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[RP]Cathédrale de Tours

Padremanuel
Qui a amené de quoi manger?

Frère PadréManuel passa dans la sacristie où il avait déposé des pains qu'une âme charitable avait cédé à très bas prix, comme quoi il y avait encore des personnes non intéréssé sur notre royaume

il souleva et renversa la panière, sur une table qui n'attendait que ça, sur le côté de l'Autel

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Vever
vever vi le panier se renversé
et vie le moment du pain du seigneur

il fit grand sourire avant de reprendre les occupations habituelles.
il s'apprcha de l'autel tout hésitant
Constantin
Constantin sautilla joyeusement d'un air joyeux vers l'autel. Du pain ? Il en mourrait d'envie... Il avait ramené quelques fruits, à partager avec les autres. La ceuillette fut bonne, au verger. Voyant, près de l'autel, un homme hésitant, il prit un pain, qu'il rompit en deux, et le tendit au jeune homme.

Tenez, n'hésitez pas ! Le partage se fait de bon coeur, messire, chez les Aristotéliciens !

Il lui fit un sourire, ne pouvant s'empêcher de croquer dans un morceau de pain un peu tiède encore... Miam !
Minlawa
Voyant un fidèles et Constantin aller vers l'autel alors que le banquet Se passait dans la nef, sur des tables... comme un banquet quoi...

Que faites-vous mes frères, venez manger avec nous!

il ricane

Vous n'allez pas manger sur l'autel quand même.
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Vever
vever s'approcha der l'homme
et prix se qui lui tendit



bien merci a vous cher monsieur


vever le remerci en souriant.
--Sonneur
Sonneur aimait faire sonner les grosses cloches de la Cathédrale, mais là , oh non qu'il aimait pa sça
Aujourd'hui c'était le bruit sourd de la grosse cloche pour appeler les fidèles au receuillement, un enfant était mort

Il arriva au presbitère, et alla directement faire son office, avant d'attraper la lourde corde , il fit une prière pour le petit Dastan, qu'il rejoigne le paradis solaire

Il attrapa la corde et tira de toutes ses forces, au lieu d'un son chantant, la grosse cloche, faisait tinter un bruit sourd et mélancolique, pour sur il iamait pas cette cloche ....
Hansreudi
Bien qu'il n'était pas un adepte inconditionnel de ce genre de cérémonie, comme personne espérons le, le Balafré se devait de venir à l'office. La messe avant d'autant plus de force et de drame puisqu'il s'agissait d'un enfant.

Il était là lors de sa venue au monde, il serait là lorsqu'il rejoindrait le Très Haut.

Que ce petit être qui n'aura connu que bien peu de choses de la vie existe pour l'éternité auprès de Dieu.

Entre deux rondes sur les remparts, il se dirigea à la cathédrale. Il entra, le sonneur appelait à la cérémonie. Il s'installa sur un banc.

Il avait prévenu sa Belle de la cérémonie, n'ayant pas été avisée, et il l'attendait patiemment. Si son état de santé le lui permettrait.

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Princedusud


Le Vicaire avait fait le déplacement depuis Chinon.Malgré qu'il avait mis des vêtements chauds,il était gélifié.Il se dirigea de suite à la sacristie pour se réchauffer auprès du poële avant d'aller mettre sa chasuble et d'attendre les clercs.


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† Seigneur de l'Abbaye de la Virginité †
Ellana
Ellana avançait à l'avant du cortège funéraire, le corps très amaigri par de longues semaines sans réel repas, les cheveux mal coiffés voir pas du tout remplaçants son habituelle natte brune courant le long de son dos, le teint blême, les yeux rougis par les pleurs, cernés par les nuits sans sommeil, le regard dans le vague, absent, l'esprit ailleurs.
Quiconque la voyait pouvait deviner la profonde tristesse qui l'assaillait, le masque qu'elle avait tenu devant elle de longs jours avait volé en éclat, faisant apparaître, ce qu'elle était désormais devenue, un corps sans réelle âme, perdu.

Elle suivait Cerbere qui transportait le corps de son fils, ainsi que Lladrane qui se dirigeaient vers la Cathédrale, faisant le chemin depuis le manoir de la Rémonière. Elle avançait le pas étonnamment sur aux vues de son état de faiblesse. Elle y mettait à vrai dire tout son courage, il lui fallait tenir, ne pas s'effondrer, finir ce qu'elle avait commencé.

