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La taverne Crevarde

--Obscure.
Depuis bientôt quelques jours on entendait une rumeur qui circulait à la Cour des Miracles comme quoi une Taverne serait le lieux de rencontre d'un grand clan qui venait de renaître de ses cendres, car leur Maîtres assassin Valentine venait de réapparaître comme par magie .

Obscure la servante de la Rose Pourpre connaissait un peu le Maître Basilisk et l'avait vu quelques fois, mais elle en savait si peu sur lui et de toute façon qui pouvait vraiment dire qu'il connaissait vraiment le jeune homme.

La jeune femme depuis sa dernière rencontre avec Valentine avait beaucoup réfléchi et c'était rendue compte qu'elle voulait contribuer au but du Clan Basilisk, mais que pour cela elle devrait contacter avant toute chose le chef.

Elle pouvait vraiment être utile travaillant dans un lieux où bien des hommes importants passaient leur nuit à assouvir leur plus bas instinct , elle pourrait avoir bien des informations intéressantes à fournir. Pourquoi voulait-elle vraiment adhérer à ce clan ? La vrai raison peut-être que Valentine l'intriguait au point de vouloir en savoir plus.

Alors Obscure, écrivit une lettre qu'elle donna à un gamin et lui ordonna d'aller le porter directement à la Taverne et quelqu'un sans doute saurait où ce trouve le Grand Assassin. Le gamin partit à la course et entra se faufilant pour se sauver sans doute des hommes qui ne voulaient pas le laisser entrer car on entre pas là comme dans un moulin.

L'enfant fonça droit vers l'homme qui ressemblait à celui que la servante lui avait décrit et tendit la lettre et disparu sans demander son reste . On pouvait lire sur la missive :


Citation:
Au grand maître du clan Basilisk,

Mes salutations, je me doute que vous vous souveniez de moi , servante à la rose qui se prénomme Obscure. Nous nous sommes vu quelques fois et à chacune de nos rencontres vous m'intriguiez de plus en plus. Je sais que l'autre jour vous étiez venu chercher des informations, mais vous vous doutez étant connu vous aurez bien de la difficulté à obtenir ce que vous désirez sans qu'on vous soupçonne .

Donc, j'ai grandement réfléchi et étant déjà sur place, je pourrai vous être utile et espionner pour vous. Je suis la discrétion même et je sais faire parler les gens , sans qu'il se méfie. Vous devez vous demandez ce que je désire en retour. Je n'ai pas le désir de devenir riche, j'aimerai en fait vous allez sûrement trouver cela étrange, mais vous rencontrez de temps en temps et si un jour je pouvais trouver moyen de me venger de certaines personnes que je déteste au plus haut point ce serai très apprécié.

Bref si cela vous intéresse vous n'avez qu'à me contacter directement à la Rose le jour seulement, car les filles dorment et ainsi aucun soupçon contre moi. À bientôt je l,espère.

Votre dévouée
Obscure
--Ziou.


Un léger froncement de nez vient accompagner la menace de Valentine. Trahir ? Pour quoi faire. Ce verbe ne fait décidément pas parti de son vocabulaire. Tout juste d'ailleurs si elle sait ce qu'il signifie. Et après tout, peu importe. Elle restera, si on fait briller des objets devant ses grands yeux émeraudes. Elle restera, tant qu'elle pourra satisfaire sa soif de sang & de liberté. Tant qu'elle pourra courir, à droite & à gauche, voler quelques pommes, se divertir devant la violence humaine, amuser la galerie. Tant que sa folie ne dérangera personne.

- Ziou... Partout !

Voilà d'où elle vient, d'ici, d'ailleurs, & d'un peu partout à la fois. Elle ne sait pas, & sans doute que personne d'autre ne pourrait le savoir, mais encore une fois, qu'importe ? Elle est là, à l'instant, présente, & peut-être bien plus loin l'heure d'après. Folie n'a ni passé, ni futur, elle n'est qu'instants fugaces & délicieux.
Fatalement délicieux.
Elle secoue la tête, faisant voler ses longues cadenettes rousses, l'air d'une enfant boudeuse, & sourit largement à son nouveau chef.
Elle ne devient pas tueuse. Elle l'a toujours été.

- Ziou aime tuer. J'aime tuer. C'est amusant. Amusant !

Incroyablement amusant. Cette vie qui s'échappe par le poinçon planté, ce sang, ce carmin, toujours plus rouge & toujours plus beau, tout ça, c'est amusant. La tristesse des proches lorsqu'ils voient le morceau de viande anciennement parent, les cris inhumains que poussent ses victimes alors que l'arme s'amuse à découper les chairs, tout ça, c'est amusant. La puanteur des morts, ça, oui, c'est amusant.
N'ai pas peur Valentine. La peur est amusante.


Une langue vient humidifier les lèvres pleines de la folle enfant, alors qu'elle le fixe, toujours, comme impressionnée.

- Toi, amusant !

Le rire cristallin fait tressauter sa gorge alors qu'elle se penche sur lui pour murmurer à son oreille :

- Toi, fou, fou & amusant.

