Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 34, 35, 36   >   >>

[RP] Église Saint-Germain-l'Auxerrois

Caerellyn
Entraînant sa famille, les bousculant quelque peu, la jeune femme s'avança vers le jeune couple pour les féliciter ......

Trépignante d'impatience avec toute la discrétion souhaitée par son rang mais sourire aux lèvres, elle attendit difficilement que les parrains congratulent Clémence et son fiancé.

_________________
Bowenn
marc_antoine , toujours en retard ,pénétra en ce lieu sacré, il n'aurait manqué cet instant .
il fit signe dela main , discretement , à la suzeraine de cheroy
_________________
Clemence.carpadant
Les paroles de l’archevêque semblait comme un baume apaisant son cœur. Nul instant plus solennel et si lourd de sens, un véritable engagement que Clémence appréciait à sa juste valeur.
Ces cierges symbole d’un renouveau, ou plutôt d’une renaissance.
Que plein d’émotions submergeaient en l’instant la jeune femme mais surtout une joie sincère qu’elle garderait à jamais de cette journée.
Observant tour à tour les prélats allumer le cierge de leurs vie nouvelle.
Avant de laisser docilement - une fois n’était pas coutume -se faire verser l’eau bénite sur leur front, pour marquer la fin de l’obscurité de sa vie passé.
Après s’être brièvement essuyé d’un revers de main le liquide qui était tombé dans ses yeux, Clémence prit connaissance du parchemin tendu par le prélat.
Un serment, un parchemin guide de ses pensées et de ses pas qu’elle conserverait fièrement auprès d’elle se rappelant ainsi de l’instant béni où elle avait reconnu au yeux de tous son amour et sa foi envers le Très Haut. Que d’un élan elle récita ses paroles à la suite de l’archevêque.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

Après avoir prononcé ce credo de la foi, monseigneur Navigus annonça la fin de leur baptême. Un franc sourire s’afficha sur ses lèvres. Avant d’attendre la remise des certificats elle en profita pour parler à l’archevêque :

_ «Monseigneur, permettez moi de vous remercier pour cette si belle cérémonie que je suis pas prête d‘oublier. »

Puis voyant arriver le primat pour la féliciter, la comtesse le remercia chaleureusement, nul doute qu’il n’y avait meilleur jour en ce bas monde pour remplir les cœurs d’allégresse. Elle en profita également pour saluer ses amis qui avaient fait le déplacement pour assister à la cérémonie.

« Bonjour, je suis heureuse que vous soyez venu partager ce moment en notre compagnie. J’espère que le voyage n’a pas été trop pénible. »

Puis se tournant vers les adorables jumeaux, elle se permit de les embrasser. Avant de saluer Marc_Antoine :

_ « Contente de te voir ici, tu nous as pas emmené Valeria ?
J’espère qu’elle se joindra également à nous pour nos noces. »
Ksandra3615
Heureusement que Kassy avait des yeux partout sinon elle n'aurait jamais su que son neveu allait être baptisé juste avant son mariage. Elle s'était glissée à l'intérieur de l'église et n'osait pas trop se montrer, elle n'avait pas eu le temps de changer de toilette et était on va dire plutôt mal fagotée, un peu froissée. Elle était heureuse de voir que son cousin assistait la cérémonie et que Hugues l'avait choisi comme parrain, il n'aurait pu faire meilleur choix... D'ailleurs Kassy devrait s'entretenir avec lui pour une affaire des plus ennuyeuse pour elle... pour changer...

Le baptême instant solennel, n'est il pas meilleur moment que cette cérémonie pour avoir une pensée pour tout ses chers disparus qui avaient rejoins le très haut leur père spirituel. Kassy aurait tellement aimé voir ici toute sa famille réunie mais hélas les aléas de la vie en avaient décidé autrement.

