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[Rp] Le dispensaire du bois de Chesne

Tayabrina.reudi
Malachie c'est...

Elle aurais aimé trouver le temps de bien expliqué au nain que Malachie était un bourreau executeur, mais la suite des événements ne la plut pas beaucoup....Un époux en colère, des animaux enfin les animaux étaient hors de sa portée elle pouvais enfin descendre de la charrette sans crainte.

Viens avec moi, toi !

Empoignant le nain pas la manche de sa chemise, avec peine elle arrive a le tirer hors de la charrette, le trainant avec elle, comme un enfant turbulant qu'elle venait de prendre en plein bêtise .

Salutations Dono et Mary ...la vie est belle ici hein, je prend le nain avec moi !

Hans !!! Mon époux tu fais quoi avec cette bête...

Saluant ses amis au passage, elle était inquiète de la suite, pas un chien, non pas ça,mais il va dormir où ? faisant du nain son prisonnier de guerre la voilà qui suit son époux. Agitée qu'il emmène avec lui un animal

Hanss !!! Hans ....! Hans !!!
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Hansreudi
Le balafré était heureux comme tout de sa nouvelle acquisition. Une belle bête au demeurant. "Mars", ça c'est un nom qui déchire. Quand il chopera les bras de ceux qui tenteraient d'envahir la mairie pour en faire du petit bois de chauffe ça rigolerait moins parmi les malsains. Il n'était pas encore prêt certes à faire son travail de chien de guerre, mais il avait tout de même de belles dispositions.

Alors qui jouait avec son nouveau compagnon une voix bien connue, qu'il avait déjà entendue prononcer son nom quand les choses avaient ou allaient péter et voler dans tous les sens à la maison.


Hans !!! Mon époux tu fais quoi avec cette bête.

Hanss !!! Hans ....! Hans !!!


D'abord tenté de ne pas se retourner et de poursuivre son chemin jusqu'au poste de police ou la cache du bestiau avait déjà été installée. Il soupira en l'entendant. Punaise, ce qu'il pouvait l'aimer au point de n'être même pas capable de lui tourner le dos ne serait-ce qu'une ou deux heures, mais nom. Il a fallu qu'il se retourne, qu'il la regarde et encore une fois c'est ces yeux bordel qui le faisait craquer. Mais pourquoi fallait-il qu'il la regarde dans les yeux. Non il pouvait pas lui regarder les miches ou le décolleté, non, ce con lui c'était les yeux. Et la Châtaigne pour c'était la gorgone capable de le pétrifier et de lui faire perdre tous ses moyens d'un seul clin d'oeil. Elle le savait en plus et n'hésitait pas à en user.

Mais non, cette fois il ne se laisserait pas faire, pas question de céder. Sûr de sa force mentale et de sa détermination, lui et Mars le chien aux crocs qui font un mal de chien c'est le cas de le dire se retournèrent.....MeeeEEEeeeeeeeeerdeeeeeeeeeeeeeee il l'a regardée dans les yeux, il est foutu, il a beau les refermer et c'est encore du vert émeraude qu'il voit....d'un effort il eut de quoi lancer un quoi qui reflétait tout de même sa colère, son agacement quant au comportement de sa Belle.


Quoi !!!!!! T'veux quoi? C'est mon chien, tu touches pas à mon chien.
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Grimoald
Des hurlements, des cris, le nain qui roule au fond de la charrette. La mari balafré qui le menace puis s'en va négocier un clébard atroce au loin; sa femme furibonde qui semblait vouloir l’éventrer sur place... Grim' voyait tout ces mouvements. Il tout ce vacarme assourdissant... les minutes lui semblait filer que les secondes. Dans sa grosse tête blonde, les interrogations, les doutes, les plan d'évasion et les projets d'avenir se mêlaient en un brouillard épais.

_"Viens avec moi, toi !"

