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[RP]Cathédrale de Tours

Lladrane
Lladrane sourit de voir princedusud courir et elle remonta la nef, elle répèta avec lui

IN NOMINE DOMINI, ET CHRISTI ET ARISTOTELIS

AMEN!

DOMINUS VOBISCUM
ET CUM SPIRITU TUO


puis avec les fidèles récita le confidor


_________________
Karl06
Karl participait à l'office, avec tous les fidèles il reprenait les prières aristotéliciennes.
_________________
Madalène, incarné par Linexiv
Juste avant que les curetons prennent la parole et ferment le clapet par la même occasion de la commère, respect oblige, la Madalène ajouta en direction de Ginette, le front plissé par tant d'efforts et pratiquement submergée par sa déduction.

Tu vois la Ginette, j'crois bien que c'est pas si simple, ta Rhiana, elle aime peut-être être bien placée, c'est humain, ma foi. Sauf, qu'elle voulait p'tre ben servir tout court? Les curetons sont bien là pour servir Dieu non? Qu'elle était fière de sa constatation la Madalène Si tu vas par là, le premier serviteur de Dieu, c'est celui qu'est le mieux placé, l'archevêque donc servir l'archevêque c'est servir Dieu avec honneur tout ça Son crâne allait-il exploser? [/¡] Mais t'inquiète la vieille, j'te rejoins sur un point, l'archevêque, l'est breton et il pense plus à sa vie terrestre qu'à l'autre.
Mais p'tre ben qu'elle s'en rend pas compte la Rhiana ou que plutôt, elle suit son devoir? C'est couillon le devoir des fois... J'suis ben contente de pas en avoir tu vois!


[i]Et la bonne femme de hocher gravement de la tête.
--Le_bedeau
Pendant que certaines déblatéraient durant la messe, le simple gars qui croyait dans le Très Haut causa à son chien, qui bien entendu était lui aussi à la messe.

- Tu vois Péenjy, faut se méfier des idées toutes faites. J'suis sur que tu réfléchis plus sous ta calotte de chien que certains humains.
Les curetons sont des...
Les bretons sont des ...
Les berrichons sont des...
Les angevins sont des ...
Et les romains, et les bourguignons, et la tête ...Alouette...
Réfléchis y bien mon cabot.
Vas mon gars, écoute la messe c'est plus édifiant que la bêtise humaine. Comme ça tu viendras avec moi au paradis du soleil.
Merrin le novice, incarné par Linexiv
Froid était le dallage, une caresse si apaisante qui lui permettait d’oublier la douleur de son agenouillement. L’aube n’était pas encore levée que le jeune Merrin était déjà au pied de la statue de Saint Martin. Nul n’était plus beau à ses yeux que le soleil naissant à travers les vitraux, il pouvait même y voir la main de Dieu.

Longtemps, il était demeuré immobile jusqu’à ce que le résonnement des cloches lui transperce le corps et l’âme. La sainte messe, bientôt, il pourrait communier et recevoir le pardon.
Depuis sa toute petite enfance, il n’avait pas plus beau souvenir que la clarté d’une Église auprès de sa mère. À la mort de cette dernière, il avait décidé de consacrer sa vie à Dieu et entendait prononcer prochainement ses vœux. Ainsi sa chère mère pourrait gagner le paradis solaire et voir ses péchés absous.

Les participants entrèrent et il se releva pour prendre place sur un banc, tout près de ceux réservés des nobles tourangeaux. Et muet, il attendit l’entrée des clercs. Sa sainteté l’archevêque ne serait pas présente toutefois, bien loin encore. À cette pensée son cœur se serra. Et dire que la soldatesque venait de se promettre à l’enfer lunaire en ayant osé s’en prendre à son éminence Verty ! Fermant, les yeux, il adressa une nouvelle prière à l’intention de cette sainte femme.

Son cœur se consola à l’entrée des Chevaliers Francs si valeureux et de l’archiprêtre Lladrane suivi du vicaire général Prince du Sud. Si seulement, il avait été plus fort, c’était les armes à la main qu’il aurait aimé servir Dieu !

