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[RP ouvert] A armes égales... ou presque

Blanca_corvinus
RP ouvert à tous les participants au tournoi de Genève, dans le respect des autres joueurs et bla bla bla...


C'était pas l'tout de vouloir participer. Fallait quand même songer à une stratégie, une tactique... Quand deux types en armure avec leurs muscles gonflés à bloc leur tomberaient d'ssus, qu'est-ce qu'ils feraient? Est-ce qu'ils fonceraient dans le tas? Est-ce qu'ils détaleraient comme des lapins?

La plupart d'entre eux ne s'étaient jamais battus, du moins pas comme ça. Blanquette s'était bien fait taper sur les doigts deux ou trois fois quand elle faisait partie de la milice du village mais des combats, des vrais, elle en avait jamais vécus. Et puis les muscles, elle en avait juste ce qu'il fallait pour être pas trop mal à regarder mais pas suffisamment pour repousser l'assaut d'un colosse non plus. Agile... oui elle savait se défendre par la parole, mais se faufiler ou esquiver les coups, c'était une autre paire de manches.

Alors pourquoi s'inscrire à ce tournoi me direz-vous? Et bien parce qu'il était temps pour elle de voir ce qu'elle avait dans les tripes. Fini la petite vie tranquille dans sa bourgade sans histoires. Fini la vie de chateau où des gardes sont là jour et nuit pour protéger vos miches. Elle ne voulait plus devoir compter sur les autres, se cacher derrière des chimères... elle voulait savoir vraiment ce qu'elle valait.

Comme ils avaient du temps avant que le tournoi ne commence, elle avait proposé spontanément de monter un pseudo camp d'entraînement. Il s'agissait surtout pour les futurs participants au tournoi de faire connaissance et, pourquoi pas, d'échanger quelques conseils tactiques avant le jour J. La Corvinus n'y connaissait rien en techniques de combat, mais chacun d'entre eux avait certainement des connaissances qui pourraient servir aux autres. Et leur permettre d'éviter quelques erreurs de débutants voire de sauver un bras, un orteil, leur vie pourquoi pas?

La Blanquouillette profita donc d'un pause dans les conversations de taverne et dit, d'une voix forte:


Bon... je propose qu'on organise un camp d'entraînement pour se préparer au tournoi. Moi je me charge de recruter les instructeurs. Chacun viendrait avec ses armes ou... ce qu'il aura sur lui pendant le tournoi. Ensuite on fait des groupes et on s'entraîne les uns contre les autres. Bon alors j'ai fait une liste de ce qui nous faudrait...


Sort un papier froissé de sa poche, qu'elle lit.


- un ou une expert en dépouillement de bourses
- un ou une spécialiste du maniement des armes
- un ou une technicien du camouflage
- un ou une professionnel du combat au corps à corps
- un ou une diplômé en géographie helvète
- un ou une instructeur en survie dans la nature
...


Lève les yeux.


Vous voyez aut'chose à recruter?

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You can be anything you want to be
Oberthur
La vieille blonde glandait en taverne… comme à son habitude.
La ville la payait grassement pour empiler quelques pierres sur le dock, tâche qu’elle avait effectuée avant que le soleil rende son corps trop luisant de sueur. Et elle profitait de son temps libre pour s’adonner au papotage…

Quand soudain !


Bon... je propose qu'on organise un camp d'entraînement pour se préparer au tournoi. Moi je me charge de recruter les instructeurs. Chacun viendrait avec ses armes ou... ce qu'il aura sur lui pendant le tournoi. Ensuite on fait des groupes et on s'entraîne les uns contre les autres. Bon alors j'ai fait une liste de ce qui nous faudrait...

Mais, mais… Elle ne plaisantait donc pas, la Blancouille, quand elle avait parlé d’entraînement ?
Il apparaissait que non, vu la raideur quasi militaire de son embrigadement.
Elle avait promis d’en être, l’Ober, alors, elle en serait.

