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[RP] Église Saint-Germain-l'Auxerrois

Kiliane_mckorky


Jo sourit à Clémence .
Du futur couple se dégageait un aura d'amour et de sincérité qui toucha son coeur, ils étaient resplendissants.

C'est alors que son regard fut attiré par l'entrée d'une personne en l'église.
Discrètement , elle lui fit signe en lui désigna la dernière place libre à leurs cotés.
Mais Jo ne put voir si Strakastre les avait aperçues. Elle se reconcentra donc sur la cérémonie.

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Ilojinasi
Le mariage commençait les gens prenaient place petit à petit. La vicomtesse se retourna toujours aussi nerveuse et l’aperçu…Malgré les convenances elle se leva rapidement afin de le rejoindre. Son visage s’adoucit en s’approchant de lui, elle lui prit la main discrètement, un immense sourire sur son visage, le regardant avec ses grands yeux noirs.

Bonjour Cher Vicomte, heureuse de vous revoir
Strakastre
Plissement d'yeux en entrant dans l'église... la différence de luminosité nécessitant un instant d'adaptation, pendant lequel le Vicomte scrutait les alentours... Il put reconnaitre quelques visages, certains encore vivaces, d'autres plus vagues...
Premiers regards évidemment pour les futurs mariés... Sourire qui se dessine...

Puis un autre regard qu'on croise... Ah tiens, il est là celui-là... Tant mieux du reste, j'avais mes bottes qui me démangeaient depuis longtemps...

Mais le Vicomte n'eut guère le temps de s'égarer dans ses considérations presque barbares... puisqu'un autre visage, nettement plus avenant celui-là s'approchait déjà de lui.

A défaut de bottes, cette fois, ce fut un sourire plus chaleureux qui accueillit la Vicomtesse qui l'entrainait déjà vers ce qui devait être sa place.


- Le plaisir est amplement partagé, chère amie... Nous pourrons dire que nous nous croisons souvent dans ce genre de cérémonie... Serait-ce prémonitoire, selon vous ?

Charles se laissa alors entrainer par sa cavalière, jetant néanmoins une œillade moins aimable à un endroit précis... Perd rien pour attendre toi là-bas...
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en cours de réfection
Alban_d_azayes
Accompagné de sa sœur et de son jeune frère, le jeune Azayes fit son entré dans l'église.
Alors que leur mère leur avait demandé de venir ils se demandèrent ce qu'ils pourraient bien faire en ce lieu ou ils ne connaissaient malheureusement personne.

Mais le marié était de la famille, très éloigné et avec moult alliance mais de la famille tout de même.

Alors qu'il avançait vers un coin ou il ne dérangerait personne il se demandait comment il convenait d'appeler le Prince de Montmorency. Cousin, sans doute trop éloigné, Prince, trop distant, Monseigneur, trop religieux.

Il arriva finalement près d'un pilier auquel il s'adossa, ne sachant pas très bien vers qui se tourner ou si une place leur avaient été réservé.
Breydel_charles


Habillé de leur plus beaux atours, Hidatsa et Tokagero entrèrent dans l'église. Il y avait déjà du monde, et du beau monde. Charles aimait cette compagnie, mais il sentit sa compagne serrer plus légèrement sa main.

Le Vice-Comte d'Armagnac-Comminges avançait tirant doucement sa fiancée vers un banc où de là ils pourront assister à toute la cérémonie.
Une fois assis, la cérémonie commença tout doucement. Heureusement, se dit le Géant, qu'ils ne sont pas arrivés en retard. Il sentit sa compagne se rapprocher de lui, puis arriva Biwer qui une fois invité par Hidatsa, s'assit en leur compagnie. Charles ne savait pas qu'il venait, cela lui faisait grand plaisir. Clémence jeta un coup d'oeil vers l'assemblée et fit des petits signes discrets à quelques personnes, dont vers les trois membres de Concorde Armagnaco-Commingeoise.

Alors que Navigius reprenait la parole, et que Clémence reprit sa pose sur le meuble des plus désagréables Tokagero sentit sa compagne se rapprocher encore plus vers lui. Il passa son bras par dessus l'épaule d'Hida et ainsi pu se rapprocher imperceptiblement de son corps.
Kiliane_mckorky
Alors que Jo saluait Strakastre, son regard fut attiré par un visage connu ...

Ses yeux prirent couleur de ciel d'orage et pour ceux qui la connaissaient bien, cela voulait dire grande colère.

Jo avait pourtant le pardon facile , mais la cicatrice, laissée par cette femme, était trop profonde dans son coeur pour pouvoir lui accorder.