Ainsi, tu seras mon fou, & moi, je serais la Reine.

Ayame
Et ce temps qui passe
me glace parfois les veines
mais lentement je m'efface
et laisse vivre que ma haine



Aya dite La moustique était assise dans son coin regardant d’un œil et écoutant d’une oreille ce qui se tramait dans la taverne…

Une aliénée qui n’arrêtait pas de bramer et le roux de ses cheveux qui n’arrêtait pas d’aller dans tous les sens comme une flamme sous le vent de sa folie. Cette scène bien agitée attirant le regard de la plupart, l’étonnement, l’amusement, la pitié de certain n’a su arracher la moindre opinion ou ne serait-ce une once de sentiment à la tite blondinette affalée sur sa chaise au coin.

On aurait dit, une statuette à la face pâlotte et aux cheveux décolorés, dénudée, tout comme ses grands yeux bleus hautains, de toute forme de vie et d’expression.

On agrandirait l’image sur cette petite, 13ans tout au plus et cela devient de plus en plus sinistre et intimidant, une gamine, tout semblant d’humanité l’ayant quitté… Qu’est-ce qu’elle fait ici, quel est ce regard… Un verre de lait entre ses petites mains qui le tournoyaient machinalement…

On aimerait autant aller dans la tête de notre gamine, voir des poupées en porcelaine, des spectacles de marionnettes. En y allant on ne peut voir qu’une couleur, le rouge, on ne peut entendre qu’un bruit, l’agonie et n’avoir qu’un seul goût, le goût métallique du sang bleu… Sa paix, son bonheur, sa drogue…

En gros et je pense que vous l'avez compris, elle est une tite psychopathe comme on en fait peu d’aussi doués…

Une haine indescriptible envers les nobles et une absence terrifiante de peur ou de regret ont fait d’elle une machine à tuer pour les Basilisk, toujours assoiffée elle en demandera plus à chaque fois, et comme un moustique snob elle ne boit que du sang bleu…

D’un geste sec elle poussa doucement le verre de lait entre ses doigts qui glissa en tournoyant quelques centimètres sur la table. Elle se leva ensuite, et se dirigea vers le Boss, ignorant la fofolle qui tourbillonnait en face de lui… Derrière lui, elle posa sa petite main sur son épaule et lui murmura quelques mots à l’oreille...


Je commence à avoir soif !

Elle plissa son ti nez, et ses lèvres affichèrent une tite moue juste après avoir prononcé ces quelques mots, depuis quelques minutes qu’on l’observait et c’est la première fois que l’on puisse voir une tite expression sur son visage … Il est à dire que LA moustique n’aurait jamais dégagé de sentiments qu’en présence du Boss et que ce dernier était le seul à comprendre la petite et le seul capable à calmer sa soif !

Et cette douce mélodie
qui réchauffe mon cœur…

_________________
Elmazilla
Copie du post de la rue principale pour plus de commodité puisque changement de lieu


[Quand l'être humain se transforme en sac à patate puis en bête curieuse...]

Qu'y a-t-il de pire que d'être entre les mains d'une brute sans scrupule qui vous regarde fixement avec l'intention de vous violer ? Et bien il y a être entre les mains d'une brute sans scrupule qui vous transporte sous son bras sans ménagement pour vous mener à son chef parce qu'il ne peut décemment pas vous violer alors que vous ressembler à sa fille... C'est à plaindre la compagne et les enfants de cet homme...

Mais pour le moment, la seule que l'adolescente plains, c'est elle-même. Parce qu'elle n'a guère envie de rencontrer l'homme qui est à la tête de ce quartier mal famé... Mais visiblement elle n'a pas le choix... Vu que l'homme pèse trois fois son poids et qu'il l'a chargé sous son bras comme un vulgaire sac... Là aussi s'en est vexant... Il ne peut pas la laisser marcher ?

Mais plutôt que de l'énerver en se plaignant, elle se tait... Sait-on jamais si elle pouvait s'épargner une autre claque dans la figure. Elle se tait donc mais essaie d’échafauder un plan d'évasion, serrant dans sa main son petit couteau qu'elle n'a pas lâché. Mais rien ne lui vient, à part planter l'arme dérisoire dans le bas du dos de son geôlier et prendre le risque de l'agacer plus qu'autre chose....

Aussi reste-t-elle plus ou moins tranquille alors qu'il la trimballe sous son bras... Puis il se stoppe, visiblement avant d'entrer dans un bâtiment. Il frappe un coup, pousse la porte. Des bruits s'élèvent, des choppes qui s'entrechoquent, des rires gras... Visiblement, c'est une taverne, pas la salle principale mais plutôt derrière... C'est sure que dans son état, elle ne mérite pas la grande porte.

Un autre homme salut le premier. Il s'exclame bruyamment quand son acolyte lui annonce sa prise. Voilà qu'on la remet sur ses pieds sans ménagement. Encore on l'observe, et une grimace de dégout s'affiche sur le visage peu engageant.


T'es sur que c'est une fille ? Faudrait peut-être la décrasser un peu avant de la montrer au chef non ? En plus elle pue...