Cet appel le ramena à la raison... Il sa laissa trainer, silencieux, presque morose, plein d’incertitude quand à la suite des événements...
Il fit un brève hochement du chef en guise de salut à Mary et Dono. Et se laissait traîner, comme un gamin qu'il ne devait plus être et qu'il était resté pourtant.
Il ne tourna même pas vers Taya pour jouer les plus fins. Fin du round, le nain était au tapis...

Il y avait Hans, et son chien qui n'avait pas l'air commode. Le nain, qui n'avait plus dit un mot depuis son extraction de la charette, finit par lâcher, comme on lâche parfois quelques paroles sans importance :



_"Il n'est pas de plus beau... il n'a pas l'air commode...Ils vous ont sûrement refilé le plus teigneux" Avant de se taire et de marcher, s'éloignant peu à peu du dispensaire, en compagnie du balafré et de se femme qui ne partageait, visiblement, par le même amour pour nos amis les chiens.


A ce moment-là, il s'imaginait allant vers quelques cave sombres et secrète, afin d'y être torturé puis découpé en morceaux...
Donotach
[Plusieurs jours plus tard]

Dono tournait en rond depuis quelques jours, non pas qu’il n’avait rien à faire, bien au contraire il y avait fort à faire sauf que là on en était rendu à la préparation du banquet. Et bien qu’ils aient négocié dur pour avoir des bon prix, il ne pourrait surement pas se payer de la viande et tous ces légumes et autre nourriture sans oublier l’hypocras. En fait ce n’était pas pour rien que Dono prit parti pour ne pas vendre de l’agneau au noble, non, dans le fin fond il savait déjà qu’ils auraient besoin de viandes pour le banquet. Pas qu’il était un habile boucher bien au contraire lui c’est le bois qu’il aimait travailler.

Il avait longuement songé comment il pourrait faire mais il ne trouvait jamais la bonne solution. En ce jour il c’était donc rendu au dispensaire avant de retourner finaliser les tables et les bancs. Il regardait partout pour voir comment il pourrait réussir à abattre l’agneau sans que sa belle le voie. Il se doutait qu’elle ne dirait pas non pour qu’elle serve de repas, mais il ne voudrait surtout pas savoir que c’était leur agneau. Ce ne serait donc pas facile de le mestre sur la table en repas.

Finalement mijotant quelques chose avec ses neurones à deux centimes il reparti vers sa maison du villages avancer les tables.
Tallyas
Une femme recouverte d’une cape et d’une capuche cachant son visage s’approcha du dispensaire. Elle avait pu rencontrer auparavant un homme au nom de donatach ainsi qu’une femme se prénommant Mary en taverne. Ces deux personnes l’avaient questionné un long moment avant de l’accueillir dans leur dispensaire. Elle savait que les tensions étaient présentes entre la Touraine et le Berry, il valait mieux pas que des soldats la voit pour le moment dans loches.. Berrychonne de naissance, il était certain que les soldats l’arrêteraient pour l’enfermer ou la conduire vers leur capitaine…il ne serait pas facile de se cacher étant fille de vicomte berrychon.
Rapidement après quelques regards discret , elle poussa la porte du dispensaire pour faire son entrée..
Petitemary03

Une rencontre en taverne, un moment agréable avec cette dame, ne connaissant pas grand-chose d’elle mais le contact était bien passé, l’envie de la protéger ou plutôt de rendre service, la blonde ne savait pas trop pourquoi en fait, mais elle lui avait proposé le toit de son dispensaire pour une nuit ou plus, pas trop d’importance.
Elle et son futur mari pensaient que dame Tallyas serait en sécurité las bas, non loin de la ville certes mais suffisamment à l’écart pour y être tranquille.

Ils ne parleraient à personne de cette rencontre et resteraient discret le plus longtemps possible, lui laissant le temps de se cacher voire même de s’enfuir si les choses venaient à se gâter avec l’armée.
Mary était passée en soirée nourrir vite fait tout ses pensionnaires et préparer une couche vite fait à la dame. Quand celle-ci arriva enfin, elle l’accueilli chaleureusement et lui indiqua un petit coin au fond de la grange, près des écuries à chevaux inoccupées, une seule jument et deux poulains étaient présents en ce moment vivant principalement dehors.