Elle patienta un moment que la foule se disperse afin de pouvoir aller féliciter les deux jeunes baptisés.
Breydel_charles


Charles et Hidatsa avaient le chemin jusqu'à Paris afin de se rendre au mariage de Clémence et du Prince. Le couple était descendu dans une magnifique auberge du centre ville. Ils profitèrent du beau temps pour visiter un peu la ville, qu'ils ne connaissaient guère avant de rentrer à l'auberge pour se débarbouiller, faire leur toilette et s'habillèrent d'une magnifique robe pour Hidatsa et d'un costume aux couleurs de l'Armagnac-Comminges pour Tokagero.
Hugues.carpadant
Empli d’allégresse, le front couvert de l’eau bénite, Hugues se releva. Un sentiment de plénitude l’envahissant.
Béat, il prit le parchemin que lui tendit l’archevêque, et en prit connaissance.
Alors, d’une voix profonde, il récita :



Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN



Puis la cérémonie s’acheva.
Se tournant vers son parrain qui l’accueillit à bras ouvert. Il le serra également dans ses bras. Un peu oublieux des convenances en cette occasion.

La médaille que lui offrit le primat étincelait. La prenant et la serrant en son poing, il jura :
Mon parrain, je vous fais le serment de la conserver précieusement tel le symbole de l’union qui me lie à présent avec la communauté des véritables croyants.

Je vous remercie encore une fois de m’avoir accompagné sur cette voie.
Je ne l’oublierai point.


Puis se tournant vers Clémence, une fois que le temps le lui permit, entourée qu’elle était de ses compagnons, il se permit un geste d’affection en lui caressant la joue.

Ils passèrent ainsi un temps ensemble à discuter avec légèreté.
Lorsque du coin de l’œil, Hugues vit pénétrer dans l’église Ksandra.
Il prit alors discrètement congé du groupe qu’ils formaient pour la rejoindre.


Bonjour ma tante.
Ravi que vous ayez pu nous rejoindre pour ce moment si précieux pour nous.
Sebbe
Sebbe était bel et bien la... il ne se faisait pas voir, mais il était toujours la au fond de l'Eglise pres de la porte...
_________________
Ksandra3615
Kassy accueillit son neveu avec un large sourire, elle voyait en lui le reflet de sa sœur Ann et de son beau frère Héra deux êtres chers à son coeur.

Bonjour mon cher neveu, je n'aurais raté ce moment pour rien au monde, j'aurais bravé des montagnes pour être présente en ce jour bénit.

Je suis heureuse de vous savoir vous et votre futur épouse enfin entrés dans la maison du seigneur.


Se penche sur lui et lui chuchotte...

Je dois admettre que vous avez bon goût pour ce qui est des femmes, elle est tout à fait charmante et ravissante.

Se redresse

Comment vous sentez vous à présent, bien que tout ne soit pas encore terminé, il vous reste la cérémonie du mariage.

Pensez vous que j'aurais le temps d'aller changer de toilette?


Kassy était trop bavarde, elle accaparait son neveu plus que de raison, mais elle avait tellement de choses à lui dire, lui demander, elle ne l'avait pas vu depuis si longtemps. Elle aurait voulu lui donner des nouvelles de son frère et de sa sœur mais hélas , elles n'étaient pas très bonnes et ne souhaitait pas gâcher ce merveilleux jour.
Caerellyn
Le grand jour était arrivé.

Le soleil naissant caressait à peine de ses rayons rosés sa fenêtre que Caerellyn sauta à bas de son lit.
ce jour serait celui du baptême et des épousailles.

Pieds nus sur le parquet, elle fit une rapide toilette, revêtit une légère robe printanière, posa un châle blanc sur ses épaules et sans plus faire de bruit, après s'être assurée que son époux et ses enfants dormaient encore, quitta la chambre, traversa le salon mis à leur disposition.

Elle se figea un instant..
.

Voyons...de quel coté dois-je me diriger pour retrouver les valets et les fleurs que je leur ai intimé de cueillir ce matin à l'aube

On frappa discrètement à la porte.

