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[RP] Église Saint-Germain-l'Auxerrois

--Lysesl


Citation:
J'invite maintenant les témoins a remettre les alliances respectives, ainsi que les futur mariés à s'enchainer du précieux ... Pour que tous sache que votre existence est dorénavant dévouée à l'autre.


Les alliances ? Quelles alliances ?
Elle regarda Lynette, puis Vaxichou, puis Mary.
Mary ! Elle devait avoir les alliances puisqu’elle-même ne les avait pas.
Elle se pencha discrètement vers Marylune et lui murmura :


Tu as les alliances, toi ? Car moi je ne les ai pas.
Lynette aurait-elle oublié ce détail ?

Son regard toujours sur Mary, elle attendit la réponse.
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Marylune
La seule réponse de Marylune fut:

... Ce n'est pas toi qui les ai?!?

Silence... un air affolé... un sourire pour le cacher comme si tout allait bien. ''Oh la bonne blague! On la fait à tous les mariages celle-là n'est-ce pas? Faudrait peut-être arrêter, on ne la trouve plus drôle maintenant. C'est du déjà vu!''

Dis-moi que c'est une blague Lys!!

Mais au même moment, une mini tête rousse s'avançait dans l'allée avec un air d'adulte fier. Charlotte apportait les bagues sur... dans... à l'intérieur de son joli chapeau. On est à un mariage de Poney Rose après tout. On peut bien remplacer le coussin par un chapeau et le faire porter par une petite fille de deux ans sans en informer sa mère...

Soulagée, Marylune fit signe à Lys de venir prendre une bague afin de les remettre aux mariés. Évidemment, elle l'encouragea à faire comme si rien n'était, comme si la participation de Charlotte était prévue... MAIS QUI A MANIGANCÉ CELA? Pendant l'échange, Marylune jeta un oeil accusateur à Mahaut. Elle n'y était peut-être pour rien, mais il lui fallait un coupable. Puis, comme elle se rappelait qu'un regard masculin l'observait, elle recousu son sourire sur son visage en espérant que la suite se passerait bien.

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En deuil
Erwelyn
Ça y est c'était fait...
Les alliances se retrouvaient maintenant aux doigts des nouveaux mariés, les vœux avaient été échangés et voici qu'on les congratulait de toutes parts alors que la cérémonie se terminait.

Serrant des mains, essayant de sourire alors qu'elle avait envie de hurler, la nouvelle duchesse de St Fargeau se laissa emporter par la foule qui sortait de l'église. Elle jeta un regard noir à Vaxilart, nouveau baron d'Evron pour sa part, qui était lui aussi entouré de ses proches, regard capté par lui seul.

Alors qu'elle se retrouvait sur le parvis, étourdie par le monde évoluant autour d'elle, les cloches de l'église retentirent, signe de jour de fête.

Vaxilart et Erwelyn étaient mariés...

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Arnault
Note liminaire

> La cérémonie se déroulera sur plusieurs jours HRP mais ne dure qu’environ une heure RP, et a lieu le 17 mars.
> Les joueurs des personnages des fiancés et de leurs témoins sont priés de faire rester leurs persos sur le parvis jusqu’à ce qu'Arnault leur dise d’entrer. Les autres peuvent prendre place à l’intérieur directement.



Pour le premier mariage qu’il célébrait, Arnault commençait fort : il mariait son meilleur ami et officiait dans une église de la capitale de la fille aînée de l’Église. Les divers contretemps qui avaient émaillé les préparatifs de cette grande cérémonie n’avaient fait qu’accroître l’anxiété de l’Azayes, déjà angoissé de nature. Il fallait que tout soit parfait et il savait qu’il y avait beaucoup de chances pour que ce ne soit pas le cas.
Deux jours après ces Ides de mars qui avaient vu périr un si grand homme quelques siècles auparavant, Arnault refoula les pavés des rues de Paris pour la première fois depuis plusieurs mois. À une époque, il traversait la capitale quotidiennement, courant du secrétariat d’État aux cuisines royales. La force des choses et la volonté de Dieu avaient fait qu’il vivait à présent loin de tout ce tumulte. Ce dernier ne lui manquait pas. Sa vie simple et rustique lui plaisait. Cela ne l’empêcha pas pour autant d’avoir une pensée émue pour la vicomtesse d’Avize en sentant une odeur de pain frais émaner d’une boulangerie renommée.