Voilà dame, je vous souhaite de passer une bonne nuit. Lui montrant un coin suffisamment propre près de la table à soin : la bas vous pourrez vous servir du peu qu’il y a pour votre toilette et il a de l’eau fraichement recueillit dans la cruche sur la table. Elle lui sourit chaleureusement et s’en retourna vers la sortie et se retourna une dernière fois oh et si vous avez besoin prenez un de ces pigeons pour m’envoyer une missive ils sauront où me trouver.
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Donotach
[Le lendemain en fin d'après-midi]

Donotach renfrognait sur la route du dispensaire. Il avait dû attendre les Bétaris pour pouvoir quitter la maison. Mais ce faisant il avait presque anéantie toute chance de passé prendre les agneaux au dispensaire sans croiser Tallyas, leur invité du Berry. Enfin invité si on pouvait appeler cela ainsi car elle était plutôt leur réfugié politique qu’autre chose.

Mais bon il avait au moins réussi à tirer parti de l’oubli du fromage de Mary. Ben oui mentir ce n’est pas beau c’est vrai, mais bon à cette heure du fromage ben il n’y en aurait surement plus au marché et en plus il y en avait de prêt au dispensaire pourquoi en acheter aux autres quand on en a du frais fait? Alors il avait seulement tiré parti du stress de la journée pour détournée un peu les paroles en ce sens.

Il alla donc voir Piouf, la seule bouchère de la ville qu’il connaissait. En effet il fallait bien préparer la viande et bon il pourrait surement l’abattre seul mais pas au risque de perdre la viande par son manque d’expérience.

Il trouva donc Dame Piouf en taverne seul. Il lui parla donc de son projet et des risques associés à une telle entreprise, mais finalement elle accepta sa demande de l’aider. Lorsque fut le temps de sortir, Hans venait d’entrer en taverne. Il leurs dis donc qu’il se reverrait plus tard faisant un clin d’œil à La dite dame pour confirmer le projet.

Puis il alla à son atelier chercher le petit cadeau qu’il préparait depuis des semaines, oui oui des semaines car le temps manquait souvent d’y travailler. Le coffret avait été préparé avec amour car il avait été fait pour Mary de la Rivière, sa Mary.

Par la suite avait été rejoindre la dame à l’orée des bois. Et c’est ensemble d’un pas décidé qu’ils se rendirent au dispensaire. Pendant qu’elle l’attendait Dono alla voir si le chemin était libre. Il y avait bien la réfugié mais elle semblait bien dormir à cette heure, quel coup de chance. Tout ce qu’il espérait c’est qu’elle ne soit pas réveillée par l’abattage des bêtes.

En ressortant faisant juste assez de bruit pour vérifier le risque il retourna auprès de la bouchère et la dirigea vers un endroit où pensât-il ils auraient la paix. Pendant qu’elle préparait ses outil, surtout des couteaux pour cette fois il rapatria les deux agneaux et les apporta prêt à estre saigner.

Ils accrochèrent donc un cordage fait de nervure d’un animal quel qu’onques. Puis Dono prit une grosse massue, ressemblant un peu à celle qu’on lui avait offert en cadeau lors de son anoblissement, presque une vie antérieur pour lui maintenant. Il s’en voulait de faire cela mais avec juste un peu de chance sa douce ne repasserait pas par-là plus tard dans la journée et ne remarquerait l’absence des agneaux qu’après le banquet… enfin une fois mangé elle comprendrait surement le geste, il l’espérait en tout cas. Il tenta d’assommer la bête, il aura fallu s’y reprendre par trois fois avant qu’elle ne tombe finalement. Puis il fallait attacher l’animal par les pattes. Une fois fait, les 4 pates bien attachées, par un système brillamment installé avec le cordage. En fait il s’agissait de passer le tout sur une branche plus haute en passant la corde des deux coté. La branche servant à soutenir le poids à la base, il ne restait plus que l’effort de lever à faire. Enfin il tira sur les deux bouts qui pendait est sans trop d’effort il réussit à lever l’agneau du sol. C’est là qu’un couteau fut enfoncé dans la gorge et qu’un liquide rougeâtre se mit à couler. Avec des sceaux il fut récupéré. Une fois saigné, ils le mirent dans une charrette et procédèrent exactement de la même façon avec le deuxième.