Il est des choses qu'on ne peut oublier, qu'on ne veut oublier. Et la blessure infligée était de celle-là malgré le temps passé.

Jo sentit son corps se crisper, elle dut regarder son alliance pour se calmer... et surtout ranger, dans un coin, ses souvenirs.

Jo avait le temps, la patience... Elle attendait depuis si longtemps.....presqu'une vie. Un jour, certainement.......

Tout se paye, pensa t elle.
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pnj
Nahysse sauta littéralement du carosse qui la déposait avec sa famille devant l'église. Des jours et des jours qu'elle attendait ce moment, aussi sans perdre de temps elle commença l'ascension des marches, les poches remplies de riz pour le final où elle espérait bien participer allègrement.
Elle venait de reconnaitre la silhouette d'Eloy entré peu avant, la nounou n'avait plus d'autre recours que de lui filer le train. Sa maladie avait été assez longue pour que lors elle profite de la moindre liberté. Quitte à la forcer un peu.
Elle pénétra dans le monument, s'arréta un instant cherchant le jeune garçon peu habituée à cette pénombre. Elle remarqua Alban dans un coin, presque identique à cette colonne. Quelque chose de rigide et emphasé dans la posture peut être. Il convenait de le saluer.. Elle réprima une grimace, pleine d'impatience bafouée mais s'appliqua dans une petite et courte révérence en empoignant ses jupons. Le cliché était parfait, un ange en visite, avec la risette de circonstance.

Bonjour mon cousin.

Petite voix, ton aussi mesuré, instinctivement elle avait baissé la tonalité. Sans doute le solennel du lieu. Elle espera que sa mère remarquerait combien elle etait polie..De droite à gauche elle fureta du regard, pressée de quitter cette compagnie revèche. Personne encore à l'horizon..A moins que..
Elle s'assura que nul ne put intercepter son insolence. Les siens devaient encore saluer quelques connaissances au dehors. Aussi Nahysse qui n'avait pas oublier leur dernière entrevue conclut ces retrouvailles en lui tirant sans ambage la langue et en lui offrant ainsi sa dernière grimace inventée en date... Avant de filer en pestouille entre les nombreux invités qui affluaient. En chuchotant entre ces adultes encombrants.

Eloy ? Eloy ?
Victoria_d_azayes
Les enfants Azayes étaient venus à leur premier grand événement sans leurs parents. Ils ne savaient guère si au milieu de ses personnes importantes, ils passeraient pas parfaitement inaperçus.

Ils ne savaient rien refuser à Alivianne qui donnait l'impression de tenir à leur présence auprès de leur cousin princier.

Le parvis de l'Eglise fut vite passé après que la grande soeur donna quelques conseils de bienséance à son jeune frère qui renâclait à venir sous prétexte qu'il n'y aurait point sa jeune cousine. Mais qui pouvait savoir...

Son double toujours très concentré sur ses propres pensées sans trop se préoccuper de savoir si le reste de la bande le suivait. Heureusement, Victoria, bien cramponné par la main à son jeune frère, ne le perdait pas de vue.
Rapide coup d'oeil circulaire... et quelle joie s'affichant sur son visage !
Elle ne saurait pas en telle mondanité... Alban aurait été pris pour un pommier aux fruits bien mûrs. Elle se contenta de lui tapoter discrètement le bras pour le faire sortir de son monde intérieur.
Messes basses de rigueur...


Alban... toujours pas... Alban... plus insistante. As-tu vu ?

Pas d'index, surtout pas d'index, tu ne peux pas te le premettre... Pourtant c'est tellement pratique...

Mon parrain ! Il me semble bien que c'est mon parrain Strakastre. C'est bien lui ? Cela fait tellement longtemps que je ne l'ai pas vu... Tu crois qu'il me reconnaîtra ?

Bizarre comme certaines personnes peuvent créer un vide chez un enfant sans le savoir. C'était son parrain... celui qui l'avait présenté au Très-Haut. Pour elle, cela voulait dire beaucoup... (ça voulait dire qu'elle était libre... euh non rien... )

La jeune fille tentera d'attirer son attention... Elle attendait son amie Blanche ne sachant trop encore si elle la rejoindrait ou non, elle saurait sûrement la conseiller...
.alexandre.
Non encore habitué aux grandes célébrations, le jeune Duc ne savait vraiment que faire. Mais surtout, il ne connaissait pas la moitier des invités au mariage de sa grande soeur et du petit prince.