Le rues de Tours allant jusqu'à la Cathédrale semblaient infinies et le temps semblait s'être totalement figé laissant Ellana dans un état second.
La Cathédrale approchait enfin, elle pouvait la voir, maintenant il allait falloir supporter toute la cérémonie sans faillir, elle qui ne tremblait pas devait les armées était écrasée par la tache qu'elle devait accomplir et par le flot de chagrin qui la pourchassait.

La Cathédrale approchait encore, elle semblait si loin à Ellana et était pourtant maintenant tout près. Bientôt elle franchirait le seuil, bientôt elle serait dedans, bientôt elle allait s'asseoir et prier, avec ferveur.
Ce bientôt arriva bien plus vite que ce à quoi elle s'attendait, son corps frêle rendu risible face à l'imposant bâtiment dont les cloches sonnaient l'appel au recueillement.

Elle passa la lourde porte s'engouffrant dans l'ombre de l'édifice, ses yeux mirent du temps à se faire à la demi obscurité ce qui la fit patienter quelques secondes à l'entrée avant de reprendre sa marche. Hans était apparemment déjà là, c'est à peine si elle le remarqua, et quand elle le vit enfin, moins d'un mètre les séparaient, après un instant d'intense réfection sur le comportement à aborder, et sur ce qu'elle se sentait capable de faire elle le salua d'un léger signe de tête avant de s'avancer vers le premier rang pour aller s'y asseoir, saluant aussi dans la foulée Prince.

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Linexiv
Franchir les portes de la cathédrale... Une chose que Line n'avait plus fait, depuis... Que les curetons les y avaient enfermés parce que le futur Chateau-Renault était en retard... Un autre temps... Ou pas.

Pourtant, elle avait bien dû s'y rendre, chose regrettable. En raison de l'évènement qui l'avait mené ici-lieu, évidemment. Rendre un dernier hommage au petit Dastan qu'elle n'avait pas eu l'occasion de trop connaître...

Mais par respect et amitié pour la mère, elle se devait d'être là, même si leurs chemins s'étaient quelque peu éloignés ses derniers mois, depuis la longue maladie qui avait frappé leur suzerain, il n'en demeurait pas moins que Line connaissait Ellana depuis fort longtemps... D'ailleurs, ne devait-elle pas la vie à ses travaux de couture?

Pourtant, à choisir encore, elle aurait préféré marcher une fois encore à ses côtés sur un champ de bataille.... N'importe quelle autre blessure plutôt que de voir Ellana subir celle-ci. Petit Dastan à qui l'avenir promettait chevalerie et autre cavalcade et qui n'aurait qu'un linceul...
Et un caveau pour remplacer la cour où il aurait eu à faire ses premiers pas...

Dans un frisson, Line s'efforça de chasser ses atroces pensées. Devait-elle remercier Aristote de ne pas avoir encore d'enfants? Pour ne jamais avoir à surmonter telle épreuve...

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Kayhan
Jamais elle n'aura remis autant les pieds dans un lieu de culte que depuis qu'elle a promis de s'en abstenir.

Les mauvaises langues peuvent aller se ranger derrière les mauvaises ratiches : oui, elle demeure de confession romaine, et non, elle n'a point viré réformée, n'en déplaise.
Pour autant elle a quelques fichues bonnes raisons de bouder les lieux de prêche.

Mais il s'agit d'Ella.
De son fillot, qu'elle a peu connu, voir entre-aperçu certes.
Elle avait insisté pour qu'Ellana le rapatrie à ses côtés à Bourges, alors que la ville était sous Régence, et que ça menaçait de tous les côtés.
Le gamin avait survécu au trajet Touraine-Berry en plein conflit, à une capitale Berrichonne sous contrôle armé, à un retour en Touraine avec reprise du château en prime.

C'était pour mieux mourir d'un quelconque mal en sa tranquille et douillette demeure.
Ça laisse rêveur qui craint de lever son fessard de la chaise et a du mal à sortir de son champs de blé.

En chemin, la brunette pense à Tidus, qui confectionnait à ce môme des jouets de bois.
Tidus lui aussi, ancien équipier de chasse, ancien équipier de lame, de tout ce que vous voulez qui fait calancher jeune.
Mort à Tours d'acédie, aux dernières nouvelles.

Restez cloîtrez derrière vos portillons et huisseries.
A croire qu'on n'en meurt que plus tôt.