Audric, vous voila enfin..
Mes ordres ont-ils été suivis?
Pressons-nous, le temps nous est compté......
Notre carrosse est prêt? N'oubliez point une fois rentré de le faire rutiler....
Pressons-nous....


Elle suivit prestement l'homme, lui posant mille questions.

Une armée de valets l'attendait au bas des marches donnant dans le jardin. Elle jeta un oeil scrutateur......vérifiant chaque détail.

Allons..Menez-moi à Saint Germain l'Auxerrois...et sans traîner, il vous en cuirait.

Un souffle d'air froid et chargé de senteur d'encens l'accueillit quand elle poussa la lourde porte de chêne.

Elle donna ses ordres à chacun les poussant du verbe.

Vous savez tous ce que vous avez à faire.....et par ma foi, faites-le au mieux, point question de ne pas atteindre la perfection.

Lentement, à l'encens se mêla sans l'effacer une suave odeur de lys et de roses.
Des bouquet de tailles imposantes, retenus par des vases de cristallerie venue de Venise la magnifique, furent déposé aux pieds de l'autel

Lys blanc, roses rouges et roses, quelques feuillage de verdure, elle n'avait souhaité que cela pour son amie.

Les même bouquets, de plus petites tailles mais non de trop, ornèrent bientôt la nef de chacun de ses cotés.
Elle s'occupa elle-même de décorer chaque prie-dieu de satin d'un blanc nacré, elle y tressait lys et roses.

Elle fit de même pour chacun des bancs.

Peu à peu le sombre édifice, s'éclaira d'une douce clarté qui s'élevait vers la voûte.

Chaque autel fut paré de la même façon.

Elle admira...simple et somptueux, comme la comtesse de Chéroy....Elle souhaitait de tout coeur qu'elle approuva.....Elle voulait que ce jour, pour elle, pour eux, soit le plus beau.......pour les modestes détails dont elle pourraient les entourer.

Elle appela tout son monde, grimpa, toute légère, dans le carrosse et s'en retourna vers le palais.

_________________
Navigius


La cérémonie du baptême étant terminée, l’on démarra l’interlude qui séparait les convives et les futurs mariés de la cérémonie nuptiale à proprement parler. Partout dans l’église, des pages distribuaient des coupes de jus fruités, de breuvages tout aussi délicieux les uns que les autres, bien que dénués d’alcool. La future épouse se retira à l’hôtel de la Marquise, un petit bâtiment qui donnait sur le frontispice de Saint-Germain, où les Dames étaient invitées à se rendre pour changer leurs toilettes. Pendant ce temps, les hommes, pour leur part, socialisaient avec le futur époux, qui tentait d’une manière assez visible de contenir son agitation.

Dans la sacristie, claudiquant d’un bout à l’autre de la pièce, le prélat italien s’aérait l’esprit, ayant revêtu pour un temps sa soutane noire, qui lui était si chère, jetant des regards mauvais vers la patère où reposaient les vêtements cérémoniaux. Le baptême l’avait déjà épuisé, il espérait que la cérémonie de mariage ne dure point trop longtemps, surtout qu’il devait prendre un coche pour Auch la soirée même, après toutes les cérémonies, sous peine d’arriver en Armagnac-Comminges trop tard pour le bal d’introduction de sa jeune sœur, un crime, s’il en est un. De nombreuses pensées se bousculaient dans sa tête, allant de sa défunte promise, Valentina, jusqu’à ses impressions sur la Comtesse, avec qui il avait eût de la difficulté en politique, malgré des relations interpersonnelles au beau fixe. Visiblement, le prélat était heureux pour la comtesse, qui méritait la paix et le bonheur d’un long et fécond mariage. L’idée de savoir que Clémence, si le Très-Haut lui était souriant, serait mère d’ici quelques années fit naître un sourire sur le visage du prélat. Arriva sur la scène Sœur Agnès, qui faisait partie des religieuses tenant Saint-Germain dans une propreté exceptionnelle.