Aussi tôt dis, aussi tôt fait. La voilà transbahutée à l'étage, où une femme sans douceur lui enlève ses guenilles en râlant après la couche de crasse qui la couvrait. Le bac d'eau est glacé, et le savon noir brule sa peau peu habituée au nettoyage. Âpres plus d'une heure de frottage intensif, voilà la pouilleuse qui prend forme humaine.

Debout nue dans la pièce, tremblotante, elle s’avère plus jolie que prévue. Mince quoi qu'un peu maigre de part les privations, elle a un corps bien formé, déjà femme avec ses petits seins et sa taille dessinée. Et son visage à la beauté peu commune, les traits fins, encadré de lourdes boucles brun-roux qui lui tombent finalement aux fesses... Et ses yeux, plus verts que jamais...

Impatiente, la femme lui enfile une chemise d'homme trop grande qui lui tombe à mi cuise et une corde pour ceinture. Elle la renvoie en bas comme ça, pieds nus, ses jambes fines offertes à la vue de tous. En chemin, elle a perdu son couteau... Plus moyen de se défendre... Son geôlier n'en revient pas en la voyant, elle est méconnaissable une fois propre.

C'est sous les quolibets des hommes qu'elle entre dans la salle de la taverne... C'est à moitié nue qu'elle s’arrête devant la table, escortée par celui qui l'a attrapé. Et elle lève ses yeux pour observer enfin celui qui va décide de son sort.
L.valentine
Il écoute, il reste calme malgré la folie lui faisant face. Un sourire, son sourire illumine son visage d’une teinte d’amusement. Elle vire volte elle saute, se penche se redresse une vraie boule d’énergie. Elle mettra un peu de vie dans cette scène dramatique très certainement. Elle tue pour le plaisir, voilà qui est intéressant alors elle n’aurait jamais un manque de motivation face à ses ennemis ou ceux qui seraient désignés en tant que tel. Bonne chose. Ziou était folle semblait avoir du potentiel et tuerait voilà qui était parfait. La jeune femme semblait s’amuser et il ne pouvait que la laisser faire car elle était dévouée corps et âme à la cause des Basilisks. Le murmure de cette dernière à son oreille le fit sourire, si lui il était fou, elle qu’était-elle ? Cela le fit rire quelque peu… Avant que l’on ne pose une délicate main sur son épaule, le tirant de se spectacle assez particulier.

Amusant, certes mais vous l'êtes d'autant plus. Aller prenez à boire !

Se tournant légèrement sur sa chaise, il posa ses yeux sur la petite, sa petite. Ayame, jeune demoiselle et femme fatale à en devenir. Il lui décrocha son sourire en coin le plus charmeur avant de poser sa main sur sa joue et laisser glisser ses doigts jusqu’à son menton délicatement. Son petit nez qu’elle plissait vint lui percer le cœur, il adorait voir ses petites expressions sur son visage si tendre effectuant une moue qui su le convaincre de lui donner se qu’elle voulait. C’est qu’elle était craquante cette petite et sous sa protection il lui enseignerait tout. Tous du métier, tous sur les gens, tout du maniement des armes. Elle en avait le talent et les capacités elle deviendrait vite une grande tueuse de renommé il le sentait, il le savait. La pauvre avait soif… Il lui adressa d’un air mesquin une petite moue afin de la taquiner.

Tu as soif ? Hmm laisse moi penser…

Au sous sol dans la cave à vin, se trouve deux pourceaux que tu pourrais aller éventré ils sont bien attachés.
J’avais d’autres plans pour eux mais fait toi plaisir trésor.


Valentine lui adressa un nouveau sourire avant de poser ses yeux sur une nouvelle… une jeune femme saucissonnée qui avait été trimballer jusqu’à la taverne et posée au milieu de la table au centre d’une bande de brigands mal veillant… une autre catin à la cour des miracles.Un garçon lui glissant une lettre qu'il lirait plus tard suivit d'une petite jeune fille débarqua fraîchement au milieu de toute cette porcherie. Vêtue au minimum cela surprit Valentine, depuis quand traite-t-on les enfants ainsi … ? On les tue sec ou on les respectent on ne les prostituent pas. Valentine se leva tout aussi tôt accordant un dernier regard à Ziou et avança d’un pas rapide vers la jeune fille qui se tenait droite devant la table. Il la fit faire volte face la tenant par les épaules afin de retourné à l’étage. Rendu en haut de l’escalier, il posa ses yeux dans les siens.

Qui es-tu ?
Tu sais que tu es au sein d’un clan malveillant au milieu d’hommes plus que malveillant ?
Qui feraient une bouchée de petite fille tel que toi ?
Tu sais te défendre j’espère ?

Alors ?
Tu fais quoi par ici ?