L’office commença et les bonnes femmes du fond se turent alors qu’un chien continuait de gémir. Que faisait un animal dans la maison de Dieu ? Mais ce n’était pas à lui de juger et tout entier à sa communion, il psalmodia à la suite de l’officiant.
Lladrane
Elle reprit la parole en se plaçant derrière le pupitre et ouvrit le livre des vertus

Voici un extrait de l'hagiographie de Saint Thomas :


Citation:
Le miroir aux princes

Thomas se trouva donc au service du comte du Languedoc. Ce dernier venait chaque soir prendre conseil, soucieux qu’il était de conformer sa politique aux principes aristotéliciens, que Thomas semblait fort bien connaître.

Un beau jour, le seigneur vint lui annoncer sa volonté de guerroyer contre un comté voisin. « Ces pourceaux ont porté atteinte à mon honneur, je vais leur donner un bonne leçon », dit-il. Thomas exprima son désaccord en ces mots : « Monseigneur, vous ne pouvez faire couler le sang des fidèles pareillement, pour une question qui ne touche qu’à votre honneur ». Le comte fut mécontent, et demanda à Thomas quelle était la raison de ce démenti. Thomas lui répondit ainsi : « Avec tout le respect dû à votre rang, il faut que vous sachiez que votre glaive ne peut être sorti de son fourreau que sur injonction de l’église, au moins avec sa bénédiction ».

Le comte ne partageait nullement cette position, et le fit savoir ainsi : « Mais je suis un prince. En cela, je fais comme bon me semble. Tu m’avais dit tantôt qu’il fallait bien distinguer ce qui est de la sphère spirituelle, de ce qui est de la sphère temporelle, n’est-il pas ? Voilà bien, la guerre entre comtés, une chose qui échappe à l’esprit. Il n’y a rien de plus terrestre ». Thomas lui répondit : « Certes, Monseigneur. Mais cela ne signifie pas que les deux sphères soient sur un pied d'égalité. Tout pouvoir vient de Dieu par le peuple. L’autorité temporelle n’est autonome qu’autant qu’elle conserve ce principe en mémoire. Elle ne peut donc gouverner que dans le respect de la norme qui la fonde, par là même avec l’assentiment de l’église. Elle doit conformer ses actions aux opinions du clergé, et en particulier à celle de sa Sainteté le Pape, souverain de tous les souverains ».

Le comte n’appréciait que moyennement ces propos, et le fit savoir à Thomas : « Ce que tu dis est faux. Je tiens mon pouvoir du peuple, certes, mais avant tout du roy qui est mon suzerain. L’église n’a rien à voir là dedans. Je veux bien qu’elle me conseille, comme tu le fais, mais qu’elle m’impose, jamais ! Mortecouille ! ». Thomas ne se démontait point, et rétorqua au seigneur : « Le roy tient aussi son pouvoir de Dieu. Et comme le peuple ne fait qu’exaucer la volonté de Dieu en vous plaçant sur votre trône, votre pouvoir est de nature divine par le haut et par le bas. Le glaive que vous brandissez vous est confié par Dieu, certes pas directement, mais Dieu étant la cause première de toutes les causes et de tous les effets, nul doute qu’il est aussi la cause de votre autorité. Or, l’église étant dépositaire de la parole divine, vous devez lui obéir. C’est ainsi, à moins que vous ne vous rabaissiez à la condition de tyran ».

Le comte, dans sa colère, eut ces mots : « Et quand bien même je serais tyran ! Je doute que Dieu me foudroie sur l’instant ». Et Thomas de conclure : « Certes, non. Mais vous seriez précipité en enfer par le peuple révolté. Si un titulaire du pouvoir se fait tyran, l’église doit appeler celui qui lui a confié son pouvoir, c’est à dire le peuple, à se soulever contre lui et à cliquer sur l’option ‘prendre d’assaut le château’, autrement dit à accomplir la volonté de Dieu ».

