[RP] Tournoi 1er jour : Ca castagne sévère à Nyon

Rhaaaaaaaa! cria Blanquette.

Par les braies ensanglantées de ma grand-mèèèèèère!! fit le Raoul qui arrivait à la rescousse.

Mais la première charge de la brunette fut bloquée par l'épée que Fernand avait tirée de son fourreau. Elle poussa un juron et fit quelques pas en arrière.

Je te le laisse, mon Rat. Je m'occupe de la Comtesse!

Cette dernière ne faisait pas la maline sans son épée et son bouclier mais ne semblait pas non plus du genre à se rendre sans avoir combattu. la Corvinus laissa tomber sa hache et son bouclier par terre, tout en s'assurant qu'ils restassent hors de portée de leurs adversaires et préféra combattre à armes égales avec la Comtesse. A mains nues.

Alors que derrière elles les deux hommes croisaient le fer, les deux ex-Franc comtesses se firent face. Blanquette avait l'impression que son coeur occupait toute sa poitrine tant il battait fort. Elle se concentra sur les mouvements de sa cible et essaya de se rappeler comment elle avait mis au sol son valeureux adversaire au combat de bâtons de Saint Claude, une semaine auparavant. Et soudain, elle lança son attaque.

Mais la Comtesse l'esquiva et Blancounette faillit perdre l'équilibre. Au deuxième coup, elle parvint à lui saisir un bras. Puis rapidement l'autre et les maintint dans son dos.
Un coup d'oeil rapide sur ses voisins. Fernand semblait prendre l'avantage. Et Blanca ne pouvait pas faire les poches de Macricri, ayant ses deux mains occupées à la maintenir immobile.

Il était temps de faire appel à son arme secrète...
Elle envoya le signal en émettant un sifflement strident avec ses lèvres.
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You can be anything you want to be.

Le Choléra commençait à s'inquiéter de voir La Peste s'enchifrener à outrance. Ses reniflements répétés et réguliers commençaient à lui taper sur les nerfs. Et d'ailleurs, personne ne venait se faire taper dessus, et d'ailleurs c'était vrai qu'il commençait à faire froid.

Il commençait sérieusement à penser assommer sa coéquipière par surprise, remède souverain contre rhumes et cataractes, avant que de prendre sa mise et de s'en rentrer tranquillement à Genève, l'honneur sauf si personne ne le voyait. C'est pourquoi il balaya les environs du regard tout en saisissant son épée... mais on vint.

Allez, La Peste, soudés, à jamais, on va les cuire!

Il improvisa un cri de guerre:

Cric, Crac, à l'attaque... euh.. laisse tomber, on va les tabasser plutôt.



Quelques temps plus tard, La Peste et Le Choléra étaient encore embusqués derrière un caillou. Encailloutés, donc. Le second avait deux tampons en tissus qui dépassaient des narines, pour résorber le sang qui en sortait suite à un malentendu avec deux autres participants qui prétendaient que le Choléra n'existait pas encore à cette époque. Et la Peste reniflait, et le Choléra soupirait.
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Eins thut Noth.

[Nicbur-Eddo / Feebleue-Serralonga]

Tournoyer avec un savoyard... en voila une idée qu'elle était originale. Maintenant qu'on est devenu des copains, on se fout plus sur la gueule mais on allie nos forces pour mettre sur la tronche des autres. Ca semblait tout bête comme idée, mais n'empèche, fallait y penser! Et qui qui c'est qui y a pensé? l'issime Himself!!!

Puis en même temps, ca permettra à son partenaire de profiter de son enseignement, et qui sait, peut être s'en servir. Dans le coin, les voisins sont parfois belliqueux, et avec la Bourgogne toute proche, vaut mieux se méfier...

Il discuter tranquillement avec son partenaire, allant à la rencontre de leurs futurs adversaires.

N'empèche, la prise d'Annecy a eu du bon. la ville est quand même beaucoup moins primitive qu'avant qu'on vienne, vous ne trouvez pas?