Plusieurs questions qui attendaient réponses, il se demandait vraiment pourquoi on lui avait amené une jeune fille. Peut-être qu’elle s’était simplement perdue ? Dans se cas il la remettrait à la rue .. Mais aucun mal ne lui serait fait à cette jeune femme. Malgré que pour son âge elle était d’une beauté certaine un peu tel qu’Ayame mais avec un air plus enfantin de beau grand yeux verts et une bouille à faire tomber des cœurs. D’un sourire rassurant, il était loin, le maître assassin dénué d’émotions. Valentine se pencha devant la petite demoiselle afin de se mettre à sa hauteur et la regarder droit dans les yeux et s’y perdre. Tant de questions face à cette petite intruse…
Rodrielle
Silencieuse, la Tatouée regardait les scènes se dérouler sous ses yeux. La première, celle de la rouquine, était surement la plus délectable... La regardant tournoyait, la Corleone passait délicatement sa langue sur ses lèvres, l'était agréable la donzelle... Surement sa folie sera-t-elle d'une grande utilité pour le Clan, comme celle de Maskarade. La seconde, celle de la jeune enfant, protégée du Valentine, la laissait perplexe ; Rodrielle s'inquiétait pour ce genre de personnes qui ne vivaient que pour le sang... Ce genre "d'alimentation" était mauvaise pour la santé et, surtout, ne cessait de s'accroître. Et bien que pour l'instant cet enfant semblait d'un calme certain, la Tatouée était persuadée qu'elle finirait par être intenable. Puis la troisième, une nouvelle enfant mais cette fois-ci aux mains des rustres du quartier, l'inquiéta. Les enfants étaient la faiblesse de la Corleone qui n'aimait pas qu'on les touche comme cela. Mais une nouvelle fois El Maestro prit les choses en mains.

Rodrielle n'avait plus qu'une chose à faire : attraper une bouteille et s'assoir à la table du chef qui reviendrait vite, et boire. Un regard vers Ziou et la bouteille se tend.

Tu en veux, Ragazza ?

Et oui, on partage chez les Basilisk !

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Envie de jouer le fils jumeau de Rod' ? = MP !
--Fantoche


Après l’entrevue, direction la taverne qu’il avait dit ! Et quelle discussion mes beaux amis, du grand art, de l’humour de paltoquet, oui ! Travailler avec le Chaos, jamais on aurait vu ça chez les Marchombres d’antan. Exodia c’était son nom, ça lui disait quelque chose que le Vioque avait une fois évoqué… Son dernier combat, c’était ça ! Il faudrait qu’il lui envoie un pigeon dans les prochains jours afin qu’il soit tenu au courant. Bref…ahahahaaaaaaaah… Nous voici donc dans cette foutue taverne bien lubrique, bien sale, bien pauvre, bien sanguinolente de dessous les fauteuils, bien pleine de ramassis de crasse, bien odorante de rots brûlants d’alcool pouacreux… Chouette quoi !

Le nouveau Maistre des lieux siégeait sur son trône, tel un petit chef stupide, heureux d’avoir une belle bande de bras cassés comme nous sous son contrôle… ahahahaaaaaah… pas longtemps sur moi en tout cas, hihihi, il est vrai que personne à part le Vioque ne sait me contrôler, il m’est le seul repère dans cette époque bien disgrâcieuse. À perdre je n’ai rien à part lui et ma Liberté, le reste on balance sous les lits et on jette par les fenêtres !

Ah, voilà que le Valentaïne secoue tel un gueux la fillote qu’il a devant lui et l’emmène quelque part ailleurs. Ce pingre va sûrement lui faire quelque chose de pas très Aristo… Ari…Aris… ‘CIENS ! Ah, foi de quenouille, qu’est-ce qu’ils m’énervent ceux-là…

Observons un peu la foufoule.


Fantoche…Fantoche… C’est bon, j’ai entendu, qu’est-ce qu’il y a ?
Sonde le désir, change de futur mon très cher moi…Je comprends rien à c’que tu bafouilles l’ami, mais arrête de me prendre la tête maintenant, j’ai d’autres choses à toiser mon beau !Hahahah… Comme si tu avais des choses à toiser, tu es un fol, la seule chose que tu puisses faire c’est contempler ma grandeur, moi, ton vrai et unique Maistre !
Retournes dans ta Tour l’ignoble, je n’ai que faire de ta grotesque supercherie, tu le sais bien !
Je le sais, et c’est pour ça que je continue… Oublie le vieux, et surtout tue ce Valentaïne, il s’y croit tellement et pourtant il parvient à se faire pourlécher par de la chaire fraîche, c’est toi qui devrait être à sa place, nous devrions gouverner ce Palais d’Horreur qu’est la Cour, tu y serais le Roy et j’en serais le conseiller, ensemble, nous pourrions être invincibles…
Arrête, ça fait cliché ce qu’tu dis l’affreux, j’ai une chose à faire et puis je me barre, foutriquet-de-palanquin, et auss…


J’ai pas le temps de finir ma phrase que je m’étale sur le sol telle une catin glissant sur sa soie. La honte, le déshonneur, connaît pas, mais j’ai quand même la gueule qui a mangé le plancher, j’ai dû trébucher sur quelque chose… Je me relève, toujours capuche sur l’tête et regarde la tornade rousse zioupeter dans tous les sens. De la folie et pas de tenue, ça ça plait à crever ! Je souris, mi-sympa, mi-mystère.