Levant un doigt hésitant, le sourire figé en une grimace pas convaincante, elle ânonna sa conviction que c’était une idée de génie qu’elle avait là et que même si sa journée de labeur intense sur les quais l’avait épuisée, elle voulait bien donner d’elle-même et participer à cette gabegie…euh… à cette galvanisante expérience…

Elle l’écouta énumérer tous les postes. Renifla un bon coup.
Dans quel rôle serait-elle la moins désastreuse ?
Rictus.
Il fallait s’lancer…


- Bon, ben, j’prends le maniement de bourses… euh, le dépouillement… Pardon !
Sauf si quelqu’un se sent d’le faire, hein ? J’voudrais pas sabrer une velléité de partager c’talent-là.
Frimoden
Les discutions de tavernes circulent très vite dans les villages , même si ce jour la des personnes ne sont pas présentes , et très vite , Frimoden entendit parler d'un terrain d'entrainement qui s'ouvrait juste à la sortie du village . « Ils recrutent du personnel m'a t'on dit ! Et tu peux aussi y aller comme ça , pour toi aussi t'entrainer «

Frimoden , malgré son petit air fragile , avait l'habitude des combats et elles ne comptait plus ses victimes . Mais elle avait une stratégie bien à elle …............et en ce jour ou les combats seraient sans rancune , pourquoi ne pas dévoiler sa stratégie et en faire , qui sait , profiter d'autres .
Elle pourrait aussi apprendre à mieux manier les armes , et pour les combats de force en corps à corps , la aussi , elle avait une ruse .
C'est donc tranquillement qu'elle arriva au terrain d'entrainement qu'on lui avait indiqué .
Deux femmes étaient la , elle s'avança vers elle deux ne sachant pas trop laquelle était responsable de cette excellente idée .


Bonjour Mesdames . Est ce bien dans ce terrain que vous envisagez un entrainement ?
J'ai entendu parler de cela au village et si c'est le cas , j'aimerais beaucoup et prendre des cours dans certains domaines , et pourquoi pas donner mes propres stratégies à certains .


Elle marqua un léger temps d'arrêt .

Comme vous pouvez le remarquer , je suis plutôt du genre frêle , fragile et timide . Mais il ne faut pas toujours se fier aux apparences , croyez moi , je suis une femme donc j'ai une cervelle à la place des bras , la ou l'homme utilise la force , la femme utilise sa ruse .
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Elvy_lee
La Margaut et Servane n’en finissaient pas de s’engueuler, pour changer !

Elvy avait quitté la taverne sans se faire remarquer, histoire de préparer son barda.
Départ le soir même. Elle n’avait prévenu personne. Pas envie qu’on leur cherche des noises au moment de s’en aller.
Départ de Dole donc, quartiers de viande sous le bras, direction Genève. En convoi hydrique. Elvy adorait ça, la longue file des roulottes. En parallèle, elle voyait le convoi conduit de main de maître par Nénu.
Comme d’habitude, on se marrait bien, on buvait, on bouffait, atmosphère bon enfant de colo. Ca traînait pas avec Kreems.
Sauf qu’à mi chemin, on s’était arrêtés.

J’ai entendu parler … d’une lanterne rouge...
Les hommes avaient pas arrêté de tourner pour tenter de trouver cette fichue lanterne. Et voilà, on avait pris du retard !

Arrivée à Genève, Elvy s’était rendue immédiatement au comptoir des inscriptions.

J’vous avais dit que je viendrais, j’viens vérifier que ma candidature est bien prise en compte. Voici mes droits.

Vous gardez ça sur vous, lui expliqua un organisateur très gentil.
Oubliez pas de vous présenter le 21…

Ouf ! L’argent, elle l’avait pas encore. Allait falloir le trouver !

… sur le premier nœud à l'est de Genève. "Nyon-la-bonne-mine", qu’il s’appelle…

… vous pouvez déposer vos affaires au "mont de piété"…


Elvy ne possédait rien mais elle avait quand même préféré s’installer le temps du tournoi.
Pas loin du lac. Barra au milieu, Nénu à droite, elle à gauche. L’odeur, ça éloigne les importuns.