Ca taillait le bout de gras, mais tout en surveillant ce qu'il se passait. Et ca tombait bien, car leurs futurs victimes s'approchaient.

En montrant Vignolles:

Tu vois, lui, à droite, et ben, fais y gaffe. C'est le fils de ma défunte soeur et de mon défunt beau frère, Zoulys et Dada de Montbazon Navaille. Il a pas l'air bien épée, mais dans la famille, on sait se battre.

En montrant Serralonga

Et l'autre, méfie t'en également, il est pas de ma famille, mais je suis sur qu'il aimerait bien, alors ca veut tout dire... c'est un bon gars qui tape fort.

Allez, allons gagner nos lauriers

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Qui qui c'est l'plus balèze? c'est bibi!!!

[Mariposa & Mélian VS Niurka & Elhann]




Quelques brindilles mutines qui se faufilent là où elles ne devraient pas, un rayon de soleil intense qui aveugle malgré les paupières encore close et une masse, celle d'un corps - joli, soit dit en passant - qui semble se mouvoir à ses cotés. Le sommeil qu'il cherche à retenir mais qu'on lui arrache et le Capitaine qui se réveille en sursaut, porté par un vent de panique et une bise aux parfums de "j'sais plus où j’habite". Là où l'on se rend compte que les nuits et les songes du Capitaine sont agités...

P'tain... chérie... j'vais être en retard au bureau... fais moi un café... t'as pas vu mon attaché-case... et les clefs de la bagnole.. j'mets quelle cravate... la marine à fines rayures noires ou la noires à fines rayures marines...

Là ou l'on se rend surtout compte que dans la tête du Capitaine, tout ne tourne pas toujours très rond et qu'ils sont de toute évidence plusieurs à y avoir élu domicile.

Le réveil est dur et en un coup d’œil on le devine à l'allure. De tourbe et de paille, un pan rentré n'importe comment dans les braies, l'autre baillant négligemment, la chemise du capitaine ornée d'un camouflage dernier cri lui donnait l'air d'un épouvantail pour réunion mondaine. Dans le soucis du détail , la trogne s'était parée d'un même camouflage ton sur ton. Car il est de notoriété publique que c'est de bon gout que d'assortir ses accessoires à sa tenue. Et parce qu'un homme, un vrai, ne se doit de faire les choses à moitié, le brave genevois avait poussé l’expérience jusqu'à vouloir se camoufler la glotte par le biais du même subterfuge . Involontairement peut être, à moins que ça ne soit les vestiges d'une nuit particulièrement agitée, sans doute. Toujours est -il que c''est sans doute pour ça qu'enfin réveillé par sa moitié papillonnesque, le miaulement matinale du félin se transforma pour l'occasion en un feulement étouffé. Avant qu'il n'éructe et gueule un bon coup.

P'tain, j'suis sûr qu'ils ont commencé sans nous les salopiauds !

Et parce que malgré un réveil en retard, en fanfare, il était bien conscient qu'ils n’étaient pas venus pour enfiler des perles, le Capitaine s'empressa de parfaire - le ridicule de - son accoutrement en sautant dans ces bottes qui l'attendaient. Bottes qu'un esprit farceur, un curé ou un croisé rancunier qui passait par là, avait trouvé amusant d'intervertir.

Rattrapant finallement son Papillon déjà en action derrière une nymphette, c'est en soustrayant à son habituelle démarche féline, celle d'un bovin trijambiste du Limousin, que le Capitaine vint se poster tant bien que mal derrière une silhouette massive qu'il ne reconnu pas comme étant Elhann.

Eh ! l'ancien ! Besoin d'un bras solide pour t'aider à traverser ou d'une main agile pour de ta bourse te délester ?

Même la gueule de travers, il a le sens de la formule notre Capitaine. Au moins un sens qui fonctionne correctement en cette instant.

En attente d'une réponse de sa proie, le regard du Capitaine commis l'erreur de se détourner quelques instants, découvrant sa féline braies sur les chevilles et chairs alléchantes à nu. Et comme pour tout homme - sous entendu volage - la gourmandise prend bien souvent le pas sur la sagesse. C'est obnubilé par cette peau de velours ainsi offert à ses morsures du regard, qu'il en oublia l'homme au bout de sa sica...





