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[RP] Église Saint-Germain-l'Auxerrois

Kiliane_mckorky
Angers-Anjou...

Un carrosse aux couleurs des "Beaufort-Dénéré" avait pris route,

Jo pensive se remémorait la scène du petit matin.

Tout d'abord son époux lui avait dit l'accompagner , puis s'était rétracté.
Il n'aimait pas les cérémonies lui dit il.... Et Jo ne put que se résigner ... elle le savait et l'avait accepter tel qu'il était.. elle l'aimait tellement qu'elle voulut renoncer à ce déplacement mais celui-ci l'en empêcha.

emmènes donc Fifou avec toi , je suis sur qu'elle appréciera.

Jo lui avait sourit car elle le savait jaloux.

Ayant tout de même grande envie de voir le mariage de son amie Clémence , Jo se dépêcha de prévenir Fifouni et dès qu'elle furent prêtes, elles partirent prendre Rosebudy et firent route.

Paris, première halte;

Dans une jolie auberge, les trois dames réparèrent les dégâts du voyages, se restaurèrent un peu et attendirent l'heure de se rendre à la cérémonie.

En l'église, la cérémonie.

Jo, après avoir saluer les personnes présentes s'installa près de l'allée centrale.

Peu de temps après , la musique avertit du début de la noce.

Jo retint un cri d'admiration en voyant la mariée et sa suite pénétrer dans les lieux... Sublime , Clémence était sublime dans sa robe nuptiale.
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Ilojinasi
Fifou avait hésité lorsque sa cousine lui avait demandé de l’accompagner à ce mariage. Bladou avait insisté discrètement prétextant qu’il n’aimait pas l’a savoir seule et que les routes n’étaient pas sures. Comme si la rouquine pourrait y changer quelque chose si elles se faisaient enlevées sur la route. Ne voulant pas le contrarier et profitant de l’occasion pour se rendre dans la capitale elle accepta donc l’invitation.
Une fois arrivée, elles s’étaient préparées rapidement afin de ne pas être trop en retard.
La jeune Penthièvre était nerveuse, mais tachait de ne rien laisser paraître, elle se prépara, choisit une robe de couleur claire légèrement rosé qui laissait ressortir ses grands yeux brillants. Elle releva sa chevelure laissant quelques longues boucles retomber dégageant ainsi son cou. Sans d’artifice, ni bijoux, la vicomtesse avait l’intention d’être discrète. Elle resta près de Joffrey et prit place, la cérémonie commençait….
Hugues.carpadant
Hugues s’habilla en moins de temps qu’il ne fallu pour le dire.
Revêtant ses habits de lumière. Ceignant sa couronne princière.
Le tout en tentant de ne pas songer à ce qui se préparait.




Ensuite, il retourna à l’église de Saint Germains l’Auxerrois.
Trépignant d’impatience, on finit par lui annoncer l’arrivée de sa promise. Il se rendit donc à la nef, à la place qui lui était dévolue. Là où il verrait défiler devant lui celle qu’il aimait.

Enfin, elle arriva.
Hugues eut le souffle coupé. Souriant béatement. La robe était magnifique et la mettait bien en valeur.
Il vit son hésitation touchante. Le faisant fondre. Comme s’il retombait à nouveau amoureux.

La musique qui se mit à résonner contre les murs de l’église n’arrangea rien à l’affaire. L’émotion l’étreignait. Hugues était en train de dangereusement devenir mièvre et coulant. Presque sympathique.
Étrangement, la sérénité le gagna alors que sa promise le rejoint devant l’autel.
Le voilà enfin arrivé au moment fatidique. Il ne pouvait plus reculer. (Ni s’enfuir. Des gardes étaient présents à chaque porte.)
Alors, il se laissa aller. Se mettant entre les mains de son destin. Certain d’avoir fait le bon choix.

Le prince lui rendit son sourire. Radieux.
La cérémonie pouvait débuter.
Oriane.
Orléans

Clémence se mariait, elle se devait d'y assister en l'absence de Fur et elle avait pris la route seule à cheval comme elle avait habitude la veille pour la capitale.
L'auberge achetée par son suzerain lui servirait de halte pour se baigner et se changer.
Elle n'avait pas de nouvelles de Mymy qui devait la rejoindre et l'accompagner, elle ne pouvait qu'espérer son arrivée directement à l'église.


A l"église


Pestant après les jupons de sa robe elle pénétra dans le lieu saint s'apercevant avec effarement qu'elle était encore en retard.
Suffisait de se faire discrète, elle aperçut son oncle marc_antoine et se faufila jusqu'à lui. S'asseyant à ses cotés, elle l'embrassa sur la joue tout en cherchant valeria des yeux.


Comment va mon oncle ce jour ? et val en retard elle aussi ?
pnj
Paris.