Une fois le tout finalisé, l’emplacement fut nettoyé au maximum et Dono raccompagna la bouchère chez elle en se rendant à sa maison avec le repas principale de la réception.


Merci pour vostre aide, elle fut grandement appréciée. La prochaine fois je saurai comment l’on fait dit-il en souriant, content d’avoir appris quelques choses de nouveau.

Puis il retourna à sa chaumière,espérant que sa future épouse ne ce demanderait pas pourquoi il avait été si long.
Donotach
[Plusieurs jours après le mariage]



Les festivités étaient derrière eux maintenant et il fallait revenir à la vie réel. En effet ce n'est pas parce-qu'on est de jeunes mariés que les tâches peuvent estre abandonné, loin de là.

En cette journée des mines, Mary avait fait la part pour le couple en s'y rendant, elle ne pourrait plus le faire très longtemps mais pour le moment cela allait encore.

Pour sa part Dono en avait profité pour allez voir s'il y avait des nouveau en taverne et il y avait rencontré des gens. Une fois les discussions terminé il se rendit au dispensaire.

L'endroit avait bien besoin d'un nettoyage, il s’affaira donc à tout nettoyer bien comme il faut, a nourrir tout ces animaux et à donner les soins comme son épouse le lui avait apprit. Peut de nouveau arrivant dernièrement ce qui donnais un peu de répits à la bourse.


Bon bon le ménage est fait ensuite se demanda-t-il?

Et si on entrainait un peu les chiens ce serait plus facile de leurs trouver de nouveau maistre par la suite.

Il passa donc une bonne heure a travailler avec eux, leur montrant en autre a s'assoir leurs donnant une petite récompense lorsque le commandement était bien exécuté...
Petitemary03
[Au chaud dans son lit dans sa petite chaumière près de son mari]

La vie à Loches était paisible, bien entendu sans les berrichons tout irait encore mieux... Une journée ici n'était pas de tout repos, entre la forge, les animaux du dispensaire, la défense de Loches, son couple, sa grossesse, ses amis... pfff un tas de chose à faire et à penser pour une tête de blonde.
Ce matin précisément elle avait reçu un courrier, pas levé de son lit que ce fichu pigeon cognait au carreau de la maisonnette.
On lui demandait de l'aide... encore... un grand soupire, un énorme baiser sur les lèvres endormies de son mari et hop la voilà prête à affronter une nouvelle journée.

Il fallait récupérer des sceaux, plus rien sur le marché... pas le temps d'en faire avant demain heureusement que son ptit mari prévoyait de garder un peu de réserve au cas ou...ben là c'était un au cas ou, pas le temps de passer à la rivière ce matin, une toilette courte et brève ferait l'affaire, un sourire radieux à son mari enfin réveillé, il avait grave la tête dans le derrière, ses nuits passées sur les remparts ne facilitaient pas sa vie en ce moment.

Je file... à plus tard mon doux époux... je t'aime un chaleureux baiser sur sa joue, une miche de pain dans la main, sa besace dans l'autre, son gros ventre de femme enceinte bien présent aussi oui je fait faire attention à moi souffla t elle en levant les yeux et ricanant de l'attitude protectrice que son mari pouvait avoir envers elle, et la voilà qui fila au dispensaire pour fouiller dans la réserve.


