur vêtue d'une belle houppelande rouge...


Tu es très belle sœurette

Se levant de la paillasse...

Oui oui! je cours me laver...je reviens!

Après un bon décrassage, elle revint aux côtés de sa sœur étant habillée d'une houppelande de couleur bleue qu'elle avait emprunté à une amie de Marmande, mais elle nageait un peu dedans

Voilà! je suis prête...mais reste à trouver cette église, tu as vu comme c'est vaste ici..on va se perdre dans toutes ces rues!
Helenedid
Cela faisait plusieurs jours qu'elle avait pris la route. A dos de mule, ses maigres moyens ne lui permettaient pas une plus noble monture. Qu'à cela ne tienne ! Cela lui avait laissé le temps d'admirer le paysage.

La veille de la cérémonie, Helenedid avait trouvé refuge dans l'une des tavernes proches de l'église qui offrait des chambres d'hôtes aux voyageurs de passage. Avant de rejoindre sa couche, elle avait pris soin de déballer sa robe et de l'étaler sur le sol de sa chambrette. Malmenée par le voyage, roulée en boule au fond de sa besace, froissée, elle espérait que sa tenue retrouve un peu de sa superbe le temps de la nuit.

Au petit matin...
Inspection de son reflet à la surface de l'abreuvoir qui jouxte la taverne. Robe, coiffure, regard... C'est bon ! Elle pouvait y aller.
L'envolée sonores des cloches la prévenait que la cérémonie n'allait pas tarder à commencer. Elle pressa le pas... et stoppa net à hauteur du parvis.

Par mes aïeux ! Quelle foule !

Riches parures, étoffes précieuses, coiffes gigantesques, calèches tirées par plusieurs chevaux, serviteurs qui attendaient patiemment que leurs maîtres les rejoignent une fois l'union célébrée...

Helenedid inspira un grand coup. Elle tira une dernière fois sur sa robe pour la lisser, vérifia qu'ongles et mains étaient bien nets... Une fille de ferme à Paris avait déjà de quoi faire sourire mais parmi tout ce beau monde, c'en était franchement comique. Elle rassembla ce qui lui restait de courage et de dignité et pénétra dans l'église. La famille des futurs époux et les nobles avaient pris place sur les bancs de devant, au plus proche de l'autel. Elle aperçut la chevelure d'or de la dame de Noilhan, son amie Léa, fut tentée quelques instants de la rejoindre... puis se ravisa. Le fond de l'église serait certainement plus approprié à sa condition. Elle repéra une place libre près d'un pilier orné la statue de Sainct Philémon et s'y assit...
Hidatsa


[En chemin pour l’Eglise]

Après avoir remercié chaleureusement Bee pour son joli présent, Hida s’engouffra dans une voiture en compagnie de Noiraude, son témoin. Elle fit venir une seconde voiture pour ses amies et Madi afin qu’ils rejoignent l’Eglise au plus vite.
Le trajet était dès plus laborieux. Hida sentait la nervosité monter et quelques contractions firent leur apparition. Toute cet effervescence autour d’elle l’avait épuisé et le bébé se faisait bien lourd avec la fatigue.

Elle regardait Noiraude, songeuse….sans doute que ses pensées étaient dirigées vers Lectoure. Elle lui chuchota :
« Ma copine, je ne veux pas que tu sois triste en ce beau jour, je veux que tu t’amuses aujourd’hui et n’oublie pas que le témoin du futur marié est venu seul ». Elle lui sourit, bavassant pour oublier la douleur et l’angoisse de tous les regards portés sur elle lorsqu’elle ferait son entrée à l’Eglise.

Oh mon Dieu, ma copine, je crois que je vais m’évanouir ! !
Et si on rebroussait chemin ?

Un petit instant de panique l’envahit, son amie de toujours lui prit la main et la rassura en lui rappelant tout l’Amour qu’elle avait pour Toka, cet homme qui l’avait fait succomber l’hiver dernier alors qu’elle ne croyait plus en l’amour après deux histoires bien compliquées. Mais ces deux là s’étaient bien trouvés, deux caractères bien trempés mais tant de complicité les unissait.

Le cocher la sortit de ses songes, lorsqu’il eur annonça que l’Eglise était en vue. C’est une boule au ventre qu’elle sortit la tête de la calèche pour prendre un bol d’air frais et se redonner des couleurs. Au loin, elle remarqua quelques personnes encore sur le parvis,, la cérémonie était sur le point de débuter. Elle écarquilla les yeux lorsque la voiture s’arrêta…serait-ce.oui on dirait bien que c’est lui, son vieil ami Odas…! Elle se demandait si d’autres surprises ne l’attendaient pas à l’intérieur.

Navigius


L'italien remonta l'allée, alors que quelques enfants de coeurs s'activaient dans l'Église en sonnant des clochettes, coutumes parisiennes pour annoncer le début de la cérémonie. Il sortit sur le parvis un instant, avisant Tokagero qui était rayonnant de joie. Il s'approcha de lui lentement.

- Messire Tokagero, tout semble en ordre pour procéder. Si vous voulez bien enter à l'intérieur et aller prendre place à l'avant, il ne faut absolument pas que vous z'yeutez la mariée avant son arrivée dans la nef.

Il sourit, puis rentra afin de préparer les derniers détails.
Noiraude
[En chemin pour l’Eglise]

Le chemin assez cours entre l'hôtel et l'église avait été laborieux pour Noiraude,sa main prise en étaux dans celle de son amie commençait à la lancer.

Ma copine tu ira bien,pas question de rebrousser chemin voyons!
Penses à ton géant qui je suis sur pour une fois ne dois pas en mener large. Il doit être dans le même état que toi^^
Enfin lui au moins je ne pense pas qu'il broie la main de son témoin sinon je plaint ce pauvre Antoineleroy.


Tout en souriant pour rassurer sa complice et fidèle amie de toujours elle la remercia même en ce jour de penser à ses états d'âmes.

Et arrêtes de penser à ma petite personne, ce jour est ton jour et celui de Toka,et croit moi je suis toute en joie de cet évènement.

Le coche s'arrêta bientôt devant l'église,une foule colorée se dirigea vers l'entrée pour y prendre place.

Noiraude regarda rapidement si le futur époux était bien hors de vue et aida sa copine à descendre de la voiture
.

Voilà ma belle nous y sommes!
Respire un grand coup et sourit aux gens venus de loin pour assister à ton grand bonheur.
Archibaldane
[ Enfin à St-Germain l'Auxerrois, au moment des noces]

[i]Archibaldane d'Ambroise, dame de St-Julien, descend de la voiture qu'elle a fait mander pour se rendre aux noces. Elle descend vêtue d'une robe pourpre du plus bel effet.



Elle aperçoit son ami Antoine avec le marié et diverses personnes qu'elle salue de loin.[/i]
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