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Serre et Fée portaient des traces de bleu du au combat de la veille saluant leur vainqueur avant qu'il ne rende la pareille à Pouic et son acolyte , un peu de repos et une nouvelle nuit à en découdre avant de faire les comptes

Trois victoires et une défaite voilà qui n'était pas si mal pour les deux vieux briscard

Imladris était avec Dina_. Ils avaient échaffaudé une tactique pour surprendre Macricri ou Lothilde ou les deux.

Ben oui... Il fallait bien que le vicomte de Voiteur prouve à ses dames qu'il peut se battre... Elles le diront ensuite au Baron Rouge qui aura peut être une autre image de lui... Ou pas...

Et là... Un bruissement... Il sortit de sa cachette et...

Tristant !

Il le reconnut aussi et écouta sa question.

L'éthiquette... L'éthiquette... Il se croyait dans un salon de tisane? Allez hop on le cogne un bon coup... Pas trop avec violence. C'est quand même un ami. Il vit Tristan à terre et le fouilla... Bah pour une fois dans sa vie, il pouvait expérimenter cela. Bon 50 écus et un pain... c'est déjà ça de pris...

Et c'est à peine qu'il eut terminer à le fouiller qu'il se fait attraper par deux personnes. Il regarda Dina et lui fit un signe de répondre à cette attaque.

Le combat fut âpre mais inégal.

Alors ce n'est pas parce que nous sommes deux vicomtes qu'on se laisse faire!

Hop une parade, on évite leur coup et on agit en traitre en cognant sec à la jambe.

Hé hé... oui c'est cela... Fuyez, les nobles comtois c'est pas de la fiante. Et faites le savoir à Rougemont si vous le croisez, bande de lâche!

Il fit un clin d'oeil à Dina.

On fait une bonne équipe mais le tournoi n'est pas fini. On continue

Ils repartirent se fourrer dans leurs cachettes.




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La "douce" blonde prenait un malin plaisir à lui ôter les épines plantées dans son corps en commentant. La séance aurait pu être plus désagréable si c'eut été fait par la célébrissime hilde gardavou. Les doigts de Sorenza étaient agiles et rapides.
Un tapotement sur l'épaule et un geste pour lui montrer les deux femmes qui approchaient, Tom attrapa les deux hérissons que lui tendait sa coéquipière et ses lèvres s'étirèrent en un sourire à l'écoute de la tactique.
Il scruta les bosquets attendant que les deux femmes se montrent, ses mains faisant rebondir les petites bêtes, impatientes qu'elles étaient, les mains.
Et elles se décidèrent enfin.

A toi de jouer petit hérisson! Fait leur manger tes piquants! Venge toi d'être privé de ta maman, c'est à cause d'elles!

Il avait balancer ses hérissons droit sur Saffig et il crut entendre les animaux émettre un couinement rageur en atterrissant sur elle. Un genre de Tayooooooo hérissonesque. Quelles bêtes féroces! Pattes griffues en avant, et épines sorties. Ca a du être douloureux....
Il ne comptait pas en rester là. Il avait sorti une nouvelle fois sa sarbacane et tirait presque à l'aveugle mais à une cadence issimesque les épines sur les deux femmes. Il était prêt à brandir sa masse lorsque les deux femmes se résignèrent et partirent.

[Niurka et Elhann]

On charge dans le tas ?

Haan, mais je vois plus de tas moi ...

Entrainement ? Non une cavalière de l'Hydre a un don innée pour la baston, sinon elle a rien à y faire .. Jolie petit papillon bleu.. Et deux personnes à terre, suppliant le duo à genoux de leur foutre la paix..

Ah pardon pardon je croyais que vous en aviez assez prit sur la tronche moi..

Sauf que...

Aie ! Bordel quel est le con qui ..

