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La réception de la délégation champenoise

Zoyas
Tandis qu'Akmer et les maires invités arrivaient, Zoyas remarque la présence discrète de la première secrétaire d'Etat.
Hard l'avait prévenue de sa visite, ainsi de son désir de ne point déranger. Elle était fort heureuse de voir tant de personnes réunies ce soir.

Un page vint lui souffler à l'oreille que les mets allaient être bientôt cuits à point. Dame Coyuna et Dame Oksana ne devraient plus tarder à présent, et tout se déroulait à merveille.


Bonjour Ulan, je suis heureuse que tu soies venue !

Veux tu un verre peut être en attendant que le repas commence ?

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http://banieresdezoyas.over-blog.fr/
Ulan
Ulan trouva Zoyas radieuse et resplendissante, elle lui souria.

Je te remercie pour ton invitation. Bien entendu que je souhaite boire.
Tu me présentes tes invités ?

Ulan suiva Zoyas. Au passage, Ulan salua tous les dauphinois déjà présents et leur souria à son passage.
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Fidèle envers Kederick, son amour pour toujours ET ses amis intimes pour toujours
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Oksana
Suivant leur guide inattendu à travers le dédale des rues Lyonnaise, le petit groupe arriva enfin en vu du château de la capitale sous bonne garde. Ils demandèrent à faire une halte à l'auberge que dame Coyuna avait réservée afin de se laver et de mettre des tenues plus adaptées pour la réception à laquelle ils étaient conviés et, sans plus attendre, se dirigèrent vers l'entrée du castel.

Oksana avait, pour l'occasion, revêtu une robe qu'elle avait confectionnée avant son voyage, simple, noire, agrémentée de discrètes broderies de fil d'or afin de trancher un peu de la monotonie de la sombre couleur qu'elle affectionnait particulièrement.

Ses cheveux tombant sur ses épaules, elle avait simplement relevé légèrement les mèches de devant avec un ruban assorti aux broderies de sa robe afin qu'ils ne la dérangent pas durant le repas.

Elle avait demandé à Gab d'essayer de se tenir correctement, surtout en début de soirée, afin de ne pas créer d'incident diplomatique. On était jamais trop prudent et son filleul était très doué pour faire ou dire ce qu'il ne fallait pas au plus mauvais moment, même non intentionnellement. Elle savait qu'il ferait au mieux, mais Gab resterait toujours Gab, et c'est ainsi qu'elle l'appréciait quoi qu'il en soit.

Ils se présentèrent auprès des gardes en début de soirée, espérant ne pas être trop en retard, et demandèrent à voir dame Zoyas.

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Plumedange
-Oui, on lui fera un beau tableau pour lui montrer combien la feste était belle !
J'espère qu'il aura aussi bon accueil dans les contrées visitées !
Allez !
Assez travaillé, allons donc au salon, prendre une première collation !


*Plume éclata tout bonnement de rire en voyant le haussement de sourcils satisfait du gouverneur. Elle se reprit a vrai dire assez difficilement et c'est avec difficulté qu'elle réussit à répondre à la Dame de Marcieu.*

-Je l'espère aussi.

*Elle pensa avec un sourire qu'elle ne savait pas peindre et se demanda si c'était pareil pour Zozo. Elle rit intérieurement en imaginant le résultat du tableau. Suivant les conseils de son amie, elle se dirigea alors vers le salon...
Voyant Hard qui s'y dirigeait aussi, elle bifurqua vers Florence, une main devant la bouche, et complètement pliée de rire.
C'est les joues légèrement rosies par celui-ci et les yeux brillants, de ce moment d'hilarité, qu'elle s'enquit auprès de Florence de l'avancée des préparations.
Lorsqu'elle se retourna à nouveau vers l'entrée du monde était encore arrivé...Ulan, Copps et Akmer. Elle sourit les regardant, que de monde...Elle était sûre que ce serait un moment particulièrement plaisant...*

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Akmer
Akmer, une fois s’étant présenté à dame Zoyas s’éclipsa vers le bar. Et oui déjà. Il marchait d’un pas assez hésitant, souriant aux personnes qu’il croisa. Il essayait même de faire le tour de la salle du regard, voulant savoir qui était présent. Beaucoup de monde, c’est certain, mais beaucoup de personne qu’Akmer ne connaissait pas. Il y avait bien sur le gouverneur, assez visible, et quelques autres ambassadeurs qu’il avait déjà croisés à Mercurol, tel que plume qui avait l’air de bien s’amuser.