Tu en veux, Ragazza ?

Une autre gueuse à la face embuée d’une sculpture noire tend la bouteille. Demandons un rafraîchissement, ça peut pas lui faire de mal. La silhouette noire s’avance et prend une chaise qu’il pose à l’envers, dos de celle-ci contre mon buste.

- Bien le bonjour la Tatouée ! J’ai entendu dire que la boisson est gratuite ici ! Tu partages un coup avec moi et mon pote ?

Sur ces trois derniers mots, je pointe ma capuche en souriant, une fois de plus. Faut te faire des amis Fantoche… faufile-toi dans leurs relations et il nous sera plus aisé d’agir… T’as bien raison pour une fois l’ami, maintenant délectons-nous du spectacle…
Elmazilla
[Mère-Grand, pourquoi as-tu de si longues dents ? C'est pour mieux te manger mon enfant...]

C'est là qu'elle ne comprend plus rien. Il faut dire qu'après le traitement qu'elle a subi, se voir traiter avec un minimum de respect, surout vu sa vie chaotique, était plus que surprenant. Aussi quand le chef des Basilisks l'emmene à part, la ramenant en haut de l'escalier où on l'a forcé à prendre un bain.

Et il la bombarde de questions, exigeant des réponses sans lui laisser le temps d'ouvrir la bouche. Finalement le flot se tarrit... Il est temps de répondre, mais que faire, dire la vérité au risque qu'il lui prenne la bourse qu'elle a volé à l'homme qui l'a forcé à se réfugier dans ce quartier maudit ? Ou mentir pour préserver son bien mais prendre le risque de l'enerver et qu'il la livre à ses hommes en bas comme la femme ligotée qu'elle a apperçue.

Intelligente, elle réfflechit vite aux différentes options qui s'offrent à elle. Et un plan germe dans son esprit... N'a-t-elle pas réussis à manipuler les gamins des rues et autres mendiants durant toute sa courte vie ? Elle reussirait bien là encore à se faire passer pour ce qu'elle n'est pas.

Mélant avec habileté mensonge et vérité, de sorte que l'un ne soit pas décelable dans l'autre, elle repondit d'une voix clair et chantante, le fixant de ses yeux verts envoutant, tirant sur le bas de la chemise qu'on lui avait prêté, de sorte que sa poitrine on ne peut plus femme se dessine sous le tissus rugueux.


Je m'appelle Elmazilla, et je ne suis plus une enfant mêle si je suis petite. J'ai... 16 ans environ, je ne sais pas avec précision... Je vis à la Cours des Miracles... Je me faisais passer pour un garçon...

Je sais me défendre, j'ai planté mon couteau dans un vieux une fois parce qu'il vouait me tripauter. Je me suis enfuis de chez moi pour pas laissé le salaud qui vivait avec ma mère me toucher, c'es pas pour laisser un vieux vicelard le faire...

Et je préfèrerai que vous ne me livriez pas à vos hommes... Quitte à devoir travailler pour vous... Je n'ai pas fais exprès de venir sur votre territoire, je m'enfuyais. Je pourrai me rendre utile, je suis douée pour voler, ou pour me faire passer pour un gamin.


Et un instant d'hésitation la prend alors qu'elle s'apprète à jouer avec le feu...

Et puis je suis jolie... Et... Je suis toujours vierge...

Un regard vert étourdissant se plonge dans celui qui va décider de son sort. L'information est importante.. Si elle la lui donne, c'est qu'en écha ge de sa vie, elle est prête à le laisser en faire ce qu'il veut, selon son bon plaisir.

Qu'est ce qu'une vertue quand on veut vivre à tout prix, et que le Grand Méchant Loup s'apprète à vous dévorer.
--Ziou.


Nouvel, éternel éclat de rire aux paroles du Valentine. Soit, peut-être est-elle bien plus folle que tous les bandits de cette taverne réunis. Mais il y a folie, & Folie. La folie des hommes, leur barbarie, leur bestialité, & la Folie des fous, des enfants perdus, en quête de rien, en vérité. Elle, cette enfant sortie de nulle part, fait partie de la seconde catégorie.
Ceux qui sont fous parce qu'ils ne peuvent être rien d'autre.

Son pétillant regard vert se pose sur l'enfant assoiffée. Une drôle d'enfant, en vérité, qui respire la Mort à plein nez. Ziou, dans son extensible gentillesse, lui sourit de toutes ses dents d'un blanc presque immaculé, avec cet air d'idiot si particulier qu'ont les enfants pris en faute. Elle est prête à la bousculer, à lui poser des questions, pourquoi pas à lui proposer une pomme - qu'elle tient en adoration, vous vous souvenez ? - lorsque la Reine qu'elle a désigné comme telle quelques minutes plus tôt lui propose.. à boire !

Les longs doigts fins & sales se tendent, prudemment, pour attraper la bouteille, faire sauter le bouchon & plonger son nez dans le goulot pour décider si ce nectar en vaut la peine.


- Ziou !