Et la blonde bien maligne plutôt que de rester la faisait demi-tour, ignorant qu'un deuxième tour avait lieu dans la nuit, elle allait prendre cher la blonde, que voulez-vous on se refait pas..

[Le fauve et son papillon.
Quand la lune s’embrume.]

Couchés dans l’herbe séchée, bien blottis comme des souris, les amants s’étaient endormis en fin de batifolage. Non pas que l’exercice eût pu les épuiser. Nan, ils étaient bien entrainés. En cette nuit qui se devait d’être guet, c’était plutôt les bécasses grillées et arrosées d’Armagnac qui avaient alourdit leurs paupières.

Soudain, des bruits de pas, des voix cherchant le trouble. Un réveil brumeux et la trogne froissée d’une féline étonnée.

L’instinct de chasseur réanimant à une vitesse prodigieuse l’esprit égaré, Mariposa enfila rapidement ses vêtements avant de s’embusquer juste à temps. Coup d’œil complice à son fauve qui tout aussi malhabilement réussit à se planquer.

La nuit menace, les pas avancent…

Et puis soudain, la main féline ornée d’une Sica bien aiguisée vient se poser sur le tendre cou dénudée de l’inconnue qui avait osée la tirer de son nid.

Ha ha ! Est bien pris qui croyait prendre, n’est ce pas !?

La sicaire, derrière sa proie, affichait un sourire fier pendant que sa main libre vagabondait déjà sur la bourse en danger.

Faudra être plus discrète la prochaine fois, cher dame, apprenez que les nuits sont souvent peuplées de chats tapi …

Et la féline de fanfaronner alors que la boucle de ses braies se dénouait dans l’ombre. Et alors que sa main empoignait fermement la bourse de l'étrangère, elle fit un pas victorieux par derrière et s’empêtra dans ses braies qui elles tombaient par terre. Elle perdit alors fâcheusement l’équilibre et se retrouva aussi bas que ses vêtements, désorientée.

Arf!

Et voilà! C'est ce qu'on pouvait appeler, s' faire prendre les culottes baissées !


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« Florebo quocumque ferar »
Je fleurirai là où je serai portée

Au creux de la nuit du 22 au 23

Bien forcée de lâcher la main de Sembre quand il se faufila dans sa tente en compagnie. L'attente non loin à égrener des souvenirs et à monter la mayo de ne pas taper sur des amis, se remémorer des silhouettes et des physionomies, grand bien lui fasse de lire les âmes en cette soirée, reste peut-être les vibrations....
Enfin l'heure se dessine, Sembre solidement bâti et l'air prêt à en découdre la conduit sur un site qui lui semble effectivement propice

Oui ici cela me semble parfait, un découvert couvert, une ombre lumineuse.

Ils font silence pendant qu'autour d'eux ça jacasse, des voix s'approchent, un rire lui semble familier, froissement de feuilles, givre foulée.
Un signal discret et plein de subtilité digne d'un homme de paix. Bien loin des hurlement de sauvage Bassston.

Juste un timbre cristallin qui émets un "Vero...." un peu plus loin.
Hop un petit coup de manche de hache derrière les genoux, un tour de main leste et tâtonnant, prélève deniers et bah.. provisions.
Merdouille celle que Sembre secoue comme un prunier lui semble étrangement familière.

Ga Ga Ghala!

Sembre ne secoue pas si fort!! Laisse la donc, c'est une amie, grrrrr....

Se penche et pose un rapide baiser sur la joue...

Heureuse de te revoir , ehh.. on se retrouve plus tard hien...
Vive valeque, si j'ose dire

Oui bon, pas très glorieuse et peu d’à-propos Admettons le pas fière et très fuiteuse, décampe comme ... une voleuse

Trop d’émotion tue l’émotion

Oui rentrons, on fera les comptes plus tard!