La jeune femme laisse ses pensées vagabonder tandis qu'elle contemple les ruelles de la belle capitale en un carrosse qu'un bon ami parisien le lui prêta pour une occasion spéciale. Regard admiratif vers tout ce qui l'entoure, qui se fait quelque fois circulaire et curieux. Tant de souvenirs font surface alors qu'elle plonge dans ses songes. Les tièdes lueurs de l'astre du jour éclairent les longues mèches brunes de l'Auvergnate échappées de son sage chignon orné. Un arrêt, une pause. Elle rassemble son souffle, inspire et expire avant de descendre.

La Montbazon-Navailles reste un moment immobile et silencieuse devant l'Église Saint-Germain-l'Auxerrois. Majesté et sainteté se dégagent de la bâtisse imposante. Elle ne peut s'empêcher de faire un sifflement admiratif, et que dire de l'intérieur... Elle passe sa main instinctivement sur sa longue robe raffinée de couleur bleu, mettant en valeur ses grands yeux d'azur. Etre à la hauteur, le plus important, se débarrasser de quelques vieilles habitudes de mettre que de simples vêtements composés de chemises et de braies, ou de ses tenues militaires strictes, rien que pour honorer l'invitation de son Altesse Hugues de Carpadant. Elle le connait depuis assez longtemps déjà, répond à ses appels et est là quand il le faut et au besoin.

Elle entre dans le lieu sacré, que de grandes personnes, inconnus pour elle jusqu'à présent. Elle se rend compte qu'elle est en retard et que la cérémonie ne tarderait pas à débuter. Hâte de saluer le prince et sa futur mariée, cette dernière qu'elle ne connait pas encore. Elle prend place et se faufile bien discrètement, ni près ni loin du monde, et admire, en silence...tout simplement la merveilleuse mariée et le régnant de Montmorency.
Navigius


Au son des chants et de l’orgue, la comtesse descendit l’allée, flottant littéralement sur le plancher, étant comme un ange descendue directement du ciel pour prendre la main du prince de Montmorency et le guider vers le bonheur. L’ecclésiaste eût un sourire admiratif devant la perfection de la robe de la comtesse tout comme de sa coiffure. Il jeta un long regard dans les premiers bancs, souriant à la présence de certaines personnes qui lui étaient chers. Il nota d’un hochement de tête la présence de Charles Breydel, sa fiancée Hidatsa et de Messire Biwer, qui empli de ferveur et de considération pour la Comtesse, avaient interrompus leur campagne électorale le temps d’un voyage dans la capitale. L’italien était admiratif de leur candeur, alors qu’en leur absence, assurément, certaines langues de vipère diluaient leur poison dans la société armagnacaise. Il salua aussi du regard Dame Joffrey de Beaufort, qui prenait l’habitude d’assister à la majorité des mariages célébrés par l’italien, sans doute une tendance à aimer se faire souffrir, les cérémonies de l’ecclésiaste n’étaient pas très courtes.

Alors que les mariés étaient rassemblés à l’avant, deux sacristains parurent des allées latérales, portant deux petits meubles, les prie-dieux personnels de l’Archevêque. Les petits meubles, d’un bois de chêne au verni disparu depuis des lustres et au capitonnage défaillant, étaient chéris de l’ecclésiaste et craints par tous, pour la douleur pugnace qu’ils infligeaient aux genoux de pauvres personnes s’y installant. Seul l’italien voyait en ces reliques d’une époque révolue une quelconque utilité. La rumeur voulait qu’un roi de France s’y soit agenouillé pour son couronnement, mais personne ne pouvait dire lequel, tant aucune discussion déplaisante n’était admise à ce sujet auprès de l’Archevêque, qui était virtuellement intraitable sur le sujet. L’on déposa donc les meubles de torture devant les mariés, qui furent invités à s’y agenouiller.

- Fratelli e Sorelle! Frères et Sœurs! Enfants du Très-Haut! Nous voici réunis ici ce soir, afin de partager la joie et l’allégresse de ces grandes aventures que sont la vie et l’amour. Ensemble, nous allons nous abreuver à l’excellence et la vertu, célébrant ensemble l’amour qui brûle tel un brasier scintillant entre deux personnes, la Comtesse Clémence de Chéroy et le Prince Hugues de Cardapant. Afin que cette cérémonie se déroule dans la félicité, invoquons donc ensemble, l’attention du Très-Haut sur cette cérémonie, par une minute de réflexion et de silence…
Hugues.carpadant
Les deux prie-dieu installés, Hugues s’agenouilla. Quel ne fut pas sa déplaisante surprise de constater l’inconfort du meuble. Déconcerté, il voulu voir si ce fut uniquement lui qui patissait d’un facétieux meuble, et jeta un œil à celui de sa promise. Ce dernier sembla aussi vétuste que le sien.
Le prince en conclu donc que c’était général, et qu’il devait s’y cacher derrière une métaphore. Le mariage n’était pas que bonheur et félicité. Mais souffrance également.