Suivi d'un poing qui s'écrase sur la table, explosant au passage un cafard égaré.
En gros, j'en veux, & tout d'suite.


Mais elle n'a pas le temps d'empoigner son verre que voilà un tracassé - oui, c'est le mot - qui s'étale à côté, & se relève pour se joindre à elles.
Il est bien gentil, ce mercenaire, mais la bouteille, elle est à elles !
Vous avez bien compris : chez Ziou, on ne partage pas.


- Pas touche ! Ziou a soif ! On a soif.

Doigt inquisiteur levé devant sa face encrassée, sourcils froncés, nez plissé, tête penchée, prête à mordre, il bouge encore & elle le bouffe.

Rodrielle
Les émeraudes de l'italienne ne quittaient pas la rousse des yeux. Elle appréciait cette folie, sincère et naïve, qui se dégageait d'elle... Presque à vouloir la prendre sous son aile... Alors, lorsqu'elle fut d'accord -à sa manière- pour prendre un verre, la Tatouée attrapa un verre et le rempli avant de le donner à la jeune femme. Le temps de s'en servir un autre et une nouvelle tête vint faire son apparition. Masculine cette fois, la tête. Et apparemment tout aussi fou que sa première camarade de boisson. Le regard de la Corleone se tourna donc sur le fou furieux, mi-étonnée mi-mesquine.


Décidément les bouteilles rameutaient les troupes ! Sauf que voilà, la jeune folichonne semblait ne pas être très partageuse et le faisait parfaitement comprendre au nouveau venu. Sourire malicieux au visage, la Tatouée se pencha vers Ziou et glissa un doigt sous son manteau pour qu'elle la regarde.

Doucement, Bella Pazza... Il y en a pour tout le monde ! Et on doit partager en famille...

Un clin d’œil complice pour la demoiselle avant de se retourner vers son nouveau voisin. Effectivement celui-ci était en parfaite harmonie avec la saleté ambiante dans la taverne...

Et il s'appelle comment, notre nouveau membre assoiffé ?

La Tatouée claqua alors des doigts au dessus de sa tête pour que l'aubergiste leur apporte une nouvelle bouteille. Le troisième verre servi, la Corleone leva son verre.

A l'alcool et aux futurs crimes que nous risquons de commettre !

Parce que boire est un fait, s'empâter en était un autre, et il ne fallait pas qu'ils perdent leur but premier...

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Ayame
Un extrait de son journal

L'être humain est la plus ignoble création de Dieu - celui qui, dit-on, a crée ce monde perfide. Le seul moyen de fuir cette créature destructrice est de devenir un monstre. Qu’y t-il de plus vil qu’un homme ?? Comment fuir ?? La réponse est simple bannir tout sentiment !!!

C’était la première fois ! Le premier orgasme de mon esprit ! Je l’ai tué, je lui ai arraché les organes et la peau avec mes ongles et mes dents. Il m’a supplié de l’épargner, j’ai gouté à sa frayeur, je me suis offert ses effrois ! Sa terreur me donnait une énergie morbide. Ce sentiment humain qu’est la peur m’a troublé ! Et j’ai besoin d’être troublée ! De me sentir vivante !

La couleur de son sang était si pure si belle, elle m’invitait à la gouter comme si par son sang j’allais gouter à la fin de son vice, à la fin de sa turpitude, à la fin de son existence méprisable… et il n’existe pas de bonheur comparable à celui-ci.

Lui , lui, quand il, pose ses yeux sur moi, et quand ses doigts effleurent la peau de mon visage, à cet instant je sais que je lui serai toujours fidèle, je ne saurai expliquer ce sentiment, un rayon de douceur qui pénètre dans la bulle que je pensais hermétique et qui enveloppe, depuis ce jour, le cœur qui ne sert plus qu’à pomper du sang… et à l’accueillir…



Un sentiment si précieux par sa rareté qui la gardera près de lui.

Au sous sol dans la cave à vin, se trouve deux pourceaux que tu pourrais aller éventré ils sont bien attachés.

Aya inclina la tête légèrement vers le coté, elle aurait espérer plus, leur sang devra empester la fripouille… N’importe sa place, elle ne voulait se permettre de ces caprices avec lui. Un léger sourire s’afficha sur ses lèvres aussitôt disparu quand il lui tourna le dos pour s’éloigner d’elle laissant derrière lui « le vide »…

Elle jeta un regard circulaire sur la taverne, et se dirigea vers les escaliers menant à la cave, en passant elle jeta un regard vers Rodrielle, Valentine lui faisait confiance, comme un enfant suivant les sentiments de son idole elle lui faisait confiance aussi, elle lui adressa un sourire avant de récupérer son verre de lait et descendre à la cave.

Elle descendait lentement les escaliers un regard glacial, non elle n’était pas contente, non elle ne se rabaissera pas à ce sang nauséabondes par son impureté !

« La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe » pensa-t-elle un sourire au coin des lèvres.

