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La réception de la délégation champenoise

_gab_
Gab, en entendant son nom, leva la main pour saluer tout le monde en une seule fois. Il avait entendu parler du diner et y penser depuis son départ... Les spécialités lyonnaise ne sont pas pour lui déplaire.


-" Merci bien pour l'accueil bonne gens du Lyonnais. Il est vrai que la route a été longue mais sans encombres, et qu'un bon repas recevrait également un accueil cordiale par mon ventre."

Il espérait également voir quelques bouteilles de vinasse du coin circuler avec le repas. Il avait de bon souvenir des cépages environnants.

Il se penche vers sa marraine et lui murmure:


-"t'as vu, il y a tout le gratin Dauphinois..."
Coyuna
Après une longue journée passé a l'ambassade du Lyonnais afin de s'entretenir avec son excellence Zoyas, Coyuna se retira dans la chambre de l'auberge réservée quelques jours plus tôt pour se vêtir comme il se doit pour se rendre au repas organisé par dame Zoyas. Une fois sa toilette terminée elle ouvrit sa malle et en sortit sa robe d'une couleur bleu océan brodés au fil d'or, elle enfila celle-ci et sortit de sa chambre pour rejoindre dame Oksana qui l'attend en bas.

Après quelques pas dans les rues de Lyon nous arrivons au château où nous y sommes attendu, arrivé a l'entrée le garde vérifie nos identitées avant de nous laisser pénétrer dans les lieux. Oksana demanda a son qu'on nous guide jusqu'à la salle prévu a cet effet, arrivée dans cette salle nous y retrouvons dame Zoyas, la vicomtesse fit les presentations a son excellence. Coyuna regarda dame Zoyas avec un sourire.


Excellence! Mes hommages...
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Akmer
Akmer souriait l’air joyeux à NDJ, décidément on aurait tout vu, NDJ donner des cours à des serveurs. Tout en le regardant, il tourna plusieurs fois le tête, il essayait de faire le tour de toutes les personnes qui arrivaient encore, que du beau monde mais surtout beaucoup de personnes qu’il n’aurait jamais imaginé rencontrer. Voyant NDJ qui s’afférait avec les serveurs, il se rapprocha un peu plus de lui quand il aperçut enfin les invités tant attendus. En effet un petit groupe de personne entra dans le salon, il s’agissait de personne totalement inconnu pour lui, qui dès leur arrivée s’était dirigé vers Zoyas.

C’est bon ? Demanda-t-il à NDJ en souriant. Le professeur NDJ ! Ca sonne bien tu trouves pas ? Dit il en riant.

Lui et son vieux frère se mirent alors en marche, Akmer s‘arrêta quelque secondes juste pour le laissa passer devant, et toujours en souriant de plus belle il ajouta :


Vas y passe devant, je préfère que tu me montres le chemin.
Zoyas
Tout était prêt, les invités étaient arrivés, et les gardes s'effacèrent bien vite pour laisser place aux trois Dame et à l'homme qui les accompagnait.

Zoyas, souriante et heureuse que tout se passe si bien, hocha la tête aux dires de Dame Oksana.

L'accueil est naturel, nos deux contrées sont proches, il est normal de bien recevoir ! Bon, encore une fois, elle n'employait pas forcément les mots qu'il fallait, cérémonieux solennels ou tout simplement les expressions protocolaires.
Il allait falloir apprendre tout cela, maintenant qu'elle faisait aussi partie de la noblesse, elle devait représenter au mieux son duché, et elle en connaissait deux ou trois qui en savaient...

Quoi qu'il en soit, le sourire chaleureux qu'elle arborait valait plus qu'un long discours, et, regardant Dame Coyuna, elle lui dit :


Mes hommages également, Excellence !
Vous êtes rayonnante !


Elle inclina la tête vers Dame Talona :


Ravie de vous rencontrer !

Enfin, se tournant vers le dénommé Gab :

Je vous remercie de nous les avoir amenées en un seul morceau !
Il est vrai que les brigands auraient pu s'en prendre à trois jeunes femmes seules...


Enfin, elle jeta un oeil de côté, vit avec bonheur la jeune Anne de Culan, lui fit de gros yeux ronds pas protocolaires du tout...qui voulaient dire en gros :

Euh...Je me souviens plus de votre plan de table !
Aidez moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!