Il faisait marche vers le bar et remarqua que NDJ avait déjà le nez dans ses bouteilles, alors il arriva doucement pour ne pas le surprendre et une fois à sa hauteur il tapa quelques coups sur le comptoir. Rien de bien violent, mais il mêla la parole aux gestes :


Ola tavernier, j’ai soif Dit il à voix basse pour ne pas déranger les autres, mais il se mit à rire quand il vu NDJ redresser la tête.

Oups pardon messire le conseiller diplomatique, je ne vous avais reconnu cacher par toutes ces bouteilles. Alors comment ça va ? Lui demanda-t-il.

Il le regardait quand il aperçut juste au coté de son amie Samarel, il ne l’avait pas vu tout de suite et s’empressa alors de rectifier le tire, et se tournant vers lui il lui dit assez gêner :

Oh excusez moi messire Samarel, je ne vous avais pas vu tout de suite. Dit il en souriant assez gêner. Je vois que vous surveiller déjà votre whisky Dit il en riant un peu plus décontracter, mais en restant très respectueux. Comment allez vous ?
Arwel
Après un passage rapide à la mairie de Dié, Arwel était retournée chez elle pour enfiler sa jolie robe d'un beau bleu cyan ... Elle prit ensuite la route pour se rendre à l'invitation de Zoyas à la réception de la délégation champenoise.
Elle entra d'un pas un peu hésitant dans la salle, toujours très impressionnée lorsqu'il fallait se mêler à la foule. Elle salua d'un sourire et d'un signe de tête les personnes qu'elle rencontrait, cherchant des yeux quelque personne de sa connaissance qu'elle pourrait aller voir.
Elle ne savait pas vraiment ce qu'on attendait d'elle à cette réception et elle se sentait comme toujours un peu perdue, il y avait tant de monde qu'elle n'arrivait à retrouver personne ! Elle se consola en se disant que si elle ne voyait aucun de ses amis, eux la verraient peut-être.

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--Pnj_florence


Elle s'affairait depuis un moment maintenant.
La salle grouillait de monde maintenant, et la délégation n'était pas encore là. Les tables étaient dressées, les couverts mit, et tout le monde avait de quoi s'asseoir.
Tout était fin prêt, elle ne manquerait pas de raconter à la Vicomtesse de Crest, cette réception à laquelle elle ne pouvait assister.
Elle détaillait les toilettes, remarquant avec un sourire que apparemment la tendance était au bleu.

Au moment ou elle allait se diriger vers la cuisine, elle vit arriver Plume complètement écroulée de rire. Regardant intriguée la jeune demoiselle, elle lui répondit tout de même rapidement quand à ses interrogations.


-Je pense qu'ici tout est en ordre, je pensais me rendre en cuisine pour aider au service.
Plumedange
*Plume acquiesçait doucement, écoutant distraitement Florence, le seul mot qui lui fit porter son attention sur elle fut le mot "cuisine".
Elle aurait bien voulu y aller pour voir tout les mets qui s'y préparait, mais se n'était sûrement pas une chose à faire...et elle essayait de se tenir du mieux qu'elle le pouvait, même si c'était pas évident...
Elle se promis de demander des cours de tenue à une dame...restait à trouver celle qui la supporterais pour cela.
Tout sourire, elle accompagna Florence vers la porte d'entrée par laquelle il fallait passer pour aller aux cuisines.
NDJ et Samarel avaient pris d'assaut le bar et Akmer n'avait pas tardé à les rejoindre. Elle rit intérieurement...et hésita un instant à les rejoindre...
Jetant un regard autour d'elle pour contrôler les alentours, elle vit quelqu'un qu'elle connaissait. Oubliant hommes, alcool et bar , elle se dirigea vers Arwel.*


-Wel! Si je m'attendais à te voir! Tu aurais dû me dire que tu venais nous aurions fait la route ensemble! J'ai faillit ne pas te voir au milieu de toute cette foule...

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Dedelagratte
Le Seigneur de La Garde Noire etait parti faire le tour des sentinelles qui veillerait au bon fonctionnement de la reception.
Bien que n'ayant point vetu son uniforme militaire, les soldats l'avaient reconnu, il était resté leur parler rapidement afin de leur donner quelques consignes puis une fois le tour terminé, il revint à la reception.

Beaucoup de gens étaient arrivés durant son absence, il se mit à la recherche d'une quelconque connaissance commencer à discuter
Ndj
NDJ mettait la touche finale à l'organisation du bar,ayant perdu beaucoup de temps,car Samarel tenait absolument à s'assurer qu'aucune boisson n'était frelatée,hormis les boissons non alcoolisées qu'il laissait de côté.