Levé avant le soleil, Arnault avait commencé sa journée par plusieurs dizaines de minutes de prières destinées à l’appaiser. Une fois acquis la paix intérieur nécessaire lors d’une telle journée, il entreprit d’organiser l’agencement de l’église. Il avait tout juste fini son plan d’organisation que les bedeaux arrivèrent. Utilisant un maximum cette main-d’œuvre compétente et gratuite, Arnault parvint à faire fleurir l’église, placer les bancs et nettoyer les objets du culte en quelques heures. Il fut heureux de constater qu’il ne se trompait pas en affirmant qu’une heure de réflexion avant d’agir ne faisait perdre aucun temps mais, au contraire, en faisait gagner.
Arnault contempla l’église de Saint-germain-l’Auxerrois, essayant d’évaluer quelle était sa taille comparativement à la collégiale Saint-Latuin. Même si l’édifice parisien était légèrement plus petit que le lieu de culte ducal alençonnais, son prestige était incomparable. Ce samedi exceptionnellement ensoleillé pour la saison se prêtait magnifiquement à la cérémonie : les rayons que l’astre céleste dardait éclairaient le lieu saint d’une lueur éclatante. Ce mariage devait être fastueux et le bâtiment de Dieu devait traduire toute la joie qu’un tel événement comportait. Ce serait assurément le cas.

À l’heure convenue, un moine sonna les cloches. Arnault était déjà sur le parvis pour accueillir les fidèles arrivant.



Lucieanne


Le Grand jour.

Lucie était là, assise devant sa coiffeuse, en train de se faire coiffer et poudrer les joues par sa camériste. Elle tapait du pied nerveusement tandis qu'elle observait son visage dans le miroir. Le stress avait totalement prit possession de la blonde qui avait tendance à se poser mille questions pour la moindre petite chose. Sauf que là, ce n'était pas une petite chose.
C'était un jour unique, le jour où elle allait enfin s'unir à l'homme qu'elle aimait depuis des mois, celui que son frère avait accepté et avec qui désormais elle partagerait chaque moment de sa vie, de son quotidien. Les longs cheveux de la blonde se faisait alors couronné d'une petite couronne d'or, elle était la reine aujourd'hui, la reine de son coeur, à lui...

"Ne vous inquiétez pas maîtresse, ce sera un très beau jour. Lui disait sa camériste en tentant de la rassurer.

Mais non, cela ne fonctionnait pas tellement. La Castelviray tourna alors la tête pour observer sa robe. Elle avait été livrée il y a peu, tout droit sorti des Doigts d'Or, confectionnée par Attia, son amie et grande talentueuse couturière. La vision de cette merveille décrocha un sourire sur le visage encore jeune et angélique.
Elle avait la robe dont elle avait toujours rêvé, celle dont elle admirait le croquis depuis qu'elle était une toute jeune fille.
Se levant elle se dirigea vers la dicte robe. Il était temps de l'enfiler, avec l'aide de plusieurs suivantes tant elle était somptueuses. Les souliers assortis, une bouquet de Lys blanc.

Lucie était prête. Elle prit une grande inspiration. Il était temps de prendre la route de l'église, alors que les invités commençaient surement à arriver. Il ne restait plus qu'une heure avant la cérémonie. On lui parfuma le cou d'un peu d'eau de rose, les derniers plus furent défais, les pans de la robe correctement lissés, et les suivantes s'arrêtèrent pour contempler leur maîtresse.
La Castelviray posa son regard sur ses gens et leur sourit, malgré l'anxiété qui la rongeait.