Pendant que cette dernière faisait ce qu'il fallait, la Dame de Marcieu s'éclaircit la voix et clama :

Nous pouvons tous passer dans la grande salle pour commencer le dîner !

Etonnement, tous se turent un instant pour la regarder...Un silence envahit la salle un moment...


Oups...Peut être encore n'ai je pas fait comme il fallait ? Aurais je dû laisser un page l'annoncer ?

Mais bien vite, les plus affamés se dirigèrent vers la table en question, et le repas commença...
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Maryan
Elle avançait dans la salle, gracieuse et élégante, ses yeux pers bordés de longs cils noirs s’attardant sur les visages des convives. Elle n’en connaissait que peu, mais se sentait chez elle ici, loin des exhalaisons fétides de la roture et des ruelles de village.

Sa main d’ivoire, douce et fine, affablement posée sur le bras du Vicomte d’Ancelle qu’elle ne quittait plus, Maryan d’Ambroise saluait d’un signe de tête les personnes présentes, évoluant gracieusement dans l’espace restreint de la salle avec toute l’aisance que lui conférait son statut d’aristocrate.

Le couple parvint au-devant du Gouverneur, et l’on procéda aux présentations.


Bonsoir vicomte. Il me semble avoir déjà aperçu la vicomtesse au mariage du sieur Kederick et de la baronne de Montfort, mais nous n'avons encore jamais été présentés.

Madame, je suis ravi de vous rencontrer enfin



La bouche joliment ourlée de la Vicomtesse s’étirant d’un sourire et son cou délié accompagnant son corps dans une preste révérence, Maryan se contenta d’une réponse au protocole peu inventif pour ce Gouverneur qu’elle ne connaissait guère.


« Votre Grâce. Il m’est également fort plaisant de vous voir. »


Un bref coup d’œil vers le côté lui indiqua que sa fille et la première Secrétaire d’Etat étaient là également, et Maryan n’eût que le temps d’adresser quelques salutations courtoises de rigueur avant que le dîner ne soit annoncé.
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Oksana
Oksana se retint d'éclater de rire à la remarque de son filleul. Pourtant, elle aurait dû s'attendre à une remarque de ce genre venant de lui, mais non, innocente, elle n'y avait pas pensé. Elle espérait que leur hôte n'ait rien entendu, mais ce ne devait pas être la première fois qu'un tel jeu de mot devait être fait en sa présence.
Elle se contenta donc de lui donner un coup de coude dans les cotes, espérant qu'il n'ait pas le réflexe de crier.

Enfin, les présentations faites, ils furent invités à rejoindre la salle du banquet où ils furent placés et installés confortablement avant que les plats n'arrivent, abondants, dégageant un fumet suffisant à lui seul à ouvrir les appétits les plus légers, ce qui n'était pas leur cas ce soir.

Elle repéra quelques personnes qu'elle avait eu l'occasion de croiser au CDR ou lors de réunions, et elle les salua au fur et à mesure, espérant ne pas en oublier.

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Anne_blanche
En reculant pour laisser le vicomte d'Ancelle saluer le Premier Secrétaire d'Etat, Anne heurta le Gouverneur. Fort gênée, elle murmura un "pardon, Votre Grasce !"

Madame, je suis ravi de vous rencontrer enfin.

Ouf ! L'attention du gouverneur était attirée par sa mère. Il est vrai que la vicomtesse était très en beauté. Elle rayonnait, manifestement heureuse.
La délégation champenoise fit enfin son entrée, et Anne s'approcha de Dame Zoyas. Bien lui en prit. L'organisatrice de la soirée lui lança un regard où la petite crut lire un brin de panique.
Il ne lui restait plus qu'à jouer la jeune fille de la maison, ce à quoi elle s'employa de fort bonne grâce. Si Maryan n'accordait qu'une attention fort épisodique à sa progéniture, on ne pouvait lui enlever qu'elle avait veillé à ce qu'Anne reçût l'éducation qui sied à la fille d'un vicomte.
Ce fut sans difficulté qu'elle indiqua aux uns et aux autres leurs places, discrète et souriante. Pour tout dire, elle avait l'esprit un peu ailleurs, plus précisément au fond de la mine. Mais rien dans son attitude ne le laissait supposer.
Un dernier coup d'œil pour s'assurer que tout allait bien, et elle prit place parmi les Conseillers Ducaux présents.
Samarel
samarel avait tout de suite prit ses marques à coté de l'échansson. il avait écouté, amusé, NDJ prodiguer conseils et recommandations au bataillon de serveurs qui allait officier lors du repas. il se retourna lorsqu'akmer arriva.