Le comte en eut assez de discutailler, et saisit Thomas par le col, afin de le jeter hors de son château. « Tu n’es qu’un piètre conseiller. J’en trouverai un autre. Par ma foi, tu es un boulet ! ».

Et Thomas de se retrouver, un fois encore, dans l’errance.


Plutôt que de proférer des "bla-bla" stériles dont vous ne sauriez que faire, je préfère vous inviter à entrer de plain-pied dans le domaine du concret en vous faisant part d'une réflexion qui m'occupe l'esprit depuis quelques temps,le "RESPECT".

Respect de l'Homme, respect des autres, de leur travail, respect à l'office, sur les chemins, dans sa famille, respect de soi aussi, ce sont là, parmi bien d'autres, les applications possibles du mot RESPECT, ce que je souhaite vous suggérer.

Dans nombre de province ou d'organisations, et parfois chez nous aussi, c'est encore la force, la peur et le pouvoir qui inspirent le respect : je condamne naturellement cet état de fait et souhaite que le respect que nous sollicitons de chacun soit pratiqué sans distinction d'âge, de sexe, de taille, de rang social ou hiérarchique.

Le respect concerne tout le monde et nul n'a moralement le droit de s'y soustraire.

Ce que je souhaiterais vraiment c'est que nous nous engagions à faire vœu de respect, que nous nous engagions, quotidiennement, dans notre cadre de vie personnel, à formuler une ou deux intentions qui seraient autant d'objectifs de mieux respecter celles et ceux qui nous entourent dans leur façon de penser, de vivre ou d'agir.

Pour pratiquer l'art du respect, il y a mille et une manières ; le plus simple geste quotidien, par exemple celui de savoir écouter sans prise de position immédiate en attendant d'être en possession du maximum d'éléments permettant de se faire une opinion, relève du respect, que ce soit de la part des jeunes ou de la part des plus anciens.

Il y aurait naturellement des milliers d'exemples à donner.

Ceci dit, je le sais bien, le respect ne va pas toujours de soi, je sais aussi qu'il est plus facile d'en parler que de le pratiquer !

Mais lorsque, ensemble, on décide d'y adhérer, peut-être que la tâche devient plus légère, que le phénomène d'enchaînement s'opérera, sait-on jamais...

Si mon message lancé à l'instant était bien entendu, si ceux qui d'habitude n'écoutent pas les sermons voulaient bien tendre l'oreille l'espace d'une poignée de secondes, si tout le monde voulait bien jouer le jeu, chacun repartirait avec au plus profond de soi la grande satisfaction d'être utile. Autrement qu'en faisant notre travail et en effectuant nos prières.

Alors je vous adresse solennellement et humblement cette proposition, chers amis, celle de mettre le mot "RESPECT" en avant, pour mieux vivre ensemble, pour mieux nous comprendre, pour être plus efficace et pour montrer l'exemple.

Je suis certain que vous m'avez bien entendu et surtout que vous m'avez bien compris, que votre implication respectueuse ne sera pas, comme l'on dit communément "du bouillon pour les morts" mais bien une évolution mentale importante à notre avantage, nous les êtres humains, afin que nous ayons toujours le plaisir de vivre ensemble.


Elle leva les yeux vers l'assemblée et prit quelques seconde de pause pour que chacun puisse bien imprégner ses paroles.

Elle fit signe à Princedusud de reprendre la parole

_________________
Joachim_
Joachim sourit au sermon. C'était donc ça la clé ! Si je respecte le fait qu'un cardinal invite respectueusement des nobles tourangeaux à une sauterie inquisitrice, le respect se propagera à toute la Touraine, voir à tous les territoires de France ? C'est donc avec respect que l'église s'amuse à s’immiscer dans les affaires temporelles du Duché ? c'est parce que le breton d'église respect tant Llyr qu'il souhaite lui témoigner son affection alors qu'il est depuis trois mois enfermé au Lavardin ? Est-ce d'un grand respect de venir nous donner des leçons chez nous ? Est-ce là le respect d'un homme d'église de modifier le droit canon pour que ça l'arrange ? ha non! ça c'est l'incompétence...