Elle prit alors la direction du carrosse, on l'aida à s'y installer. Un dernier regard sur ses gens et sur le domaine Castelviray, avant que le coche prenne la route de Paris et de l'église de St Germain.

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“On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal.”
Vince2luc
vince se présenta entra dans l'église et prit une place ..il etait l'un des premiers arrivants et attendait que les convives arrivent....
Akane
[ Au Louvre, appartement d’une Tempête en pleine effervescence ]

Matinée de mars, un samedi.
Pour cette journée, la brune laissa de côté, plumes, parchemins, Maison Royale, pour se rendre à un mariage en l’église Saint- Germain l’Auxerrois.
Ce genre de manifestations ne lui plaisait pas trop. Si elle avait pu ne pas en être, elle l’aurait clairement signifié, mais elle ne pouvait pas. Il s’agissait des épousailles d’un de ses Officiers, Lucie-Anne de Castelviray, et sœur du Vicomte de Rémalard, un ami proche de la famille.

Devant un miroir, elle se laissa vêtir de la toilette offerte par un orléanais qui serait son cavalier du jour, une toilette aux lourdes étoffes aux couleurs de deuil, et ornée de pierres nobles, et accompagnée d’une coiffe à voile. Les couleurs de deuil iraient même en cette occasion, elle l’avait décidé ainsi, en mémoire une fois encore de la défunte Reyne.

Elle se demandait encore alors qu’on relevait sa lourde masse de cheveux couleur de jais en un chignon, comment le Duc avait su deviner sa taille si parfaitement. Les épingles piquées maladroitement avant qu’on lui pose la coiffe lui rappelèrent la réalité, et elle pesta.

C’est au moment où on la parfuma d’une eau florale, et après un éternuement, qu’elle fut avertie d’une arrivée.

Elle se ferait attendre… Une femme, se fait toujours attendre dans les règles de l’art, pour mieux plaire aux hommes…

Dernier regard vers le miroir, oui, elle serait parfaite, sourire taquin, en coin, en replaçant une mèche, et en imaginant le Pépair pester malgré l’attente adoucie par un bon cru de Bourgogne qui lui serait servi… Et cela ne tarda point… Une voix grave s’éleva:


- J'aurais du prendre de la lecture!

Réponse qui ne tardait point, son nez se retroussa un peu plus…

- Sa Grasce s’impatienterait –elle ?

Et de nouveau une répartie :

- Non, mais elle s'ennuyait un peu.

Elle fit donc une entrée, droite, sourire aux lèvres et salua bien respectueusement son cavalier. S’il croyait qu’elle allait se faire déstabiliser par le saaaale caractère du d’Amahir même si la deuxième réponse se trouvait être plus agréable finalement, c’était raté ! Direction le coche qui partait dans la foulée.

Le voyage fut ponctué de discussions que pouvaient avoir un Pair avec un Grand Officier, mais pas que, même si la réserve demeurait présente chez la jeune femme qui ne savait toujours pas comment finalement se rapprocher du Duc, et toujours tiraillée à se laisser aller … Ou non.


[ A l’arrivée… ]

Arrivée en l’Eglise, le Maréchal descendit en premier, puis tendit son bras à la brune ténébreuse. Tous deux s'approchèrent de l'édifice.

Dialogues écrits à 4 mains
Lexhor
C'était sûr qu'il aurait prit de la lecture. Le vin s'était bien, mais à part se plonger dans des pensées, celles qui rappellent qu'on a tant à faire et qu'on ne devrait pas être là, ça ne permettait pas grand chose.
Mais l'attente prit fin et le trajet commença. Il était court mais permit quelques discussions courantes.

Ils sortirent tous deux du coche et prirent la direction de l'église, au bras l'un de l'autre. Ce serait au moins un mariage où il n'officierait pas. Presque un peu de repos.
Un regard vers celle qu'il accompagnait.