La porte était devant elle. Elle posa sa main froide sur la poignée et la tourna lentement, très lentement. Comme pour savourer chaque instant, elle entendait déjà les cris d'agonie, de supplication ! Elle pénétra dans la cave, baignée dans la pénombre…

Les deux pourceaux étaient bien attachés à coté de quelques fûts comme l’avait bien dit son maître, elle les regardait. Une once de folie berçait son visage. La fête pouvait commencer
.

Oui vous allez souffrir, vous allez maudire votre propre mère de vous avoir mis au monde ! Bon voyage !

Quelques mots qu’elle employait à chaque fois d’un ton glacial et terrifiant…

Les cris d’agonie, les hurlements provenant de la cave étaient terrifiants… personne n’aurait imaginé une gamine de 13ans aux cheveux aussi blond qu’un soleil et d’un teint aussi pur que la neige n’ayant jamais atteint le sol, qu’elle, qu’elle pourrait être le maître de cet horreur !
Encore un peu plus. Un bruit sourd suivi d’un silence. C’est la fin
.

Faîtes de beaux rêves, ainsi je pourrai les briser !
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Marvailh
Ah, une taverne, enfin ! Après toutes ces émotions, Marvailh a bien besoin de se raccrocher à quelque chose de familier. Elle a eu du mal à la trouver, vu son emplacement. Qui voudrait s'aventurer dans des ruelles aussi immondes, à part quelqu'un d'extrêmement assoiffé comme elle ? Normalement, tout bon tavernier doit mettre son établissement en valeur, afin d'ameuter le plus de monde possible. Mais là, non, c'est grâce à la bonne fortune qu'elle l'a trouvée. Ce n'est certainement pas par hasard qu'elle a décidé d'emprunter ces ruelles semblables à des boyaux de chien lépreux pour venir jusqu'ici...
La Taverne Crevarde. Et bien, ils ne font jamais dans la finesse, par ici, même pas pour nommer leurs tavernes. Cela dit, c'est un nom qui sonne bien. Un nom qu'on retient. Au moins quelque chose de positif. Elle espère que la bière n'y aura pas la même odeur que les ruelles.
Près de l'entrée, quelques silhouettes l'observent. Sans savoir pourquoi, elle sourit. Sont-ce leurs capuches et leur air mauvais ? Leurs tenues noires et leurs messes basses ? Des détails tout sauf originaux à son goût, et elle se plante sur le perron en faisant tinter la pointe de sa claymore, en diagonale dans son dos, sur le chambranle de la porte. Juste au cas où l'un de ces brigands du dimanche ne l'aurait pas remarquée.
En poussant un soupir et en se préparant à encaisser l'odeur de brutes avinées de la Cour, elle pousse la porte. Aussitôt, une horrible odeur, un mélange de crasse, de sang, de poussière, de moisi et de mauvais alcool agresse ses narines. Mais elle s'y est préparée. Gardant son calme, elle parvient à respirer, d'abord difficilement. Aux yeux, maintenant. Habituée à marcher dans les ruelles sombres, ses yeux clairs sont réticents à s'ouvrir complètement dans un endroit si illuminé. Au bout de quelques instants, elle parvient tout de même à les ouvrir assez pour se rendre compte du nombre de chandelles. C'est à se demander comment cette taverne n'est pas sans cesse ravagée par les incendies...


- A l'alcool et aux futurs crimes que nous risquons de commettre ! dit soudain une voix près d'elle.

Elle a déjà croisé cette femme. Impossible de se souvenir de son nom, par contre. D'ailleurs, il est presque certain qu'elle ne l'a jamais entendu. Mais c'est une fille du clan, en tous cas. Près d'elle, il y a aussi ce jeune fou qui est venu les aborder avec son discours si torturé... Moustache... Fantôme...
Claisich*, son nom aussi, elle ne s'en souvient plus ! Décidément, il faut vraiment qu'elle se fasse des notes.
Prenant un peu d'assurance, elle se fraie un chemin entre les clients debout à grands coups de coude et d'injures, attrape une chaise à la table voisine et s'installe avec le groupe, les saluant de la tête. Avisant une bouteille pas encore vide, elle s'en sert un verre, le renifle à peine de peur d'en être dégoûtée et de ne pas pouvoir le boire, et trinque.


- A l'alcool et aux écus de nos futures victimes ! lance-t-elle.


Claisich : petite flûte écossaise.
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L.valentine
Valentine écoute la jeune femme comme elle prétendait l’être tout en la regardant bien dans les yeux ne risquant un regard plus bas. Jusqu’au moment ou elle lui fit une avance subtilement… son regard finit par se poser sur le corps de la belle ses yeux étant trop intime pour qu’il puisse les soutenir plus longtemps. Il était vrai qu’une jeune femme vierge était très rare à voir surtout à la cour des miracles. Mais cela avait-il réellement un impact sur sa décision ? elle savait voler , elle avait déjà goûter à la sensation de tuer.. elle ferait très certainement une bonne jeune recrue à qui l’on pourrait apprendre la maîtrise des armes, qu’aimerait-elle le plus devenir ? Assassin ou mercenaire ? Le choix serait sien …

Que dirais-tu d’une famille sur laquelle tu pourrais compter et qui t’aiderait à te développer comme il se doit ? Je t’avertis maintenant, nous sommes des tueurs en tout genre…