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[Blanca_corvinus - Raouldarc versus Macricri - Fernand]




a la veille du combat ,fallait vraiment faire quelques choses pour cette foutu armure qui grinçait .La corvinus avait du mettre la main a la patte .Se faire astiquer l armure c est pas la chose la plus désagréable que Raoul est du a subir .
oui astique ma charogne ,lustre ,fait moi luire cet attirail .dégrippe moi tout ca et met y du coeur" HUIIIIIIIIIC........HUIIIIIIIC.......huic

Il y avait bien quelques progrès,mais on ferai pas du neuf avec de l huile de coude meme avec la meilleure volonté du monde.

le lendemain,a l aube,le couple darc dominait le champs du tournois a partir d un monticule . Les participants étaient nombreux et tres hétéroclites . Ca allait de l unijambiste a la jambe de bois jusqu a la bonne femme qui se baladait les nibards a l air. La corvinus voulu prendre les choses en main et elle s engagea dans un sentier

heyyyyyyy c est moi le cheffffff

mais trop tard,la pauvre fille innocente était deja parti .Une fois de plus il allait devoir rattraper tout ça et la défendre au péril de sa vie .Il poussa un long soupir ,et blasé lui emboita le pas .huiiiiiic..... huiiiic .....huiiiiic.

Tout a coup sa charogne tel un épagneul marqua un arrêt ,la truffe au vent. elle avait du lever un lièvre. Il la regarda amusé en se disant dans sa tète "allez va y cherche cherche"

Reste là, je vais voir ce que c'est. On va peut-être avoir la tache plus facile que je ne pensais...

oui oui t inquiete je bouge pas, me tarde de te voir rappliquer avec une bécasse dans la gueule

En attendant son retour ,le raoul se mit en quête de fouiller un peu autour de lui ,quand il tomba nez a nez avec un épouvantail qu il prit pour un ostrogoth .la tête orange avec un long nez,et une drole de jupette pour sur il avait affaire a un sarrasin . Il leva son épée (huuuuuuuic) et décapita le bougre puis le transperça .La tête (citrouille) roula a ses pieds .Le raoul pas peu fier bomba le torse en regardant sa victime a travers sa visières . Soudain il entendit sa corvinus bramer

RAAAAAAAAAAAAAAAAA

MORTECOUILLE,on peut pas te laisser seule une seconde

Le "saigneur" des rousses" se dirigea comme il pouvait vers le lieu du cri huiiiiiic.....HUIIIIIIIIC..... huiiiiic . sa corvinus avait bien levé une bécasse mais c était pas a celle qu il s attendait .Macricri et son acolyte .a son tour Raoul fonça dans le tas en poussant son fameux cri

PAR LES BRAIES ENSANGLANTES DE MA GRAND MEREEEEEEE ......
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Mais arrêtez de frapper bon sang !....



Bon allez on se cache , et le premier qui passe , on le défie ....

Un bruissement , Tristan dégaine avec peine son épée (il s'est coupé les mains au concours de hache de Saint Claude ) ... et hurle :

Rendez vous vous êtes cernés ... heu non , la bourse ou la vitre ... heu la vie . Allez tentez pas de résister , je tire ou je pointe , haha mes gaillards ! Faut pas jouer le malin quand T a son épée en main ...

Et de menacer tel un spadassin comme il en a vu dans les gravures qu'on fait à Epinal et sur les tréteaux du théâtre de Saint Claude .

Un coup violent vient lui frapper la jambe ....il s'écroule et sent qu'on le dépouille ...

Mais c'ets quoi ce coup dans les jambes ? Jarnac ? Ah mais c'est pas dans les règles des gentilshommes ça ... C'est un coup bas , digne des plus fieffés brigands ! Ah on a le droit ? sûr ?

Tristan aperçoit Imla ,ce Vicomte garant du droit et des règles de bienséance , ainsi que des médailles , mais là honnêtement Tristan s'en moque des médailles ....

Ah Imla , tu tombes bien , j'ai justement une question d'éthiquette à te poser ....

Un choc terrible ! C'est qu'il cogne dur le Vicomte de Voiteur ...Après , Tristan ne se souvient plus de rien . Il gît sur une civière , du sang coule à foison de sa jambe et de son visage .Il se sent faible , épuisé , le brouillard l'envahit . IL cherche dans sa poche mais ces voyous ont été jusqu'à lui prendre les grains de maïs qu'il gardait en poche pour attirer les pigeons .