Il y aura beaucoup de monde vous pensez?
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Akane
Alors qu’ils étaient installés, une question tomba, elle était un peu curieuse, par ailleurs, mais nécessita toutefois une réponse…
Avec son air toujours taquin, elle le fit.


- Vous savez, un mariage, d’un officier de la Maison Royale, d’un membre d’une famille noble, en général…Ca suscite les foules… Même si nous sommes visiblement quasiment les premiers.

La brune remarqua cependant que quelque chose n’allait pas chez son cavalier, elle l’avait perçu lors de leur petite discussion au moment du trajet.

- On dirait que quelque chose vous chagrine… Quelques soucis ?
A propos, et je voulais encore le faire de vive voix, merci pour cette tenue…Comment me trouvez-vous d'ailleurs, vêtue de la sorte ?


Grand sourire pour accompagner le tout. Il fallait au moins qu'elle sâche si elle lui plaisait quelque peu.
Lecy.anne
[Chez les Raveline...]
La demeure était en ébulition depuis quelques jours. Dame Baylina se préparait pour assister au mariage d'une amie et collègue couturière... Elle avait passée bien des heures dans son atelier, chez elle afin de se confectionner une >tenue digne de ce nom, l'évenement était important et elle voulait faire honneur à son amie afin que ce mariage soit merveilleux et que l'on s'en souvienne. Au fond d'elle, elle avait eu envi plusieurs fois de demander à Lucky comment était sa tenue de mariée, mais s'était ravisée voulant avoir la surprise et être surement ébahie...
Quoi qu'il en soit, Bay avait du prendre la route quelques jours auparavant afin d'être là le jour J et était venue seule, sachant que les autres artistes de Lysandart seraient surement là eux aussi. De plus Baylina, sociable à souhait ne doutait pas rencontrer et converser avec des inconnus au long des festivités relatives à ce mariage.
C'est donc plus qu'enjouée qu'elle fit la route pour assister au mariage de Lucky et Lid'.

[Paris, St germain l'Auxerrois]
Arrivée à Paris, ville foulée une fois d'après ses souvenirs et craintes de ne trouver son chemin...
Que cette ville était impressionante, Bay regardait toujours avidement l'architecture de la ville, ses habitants sachant qu'elle découvrait toujours des choses qui la ravissait. Après que son laquais eu demandé leur chemin à maintes reprises, elle finit par arrivée.
Elle se trouvait devant une eglise qu'elle n'avait jamais encore vu et prit donc le temps de regarder l'édifice, ses gargouilles, ses vitraux, elle était magnifique...
Grande respiration, histoire de se préparer et Baylina entre dans la batisse, balaye du regard les personnes présentes et installées, les salue de la tête pour celle qui auront croisé son regard et ne reconnaissant personne alla s'assoir discrètement dans un coin...
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Rotule.baccard
[ En l’appartement ]

MOuarfff !!! Grogna l’Affreux quand en cette journée matinal la Servante vint le réveiller pour qu’il se prépare lui est et la petite pour assister à la cérémonie pour la quelle il était convié…

A peine le pied posé sur le parquet de sa chambre que Lizzie était déjà bien éveillé… c’est qu’elle en avait de l’énergie la petiote… au point de faire activer son père en le poussant dans la salle d’eau tellement celle-ci était impatiente de pouvoir venir avec lui et passer l’une de ses belle robe …

Enfin bon… peut de temps plus tard il fallu à Rotule ordonné au coché de faire demi tour quand sa petite princesse s’aperçu qu’elle avait oublié son doudou...