Alexandre était revêtu d'une tunique taillée pour l'occasion auprès d'un maitre artisan d'Orléans. Il portait à ravie les couleur de cette belle et fière province.

Le Duc, ne savait encore mesurer ce qu'apporterait ce mariage dans la famille. Ca soeur ainée prendrait assurément un ascendant sur lui, aussi, il se devait de briller de milles feux en Orléans pour tâcher de garder sa place de Chef de famille et de ne pas se faire éclipser au second rang.

Tout à coup, il sourit, son esprit se réjouit à la pensée que son frère décédé aurait donné jusqu'a sa petite culotte (oui, son frère aimait les petites culottes de soie) pour voir un mariage de ce niveau pour sa soeur.
C'est donc le visage amusé qu'Alexandre gagna la place qui lui était réservée au tout devant.
Eloy_dazayes
Non, non et non !!!
Je ne veux pas y aller !
Ca va encore durer des heures et des heures et pis je vais m'ennuyer...

Pis comme d'habitude derrière moi il y aura une vieille qui chantera faux !
Pis si maman vient pas, elle ne saura pas que je ne suis pas venu !
Pis d'abord je ne rentrerai pas s'il n'y a pas MA cousine Nahy !


Eloy faisait son têtu pour ne pas changer.
Des prétextes, il pouvait en donner treize à la douzaine si nécessaire....

Mais hélas, sa soeur ne le connaissait que trop bien, et avait appris à ne pas écouter ses propos...

Eloy entra dans l'eglise, enfin, on le tira pour être tout à fait honnête, la pénombre, la fraicheur des lieux lui fit le plus grand bien...

Une petite robe blanche, des couette sur des cheveux blonds, Eloy retrouva le sourire, elle était là.
Sa cousine à lui était là et bien là.
Nahy, sa Nahy à lui était là !

Arrachant sa main de l'emprise de sa soeur, Eloy, fendant l'air comme un cheval au galop, enfin, bref, comme un gamin fendant la foule des adultes dans pareil circonstance, alla retrouver sa cousine qui le cherchait.

Petite tape sur l'épaule, sourire de circonstance.

C'est moi que tu cherches ?

Enfin, il retrouvait sa complice, toutes leurs péripéties les rapprochait, et ils étaient si heureux à chaque fois qu'ils se voyaient !
P27kw
Le Père Lyonis regarda autour de lui à chaque passage et il était surpris par le grand nombre d'enfants il dit alors à Yann en lui souriant.

Mon chéri t'as vu y'a pleins d'autres enfants, tu pourras jouer avec eux à la fin de la cérémonie si tu veux.

Yann lui répondit alors tout enthousiaste.

Oui Papa ça serait super.
Navigius


La minute de silence se déroula dans la réflexion, n’étant troublée que par quelques arrivées tardives, qui reçurent un froid regard réprobateur de la part de l’officiant de la cérémonie, n’étant pas, à ce moment précis, au courant de l’embouteillage monstre sur la rue Sainte-Honorine, causée par une charrette s’étant renversée et vidée de son contenu, une série de tonnelets de vins qui avaient déclenchés une certaines euphories, à des années-lumières de la pieuse ambiance qui régnait dans l’Église. Rompant le silence, après avoir superbement ignoré les impies qui discutaient pendant ce moment solennel. Il reprit donc où il avait laissé.

- Votre Altesse, Votre Grandeur, l’engagement que vous vous apprêtez à prendre ici devant Dieu est très important. Il est capital que vous releviez le caractère sacré des paroles que vous allez prononcer. Il ne s’agit pas d’un engagement entre vos deux personnes. Il s’agit avant tout d’un serment que chacun de vous prendrez envers Dieu. Celui de faire rayonner son amour sur terre, et plus particulièrement en votre ménage, et de faire fructifier et perdurer cette grande chaîne de l’Amour qu’est la vie. Ce serment, le plus sacré que vous prendrez de vos vie, ne peut être rompu, car il réside entre vous et Dieu.


Les paroles de l’italien provoquèrent un tique sur la figure des plus adeptes du droit canon. Bien entendue, le divorce était possible, mais tous à Rome savaient que le métropolite d’Auch était l’un des plus virulent critique de ce droit, qui reniait un serment fait à Dieu, ainsi donc, inviolable. Il fit une légère pause avant de continuer, afin de bien laisser ces mots flotter et se graver dans l’esprit des futurs mariés.