Elle se fait violence, et passe la lourde porte.
Parce qu'il s'agit d'Ellana, donc, qu'elle connait depuis longtemps, et qu'elle apprécie depuis toujours.
Comme c'est sa place, en tel lieu et en tel moment, et comme elle l'a écrit à Ella un peu plus tôt, elle restera au fond, près de grand-porte.
Les bras, croisés, attentive.

Elle sera à ses côtés si besoin pour l'après.
L'après mascarade, où souvent le masque se fêle et tombe, où on se sent pas obligé de tenir bien droite la façade parce qu'un cérémonial impose dignité.

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Lladrane
Le chemin jusqu'à la Cathédrale, fut long, et pénible, lladrane s'approcha d'Ellana et ils entrèrent dans l'édifice
Cerbère déposa l'enfant au centre de la nef, là lladran plaça les cierge autour de 'lenfant et les alluma, elle se signa et partit se préparer, revêtue des habit de deuil, elle vint prendre place près de Prince et attendit les autres clercs et amis des Parents

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Genievre_derosebourg
Il lui fallait du blanc, tout simplement, la couleur de la pureté.
Elle passa donc sa robe blanche, enfila ses bas, ses chausses et mit un chaud pull en laine.
Elle enfila son écharpe, elle espérait qu'Ara la rejoigne à l'Eglise.
Elle confia ses enfants à une nourrice pour l'après-midi et enfila ses gants avant de sortir, sa cape noire sur le dos.

L'air était frais, mais le ciel était d'un bleu limpide.
Elle soupira et rejoignit l'Eglise.
Ellana était là, telle une locque humaine.
Elle s'approcha d'elle, la serra fort dans ses bras.

Elle s'assit auprès d'elle, lui tint la main.
Elle voulait lui communiquer toute sa force.
"C'est dur d'oublier ce qu'on connait et qui imprègne nos peaux"*
L'épreuve était dure.
Le jour peu charmant vu les circonstances.

L'air qui entrait dans l'édifice était radouci.
Genièvre se pencha vers son amie, qu'elle avait l'impression de connaître d'une autre vie, lui souffla au creux de l'oreille:

Si tu le veux bien, je dirai quelques mots...
Paysans01
paysans resoit un pigions de l'ellana il ses demede si ses pas pour aller de battre il louver et s'aprésoit que cette par l'arme mais personelle il avaos a lire les mot mort enfant ellana]

il va a la cadedrale pour l'enterment du babin a aus sergent ellana nomée Dastan il saluas tout les personne et s'intala sur banc

et commence petit priere


Cher aristode pourquoi tu ellevenes des enfant si jeune il avais tempts a aprender pour quoi donc ellana a fairs quoi de si terrible pour avoirs cette si méchante punistion la prie de touts ??

je demende de bien veiller sur une si belle choses metenins que tu la pris fait quelle soit parmi toi je ten coujure

eux je demande de bien viellier que notre sergent soit hereuses je tent conjure je ferais mon maximun pour elle et elle sais bien

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Camille.
Elle avait veillé sur sa vie durant plusieurs semaines cet été là. Elle l'avait vu grandir avec son fils à elle, sorte de grand cousin de quelques mois du petit Damian. Elle avait encore en tête ses rires et sa gaité, ce regard aussi déterminé que sa mère. Elle avait mis du temps à se décider, assise un peu prostrée dans sa chambre. C'est Altaiir qui était venu gentiment la secouer et lui dire qu'il fallait se préparer. Lui toujours si bougon et fier, c'était montré doux et attentif, un peu inquiet pour elle et infiniment triste pour Ellana.

Les vêtements de lin blanc avaient été glissés sur son corps machinalement, un manteau passé sur ses épaules et ils avaient choisis la chevauchée pour rejoindre Tours et la cathédrale. Les montures confiées au bedeau, elle était entrée dans le lieu saint. Elle se refusait de tenir compte de la présence de certains, de laisser les querelles assombrir plus encore ce jour funeste et d'un pas calme et discret, elle s'était approchée doucement d'Ellana pour glisser entre ses mains un petit linge oublié au domaine, chargé de souvenirs, comme un signe que certaines choses ne seraient jamais oubliées. Puis, après un geste de soutien et un regard attentif, elle avait rejoint les traverses de la cathédrale pour assister à l'office funéraire.

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