.amael.
La Gazette de l'Arranca-Còr
Tous les JD des soldats de l'Arrancà-Còr peuvent rédiger un article, le signer et le faire publier ici, suffit de me contacter quand même pour que je le lise avant de le poster, histoire qu'on soit sûrs de pas faire capoter une opération en dévoilant des informations au mauvais moment.
Ben le mieux c'est de les écrire après coup quand même.
Journal que l'on se passe sous la manche, que l'on oublie au fond d'un tripot douteux, copié à la va vite à quelques dizaines d'exemplaires par de jeunes copistes aux mains agiles venant d'asie, bien que atteints de jaunisse chronique, ceci n'ayant rien à voir avec cela mais bon. Les moines trappistes, quand y en a un ça va encore, c'est quand y en a plusieurs que les futs se vident plus vite qu'ils ne se remplissent.
Tous les JD des soldats de l'Arrancà-Còr peuvent rédiger un article, le signer et le faire publier ici, suffit de me contacter quand même pour que je le lise avant de le poster, histoire qu'on soit sûrs de pas faire capoter une opération en dévoilant des informations au mauvais moment.
Ben le mieux c'est de les écrire après coup quand même.
Journal que l'on se passe sous la manche, que l'on oublie au fond d'un tripot douteux, copié à la va vite à quelques dizaines d'exemplaires par de jeunes copistes aux mains agiles venant d'asie, bien que atteints de jaunisse chronique, ceci n'ayant rien à voir avec cela mais bon. Les moines trappistes, quand y en a un ça va encore, c'est quand y en a plusieurs que les futs se vident plus vite qu'ils ne se remplissent.
Citation:
Montauban, 25 Septembre 1459
La Guyenne se déchire.
En ce jour l'Ost Tolosan l'Arranca-Còr se présente au grand complet devant les portes de la Cité des Saules, répondant à un appel commun des 4 derniers gouverneurs de Montauban, exerçant et ayant exercé depuis un an et demi en tant que tel.
Le gouvernement Toulousain a répondu favorablement à la demande des gouverneurs de Montauban, visant à rattacher leur ville, au mieux déconsidérée mais victime de perpétuelles menaces émanant du Conseil ducal de Guyenne, au Comté de Tolosa.
Portant fièrement l'étendard Toulousain, nous sommes accueillis en sauveurs par nos chers frères Occitans.
Montauban, 30 Septembre 1459
Surprise chez les Montalbanais qui s'étonnent de n'avoir pas été mis au courant de l'opération.
Malgré un peu de grogne dans les premiers instants, la population locale comprend vite que nous ne sommes pas venus pour semer la discorde mais bien dans l'intérêt des Montalbanais et de Tolosa, qui se pose comme un rempart face au joug du conseil ducal de Guyenne.
Nous prenons quartiers dans la ville et siégeons dans les quartiers de l'hotel de ville afin de stabiliser la zone rapidement.
Pendant les premiers jours trois ravis du village se révoltent et parviennent même à pénétrer dans l'hôtel de ville,malgré nos défenses.
Mais immédiatement nos gens en armes les ont gentiment éconduis hors des murs.
Une drôle de période, ces jours ci plusieurs villes sont tombées partout dans le royaume, apparemment ce fut dû au mauvais temps pendant les récoltes de blé, les défenseurs ayant probablement absorbé du pain salement infecté à l'ergot de seigle. (Bug sur les révoltes)
Les personnes reconnues durant ces émeutes, si l'on puis dire, furent rapidement identifiées comme étant de vieux montalbanais en désaccord depuis longtemps avec les gouverneurs successifs de la Cité des Saules.
Messires Lachainep, Toutenstein, et Dragonnet.
S'il vous arrivait de les croiser sur le sol toulousain, alertez les autorités locales afin de mettre les villes sous surveillance.
6 Octobre 1459
Nos agents nous rapportent que Messer Lachainep se trouve en Agen, à un jour de marche de Montauban, et qu'il y lève une armée afin de reprendre par la force la Cité, qui nous a ouvert ses portes pacifiquement.
Aujourd'hui, 9 Octobre, nous en rions encore tous.
Amael de L., pour la Gazette
La Guyenne se déchire.
En ce jour l'Ost Tolosan l'Arranca-Còr se présente au grand complet devant les portes de la Cité des Saules, répondant à un appel commun des 4 derniers gouverneurs de Montauban, exerçant et ayant exercé depuis un an et demi en tant que tel.
Le gouvernement Toulousain a répondu favorablement à la demande des gouverneurs de Montauban, visant à rattacher leur ville, au mieux déconsidérée mais victime de perpétuelles menaces émanant du Conseil ducal de Guyenne, au Comté de Tolosa.
Portant fièrement l'étendard Toulousain, nous sommes accueillis en sauveurs par nos chers frères Occitans.
Montauban, 30 Septembre 1459
Surprise chez les Montalbanais qui s'étonnent de n'avoir pas été mis au courant de l'opération.
Malgré un peu de grogne dans les premiers instants, la population locale comprend vite que nous ne sommes pas venus pour semer la discorde mais bien dans l'intérêt des Montalbanais et de Tolosa, qui se pose comme un rempart face au joug du conseil ducal de Guyenne.
Nous prenons quartiers dans la ville et siégeons dans les quartiers de l'hotel de ville afin de stabiliser la zone rapidement.
Pendant les premiers jours trois ravis du village se révoltent et parviennent même à pénétrer dans l'hôtel de ville,malgré nos défenses.
Mais immédiatement nos gens en armes les ont gentiment éconduis hors des murs.
Une drôle de période, ces jours ci plusieurs villes sont tombées partout dans le royaume, apparemment ce fut dû au mauvais temps pendant les récoltes de blé, les défenseurs ayant probablement absorbé du pain salement infecté à l'ergot de seigle. (Bug sur les révoltes)
Les personnes reconnues durant ces émeutes, si l'on puis dire, furent rapidement identifiées comme étant de vieux montalbanais en désaccord depuis longtemps avec les gouverneurs successifs de la Cité des Saules.
Messires Lachainep, Toutenstein, et Dragonnet.
S'il vous arrivait de les croiser sur le sol toulousain, alertez les autorités locales afin de mettre les villes sous surveillance.
6 Octobre 1459
Nos agents nous rapportent que Messer Lachainep se trouve en Agen, à un jour de marche de Montauban, et qu'il y lève une armée afin de reprendre par la force la Cité, qui nous a ouvert ses portes pacifiquement.
Aujourd'hui, 9 Octobre, nous en rions encore tous.
Amael de L., pour la Gazette