[Au dispensaire]

La seule vache présente ici allait bientôt vêler, on pourrait dire qui se ressemble s'assemble mais Mary pourrait bien se vexer à ce moment précis... Elle fut un peu rassurer de la voir debout, un ptit sourire se dessina sur son visage, les yeux en direction du ciel nuageux " merci mon dieu, vous êtes sympa avec moi en la faisant attendre encore un peu" ce n'était pas le jour, pas la semaine en fait, alors de ne pas avoir à s'occuper de ça en plus soulageait la blonde en quelque sorte.

Elle pouvait s''atteler à sa tâche de recherche de sceau tranquillement, une fois la main posée dessus, elle le plaça bien en évidence devant l'entrée de la grange pour ne pas l'oublier avant de repartir, comme elle était là elle en profita pour nourrir tout ce beau monde, vérifier que tout aller bien pour ces animaux, certains étaient partis, de nouveaux étaient arrivés, ce dispensaire marchait plutôt bien, une belle réussite pour la ptite Mary.
Quand se fut enfin le moment de partir au marché pour vendre le sceau, à peine l'avait elle agrippé qu'elle l’échappa à la vue de la vache à terre...

Oh non se disait elle tout en se dirigeant vers elle, pas maintenant !!!!, une énorme grimace en direction du ciel grrrr
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Donotach
[Au chaud dans son lit dans sa petite chaumière près de son épouse]

Un pigeon l’avait tiré de son sommeil, mais il le temps de se s’étirer pour estre prêt à se lever que sa belle avait déjà ramassé la missive. Une urgence pour faire changement. Mais Dono n ese laissa pas démonté pour autant et serra son épouse fort dans ses bras Moi aussi je t’aime ma belle épouse Comme il allair lui dire de faire attention à elle, elle l’avait devancé. Un sourire se dessina sur ses lèvres et il l’embrassa avant de la laisser partir.

Puis une fois qu’elle eut passé la porte il se leva et fit ses exercices matinal et pris un bon petit déjeuner. Comme à son habitude il alla entrainer le jeune Batti quelques heures.


[Au dispensaire]

Après l’exercice il se rendit comme d’habitude au dispensaire. Petite marche au travers des bois en compagnie d’Anoki qui s’en donnait avec joie à courir partout entre les arbres, revenant vers son mestre pour repartir de plus belle.

Une fois arrivé au dispensaire un bien étrange spectacle l’attendait. En effet Mary était devant la vache qui elle était couchée par terre


Oh quel surprise mon cœur ce matin. Tu as fait ton urgence? Ayant reçu une réponse négative il prit l’initiative bien qu’il n’avait aucune idée de comment faire on improviserait. Après tout une vache sa doit bien vêler toute seule.Aller v afaire tes affaire je m’occupe de la vache et à ton retour tout sera surement fait.

Une fois Mary parti il s’occupa tant bien que mal de la vache qui donna naissance à un beau petit veau environ une heure plus tard. Beaucoup plus épuisant qu’il ne l’avais cru il fallait l’aider elle à sortir le veau de son ventre. Mais une fois fait elle s’en occupa s’elle-même.

Un fois tout bien nettoyé et bien rassuré que le veau allait bien il alla chercher Mary pour lui dire la bonne nouvelle et passé par les tavernes fêter cela.

[La taverne]

[i]Une fois rendu devant les taverne avec sa belle, il aperçut par la fenestre son amie Rhiana qui revenait de croisade avec un sir, il regarda donc sa tendre épouse
C’est Rhiana là avec un sir on va les voir tu veux bien?

Ayant approuvé ils entrèrent en taverne, firent la bise à dame Rhiana et comme Mary connaissait le messire elle le présenta à Dono. Elle lui en avait parlé un peu plus tôt, comme elle ne savait pas trop bien tricoté, ce messire avait offert de l’aider. Dono était donc content de rencontrer le nouvel ami de sa belle. Mais il fut fort surpris de sa présentation qui le choquât au plus haut point. En effet il s’était présenté comme l’amant de son épouse. Quel manque de savoir-vivre envers son épouse et lui même, cela il ne pouvait point l’accepter. Ce triste sir ne savais pas ce qu’il venait de faire surement, mais ce mestre à dos un époux protecteur n’est jamais une bonne chose et c’est exactement ce qu’il venait de faire.