- Monseigneur, il serait temps de revêtir vos habits, la cérémonie de mariage débutera dans quelques minutes.

La renvoya d’un geste de la main compatissant, l’italien lui répondit.

- Je vous remercie Valentina. Vous pouvez disposer.

Il ne se rendit point compte de son erreur, laconique, et la jeune sœur quitta la pièce sans corriger le métropolite, que l’on savait, à Paris, vieillissant, autant d’esprit que de corps. L’ecclésiaste entrepris de remettre ses habits d’apparat, sans aisance ni plaisir, résigné au luxe que requérait la situation. Ses pensées volaient en ce moment vers sa jeune sœur, Élisea, qu’il allait bientôt marier avec Thomas de Montfort. Sans doute était-ce ce qui peinait l’italien dans les mariages, la perspective d’une nouvelle vie, à laquelle lui-même ne pouvait aspirer. Prenant une grande respiration et ramenant la sévérité débonnaire si caractéristique sur son visage, il sorti de la sacristie, claudiquant à son aise dans le chœur, se rapprochant du Prince de Montmorency afin d’attendre l’arrivée de la mariée, alors que l’organiste était prêt à jouer la marche cérémoniale, et que les enfants de la Chorale des Bernardins de Paris prenaient place dans le chœur.
Hugues.carpadant
Souriant, heureux de voir sa tante en aussi bonne forme, Hugues lui répondit en murmurant :

Un peu nerveux, à vrai dire.
Le moment du grand saut est arrivé. Enfin, je ne pense pas m’être trompé. Mais je vous dirai cela dans vingt ans, lorsque nous serons devenu un vieux couple de grincheux.
Sans doute les rixes de couples risques d’être animées.

Au moins, nous ne nous ennuierons pas.
Acheva-t-il.

Et bien, nous devons nous même aller nous préparer. La cérémonie débute d’ici deux heures.
Dépêchons nous, les premiers invités commencent déjà à arriver. Nous sommes en retard.
Clemence.carpadant
Le baptême étaient terminé. Après avoir profité quelques instants de ses amis venus en avance assister à leur entrée dans la communauté aristotélicienne. Discuter et les remercier de leur présence en cette journée particulière pour eux.
Puis voyant Hugues prendre congé pour saluer sa tante Ksandra, Clémence en fit de même et s’avança vers l’ancien Grand Prévôt qui avait fait le déplacement pour leurs échanges de consentement.


_ « Bonsoir votre grâce heureuse de vous compter parmi nous en ce jour. Comment vous portez vous ?»

[A l’Hôtel]


Puis voyant son amie la presser pour aller rejoindre l’hôtel mit à leur disposition, elle s’excusa avant de se retirer à son tour à sa compagnie.
Il était vrai que le temps passé assez vite et la camériste devait être sur le qui vive en les attendant.
Sûrement entrain de pester contre leurs retards comme à son habitude.
Mais Clémence n’était pas vraiment du genre à s’inquiéter de ses tenues, ce jour elle prenait sur elle, il ne fallait pas faire sa mauvaise tête.
Après avoir traversé le grand couloir elle entra dans la pièce qui leur avait été réservée, où jonchait de multiples tenues confectionnées pour l’occasion.
La Comtesse fit chasser tout le monde pour se changer tranquillement dans la pièce, une robe au couleur azur lui avait été envoyé par Dame Azurely, celle-ci était fort réussi qu’elle n’avait pas de regret de lui avoir fait la commande.
Une fois la robe enfilée, Clémence fit mander Caerellyn de la rejoindre pour l’aider à attacher le dos de la houppelande et les derniers détails restants.


_ « J’aurai besoin d’un peu d’aide je crois… »

Après avoir terminé les derniers préparatifs et s’être fait coiffer par la camériste. Elle partit en direction du lieu du mariage.