- Le mariage est une institution sacrée, mais avant tout, un mode de vie. Il est normal, au tout début, d’être effrayé devant la perspective de cette fusion matrimoniale, mais soyez sans crainte, le Très-Haut veille sur le bon peuple aimant et sur les âmes nuptiales. Toutefois, la vie à deux n’est pas un croisière sous un soleil radiaux, parfois, il faut affronter des tempêtes, pour accéder aux mers calme et tranquilles de la félicité. Afin de vous appuyer dans ces moments où le vent et la houle menaceront votre embarcation commune, vous avez choisis des témoins, dépositaires de cette relique sacrée qu’est votre amour commun. Ces personnes devront vous diriger et vous appuyer dans votre vie, afin que vous demeuriez vertueux et honnêtes l’un envers l’autre. Ainsi donc, daignez présenter ces témoins à l’Aristotélisme ici assemblée, et motivez votre choix.
Meline_deschain
[ Périgueux, le 2 mai 1457 ]

C'est avec grand plaisir que Méline se prépara à quitter le Perigord Angoumois quelques jours accompagnée de son fils, Un mariage l'a changerait des cérémonies d'anoblissement et de la caserne quelques jours, elle donna les ordres nécessaires pour pallier à son absence puis elle fit préparer l'attelage et une fois que la comtesse de La Rochefoucault fut prête, elles prirent la route.

[ Paris, le 3 mai 1457, après-midi]

Alain ouvrait des yeux émerveillé devant la magnificience de la ville, il se souvenait de la dernière fois, Constance leur avait fait visiter à Susannah et lui, tandis que sa maman assistait à une cérémonie d'anoblissement. Il fronça les sourcils, là aucune chance d'échapper à la cérémonie, Constance était resté au domaine avec Susannah et Anaïs, et il était seul avec sa mère et la marraine de son père. Le sourire lui revint en pensant qu'il avait bien de la chance d'avoir ses 6 ans.

Méline observait son fils en devisant avec Mizuki, il semblait bien songeur, oscillant entre air renfrogné et épanoui, le portrait de son père.

Ils arrivèrent en vu de l'église, l'heure était presque passée, il fallait se dépêcher, silencieusement ils pénétrèrent dans l'édifice, il était temps la cérémonie allait commencé.

Méline observa les mariés, magnifiques l'un et l'autre, et espèra pouvoir les saluer avant de reprendre la route malgré le monde présent.
Jades
Vêtue de vert pour ne point changer, la vicomtesse de Lomagne pénétra dans la sainte Église accompagne du Vicomte et sans enfant. L'évènement était de taille. Clémence de Cheroy, digne fille de Fauville et Krystell, si jeune et si forte à la fois avait enfin, le mot est juste, trouver un homme capable de la supporter.. Sourire amusé à la pensé de l'heureux prince.

Silence dans les rang à la venue de la jeune épousé et la voix monocorde du prélat monta par delà la voute. Voilà le moment tant attendu. Elle regarde la Comtesse émue et ravie pour l'amie qu'elle est devenue. Pendant que l'evêque officie, elle se remémore un court instant sa vie un soupire discret..

Il est loin ce temps se dit-elle...
Icie
Il s'en était fallu de peu qu'un charoi renversé dans une rue pres du Louvre, ne vint perturber le plan soigneusement préparé pour échapper aux embouteillages. Heureusement, le cocher connaissait la ville comme sa poche et ils s'arreterent sur le côté du parvis.
La foule se bousculait pour admirer si pretigieuse cérémonie.

Icie de Plantagenêt descendit suivit de ses enfants et de Margot, la nourrice de Nahysse. Mais tandis qu'elle s'avançait pour saluer une connaissance, Nahysse tel un papillon s'envola à l'interieur de la basilique.


Margot, ne la lachez pas d'un pas, vous en répondrez . Et ramenez moi cette petite.
Il ne manquerai plus qu'on la perde au milieu de cette foule
, pensa Icie en entrant.

Elle s'approcha des premiers rangs pour retrouver sa famille. Elle vit le petit Eloy et bien entendu................Nahysse n'était pas loin.
Ses couettes encore soigneusement liées par des rubants couverts de petites perles multicolores virevoltaient autour de sa frimousse. En petite fille dejà consciente qu'elle pouvait jouer de son charme, elle faisait tourner les volants de sa robe.


La comtesse sourit, songeant à la grimace de la couturiere quand Nahysse avait énoncé ses exigences en comptant sur ses doigts.
Z 'en veux sept, des volants : un bleu, un vert, un jaune, un tout blanc comme la neize, un tout en dentelle et un que l'on voit au travers par dessus...........et...................pi un tout petit là.........
Et elle avait montré le haut de son corsage.

Icie s'approcha de sa niece Victoria qui semblait regarder vers la droite
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