Malheureusement pour Dono, sa hargne l’empêcha de voir tout l’amour que sa belle lui portait. Elle était parti fâché et bien qu’il avait tenté de la rattrapé il se rendit compte que ce n’était pas le moment de discuter. Il retourna donc en taverne et discuta longuement avec son amie ce qui lui fit le plus grand bien et il se promit que plus jamais cela n’arriverais. Son épouse était plus importante que tout pour lui.
Petitemary03
[L'amour, le mariage, les enfants....]

Mary savait qu’elle pouvait toujours compter sur son mari, un homme de nature très serviable et encore plus dévoué avec sa femme.

Voilà plusieurs jours que la belle blonde voulait faire une surprise à son mari, très heureux de devenir bientôt père, il voulait lui montrer qu’elle était impliquée dans cette grossesse, chose non fausse, même si c’était une chose très effrayante pour la jeune femme et qu’elle n’était pas pressée de mettre au monde cet être si fragile, trop fragile à son goût…

Bref la surprise en question n’avait rien à voire avec les habitudes de la blonde, faire du tricot ne faisait pas partie de ses loisirs et encore moins de ses apprentissages de jeunesse, sa mère pratiquait cette activité régulièrement mais n’étant pas proche du tout d’elle elle n’avait jamais pris le soin de lui inculquer les bases importantes que les jeunes femmes se devaient de savoir faire. Ah si vous lui demandait de couper un morceau de bois, de grimper aux arbres, de se battre, de mettre ses mains dans la boue, de forger ou toutes autres activités fort salissante, ça pas de soucis son père et son frère lui avaient bien montré mais tricoter ! Quelle idée elle avait eut encore là !

Tout ça pour dire qu’un peu plus tôt dans la semaine elle avait fait la connaissance d’un messire, lui savait faire tout ça, sa grand-mère le lui avait bien montré, alors il avait proposé son aide, chose bizarrement bizarre pour un homme mais bon…

Il en va de l’amour de son homme de ne pas supporter le regard des autres sirs sur elle, et ce jour ci, par un blague fort déplacée, ce sir en question se présenta a Donotach comme l’amant de sa femme ! Quelle sottise en effet, elle aimait tellement son mari, jamais elle n’aurait osé faire cela, mais comme à son habitude, il se braqua et rien ne pouvait lui faire entendre raison, un mari possessif qu’elle avait trouvé, sa vie promettait d’être sauvagement mise à l’épreuve, alors oui la belle était partie fâchée, fâchée de ne pas se faire entendre, fâchée de ses réactions excessives, fâchée de cette confiance mise à l’épreuve constamment, les hommes posaient son regard sur elle, beaucoup essayés d’arriver à leur fins avec elle mais jamais elle n’avait répondu aux avances de ceux-ci, le bon dieu l’avait faite ainsi, jolie, soit disant les dires de certains, toujours vêtues de braies et le décolletés bien caché, elle ne faisait rien pour attirer le regard des autres et parfois même elle avait espéré secrètement devenir laide pour qu’on la laisse tranquille ! Elle vivait déjà bien à l’écart des autres que voulait-il ? Qu’elle se coupe du monde définitivement ?

C’est d’un pas décidé qu’elle avait quitté la taverne, allant se coucher directement, demain serait un autre jour !

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Grimoald
[Le lendemain dès l'aube, à l'heure où les oiseaux ne gazouillent pas encore et où les laboureurs ne battent point déjà la campagne...]