Un des frères Diafoirus , famille de médicastres barbiers apothicaires , vient à passer , regarde le malade et le sang épais qui souille sa chemise et ses braies :

Hum , cet homme a perdu beaucoup de sang , mais il a l'humeur mauvaise , il faut le saigner pour évacuer ces miasmes qui l'empoisonnent . vous lui direz qu'il me doit 50 écus pour la consultation , 100 s'il n'en meurt point .

Evacuez moi vite sur Genève hurle Tristan !

Tom avançait à quatre pattes suivit de Sorenza à la recherche d’un groupe planqué quelque part quand il entendit des voix.

- T'as vu hein ? Elle n'était pas bien ma stratégie de taper sur les tout petits ? 
A pas de bol d'être resté tout seul celui-là, en plus il était tout chétif.

Un stère de bois plus loin, ça venait de là bas. Il fit signe à Sorenza de le suivre et se mit à plat ventre pour avancer, se rapprocher en rampant. Il se posta sur le côté du tas de bois et distingua les deux personnes en train de compter leur butin acquis un peu plus tôt. Il plongea la main dans sa sachoche et en sortit le roseau qu’il avait récupéré sur le chemin de la mine, les épines que Sorenza avait pris soin de décrocher du dos des petits hérissons et décocha un tir dans le bouton de la jarretière de Maria.

Il crut son coup bien malin en voyant l'homme commencer à tripoter sa compagne pour l'aider à remettre? reboutonner? enlever? déchirer avec les dents? Enfin ça se tripotait, ça se chatouillait et Tom pensait que le coup allait être facile. Il jeta un regard entendu à sa partenaire et ils s'étaient mis sur leur jambes, le plus discrètement possible, à pas de velours... enfin c'est ce qu'il croyait. Sorenza était bien plus douée pour ça et avait déjà la main sur les affaires des deux zigotos alors que lui faisait craquer les branches en s'avançant vers eux pour leur mettre un coup de masse épineuse sur la tête.
Un craquement de trop et..........

Paf!

Ils s'étaient déjà relevés, el caballero protégeant son ibère. Tom s'était reculé pour se mettre devant Sorenza mais la botte de Maria s'écrasait déjà sur lui et lui par la même s'écrasait sur sa partenaire. Et la botteuse qui veut faire croire qu'on fouillait dans ses affaires.

Mais on fouillait pas!

Tom se releva honteux en prenant soin de pas écraser un peu plus Sorenza et l'aida à se relever à son tour

La belle... j'suis désolé, la technique était pas trop au point. Dis moi, t'as eu l'temps d'mettre un petit hérisson plein de puces dans l'sac? Au moins ça leur fera une bonne surprise quand ils devront s'gratter mutuellement plutôt que d'se chatouiller.

Frimoden n'en menait pas large cette nuit la , elle avait cherché partout son partenaire sans le trouver . Impossible de savoir ou il était .
Surement à faire des galipettes avec sa femme , pensa t'elle .
Ne sachant trop ou se cacher vu que tous les buissons étaient occupés , elle se décida de se mettre à l'entrée de la mine , la grotte était bien noire , elle aurait peut être une chance de passer inaperçu .

Assise à l'entrée , elle scrutait autour d'elle , mais rien , elle ne voyait rien . Par contre elle entendait les combattants un peu plus loin . Des aie ouille , résonnaient dans tous les coins . On pouvait entendre le bruit du fer qui s'entrechoquait . Un bercement qui fini par emmener Frimoden au pays des rêves !



SPLATCCCCCCCCCHHHHHHHHHHHHHH!!

Fri se reveilla en sursaut , un bruit étrange venait de la réveiller , elle se mit debout avança vers la sortie , se prit les pieds dans quelque chose , sentit sa cheville prise dans un étau avec une bonne déchirure .

AIE !!!