Les mains jointes, Hugues écoutait avec la plus grande attention l’homme d’Église.
Le silence écrasait l’édifice où seul l’écho de sa voix se répandait entre les colonnes gothiques.
Religieusement, il ne pipa mot, et lorsque la minute de recueillement débuta, ferma les yeux.


Ho, Très Haut, Toi qui nous observe de ton trône de lumière et de magnificence. Béni nous. Et protège nous des tentations. Éclaire nous de ta sagesse.


A la fin de ces pensées, Hugues tenta de s’imposer un mutisme intérieur. Laissant à son âme le soin de tenter de percer les mystères des voies du Seigneur.
P27kw
Le Père Lyonis toujours en retard avait omis la cérémonie de SA, il s'en voulait énormément. Mais en plus, il n'avait trouvé personne pour garder Yann, et donc de ce fait il avait du l'enmener avec lui, c'était pas déplaisant mais bon, il espérait que ça n'allait pas le barber.

Avant d'entrer dans l'église, le Père Lyonis s'agenouilla à hauteur de Yann puis lui dit.


Mon amour, tu reste bien sage hein ? C'est le mariage d'un ami, si tu veux tu pourras aller sur mes genoux.

Le Père Lyonis vit alors tout de site le sourire de Yann puis Yann lui répondit tout enthousiaste.

Ohh oui papa je resterais sage je te promet,surtout si je vais sur tes genoux.

Après cette petite discussion le Père Lyonis et Yann entrèrent dans l'église, et il était soulagé, il n'y avait pour l'instant pas trop de monde, et la cérémonie n'avait pas commencée. En arrivant, il sourit à SA puis dit à Yann tout bas tout en lui tenant la main.

Tavu mon chéri, c'est lui tu vois, il est beau hein ?

Yann aquiessa, puis il allèrent s'installer, comme promis, le ère Lyonis metta Yann sur ses genoux.
Clemence.carpadant
La cérémonie était sur le point de débuter que Clémence profita pour faire un rapide tour d’horizon des gens présents à leurs noces.
Elle reconnue Charles et sa fiancée et non loin d’eux la « mouche » de Muret Biwer qui lui fit apporter un mot, elle aurait aimé le remercier et surtout lui dire de pas partir sans qu’elle ait pu le saluer.
Glissant le vélin dans le creux de sa manche. Elle leur adressa un hochement de tête à tout les trois.
Puis elle aperçue la vicomtesse de Beaufort, heureuse qu’elle ait pu se libérer pour la cérémonie en compagnie d’une élégante dame qu’elle n’avait pas encore eu l’honneur de connaître. Mais cela se rattraperait tôt ou tard. D’autres personnes étaient là mais elle ne su poser un nom sur leur visage sûrement des amis de Hugues.

Mais entendant monseigneur Navigus prendre la parole, Clémence après avoir échangé un regard avec son amie Caerellyn qui se tenait non loin d’elle, reportant son attention vers son promis et l’archeveque.
Alors qu’il les invitait à rejoindre les pries dieux déposé devant eux afin de se recueillir un instant.
Cependant ce moment fut quelque peu contraignant qu’elle ne pu guère penser à autre chose qu’à ses genoux qui la faisait horriblement souffrir.
Ce meuble était des plus inconfortable que même les divers jupons de sa robe n’y pouvait rien, elle retient une grimace, priant que ce moment termine enchantant sur la suite de la cérémonie.
Strakastre
La ponctualité ne serait pas encore l'apanage du Vicomte de l'Isle Jourdain cette fois-ci... Il était arrivé le jour même, spécialement pour l'occasion. La ville avait quelque peu changé depuis qu'il avait quitté la Connétablie de France et force était de constater qu'à force de reprendre goût aux grands espaces d'Armagnac et de Comminges, la promiscuité des villes l'insupportait de plus en plus.

Mais il était venu respecter un engagement, et comptait bien l'honorer. Réajustant donc sa tunique et ses différents équipements, il se rendit donc vers l'église et en franchit le plus calmement du monde le porche.

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en cours de réfection
Caerellyn
A quelques pas derrière son amie, elle se tenait droite et altière.

La comtesse lui avait tendu son bouquet et, joint au sien, les senteurs mêlées lui faisaient tourner la tête, à moins qu'il ne s'agisse de cette émotion qui lui enserrait la poitrine.
Elle sentait, posé sur elle, le regard de son époux. Il eut été si facile de repartir dans un flot de souvenirs...leurs épousailles....
Que nenni, il fallait profiter de chacun des instants présents.
Le visage de la comtesse était pour elle livre ouvert. Fugaces ou plus présentes, elle pouvait y lire la moindre des émotions ressenties par la jeune épousaillée.