Le nain avait passé la nuit sur les remparts. Rien ne s'était passé, et la ville dormait encore. Flânant dans les rues encore désertes, il se souvient qu'il avait promis à Dono de se rendre au dispensaire enfin de leur donner un coup de main. Il ne pouvait plus travailler à la mine, mais il avait encore le temps pour les menus travaux du dispensaire.
C'est donc en sifflotant de vieux refrains appris au cours de banquets plus qu'arrosés du temps où il était encore un jeune adolescent auvergnat. De ces vieux refrains qui faisaient, à l'époque, rougir les pucelles et les bonnes dames; grommeler les vieux imbécile, frémir les veuves et glousser les ivrognes.
C'est donc tout guilleret, ne se rendant même pas compte que le jour ne s'était qu'à peine levé, qu'il arriva au dispensaire. Sa mère, si bonne fût-elle, aurait tout de même put lui expliquer qu'on ne frappe aux portes si tôt. Rien à faire ! De toute façon, ce bougre de nain ne prit même pas soin de frapper à la porte...



-"Ohhhééééééééé !!!! Y'a Queeelqu'uuuunnn ????!!!!!"
Hurla t-il sur le perron.

Puis, un bref éclair d'intelligence le frappa. Quelque seconde seulement, rassurez-vous, mais celui-ci le poussa à décliner son identité.


_"C'est Grimoald ! Parait qu'vous avez besoin de bras ?"


* Mais le nain se rappela que Dono et Mary, comme lui, étaient sur les remparts ce soir-là. Aussi, il fit demi-tour après avoir laissé un petit mot sous la porte. On pouvait lire : "Je suis passé, il n'y avait personne. Je repasserai demain.".
Mais, du jour de sa visite à sa mystérieuse disparition quelques jours plus tard, on ne revît point Grimoald aux abords du dispensaire.

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Petitemary03
[Aout, le mois du repos, le mois du beau temps...]

Les semaines passaient, les Lochois avaient désertés, Taya et Hans disparus, Grimoald idem, Dono, lui, guérissaient, petit à petit il se remettait de ses blessures, Mary s’émerveillait de le voir progresser si vite et le bonheur pouvait se lire sur son visage. C’était une femme plutôt discrète avec des choix de vie certainement différent de certains mais elle assumait ce qu’elle était devenue, une femme simple mais loin d’être parfaite.
Elle vivait une histoire d’amour formidable au côté de Dono, une histoire qui avait bien débutait mais qui avait faillit chavirée à plusieurs reprises, en fait c’est quand on perd ce que l’on aime qu’on se rend compte qu’on les aime.
La vie fait peur, le bonheur fait peur, la peur de perdre tout ce qu’on a, voilà ce que la blonde ressentait au fond d’elle, la peur de perdre la seule personne qui lui permettait de vivre.
Cette agression auprès de son époux avait fichu un sale coup au moral de Mary, mais depuis son rétablissement, elle se plaisait à croire qu’elle aussi avait le droit au bonheur.
Ces derniers jours avaient défilaient tellement vite qu’elle ne se souciait plus de sa grossesse, une grossesse pourtant bien avancée ! Peut être que le fait de ne pas y penser l’aidait à accepter l’idée qu’elle allait bientôt devenir maman. La trouille l’envahissait rien qu’en osant penser au mot maman…
En ce petit matin, rien n’allait comme elle voulait, Laya avait fuit la maison, aucunes idées du lieu ou elle pouvait être allé, la tarte aux pommes avait brulait et son ventre tendu gonflait par moment et au rythme de sa respiration se détendait doucement.
Donotach était un mari très compréhensif et faisait tout pour aider sa petite femme, qui au fil des mois ne lui avait pas facilité la vie.

Je vais aller me baigner un peu, mon cœur, elle suait de chaleur, ca va me faire du bien. Elle fila en embrassant tendrement son époux si tu veux bien me conduire au dispensaire après, j’ai une brebis à tondre. Elle lui sourit tendrement et caressa sa joue au passage a de suite…
Ce petit tour dans la rivière qui longeait leur modeste demeure lui avait fait un grand bien, plus détendu, son attention se portait sur ses douleurs abdominales devenues de plus en plus intense mais qui restaient supportable.
Ne voulant pas alarmer Donotach pour rien, ils firent chemin ensemble sur la charrette, sentant bien le regard en biais de son époux, elle savait qu’il l’a connaissait mieux que personne, mieux que son frère même !
Ca va chéri, je pense que se sont des contractions, une main posait sur le bas de son ventre elle se redressa sur elle-même accompagnant son geste d’un petit Ouilleeee, en fait elle ne voulait pas ouvrir les yeux sur ce qui se passait et faisait comme si tout allait bien comme si cela repousserait ce douloureux moments auquel elle ne pourrait échapper.
Hum bon et bien tu m’aides à descendre stp ? Elle lui sourit en cachant sa douleur au mieux et pour masquait le fait qu’elle ne puisse tout simplement pas descendre seule elle ajouta sur un ton de plaisanterie, ben oui hein, faut bien que tu fasses marcher tes muscles à nouveau !