Elle venait de se fouler la cheville , à tâtons , elle chercha à comprendre et découvrit une échelle .

Purée !! c'est pas possible ! Elle était pas la quand je suis arrivée !

Elle sortit de la mine en furie et vit une ombre devant elle . Pas le temps de réagir , que la personne se défendait croyant être attaquée . Elle reconnu alors le parfum de cette femme et se mit à crier .

Tatou !!!! C'est moi !! Fri !

Arrêt subit , Tatoumi la regarda en souriant et la laissa filer sans même lui prendre sa bourse .

Merci Tatou ! Je te revaudrais ça !


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Ils étaient arrivés la veille dans une lance de l'Hydre.

Lui, Galo...
Fumait une pipe de végétaux odorants sortis d'un paquet cédé pour quelques écus par Mélian et marqué "Tabac de Chine AOC".
Mélian s'y connaissait en chine, et Galovert qui chinait encore de temps en temps sur les carrefours lui faisait confiance quant à la qualité.

Elle, Ahla...
La gardienne de son corps (Hé oui, privilège d'un vieux Saltimbanque de l'Hydre d'avoir une ombre armée jusqu'aux dents avec des formes plein partout où il faut, la sombre Cavalière) tricotait un traquenard avec quelques lacets, pour les emmerdeurs qui ne manqueraient pas de venir troubler leur repos.
A moins que ce soit pour prendre un lapin ou deux pour le petit-déjeuner.

La nuit s'égaillait d'une douce musique berçant l'homme qui commençait à s'assoupir, les yeux bridés façon mandarin.
Cris, chocs sur fond de monnaies sonnantes vite prises et empochées par quelques heureux.

Les amateurs désireux de s'encanailler pour quelques jours ne manquaient pas en ces lieux et temps de castagnes festives.

Ici un certain baron rouge venait de se faire marron de sa bourse ...
Là, quelques vieux Grotteux n'en revenaient pas d'être encore entiers.

Dans le délice mélodieux des duels Galovert s'endormit pour de bon.

Arfff... Ahla s'y connait en attrape-couillons.


Et puis vint l'heure de la récolte en gnons.
Pourtant ils semblaient bien empêtrés d’embonpoint ...
Fallait pas s'y fier.
A jugement chinois, rire jaune !!

Et ce n'est que la première passe.
Ahla ... Et si tu nous tricotais des écharpes "spéciales tronches-en-biais" ?

"Nuits de Suisse.
Nuits câlines.
Nuits d'amour ..."
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Par le fer et la plume.

Apres avoir repérer toute la journée en se promenant entre les campements et la taverne de Tom les bourses les plus pleines et ceux ne portant pas de casque il repéra derrière une charrette un type et un bonne femme qui avait tout l'air de militaire et en plus ils n'avait pas de casque!

se retournant vers sa louve

hé on se les fait ceux la en plus t'as plus de charrette sa tombe bien![/b]

[saisissant chacun une des tortues en pain cramé ils les lancèrent bien fort

BING BLANG

les deux s'effondrèrent assommé sur le coup


[b]hé hé c'est sa de pas avoir de casque! je vais leur mettre un mot avec l'adresse de la forge de léo a Genève et on leur laisse les pains en forme de tortues en les faisant tremper deux trois jours ils doivent être comestibles...

Apres avoir embarqué la charrette son contenu et les bourses ils allèrent se planquer dans un coin discret

ou comme hier personne ne les vit et ou ils ne virent personne

c'était mieux comme sa ils pourraient galipetter tranquilou toute la nuit

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Le vieil éclopé avait prévu un traquenard pour Kreems et Elvy ...

Il soupçonnait Kreems de vouloir lui piquer son employée et Elvy de son coté ne lui avait pas versé ses commissions pour ses passes depuis fort longtemps.

Il se tourna vers Oberthur qui était planqué dans l'arbre au-dessus de lui et lui chuchota:

Eh vieille carne !!! On laisse passer tout le monde sauf Kreems et Elvy !!!