Le seigneur de Fargot se souvint qu'un jour, peut-être en taverne, une réflexion lui fut faite: "qui a le nez morveux, se mouche"...

C'est donc par respect qu'il ne quitta pas la cathédrale, s'attendant quand même sortir de sa sieste grâce à l'une des personnes d'église qu'il respecte réellement, au plus haut point, car lui est ce qu'il prêche..

Mais quand même... des prélats qui font peur, en menassent d'excommunier, qui se font craindre par la force en envoyant ou juste menassent de l'envoie d'une sainte armée, et qui jouent de leur pouvoir pour nuire à des gens , c'est là, la marque du respect !
Solange_curnonsky
Elle s'était égarée en la cathédrale de Tours, alors qu'elle aurait dû être en l'abbatiale de Vendôme, mais soit. Assise à sa place, parmi la noblesse tourangelle, elle n'écoutait que d'une oreille distraite le sermon qui était souvent d'une fadeur endormante.

Mais un rappel à l'ordre à ceux qui n'écoutaient jamais lui permit d'écouter un bref instant et lui fit "tendre l'oreille" comme disait le cérémoniant, en l'occurane une jeune femme.

Et son esprit fut frappé par l'inteppellation du clerc. "l'espace d'une poignée de secondes, si tout le monde voulait bien jouer le jeu" !

Diantre, voilà bien qu'on les invitait au jeu mais qui donc étaient ces secondes alors qu'on ne leur avait présenté les premières ? Elle faillit se rendormir, mais se retint car elle ne voulait manquer la présentation des premières à défaut de savoir qui étaient les secondes qu'elle avait déjà ratées.

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LA V2 c'est MIEUX pour les YEUX - http://old.lesroyaumes.com/
Pleure le Géant Vert. Recteur de Touraine Héraldique Européenne
Valentin_de_rochelle
les deux coeurs étaient entres dans le lieu saint après une belle promenade sur le port. Valentin ne quitta la main de Lily que pour prier avec elle et les autres fidèles.

Il reconnut quelques visages et leur porta un sourire bienveillant avant de communier. L'apaisement le gagnait peu a peu, sans doute du a la presence de sa douce compagne a ses cotes et ces heures un peu moins sombres qu'a l'habitude.

L'heure etait encore a la vigilence mais il comptait bien profiter de chaque instant de bonheur que le Tres Haut lui offrait.

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Princedusud


Prince regarda son anneau de Saint-Louis à son majeur droit et l'embrassa.
Une symbolique pour ce prêtre hors norme qui ne pensait qu'au bien des tourangeaux et tourangelles.


Nous allons reprendre le credo en choeur si vous le voulez bien:


_________________
† Seigneur de l'Abbaye de la Virginité †
Lladrane


partageons ensemble le pain de l'aùotoé aristotélicienne



Que le Très Haut vous bénisse


_________________
Joachim_
Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché,
En pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine ;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés ;
En la Vie Éternelle.

AMEN



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine ;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés ;
En la Vie Éternelle.

AMEN
Princedusud
.




Il faisait un soleil radieux en ce jeudi 17 Mai 1460 sur Tours...Les cloches commencèrent à sonner pour annoncer un office.

Prince était arrivé de bonne heure,il gousta au vin de messe que Sa Grasce Zebracolor lui avait fait parvenir ,il fit un hochement de teste signifiant qu'il était bon...
Il se dirigea vers l'armoire des chasubles alors là devant,il pensait qu'il lui en fallait une belle pour l'occasion!Il était maintenant à l'aise dans cette jolie Cathédrale et puis il connaissait presque tout le monde.
Ce qui lui importait surtout,c'était de considérer que chaque estre pouvait aspirer à la foy mais avant il fallait les connaître.Les liens de l'amitié fraternelle était sa ligne de conduite.Il faisait passer cette relation avant de parler de foy car comment parler de foy à quelqu'un qui a le ventre vide,comment parler de la foy à quelqu'un qui n'arrive pas à s'habiller correctement ou encore ayant des petits soucis du quotidien?