« Et popa c’est quoi cela ? Et pi popa pouquoi c’est ? Et toi pouquoi ? » Demandait sans cesse du haut de ses deux ans et ses huit dentines sa petite chérie, qui curieuse de tout lui tirait en même temps que ses milles questions la manche de son veston, quand enfin ils arrivèrent au parvis de l’église…


[ Église Saint-Germain-l'Auxerrois ]

Lizzie … ma puce … aller vi ... pas le temps de finir sa phrase que la puce se jeta littéralement dans ses bras en riant et secouant ses petites jambes qui ne demandaient qu’a se dégourdir…

Sa petite au sol, il lui déposa un baisé protecteur sur son crane, et L’Affreux qu’il était prit la main de sa fille pour être sur de ne point courir âpres dans les rues avoisinantes…
Lizzie.baccard
Aussitôt le soleil lever, la petite Lizzie était déjà prête.. Elle pressa son papa pour qu'il se dépêche un peu plus..Elle ne tenait déjà en place et dans la cariole ca se voyait ou plutôt ca s'entendait..
Papa zai oublier Zuliette !! Papa on peut aller la sersé steuplait?

Après avoir fais le détour et aller prendre sa précieuse amie, elle regarda partout avec l'envie folle de se promener. Mais papa la connaissait trop bien a peine la cariole arrêter devant cet immense lieu de prière que déjà elle saute avec sa petite amie dans les bras de son papa toute émerveillée par tant de beauté!!

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Teia_de_jerez
Une fois de plus elle était en retard. Les inscriptions à l'Université lui prenait tout son temps aussi elle avait fouillé dans ses robes et en avait choisi une bleu qui faisait ressortir ses yeux bleus marines puis direction l'église.

Heureusement, les mariés n'étaient pas encore là aussi elle se glissa discrètement dans l'église et choisit une place ou elle pourrait voir les mariés sans être trop près.

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Lexhor
Le duc sourit en écoutant la brune qui l'accompagnait lui répondre. La question était dénuée d'intérêt et la réponse évidente, mais il fallait bien dire quelque chose, la sortie du coche ayant mit fin à la discussion en cours.

Après quelques pas en direction du saint édifice, la duchesse s'enquit de son humeur. La fatigue se lisait certainement sur son visage et il le comprit, à cet instant.


Rien en particulier, vôtre grâce. Rien de différent de ce qui pourrait contrarier un grand chambellan par exemple. Ne vous en faites pas.

Un sourire.

Et je suis bien content de vous avoir offert cette robe, vous la mettez parfaitement en valeur. Vous êtes magnifique.

Le pair, lui, avait opté pour une tenue qui lui correspondait parfaitement, exécuté par de petites mains au grand talent, au manoir des artistes.
Quelques pas de plus vers l'église.

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Akane
[ Toujours sur le parvis… Il faudrait peut-être rentrer non ? ]

Sa question, loin d’être innocente, venait d’avoir réponse.
Contente de son petit stratagème, sans aucun doute, mais un tel compliment... Il lui fallait quelques instants pour trouver une répartie, quelque chose, car elle était touchée. Quelque chose, et rapidement !


- J’ai un présent, même deux pour vous, que je devais vous remettre en début d’année, et je n’en ai pas eu l’occasion. Je les détiens dans mon bureau, et nous sommes partis si vite que je n’ai pas eu le temps de vous les donner… Il faudra alors me rendre de nouveau visite.

Elle le regardait, vêtu de la tenue qu’elle appréciait. Bon, elle ne lui avait pas dit ouvertement, mais l’avait déjà vu habillé de la sorte. Elle rajouta quelques mots, après avoir noté que lui aussi semblait débordé par ses attributions. La dure vie d’un Maréchal, d’un Pair, et d’un Grand Officier, en somme.

- Vostre Grasce est également vêtue de façon élégante et plaisante… Je vous remercie pour le compliment.

Deux, trois pas, ils se rapprochent de l’entrée… Soudain, imprévisible, elle se tourne vers lui, et …

- Vous permettez ?

Sourire mutin aux lèvres, elle se rapproche laissant quelques centimètres de convenance, même si on visage se trouvait malgré sa petite taille, proche du sien, la brune espiègle lève la tête, puis le regarde droit dans les yeux, et enlève un peu de poussière sur la fourrure de son cavalier. Enfin, l’air de rien, elle l’entraine pour entrer dans l’église. Il était temps non ?
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