Elle la regarda s'agenouiller sur le prie-dieu, s'avança pour lui tendre la main et agença de mains expertes sa robe, en corolle autour d'elle.

Leurs regards se croisèrent. Elle lui redit en silence toute son affection et combien elle était heureuse de son bonheur.
Un certain désarroi l'agitait pourtant, d'un sourire elle tenta de lui insuffler sérénité.

Elle sursauta à sa grimace....le prie-dieu devait être encore plus inconfortable qu'il n'y paraissait.

Elle rejoignit sa place et ne la quittant pas du regard, elle pria avec ferveur.

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Ksandra3615
[Après la cérémonie du baptème]

Hugues.carpadant a écrit:
Un peu nerveux, à vrai dire.
Le moment du grand saut est arrivé. Enfin, je ne pense pas m’être trompé.


Il est vrai qu'elle le sentait nerveux, mais qui ne l'aurait pas été en pareille circonstance... Elle lui sourit tendrement, lui caressa la joue.

Mon cher neveu, je suis certaine que vous avez fait le bon choix...

Kassy avait aperçu le regard furtif plein d'amour qu'avait jeté la futur épousée sur son tendre aimé...

Et puis vous connaissant, je sais que vous saurez maîtriser cette nervosité tout à fait naturelle.

Hugues.carpadant a écrit:
Et bien, nous devons nous même aller nous préparer. La cérémonie débute d’ici deux heures.


Oh!! si peux de temps... alors faisons vite...

Ksandra ne s'était jamais préparée aussi vite, il faut dire qu'elle savait déjà ce qu'elle allait porter et ne prit pas le temps de ranger ce qu'elle avait ôter avant de se glisser dans bon bain tiède qui fit disparaitre toute la fatigue du voyage. Durant ce temps le cocher en avait profité pour faire faire demi tour à son attelage et donner à boire et à manger aux chevaux.

Lorsqu'elle fut fin prête, elle n'attendit pas qu'il lui ouvre la portière et s'engouffra dans le carrosse lui intimant de fouetter et d'aller à vive allure jusqu'à l'église. Elle entre sereine dans l'édifice ce qui ne devait pas être le cas de son neveu et de sa futur épouse, elle les aperçut tous deux proches l'un de l'autre, ils étaient vraiment très beaux et formaient un merveilleux couple. Elle laissa échapper un soupir d'aise et s'avança dans la nef afin de prendre la place qui lui était réservée. La cérémonie allait débuter, ils s'agenouillèrent sur un prie dieux chacun, intimant ainsi à l'assemblée le moment de se recueillir avec eux.
pnj
Il avait souhaité assister au baptême mais malheureusement il n’en fut rien. Retenu qu’il fut dans les murs de l’Ordre Royal auquel il appartenait. Lorsqu’il arriva donc la cérémonie de mariage semblait débuter.
Il ne fit donc pas de bruit et s’avança doucement cherchant du regard un endroit où il pouvait s’installer. Antoine choisissait toujours de s’agenouiller sur un prie dieu lorsqu’il assistait à une cérémonie religieuse, et ce quelle qu’elle soit.
Il en aperçu un de libre et s’avança à hauteur, salua les personnes installées tout à côté puis prit place.

Il était là pour la mariée, et non pour le Prince. Ne connaissant pas cet homme. Il ne l’enviait point, étant lui aussi marié, mais ce disait que cet homme avait vraiment de la chance d’épouser une femme de tant de valeur. Cette femme qu’il appréciait tant, bien plus qu’il n’avait apprécié son père. C’était dire.
Valeria053
Val arriva à son tour, elle avait fait le trajet avec ses enfants, son mari etant déjà arrivé, elle s'avança et alla le rejoindre discretement, elle salua au passage sa nièce et lui déposa un baiser sur la joue. Elle avait laissé les enfants avec Adelinde dansune auberge, c'etait changé et avait fait au plus vite pour arriver à l'heure. Elle s'assit aux cotés de son aimé et attendi le debut de la cérémonie


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Hidatsa


Hida invita sans hésitation Biwer à s'assoir à côté d'eux, elle était forte heureuse de voir un visage familier et amical. En parcourant du regard l'assemblée, elle vit que la Comtesse les saluait, elle lui fit un grand sourire en échange.
Elle reconnut Fifou qu'elle n'avait pas revu depuis au moins un an. Il faut dire qu'elle ne s'était pas quittée en très bons termes. La minute de réflexion demandée par l'Archevêque la ramena dans le Maine où elles avaient vécu de bons moments ensemble puis d'autres bien moins agréables...Hida soupira et revint à la cérémonie se rapprochant de Toka et observant les fiancés qui devaient souffrir mais ne laissaient rien paraître.

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