Il redressa la tête,surpris par les paroles d'un inconscient qui voulait passer avant les autres:


Ola tavernier, j’ai soif

Reconnaissant un Akmer hilare,il retrouva vite le sourire:

Salut vieux frère,le bar n'est pas encore ouvert,mais pour toi,je peux faire exception

Il remplit un verre à ras bord de génépi et le tendit à son camarade:

Santé,et ne t'inquiète pas pour notre chef écossais,il surveille tout sauf la flotte et les jus de fruits

J'en ai encore pour quelques minutes,le temps d'expliquer la technique aux serveurs,puis on fera le tour de la salle ensemble si tu veux,il y a du beau monde...

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Walan
Maire et noble, Sans Repos ne manquait pas de raisons de se rendre à cet événement auquel il était doublement convié. Sa récente acceptation comme rédacteur de l'AAP était d'ailleurs une raison de plus, l'occasion d'écrire sur cette visite étant difficile à ne pas saisir.
Il arriva sur les lieux alors que nombre de personnes étaient déjà présentes, non sans avoir été retenu auparavant par quelques affaires qui -comme cela était décidément trop souvent le cas- avaient fini par le mettre en retard et obligé la blonde vicomtesse de Culan qui l'avait accompagné à l'attendre. Cette fois, ça avait été la levée d'un impôt à Vienne pour que la ville puisse fournir au Duché la somme qu'il réclamait qui avait retenu Walan en son bureau. Cette première pour la ville avait du même coup occasionné bon nombre de problèmes administratifs et comptables -bien plus que de villageois mécontent à gérer pour le moment, constatait le bourgmestre avec un certain soulagement- qu'il fallait régler aussi rapidement que possible.

Toujours est-il donc, qu'il finit par entrer dans la salle, la douce présence de son aimée à ses côtés, s'arrêtant brièvement sur le seuil pour observer de son regard gris acier les personnes présentes. Vêtu d'une tenue noire réhaussée d'argent -les couleurs d'Ancelle-, seules ses armoiries finement brodées au niveau du coeur apportait un peu de couleur à l'ensemble. La coupe, sobre mais fine -ainsi que le seigneur de Meyrieu les affectionnait-, mettait en valeur la stature et le port de cet homme qui n'avait, malgré les diverses fonctions civiles qu'il avait exercé, jamais cessé d'être un guerrier.

Alors qu'il effectuait son observation, Walan salua les différentes personnes qui lui rendirent son regard d'inclinaisons de la tête d'ampleur à la mesure du rang de chacun, esquissant parfois un bref sourire à l'adresse de certains. Il finit par aller plus avant dans la salle, se dirigeant d'abord vers le Gouverneur, qu'il salua plus protocolairement qu'avec un simple signe de tête avec un :

Votre Grasce, vous n'avez peut être pas encore eu l'occasion de rencontrer la mère de votre jeune commissaire au mine, Maryan d'Ambroise, vicomtesse de Culan.

Se tournant vers la premier secrétaire d'état, il ajouta à son attention.
Vicomtesse, je ne m'attendais pas à vous revoir ici mais cela n'en est pas moins un plaisir. Je gage qu'Anne sera ravie de vous voir ici.
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Zoyas
Que d'effervescence ! Zoyas voyait tout le monde entrer, arriver par petits groupes ou seuls.

Elle disait bonjour à tous, et soudain, un page vint lui porter missive.

Elle la lut, et se promis de la donner à la délégation dès leur arrivée...

Citation:
[i]A la vicomtesse de Bourmont, au chambellan de Champagne et à leur suite.

Madame la vicomtesse,
Excellence,
Madame,
Messire,

J’ai l’honneur, par cette missive, de vous souhaiter la bienvenue en nos terres Dauphinoises.

Vous me savez en voyage diplomatique, je suis actuellement retenu en terres rouergates qui sont en proie à la révolte et aux luttes. Je vous prie donc de bien vouloir excuser mon absence.

Je vous souhaite un agréable séjour en Dauphiné. Je sais bon et approprié l’accueil que Son Excellence, la dame de Marcieu vous aura réservé. Qu’Aristote bénisse votre voyage ainsi que l’amitié entre le duché de Champagne et le Lyonnais-Dauphiné.

Acceptez mes sincères salutations,

Faict en la ville de Rodez, en l’an quatorze cent cinquante sept, du mois d’avril le neuvième.

Bastien d’Amilly,
Chancelier du Lyonnais-Dauphiné.