[A l’Eglise]

Le chemin fut bref peut être trop à son goût. Une sorte d’angoisse envahissait son cœur, sentant plus intensément battre régulièrement ses tempes. Elle chercha dans le regard de Caerellyn une sorte de réconfort, essayant de la pousser vers l’entrée pour rejoindre la cérémonie.
Trouver la force…Elle qui pour une fois se serait bien transformer en petite souris.
Fermant les yeux, Clémence prit une inspiration pour traverser la nef, regardant droit devant elle pour essayer de ne pas s’enfuir, évitant les regards qu’elle pouvait sentir.
La musique s’arrêta alors qu’elle rejoignait l’autel profita d’adresser un sourire à son promis et à l’archevêque.


Caerellyn
[A l'Hôtel]

Clémence, ma mie, retenez votre respiration.....

Elle tirait fort, se demandant bien pourquoi, la taille était si menue qu'elle faisait bien des envieuses. Elle noua les derniers rubans, posa sa houppelande, la faisant tourner sur elle-même pour juger du moindre détail....un pli un peu trop gonflé.......Une manche mal posée.

Vous êtes la plus jolie épousée que j'ai jamais vue......Elle effleura sa joue d'un doigt léger.....

Vous tremblez comme une oiselle....Ce soir vous serez unie à l'homme que vous aimez.....Il vous attend.....Pressons-nous.......profitez de ces instants, le temps passe si vite.

[A l'église]

La carrosse approchait. Bientôt les marches de l'église leur apparurent.

Elle croisa le regard de la comtesse.
Son visage était pâle comme l'albâtre.
Elle lui prit sa main dans les siennes tentant en vain de la réchauffer.


Courage, ma dame.....Toute votre vie vous vous souviendrez de cet instant.

Elle n'entendait rien, elle la bouscula pour descendre, la tirant par la manche. Elle sourit de tant d'impétuosité alors qu'elle aurait pu entendre son coeur résonner.

Elle était comme cela......Dans le danger elle se lançait sans peur.....

Point de danger...de la peur, de l'émotion surtout à affronter.....et toute une vie à bâtir........


Elle la suivait tant bien que mal, tentant de garder correcte tenue:



Elles arrivèrent enfin devant l'autel, la dame de Cazaux-Savés salua le prince d'un léger signe de tête et s'inclina devant Monseigneur Navigius.

_________________
Hidatsa


L'Eglise était bondée, Hida était impressionnée par toutes ces personnes si élégantes et de bonne famille. Assise au côté de Tokagero, elle avait revêtue une jolie robe mauve pour la circonstance, sa main dans la sienne, elle commençait à s'impatienter, curieuse de voir la future mariée.

Soudain, la musique se fit entendre, tous les regards se dirigèrent vers la porte et la Comtesse fit une entrée majestueuse dans une somptueuse robe. Elle traversa la nef afin de rejoindre son fiancé et futur époux.

Hida sourit en serrant tendrement la main de son fiancé et attendit la suite de la cérémonie.
Biwer
Biwer avait passer toute la journée a se déplacer pour se rendre à la cathédrale.
Il arriva dans la grande église, il était un peu perdu...
Clémence lui avait demander de venir mais bon... Y'a avait beaucoup de monde...
Au loin, il vit Tokagero et sa femme...
Il se dirigea vers eux...


Bonsoir mes amis, je peux m'installer prés de vous?

Il demanda à un enfant de coeur de s'approcher et lui tendit un morceau de parchemin.

Citation:
Ma très chére Comtesse,
comme promis je suis là pour ce grand jour qui est le tien.
Je prie pour que votre amour soit sans fin.
Aprés la céremonie tout le monde sera prés de toi et je pense que tu auras besoin d'être un peu seul avec ton époux.
Je te laisserai donc...
Félicitation comtesse et soyez heureuse.
Votre dévoué,
Biwer.
PS: Tu es magnifique dans ta robe.


Tu peux apporter cela à la marier?
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 34, 35, 36   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)