akmer ! je ne te savais pas ici aussi. décidément. nous sommes tous là. moi qui vait à lyon pour vous échapper ! c'est raté !

le baron, qui était dans son élément au milieu des réceptions mondaines, était un homme différent de la vie militaire. il avait troqué son harnois blanc pour un vètement richement brodé. après avoir discuté quelques minutes avec les deux soldats, il alla voir dédé afin de voir si il n'avait besoin de rien au niveau de la sécurité. sans doute un reflexe intuitif pour cet ecossais qui avait passé ces dernières années au service du lyonnais dauphiné.

enfin, il vit arriver walan, accompagné de la vicomtesse maryan d'amboise, qu'il avait escorté jusqu'à vienne lors de son arrivée en dauphiné. il s'excusa auprès d'akmer et de NDJ et alla saluer le couple qui déjà, était accaparé par le gouverneur.


bonjour walan. quel plaisir de voir que tu es superbement accompagné. vicomtesse. vous avez choisi là le meilleur chevalier servant du pays. Comment se passe votre installation à vienne ?
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en deuil de morgennes.
Zoyas
malheureusement, la délégation a du déjà repartir. Pour ma part, je continuerais bien ce banquet (pour une fois qu'on peut bouffer gratis en ld ^^) Et vous ?




Anne avait déjà placé les invités, qui se laissaient guider de bonne grasce.

Sa Grasce, justement, trônait donc, avec à ses côtés les plus grands de la noblesse dauphinoise, ainsi que la Vicomtesse Oksana et la Chambellan Dame Coyuna.

Tout le monde s'asseyait, tandis que les serviteurs, dont Florence, apportaient déjà les premières mises en bouche.

La jeune femme remarque l'air préoccupé d'Anne, et lui demanda :

Y a t il quelque chose qui vous tracasse ? Manque t il des convives ?
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Maryan
L’on s’acheminait tranquillement vers la salle du banquet, et la Vicomtesse devisait gaiement avec son aimé et le Gouverneur, lorsqu’un homme d’un certain âge et d’une prestance manifeste vint les aborder et leur faire salutations.
Maryan cilla, se demandant un très court instant où diable elle avait vu cet homme auparavant. La mémoire lui revenant, elle se composa rapidement un visage des plus amènes, offrit un sourire reconnaissant à l’Ambassadeur, et répondit à sa question d’un ton enjoué :



« Messire Samarel. Quel plaisir de vous retrouver !
Eh bien, ma foi, je vous dirais que mon installation à Vienne se passe à ravir, et que je ne regrette aucunement le choix que j’ai fait d’y rejoindre ma fille. »



Tournant légèrement la tête, la Vicomtesse se permit un regard de tendresse à l’endroit de la petite Anne, qui s’employait, plus loin, à placer les convives autour de la table à tréteaux.
Puis, revenant à son charmant interlocuteur :



« Pour le reste, vous conviendrez que je n’ai à me plaindre de rien. Vous l’avez dit vous-même : je suis accompagnée du meilleur chevalier-servant. Que peut-on désirer de plus, au vrai ? »


Sa main fine s’abandonna à une légère pression du bras aimé, comme pour appuyer ses dires. Un « chevalier-servant », oui, c’était bien le mot. Et le meilleur, sans aucun doute.
Il était arrivé à Maryan d’en douter, cependant. Parce que sa méfiance à l’égard de la gente masculine persistait. Parce qu’elle avait trop souffert et usé elle-même de ces faux regards enamourés et de ces phrases mielleuses – qui sont l’apanage des Don Juan en herbe- pour ne point s’en défier et les imaginer partout.

Mais le temps passant… Les preuves éparpillées comme un lit de roses sur son cœur… Les renseignements, enfin, qu’elle avait réussi à glaner par-ci par-là, et qui s’entêtaient tous à brosser un portrait des plus honorables du Vicomte d’Ancelle…
Tout ceci, finalement, avait eu raison de son scepticisme, et Maryan s’en trouvait chaque jour un peu plus retournée.

Aussi belles soient-elles, ces pensées furent prestement chassées de l’esprit de la Vicomtesse. L’heure n’était pas à la niaiserie. L’on s’attablait tout autour de la grande table de banquet dressée pour l’occasion : le moment de faire ripaille était venu.

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