Formalités remplies, retour à la roulotte, Elvy glisse les chausses offertes par Zephirin dans le fond du sac, compte et recompte ses morceaux de viande. Ca la rassure. Pour une fois qu’on part pas vite ! Ca lui plaît de préparer ce qu’elle va emporter pour le tournoi.
Le sac bouclé, elle s’apprête, lisse sa robe, brosse et noue ses cheveux.

Au fond de sa poche, un petit pain pour le père de Tibalt, celui qu’il lui a pas donné, du temps où il faisait encore demi-tour...
Les rues de Genève sont animées.
On croise du monde, des têtes nouvelles, des connaissances.
Blanquette a installé un petit stand qu’elle anime avec entrain.


Bon... je propose qu'on organise un camp d'entraînement pour se préparer au tournoi. Moi je me charge de recruter les instructeurs.
Bon alors j'ai fait une liste de ce qui nous faudrait...


Elvy passe son chemin, elle ne se reconnaît pas dans la liste, quand soudain ! Volte face ! Demi-tour !

UN OU UNE TECHNICIEN DU CAMOUFLAGE !!!

Héhé.
C’est sa spécialité, la dissimulation !

Elvy n’allait pas harnachée comme une guerrière. Elle portait jupe, courait pieds nus et évitait d’arborer des armes. Bon ça présentait des risques, comme lors de la dernière bataille où elle était restée sur le carreau, salement amochée.
On ne se méfiait pas et on avait tort. Il n’y avait qu’à l’Hydre qu’elle était fidèle. Apparence fragile mais volonté de fer et cœur de pierre.

Pour ce tournoi, Elvy n’avait qu’une idée en tête : gagner. Toute jeunette, avec son visage d’ange, elle comptait sur le fait que l’adversaire allait baisser sa garde. Mais son acolyte, elle l’avait choisi robuste, on allait s’en s’apercevoir quand il s’agirait d’en arriver aux armes ou aux mains.
Et puis elle en avait bouffé de la viande et encore de la viande, au point qu’il lui arrivait d’en être écœurée. C’en était terminé de la maigrichonne affamée. Ses jambes étaient fuselées, les muscles se dessinaient sur ses bras. Elle avait appris à manier l’épée.

Elvy s’inscrit donc avant de demander le chemin de la prison.

Un sac de bonbons pour Machette. Un petit canard en bois pour Mahaut. Pour Niu, elle a eu beau se démener, elle a pas trouvé.
Blanca_corvinus
La blonde Oberthur est la première à réagir. Blanquette affiche un sourire satisfait.

D'accord je prends note que toi tu nous f'ras les poches.

Puis ajoute:

Pense à porter des gants, je te rappelle que certains ont prévu des pièges...

Elle repense à la substance blanche et visqueuse découverte dans la poche d'Amsterdam l'autre jour. Elles avaient bien cru défaillir à cette vue, jusqu'à ce que le mystère s'éclaircisse: il s'agissait tout bonnement d'un reste de fromage qui avait fondu. M'enfin, valait mieux rester prudent.


Une jeune femme s'approche d'elles un peu timidement. Blancounette lui sourit amicalement:

Bonjour! Je suis Blanca et voici Ober. Effectivement, on s'est dit qu'un peu d'entraînement ne pourrait pas nous faire de mal.

Regarde Frimoden des pieds à la tête.

J'ai à peu près le même gabarit que vous... donc, si vous êtes d'accord, je vous nomme prof de combat au corps à corps. En échange je vous apprendrai à manier le bâton si vous le voulez, je me débrouille pas trop mal et viens de remporter une joute dans mon village il y a quelques jours justement.


Pas le temps d'attendre la réponse qu'une autre belle blonde pointe son nez vers leur petit groupe. Décidément, les femmes semblent plus enclines à partager leurs "trucs" que les hommes dans le coin.


Elvy! Contente de te voir ma belle. T'as fait bon voyage?

