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La taverne Crevarde

Andrea_
Une légère moue surprise en apercevant les cadavres au sol, un énôôôôrme sentiment de jalousie en voyant les corps décharnés, crâne défoncé à coups de hache et ... ce sentiment de peine profonde de ne jamais avoir assouvi ce fantasme, qui lui ferait bien faire un petit caprice du genre " Mais heuuuu j'en veux aussi ! "
Mais ici, personne ne cèdera à ses caprices d'enfant gâtée. Alors on les remballe !
Une mine donc plutôt envieuse, aussitôt remplacée par une moins agréable, limite dégoutée - Elle ne serait pas elle si elle était discrête- en apercevant la lépreuse...
C'est qu'ça s'attrape ce genre de chose non?
J'crois bien si, non?
La Chiasse ?

Hey, j'ai pas fait médecine les gars!

humm... Autant qu'elle se taise, la belle.
Son regard croisa celui de l'homme, le maître comme l'avait appelé l'homme qui arrivait.
Etonnant...
En même temps tout ici était étonnant, c'est qu'elle ne r'grettait pas d'avoir fait un tour à la cour des ... miracles ?!

Le maître la prend par le bras pour l'amener à l'extérieur Ah oui ça s'passe comme ça? direct il me prend et .... ? et bin ça chôme pas ici !

L'arrivée dehors était saisissante pour l'oiselle. La clarté du ciel d'hiver était une douce torture pour les yeux de glace de la belle. Et elle observait Valentine, le détaillait, sans sourire, visage fermé, interrogative, ne pas savoir à quelle sauce on va être mangé est plutôt...désagréable comme sensation.
Leurs peaux diaphanes étaient a priori leur seul point commun. Mais la curiosité de la belle...

S'enfuir en courant? Pas son genre. Et ce qu'elle avait vu dans la taverne lui avait plus donné envie de faire un sitting avec banderoles " aux armes citoyens".
Poser des questions... Pas son genre à lui d'y répondre.
Faire un joli rentre dedans? La belle avait bien compris qu'il ne mangeait pas de ce pain là...


J'suis Andrea, maître de moi et ma personne Et dieu sait qu'ça m'prend un temps monstre J'suis pas du genre à me ravir tout de suite de faire la connaissance des gens MAIS, si tu veux bien être l'exception qui confirme la rêgle, j'le serais.
J'ai eu vent d'vos "activités", j'vais pas y aller par quatre chemins. J'ai bien envie d'faire mumuse.
Et j'sens qu'le terme va pas t'plaire .
L'soucis, c'est qu'j'ai la vilaine tendance à m'en prendre à n'importe qui et sans but précis, et parfois ma conscience me d'mande des comptes... Alors si j'faisais ça pour quelqu'un bah j's'rais un peu lavée de tout soupçon tu vois ?

Donc trois solutions, soit tu m'donnes un p'tit truc à faire, et si tu m'prêtais une hache j'te promets d'pas t'décevoir, soit tu m'tues, mais tu priverais les royaumes de ma personne et ça causerait une guerre sans fin, soit, tu m'laisses partir, et j'continue dans mon coin.


La belle continue de le regarder, affiche un large sourire et un regard charmeur, remet son auréole - celle au d'sus d'la tête- de traviole, pour un effet des plus sexys, suspendues aux lèvres du Maître. Après tout il va décider de son avenir !
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L.valentine
Valentine écouta la jeune femme sans broncher, d’un bout à l’autre c’était à ce demander ou elle avait prit le temps de respirer. Le maître resta sobre de toute émotion, il ne la connaissait pas, pas intimement. Il aurait bien aimer lui décocher un sourire approbateur et amical cependant la situation n’était pas au réjouissance. Un certain roulement devait opéré et il était en bonne voie de quitter cette taverne pour voir ce que le monde avait à lui offrir de bon. Du moins, il en tirerait le meilleur laissant le reste du monde dans les limbes. Le froid lui engourdissait les joues peu à peu, jusqu’à ce qu’il ne les sentent presque plus. Ses pensées étaient tournées vers la nouvelle, l’accepter ou la refuser ? Qui était-il pour refuser l’aide qu’on lui offrait à l’instant au pire des cas, elle mourrait en action servant la cause. Il n’avait pas grand chose à perdre et qui sait peut-être se montrerait-elle digne d’un peu plus considération suivant le fil de ses actions.

Le maître déclara d’un ton neutre.

Vous semblez avoir une certaine passion pour la violence.
Je la mettrai à l’épreuve dans les jours qui suivront.
Malheureusement je n’ai rien à vous proposez présentement.
Je vous ferez signe dès qu’un contrat se libérera.
Oh et ici je suis le maître.
Je suis certain que vous saisirez très rapidement l’allusion.


Enfin, un sourire se posa sur son visage d’un blanc cadavérique, un sourire moqueur, voir charmeur. Sa propre remarque l’avait fait sourire. Il ne fallait pas se méprendre, il ne s’agissait pas là d’une blague, mais d’une vive recommandation .