Elle commençait à s'inquiéter...Les jeunes femmes n'étaient pas encore arrivées au château...[/i]

elles repartent du ld demain, va fallloir mangfer vite !

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Anne_blanche
Demoiselle Anne, ya tout un tas de parchemins à signer.

Anne, occupée à vérifier, le plus discrètement possible, la mise en place des tranchoirs sur les tables, soupira.


Portez-moi tout ça à côté, Bacchus, je vous prie.

Elle suivit son factotum dans un bureau voisin, où elle passa une bonne heure à vérifier et signer divers documents. Pas de tout repos, la vie de Commissaire aux Mines. Quand elle put enfin renvoyer Bacchus et revenir dans la grande salle, elle bruissait de monde. Le gouverneur en personne s'entretenait avec Dame Zoyas. Anne s'approcha, pour l'inévitable révérence.
Son attention fut soudain attirée par un mouvement du côté de la porte. Elle s'arrêta, interdite. Non, impossible : ses yeux lui jouaient des tours !


Dame Marie-Alice !

C'était bien elle. Le Premier Secrétaire d'Etat en personne venait d'entrer. Elle regardait autour d'elle, semblant chercher quelqu'un. Anne se précipita, sourire aux lèvres, puis se reprit et adopta une attitude plus protocolaire avant d'aborder la Dame. Sa révérence fut assortie d'un sourire ravi.

Bonsoir, Dame. C'est un honneur de vous recevoir ici, et un plaisir !

Ce fut seulement à ce moment qu'elle s'avisa de la présence de sa mère, escortée du bourgmestre de Vienne. Elle fit deux pas en arrière.
Hardryan
À peine venait-il de poser son ducal fessier dans un fauteuil du petit salon bleu où on l'avait envoyer bouder que le Gouverneur fut de nouveau appeler auprès de dame Zoyas et de la vicomtesse Marie Alice qu'il avait eu la chance de rencontrer un peu plus tôt. Sans ronchonner Hardryan était allé retrouver les deux dames, d'autant plus que la vicomtesse était de charmante compagnie et que de la revoir lui faisait très plaisir. Après un léger sourire à la dame de Marcieu et la réponse à la révérence de la petite damoiselle de Culan, le sourire du Gouverneur s'élargit un peu plus alors qu'Hardryan se tourna vers Marie:

Vicomtesse,bonsoir. C'est un plaisir de vous avoir avec nous en ce jour. Votre présence et votre magnificence nous honorent.

Un chaste baisemain vint meubler le léger silence qui s'installa, après quoi le Gouverneur se tourna vers le duc d'Albon qui venait d'arriver.

Vôtre Grâce, le bonsoir à vous. Je suis heureux que vous ayez pu vous libérer ce soir. Puis-je me permettre de demander si votre fille vous accompagne en cette soirée?

Hardryan était toujours en attente de la réponse du duc d'Albon quand il sentit qu'on lui rentrait dedans... La petite de Culan qui venait de faire deux pas en arrière venait de trouver le moyen de se rapprocher du Gouverneur... Après un coup d'oeil à la damoiselle le Gouverneur releva les yeux et aperçu le vicomte d'Ancelle, toujours aussi sombrement vêtu, accompagné d'une dame qui lui redonnait un brin de couleurs.

Bonsoir vicomte. Il me semble avoir déjà aperçu la vicomtesse au mariage du sieur Kederick et de la baronne de Montfort, mais nous n'avons encore jamais été présentés.

Portant son regard dans celui de la vicomtesse de Culan:

Madame, je suis ravi de vous rencontrer enfin.
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Oksana
Après avoir vérifié leurs identités, le garde à l'entrée les laissa passer afin de rejoindre le salon. Il interpela une serveuse afin qu'elle les guide à travers le dédale des couloirs. Bien que le bruit suffise à les diriger, elle les accompagna et les dirigea jusqu'à la commissaire au commerce, dame Zoyas.


Oksana s'inclina avec respect avant de la saluer, non sans jeter un coup d'œil sur les tables dont certaines commençaient déjà à se vider de leur contenu. Un bon diner ne leur ferait pas de mal après les frugaux repas dont ils s'étaient nourris durant le voyage qui les avait amené jusqu'en Lyonnais-Dauphiné.



- Bonsoir dame Zoyas. Je suis honorée d'être ici et en mon nom et celui de mes compagnons, nous vous remercions sincèrement pour votre accueil. Permettez-moi de vous présenter notre chambellan, Dame Coyuna, ainsi que mère Talona de Reims, et mon filleul et futur vassal, messire Gab, qui nous a accompagné afin de nous protéger en cas de mauvaise rencontre.
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