Elle a changé depuis la dernière fois qu'elles se sont vues. Une petite lueur de défi brille dans les yeux de la belle Hydr... olique. Elle semble plus sûre d'elle.

Camouflage? Parfait ça! Je prends note.

Note pour soi: apporter des vieux vêtements, ramasser un peu de crottin de cheval et des branches d'arbre.

Bon! Ben on a un bon début là déjà. Voyons encore si y a d'autres volontaires avant de lancer les opérations.
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You can be anything you want to be
Amsterdam
Le petit chaperon vert. Acte II, scène1.

Un pas léger et sautillant, un panier virevoltant à son bras, un sourire dessiné sur ses lèvres, une chanson à la bouche...

"Salut ! bois couronnés d'un reste de verdure !
Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature
Convient à la douleur et plaît à mes regards !

Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire,
J'aime à revoir encore, pour la dernière fois,
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois !"
(merci Lamartine)

Théâtralement elle déclame, le geste beau le verbe clair, jusqu'à la clairière d'entraînement. Là elle s'arrête ...et sourit doucement.
C'était du grand n'importe quoi, comme elle s'en doutait.
Ces filles là n'avaient aucune expérience sur la manière la plus judicieuse de s'entraîner.
Amsterdam laisse tomber son panier qui s'étale alors et laisse échapper deux trois fromages, puis accoure gaiement vers les donzelles.


"Allons allons mes demoiselles, un peu de silence, et on se met en rang. On dirait que comme d'habitude j'arrive au meilleur moment. Ca jacasse pire que des dindes de St Claude ici. Et c'est pas peu dire....."

Une main dans les cheveux elle essaie de réfléchir à la meilleure façon de commencer la leçon, sans se demander si ces quatre là ont la volonté de suivre une à une les règles qu'elle compte leur imposer.
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________________...musique..._______________________
Raouldarc
que le temps paraissait long dans ce pays ou tout était trop propre .d ailleurs a écouter les autochtones parler ,laissant trainer leur drole d accent ,le temps paraissait vraiment s etre arrété . "j aime pas la suisse" ces mots le raoul se les répétait en boucle en déambulant dans les rues de la ville .quand tout a coup un piaillement ce fit entendre a son oreille .
Le boucher de saint claude retrouva quelques secondes le sourire croyant déboucher sur un marché a la volaille.

mmmmm enfin un peu d animation,allons voir ses dindes pintades et autres poulardes .je devrai bien en trouver une a ma convenance

De ruelle en ruelle le caquètement se faisait de plus en plus fort quand il déboucha sur un attroupement de....... fendu(femme). Désappointé il baissa la tête .Celle qui gloussait le plus fort était sa charogne . Elle c était mis dans le crane de monter un camps d entrainement . Quelle idée ridicule ,décidement il pouvait pas la laisser seule une seconde .il s approcha d elle et l agrippa par le bras

C est quoi cette idée ridicule encore . C est ca tu as qu a divulguer toute nos tactique a l ennemie? parce que c est bien beau de se faire des copines et parler tricot mais demain lors du tournois elles esiteront pas a nous ouvrir le ventre .et moi a voir de la tripaille je préfere que ca sois la leur

puis il se retourna vers ses dames

quand a vous les megères ,continuez vous etes sur la bonne voix .on vous entend jacter a dix lieue a la ronde .ca va etre facile de vous repérer.bon comme je suis de bonne humeur je vous donne un conseil .la premiere regle c est le silence mais je doute que vous sachiez ce que c est
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Gertrude.
Blanquinouillette, elle avait une de ces voix qu'on repère de loin, elle avait donc suivi la voix la gamine. Ca faisait quelques minutes qu'elle les observait depuis des fourrés pas loin. Elle avait bien du mal à se retenir de rire, c'est que l'ancienne franc-comtesse, elle avait le verbe facile et le discours mélodieux, mais elle se demandait bien ce que ça pouvait donnait au combat. Et pourtant, elle l'avait vu pendant ses combats de bâtons à Saint-Claude, mais c'était sérieusement amical ces combats.