Dès que j'te donne le signal, tu laisse tomber le filet et j'leur démonte la mâchoire pis tu leur fais les poches ...

Le signal en question était un éternuement de cerf ... Difficile à reproduire mais très efficace ....

Soudain un ptit vent frais se leva et Barramine entendit du bruit ... Il ne put se retenir et éternua ....

Il vit le filet tomber sauf que ce n'était à priori pas les victimes qu'il attendait ...

Perdu pour perdu, il sauta dans la mélée, distribuant au passage des gnons et des coups de jambe de bois ... Celle avec le bout plat pour pilonner ....

Il firent l'inventaire une fois qu'ils aient fui et trouvèrent dans le filet 1 petite échelle, 1 corde, 1 seau cerclé, 4 livres de raisin et 1 charrette ... Une poire pour la soif se dit-il ...

Il jeta le filet à Oberthur et retendirent le piège ...

Quelques instants plus tard, il vit Kreems et Elvy qui contaient fleurette le long du chemin. Il fit le signal et le filet tomba sur leurs proies ....

Il bondit sur Kreems et lui démonta la trogne puis explosa Elvy dans la foulée ...

Il se tourna vers Oberthur:

C'est bon tu peux les finir à la main ...
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Moins de Morale ... Plus de Violence !!!

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Heureux sont les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient.

[avant les combats - Misandrelle et Gertrude.]

Toute la journée, elle avait dormi à l'ombre et à l'abris de la roulotte du marchand de saucisses, pour finalement retrouver sa partenaire le soir. En tournant un peu sur la plaine, elle avait réfléchi à une stratégie.

Bon 'lors, on fait comment?
en avant toute! vises l'entrejambe ca marche bien!!
ouep, mais au milieu d'tout l'monde, va y en avoir plein des entre-jambes
vrai

Après avoir tourné un peu autour de la plaine, Misan avait proposé qu'elle grimpe dans un arbre alentour de la plaine, dessous des grosses branches, il y aurait surement du passage des gens qui se dirigeraient vers le lieu de l'action ou en repartirait avec leur magôt. La consigne de Misan était claire

on saute sur le premier qui passe
Mouais, puis on s'casse une jambe et ils nous font les poches... nah ben ouep, j'te suis t'façon

Perchée sur sa branche, prête donc à sauter sur le premier ou la première qui allait passer, elle attendait, et en hauteur, faisait pas chaud chaud, heureusement qu'elle avait rarement froid, par contre, elle entendait les dents de Misan qui claquait. Puis à l'heure du rendez vous, un bruit se fit entendre sous les branches, elle sauta sur l'homme richement vêtu qui passait, en sautant elle reconnut un nobliot comtois qu'elle avait croisé de ci de là, un certain baron vert, comte rouge, archiduc violet, elle ne savait plus bien, une histoire de noblesse et de couleur, et c'était tant mieux, taper du nobliot comtois, rien de mieux, elle allait se régaler. Oui oui, la gamine avait pensé à tout ça pendant les deux secondes qu'avait duré la chute, faut pas croire mais quand on tombe ainsi, ça semble durer une éternité.
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Post Tenebras Lux

Machette et Amosus

il l'avait préparé avec l' Ecossaise cette homérique bagarre ou la fine fleur des tires laines du royaume se retrouvaient avec d'autres amateurs de plaies , gnons et bosses en tout genres pour en découdre et élire leur champion.

La tactique était simple , court vêtue la brunette attirait l'imprudent qui passait et le brun planqué derrière un arbre l'estourbissait sans plus de manière , il ne restait qu'a lui faire les poches et vider ses fontes .......

Mais voila c'était sans compter sur l'étourderie féminine, la belle tout occupée a préparer sa tenue d'aguicheuse des landes avait laissé passer l' heure et il se retrouve tout seul sur le terrain, fouty foumelle .....

Un barbu dans le même cas propose une association ...... difficile d'appliquer le savant plan projeté .... mais bon la première nuit c'était pas trop mal passée un quidam qui passait par la en fit les frais ......


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