Valentine reprit.

Je t’offre l’arme d’un des morts dans la taverne, ils n’en auront plus besoin, je peux te l’assurer.

Sur ces mots, il tourna talon et se dirigea vers le Manoir qui deviendrait le Quartier général. Il se devait d’en posséder un et d’y organiser les futurs attaques portées sur la cours des miracles et le reste du royaume. Le maître éleva le ton tout en continuant sa route, sachant qu’il ne pouvait la laisser sur ces mots.

Bienvenue au sein de la famille Basilisk.
Maintenant va faire régner le chaos au nom du clan.
Tu es libre de tes mouvements.


Après quelques minutes de marche, sombre cape rouge battant dans la direction du vent. Valentine disparu au coin d’une ruelle désertique. Laissant à son interlocutrice pour seule preuve de son existence son sourire moqueur, sa présence de corps et son acceptation dans le clan. Finalement des preuves, elle en avait plusieurs. Il ne savait trop si elle se montrerait digne de faire partie du clan, mais il avait un bon pressentiment. En espérant qu’elle ne le décevrais pas par la suite.

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Rodrielle
Il était l'heure de partir. Les cloches sonnaient pour appeler les trois donzelles à l'extérieur. L'heure était au Grand Nettoyage. Alors il ne fallait plus trainer. Attendant consentement - juste pour la forme - de la jeune Elmazilla, Rodrielle jeta un regard sur la nouvelle entrante. Une brune, ressemblant fortement à sa sœur mais sans pour autant être celle-ci, arriva avec un enthousiasme qui avait intérêt à disparaître rapidement si elle voulait rester en vie. Après tout, ils n'étaient pas là pour rire mais pour sévir. Fichtre !

Ziou, quant à elle, était prête à partir. Enfin, elle était même déjà à la porte et attendait que les deux autres femmes la suivent. La Tatouée esquissa un sourire, ravivée par la joie de la Folle de partir à l'aventure, puis la suivit après un regard à Elmazilla.

Andiamo !

Elle laissa donc sortir toute la troupe - c'est à dire Ziou, Valentine et Andréa - avant de suivre avec sa future autre complice. Malheureusement, elle n'entendit pas vraiment la discussion entre le brun et l'inconnue, ce qui lui fit faire une grimace d'insatisfaite. Trop curieuse, l'italienne, trop curieuse ! Bref, allons-y !

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Envie de jouer le fils jumeau de Rod' ? = MP !
Andrea_
Une grande inspiration histoire de reprendre son souffle et voilà la chiasse qui écoute tout ce que Valentine lui dit.

Elle hoche la tête, machouillant on ne sait quoi grossièrement.
D'un point de vue extérieur elle avait un gentil air de " cause toujours tu m'interesse " mais elle notait bien tout ce qu'il lui disait.

Et ce qu'elle avait surtout relevé c'était le coup de l'arme sur les corps inertes à l'intérieur, et rien que ça, bin ça suffisait à son bonheur et à lui faire afficher un large sourire.

Valentine tourne les talons, laissant le vent s'engouffrer sous sa cape, et que serait la chiasse sans un regard au postérieur de l'homme ? Pas la chiasse. Donc elle en profite allègrement.

A peine le temps de lancer un


AMENNnnnn

qu'il disparu, emportant avec lui son sourire si particulier.


Puis Rodrielle sortit de la taverne en bonne compagnie, et la Colombe profite de la porte entrouverte pour se glisser dans la taverne. Laissant son regard virevolter sur les cadavres...

Hummmm, voyons voir..

Là ! Là !! regarde ce poignard !
Non là ! p'tain regarde moi cette lameeeee c'ets d'la folie !


Humm... non non...

La belle s'approche d'un des corps et lui arrache de la ceinture une hache. Elle sourit, elle ricane, elle sautille même, bref, elle jubile !


ça ! c'est ça que je veux !

Elle brandit son tout nouveau cadeau, les pensées vagabondants sur ce qu'elle pourra en faire et sort de la taverne, joyeuse, saluant les filles au passage, avant de s'en aller, chantant, hache sur l'épaule.

La chiasse quitte la place ! et suit les ordres de maître...

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--Lilith...
[À l'approche d'une tempête, dans la rue]



Le vent fouettait la cape noire, sous laquelle la belle se dissimulait. L'esprit vague, elle arrivait d'un pas silencieux alors qu'elle avait été demander.

La route avait été agréable, comme toujours. Elle pouvait voyager sans laisser trace. Sans laisser odeur ou signe de présence. La nature même répondait sous chacun de ses pas.

Mais elle n'avait pas prévu de frapper un homme encapé, au détours de la rue. Pas prévu de se retrouver contre le mur, arme au point, sur le pied d'alerte, le visage plonger dans l'obscurité de sa capuche.
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