Le maître posa ses yeux sur l’escalier ayant entendu un bruit sourd, un corps s’étalant sur le plancher… avant de reporter son attention sur Elmazilla

Le clan Basilisk règne en maître sur la cour des miracles présentement et nous comptons bien faire en sorte que cela reste ainsi. Si l’envie te dit rejoins nous et trouve toi des vêtements descend les hommes en bas n’aurons qu’envie de te sauter dessus si tu ne met pas un pantalon ... Considère toi comme l’une de mes protéger … Tu seras sous mon aile tel qu’Ayame, je pourrais même te trouver un tuteur si tu le souhaite afin de t’apprendre l’art du combat... Soit certaine que personne ne pourra plus te toucher après ces entraînements spéciaux.

Un sourire en coin lui est accordé, avant que Valentine ne s’enfonce dans l’une des 5 chambres y attendant la jeune femme afin de lui trouver des vêtements ou du moins quelque chose qui la couvrirait. Il regardait dans les armoires disposé dans les chambres et tomba sur une paire de pantalon trop grande … mieux que rien ce dit-il s’avançant vers la belle. Il allait poser genoux au sol pour lui faire enfiler jambe par jambe les braies qu’il avait trouver mais se retint au dernier moment lui adressant un sourire mesquin.

Tu es assez grande pour les enfiler seule je présume si tu es prête à te laisser dévierger …

Il lui tendit les braies et s’assit sur le lit se délectant de la scène qui serait trop courte…
Attrapant un bout de cordelette brunâtre dans le tiroir qui servirait de ceinture afin de tenir ce bout de vêtement trop grand il le lui tendit… Le regard du grand tueur se posa dans les yeux d’Elmazilla après avoir parcouru son corps. Qu’il était difficile de résister au charme féminin …
Evil_erin
[Rue principale]

Je m'attendais exactement à cette réaction venant d'un type qui ne possédait rien d'autre qu'un peu de chair entre les jambes ! Mais des coups, j'en avais reçu d'autres, ce n’était pas ça qui allait m'effrayer. Alors que je frottais ma lèvre sanguinolente, le chien continua d'aboyer a en perdre la voix. Il avait vraiment peur de perdre sa place en fait, lui qui sans son maitre n’était finalement rien.

Sa dague dans ma gorge, mes yeux plantés dans les siens, brillants d'une lueur mortelle facilement déchiffrable, ne laissaient rien présager de bon. La vengeance serait terrible pour lui et douce pour moi ! Mais la vengeance se calculait, était pour un temps précis et j’étais suffisamment patiente dans ces cas pour m'en délecter.Je suivais donc pour le moment ses menaces braillées comme si il voulait que le reste de la ville l'entende, peut-être après tout n’était-il pas si courageux et que d'autres grouillots étaient cachés dans l'ombre.

Il lança un ordre à l'italien qui semblait vouloir se laisser faire, grand bien lui fasse ! Mais il était hors de question pour moi que je devienne larbin de qui que soit, et cette masse de viande décérébrée s'en rendrait compte rapidement !

J’avançais dans la semi-obscurité de la ville, supposant que je suivait la bonne direction puisque le débile ne m'avait toujours pas transpercée de part en part, jusqu'à une maison éclairée partiellement.


[Taverne]

Je poussais la porte et la "caravane" s'engouffra à l’intérieur, je n'avais plus prononcé un seul mot, la seule chose que le molosse recevrait de moi serait un coup pour un coup.

Jetant un œil autour de moi, le bouge avait l'air pas trop mal pour un trou pareil, du moins il était certain qu'ils avaient de l'alcool. Le chien galeux devait surement aller chercher son maitre et je zieutais l'italien, essayant de deviner ce qu'il pensait de cette mascarade.

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Pere_jean
Ma foy, on arrive pile au bon moment! A première vu une bonne partie des Basilisks se sont donnés rendez-vous dans la taverne. La blonde y rentre en premier, poussée par mon arc. Je la pousse sans délicatesse au centre de la taverne et referme la porte derrière moi, puis m'avance et lui arrache sommairement ses armes, qui finisse en tas dans un coin de la pièce. Qu'elle essai de me menacer ou de mettre ses menaces à exécution ici! Je glisse mon arc dans son étui dorsal et m'attable en compagnie de la donzelle que j'ai déjà vu, après mon entretien houleux avec le Maitre, une fois que j'ai vérifié que les armes sont entres de bonnes mains. On m'apporte un godet de vin, tombé je ne sais d’où; me voilà donc à trinquer, tout en surveillant du coin de l’œil ma prisonnière. Après une bonne rasade de vin frais je désigne du menton la blonde:

R'garde c'que j'ai trouvé tout à l'heure. Une donzelle qui s'est paumée icelieu! Et qui plus est menace un Basilisks...


J'avale une bonne rasade de vin.

On l'abat ou on attends le Maitre?

Quand à moi, je penche pour une flèche entre les deux épaules, vite fait bien fait. Pour qui se prends cette mijaurée?
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