Pour lui ,on ne pouvait insuffler la foy que lorsqu'on était bien que ce soit mentalement ou exempt des soucis plus terrestres qui peuvent pourrir la vie.
Il ne s'imposait jamais et surtout il avait une qualité d'écoute indéniable.
Pour preuve,on l'appelait plus par "Prince" que "Mon Père".


Il se mit à parler seul:



Celle-ci? non! du vert? c'est pas encore le printemps! Ah tiens celle-ci! Très bien!



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Puis se planta au devant de l'autel




IN NOMINE DOMINI, ET CHRISTI ET ARISTOTELIS

AMEN!

DOMINUS VOBISCUM
ET CUM SPIRITU TUO


Tout le monde devait trouver sa place...
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† Seigneur de l'Abbaye de la Virginité †
Lady_eden
La nuit avait filé sans qu'elle lui apporte le repos, impossible de s'endormir tant elle avait peur de ne pas se réveiller a temps ce matin là.
Lasse de chercher Morphée elle avait fini par se lever, fait chauffer de l'eau pour son bain, préparé ses habits pour la cérémonie et avait grignoté quelques scones faits la veille avant de plonger dans l'eau du baquet.

Une paire d'heures plus tard, fin prête elle sortit de sa maisonnette sous le soleil de mai et se dirigea vers la cathédrale, seule dans sa robe blanche achetée pour l"occasion.
Ses doigts seraient un chapelet d'or et de nacre,qui avait appartenu a sa mère, disparue trop tôt, et qui lui manquait cruellement en ce jour de son baptême.
Toute sa famille était loin, elle ne pouvait compter que sur ses amis.

Les cloches sonnaient déjà, Prince devait être prêt, une volée de marches plus tard elle entra, frissonna dans la pénombre du lieu et s'avança vers l'homme à la magnifique chasuble qui l'attendait un bon sourire aux lèvres.
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Tidusfang
Se souvenant de ce jour particulier, Tid savait qu'aujourd'hui devait avoir lieu le Bapteme de son amie.
Il avait fini la veille de coudre une nouvelle tenue qu'il porterai pour la cérémonie... les doigts encore pleines de marques laissées par l'aiguille, La chemise était ornée de quelques brodures qui il faut l'avouer n'étaient pas si mal pour une premiére.


Le réveil ce fit tout en douceur au chant du coq qui trainait dans la basse cour d'a coté; Pour une fois qu'il n'avait pas envi de l'étriper celui-la!
Un bon repas pour tenir debout le temps que le baratin cérémonial ne ce finisse et l'homme n'aurait plus qu'a prendre un petit bain.


Pas le temps de ce prélasser dans l'eau cette fois-ci, qu'il fallait rapidement ce laver et s'habiller pour ne point être en retard.
Le bouclier et l'épée quand a eux resteraient a la demeure pour une fois, car peu de chance de ce faire attaquer dans une cathédrale a moins d'être fou!


Ainsi le jeune homme ce lava rapidement et enfila sa tenue, s'assurant une derniere fois qu'il n'y avait aucun défaut sur cette derniere création avant de partir.


Il était rare pour lui de ce rendre a l'église en temps normal, mais bon il fallait bien une premiere a tout!
C'est donc pourquoi en chemin il s'arreta devant un fleuriste et lui prit un petit bouquet de roses blanches...
Entendant le bruit des cloches, Tid accéléra le pas; Aprés tout fallait pas arriver en retard.

Quand il arriva devant l'édifice, il prit tout de même le temps de l'observer. Y avait pas a dire l'Eglise avait du gout en matiere d'architecture...
Mais bon l'heure a l'émerveillement n'etait point, c'est ainsi que pénétrant dans la maison du seigneur, il avança jusque devant les premieres chaises.


Prince et Ed' étaient déjà arrivés, normal me direz vous, alors Tid prit une place silencieusement et attendit la suite des évenements!

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