Plumedange
*La cérémonie avait doucement reprit son cours, l'allégeance d'Istanga avait finalement été acceptée malgré la réticence à le faire face à un serment alambiqué.
Puis, les conseillers avaient finit leur vague, Cecilia avait donné le top départ à la noblesse et ils c'étaient tous enchainés petit à petit les uns après les autres.
Le grognon ouvrit le bal, Plume pensa que cela faisait un moment qu'ils n'avaient pas parler, si on excluait leur échange de lettre sur l'AN.
Il faudrait probablement qu'elle s'occupe de cette relation sociale, mais que dire de celle avec son parrain?
Arriverait t-elle un jour à combler le gouffre qui c'était creusé au gré de ses désillusions et de son désespoir?
Le voudrait t-il? On disait souvent que la famille crée des liens qui dépassent l'amour et l'entendant, des liens qui ne se brisent jamais, mais les on dit ne disait pas toujours la vérité...
Elle verrait, elle essayerait et l'on verrait bien ce que cela donnerait, après tout...aujourd'hui, elle n'avait plus que sa à s'occuper, les relations sociales et familiales...
Plume regarda ensuite Vaness s'avancer mais elle ne semblait pas arborer l'une des robes qu'elle lui avait cousue, peut être la réservait t-elle pour une autre fois.
Ce fut ensuite le tour des SDL, dont un qui ne l'était semble t-il plut et qui ne pu voir son serment accepté, Plume grimaça, elle n'aurait pas voulu être à sa place, devant tout le monde, ainsi, c'était, gênant.
Regardant autour d'elle son époux ne se présentait toujours pas et les nobles défilaient....défilaient...
C'était maintenant la d'Albon qui s'avançait, Plume pensa alors à son père, bien en vie et dans les bras duquel elle aimait parfois se blottir pour oublier ses chagrins ou même ceux de son adorable mère qui n'étaient pas moins réconfortant.
Il n'y avait pas a dire, des parents c'était mieux que des terres, surtout quand on était vassal d'un duché qu'on abandonnait en laissant un ville par simple caprice.
Un soupir, se demandant ou est son époux, pour qu'il vienne la sauver de cette vague sans fin sous laquelle elle a le sentiment de perdre son souffle par instant.
A moins que ce ne soit ce sentiment bizarre de nausée qui la taraude depuis le matin.
Aurait t-elle mangé trop de biscuits au miel? Toujours cette même question qui ne quitte pas son esprit et toujours ce même dénis repéré plus tôt à l'hospital.
Au moment ou elle se prépare à se lever, pour en finir, pour rentrer chez elle et dormir tout on saoul, Isa se lève et Plume attend sagement.
Finalement, elle va encore attendre un peu avant de se lever, elle a peur de s'écrouler si elle le fait de suite.*
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Puis, les conseillers avaient finit leur vague, Cecilia avait donné le top départ à la noblesse et ils c'étaient tous enchainés petit à petit les uns après les autres.
Le grognon ouvrit le bal, Plume pensa que cela faisait un moment qu'ils n'avaient pas parler, si on excluait leur échange de lettre sur l'AN.
Il faudrait probablement qu'elle s'occupe de cette relation sociale, mais que dire de celle avec son parrain?
Arriverait t-elle un jour à combler le gouffre qui c'était creusé au gré de ses désillusions et de son désespoir?
Le voudrait t-il? On disait souvent que la famille crée des liens qui dépassent l'amour et l'entendant, des liens qui ne se brisent jamais, mais les on dit ne disait pas toujours la vérité...
Elle verrait, elle essayerait et l'on verrait bien ce que cela donnerait, après tout...aujourd'hui, elle n'avait plus que sa à s'occuper, les relations sociales et familiales...
Plume regarda ensuite Vaness s'avancer mais elle ne semblait pas arborer l'une des robes qu'elle lui avait cousue, peut être la réservait t-elle pour une autre fois.
Ce fut ensuite le tour des SDL, dont un qui ne l'était semble t-il plut et qui ne pu voir son serment accepté, Plume grimaça, elle n'aurait pas voulu être à sa place, devant tout le monde, ainsi, c'était, gênant.
Regardant autour d'elle son époux ne se présentait toujours pas et les nobles défilaient....défilaient...
C'était maintenant la d'Albon qui s'avançait, Plume pensa alors à son père, bien en vie et dans les bras duquel elle aimait parfois se blottir pour oublier ses chagrins ou même ceux de son adorable mère qui n'étaient pas moins réconfortant.
Il n'y avait pas a dire, des parents c'était mieux que des terres, surtout quand on était vassal d'un duché qu'on abandonnait en laissant un ville par simple caprice.
Un soupir, se demandant ou est son époux, pour qu'il vienne la sauver de cette vague sans fin sous laquelle elle a le sentiment de perdre son souffle par instant.
A moins que ce ne soit ce sentiment bizarre de nausée qui la taraude depuis le matin.
Aurait t-elle mangé trop de biscuits au miel? Toujours cette même question qui ne quitte pas son esprit et toujours ce même dénis repéré plus tôt à l'hospital.
Au moment ou elle se prépare à se lever, pour en finir, pour rentrer chez elle et dormir tout on saoul, Isa se lève et Plume attend sagement.
Finalement, elle va encore attendre un peu avant de se lever, elle a peur de s'écrouler si elle le fait de suite.*
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