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Donotach
Donotach reprenait de plus en plus de bien. Quand il ne s'occupait pas de sa douce et qu'elle était hors de la maison il en profitait pour s'entrainer en secret. Sa plaie c'était refermé et la souffrance disparaissait avec le temps et les excercices.

Par contre un nouveau mal rongeait de plus en plus Dono, en effet le peu d'actions à Loches faisait en sorte qu'il se morfondait. De plus, il 'en voulait de plus en plus d'avoir mis son épouse en famille. Il aimait les enfants plus que tout et avait été heureux lorsque celle-ci lui avait apprit porté son enfant. Il pensait qu'avec le temps et la grossesse elle finirait pas développé un semblant de coté maternel. Dono avit prit bien soin de Mary et avait parlé à l'embryon tous les jours qu'il avait été en mesure de le faire. Il lui avait également chanté plusieurs contine en espérant que cela faciliterait le passage entre le ventre de sa mère et la vie avec les grands.

Mais malgré tout cela rien n'y avait fait et sa douce moitié ne s'était jamais fait à l'idée de porté un enfant. Cela avait miné nostre ancien soldat au point qu'il maudissait les dieux qu'elle soit en famille de lui.

Il tentait de caché son humeur, mais il en était rendu au point qu'il ne désirait plus cette enfat et qu'il se demandait vraiment ce qui arriverait après la naissance. Une mère qui ne veux plus d'enfant et le risque d'avoir un père qui ne l'aime pas. La situation semblait devenu un réel impasse. Pauvre enfant, comment en était-il rendu ainsi à ne plus l'aimer? Que ferait Mary une fois qu'il serait sorti de son ventre, elle qui avait si peur et que même Dono n'avais jamais été en mesure de rassuré? Un future sombre semblait pointer pour eux!

Puis Il sorti de ses rêveries en entendant sa tendre épouse.

D'accord mon ange, avec cette chaleur, une bonne baignade te fera le meilleur des biens. Je vais aller atteler Chancery pour te conduire au dispensaire, on y retrouvera peut-estre Laya

Une fois sa baignade terminé et le cheval atteler, il avait été la rejoindre et l'avait aidé à revenir à la maison. Une fois qu'elle fut habillé il la suive à la charette et l'aida à y embarquer, voyant ses grimaces mais ne disant rien, gardant pour lui ces remarques.

Puis il aida sa belle à descendre.

Tu vois mon coeur, lorsque tu es absente j'en profite pour me refaire une forme et faire marcher mes muscles à nouveau. J'ai presque retrouvé ma forme et ma force physique de lorsque j'ai quitté l'armée maintenant. En fait il s'entrainait aussi au armes mais cela il ne lui dirait pas pour ne pas l'imquiété.

Puis il l'embrassa tendrement avant de lui tendre le bras


Tu viens mon coeur, j'ai une brebis à tondre et je compte sur toi pour me monter comment faire
Fauve
Fauve réussi enfin à trouver le dispensaire que lui avait indiqué Loann. Elle pousse la porte discrètement et se faufile dans l'ouverture. L'endroit semble désert.
Elle longe les couloirs pour essayer de trouver quelqu'un qui pourrait l'aider.


Heuuu.... hey oooh ! Y a quelqu'un ? Je cherche un médicastre, ou une personne qui aurait quelques connaissances de médecine...
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