Puis le Rat d'égout arriva, ce type était du genre parfait, immonde, impoli, sec, direct, irrespectueux ... bref toutes les qualités qu'elle appréciait! Dommage qu'il soit comtois! Puis il prit le bras de Blanquinette, elle n'hésita pas un instant, elle sortit un de ses cailloux, qu'elle avait effilé, et le lança d'un mouvement net du poignet en direction des doigts du Rat dégueux, espérant ne pas atteindre la Blanquette. Faut dire que, la morveuse qu'elle était, depuis qu'elle avait joint l'hydre, elle avait fait des pierres, cailloux et autres roches, son passe-temps, mais elle n'avait pas encore pu pratiquer sur des cibles mobiles. Elle avait bien arrangé quelques arbres, mais rien de plus.

La partie effilée du projectile venait d'atteindre son objectif. Elle sortit donc de sa planque et annonça fièrement :


Moi j'veux bien participer Blancaillette. J'suis douée en maniement et lancer d'caillasses, et niveau survie en nature, j'peux faire aussi, qué que conseils quoi.

Puis se tournant vers Amsterdam

Hors d'question que j'me met' en rang, t'es ni mon précepteur, ni mon mac et j'suis pas à l'armée!
Blanca_corvinus
Ams ! Ravie que tu aies pu te joindre à nous. J’ai eu quelques échos de ton dernier « entraînement » sur les chemins de Bourgogne… vilaine fille hihi…

Et voilà son Rat-l’heure qui arrive pour faire un Rat-m’dame de tous les diables. Elle commence à avoir l’habitude de ses coups de gueule publics, la Corvinus. Pourquoi faut-il toujours qu’il l’empêche de s’amuser ? Puis, écoutant ses arguments, elle se dit qu’il n’a pas entièrement tort. Un vrai stratège ne devrait pas frayer avec des adversaires potentiels. Mais c’est tellement ennuyeux quand chacun reste dans son coin…

Mon Rat d’égoutant, arrête de te faire du mauvais sang pour moi. Je sais ce que je fais. Et puis à quoi veux-tu que je passes mes journées ici sinon ? Tu sais bien que je ne suis pas du genre à rester bien sagement près du foyer ou à faire du tricot.

Approchant doucement son visage du sien, elle lui glisse à l’oreille:

Va plutôt égorger quelques oies que j’ai vues près du lac. Il nous faudra manger de la viande si on veut tenir debout au moins 5 minutes pendant le tournoi. Et puis tu sais bien qu’entre nous deux c’est toi le stratège. Moi je ne ferai que suivre tes instructions.

Au même moment, un projectile vient frapper la main de son Rat Gondin. Blanquette en profite pour dégager son bras puis tente de localiser la source du petit obus surgi de nulle part. La tête familière de la Gamine apparaît, un large sourire empli de fierté sur les lèvres.


Hé bien on dirait bien que nous voilà au complet ! Je vous propose de commencer sans attendre, c’est que le temps file à toute allure…
Qui s'lance en prem's ?

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Leo...
A l'approche du tournoi, tout comme les autres candidats, leo... était bien conscience de la nécéssité d'une bonne préparation.

Première chose il faut s'assurer que ses armes sont bien affûtées: il mit quelques coups de pierre à aiguiser sur la pointe de fer qu'il utiliserai pour l'entrainement.
Ensuite la musculature: il était assis et fit toute une série de mouvements du genre "je pousse les mains vers mes pieds, puis je m'étire en rétractant les bras et en faisant travailler les épaules et les biceps".

Une fois la barque arrivée au milieu du lac il enfila un vers sur l'hameçon et jeta sa ligne à l'eau, puis il s'alongea avec un chapeau de paille sur les yeux et travailla sa méditation.
Si l'unique le voulait il aurait bientôt l'occasion de bosser la mise à mort et l'éventrement de l'ennemi.

Y'a pas à dire, une bonne préparation y'a que ça de vrai.

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