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[DUCHE] Composition du Conseil et Anoblissements

Alix.
Intrusion in da place et interruption de la cérémonie: OK.
Récup' du jumeau: OK.
Appropriation des premières loges du spectacle: OK.
Caprice satisfait: OK.

La petite brunette en joie transita bien vite des gros bras du grand Landri aux genoux du permissif paternel, juste en face de son jumeau Landry arrivé à point nommé. Même pas qu'elle sembla surprise de le trouver là. Nan, c'était comme si elle l'irruption de son frère avait été prévue depuis longtemps, ou plutôt comme si elle "savait" qu'il reviendrait aujourd'hui de son séjour chez les moines. Un sixième sens propre à ceux qui avaient partagé le même ventre rond, sûrement.
De petits bras potelés se tendirent vers le garçon qui arbore la même chevelure qu'elle, les mêmes yeux, Alix cherchait déjà à l'étreindre, l'embrasser et lui faire savoir qu'il lui a beaucoup manqué.


Je veux bien que vous restiez là mais vous ne faites pas de bruit ou papa se fâche...

Elle n'écoute déjà plus les recommandations du père-missif, elle n'a d'yeux que pour les gens assemblés devant le trône et frétille déjà à nouveau comme un mini gardon surexcité. En quête d'une bêtise à faire ? Oh sûrement oui, sûrement devant un public pareil !
Voyons voir...

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Landry.
Compréhension de la situation: pas OK
Retrouvailles dans le calme: pas OK
Tentative de s'enfuir discretos: pas OK du tout.

Le gosse n'en menait pas large sur les genoux de son père. Son petit séjour monastique avait réussi à le calmer, lui qui était si casse-cou habituellement(Oui mais pas calmé pour très longtemps non plus). Il s'agrippa à sa soeur puis entreprit de chercher une tête connue pour se rassurer au milieu de tous ces gens. La tête connue il finit par la trouver. Oui mais voilà, la tête connue elle venait de manger le marbre. Il sauta d'un coup d'un seul des genoux du paternel pour courir vers THE tata, l'élite des tatas, la plus belle des tatas, la plus top parmi les top tatas: sa tata-maman. Il n'avait pas le droit de l'appeler "maman". Cette interdiction se justifiait par le fait qu'il avait déjà une mère, mais il ne saisissait pas encore le concept, et il ne voyait pas bien pourquoi il ne pourrait pas en avoir deux. Arrivé à sa hauteur (le temps de réagir, de s'extirper des bras du duc, de trottiner jusqu'à la blessée, vous imaginez bien qu'elle avait eu le temps de balancer son serment), il lui prit la main et il l'aida de toutes ses forces à se relever.


Tu veux un bisou magique tata-maman?

Il lança tout de même un regard et un petit sourire à son père, semblant lui dire : "Avais-je le choix? Je ne pouvais pas la sauver sans faire de bruit"...
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Alix.
Pffff.... hihihi....

Alors ça par exemple !
La dame qui avait essayé de lui voler son père et son frère en plus d'avoir fait fuir sa maman, là, devant elle empêtrée dans sa cape en train de larmoyer plus encore qu'elle le jour où elle s'était coincé le doigt dans la porte de sa chambre. Forcément elle n'avait pu s'empêcher d'éclater de rire dans le silence gêné de la salle, un petit rire mutin, pas méchant non, juste spontané et candide en fait.

Vite interrompu au moment où Landry sauta des genoux du Duc, provoquant une secousse génu-sismique qui fit taire l'hilarité de la petite. Très dignement, la fillette dut s'accrocher à l'ample cape que son père portait sur une seule épaule, l'étranglant à moitié au passage...


Humf !

Profitant de ce que tout le monde y compris son frère chéri n'avait d'yeux de merlan frit que pour la dame qui venait de se vautrer, la mignonne enfant darda sur elle un regard noir, noiiiir... dans lequel on pouvait lire tout le ressentiment et le mal-être qui était le sien depuis que sa famille volait en éclat. A cause de cette femme, elle en était persuadée. Un seul regard lourd de colère et de reproches, mais le seul qu'elle se permettrait dès à présent.
La petite Alix Baccart, cinq ans, décida à partir de cet instant qu'il lui revenait à elle, seule femme de la famille à présent, de la reconstruire pour que tout redevienne comme avant. Mais pour cela, il faudrait ruser, se montrer plus finaude que cette femme qui minaudait sans honte devant son père. Bah ! Elle y arriverait, parole de Loup Noir !

Mais pour le moment... wait and see !

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Colombine.d.albon
Voilà voilà...Elle était fin prête. Adieu les toilettes de deuil, il fallait avoir de la prestance, non pas qu'elle en était à sa première cérémonie d'allégeances, puisque maintes fois elle y avait montré le bout de son nez en temps que conseillère ducale, mais parce qu'en ce jour elle se devait de faire honneur à ses défunts parents. Dernier coup d'oeil au miroir. Fichtre! il manquait l'essentiel. Regard sur la couronne de son papounet...humpf...trop grande et trop lourde, elle aurait l'air d'un bouffon. Clin d'oeil sur les joyaux maternels. bon...le collier parait déjà sa gorge...mais oui! mais c'est bien sûr! Et hop en un clin d'oeil le diadième de la Duchesse vint figer quelques boucles encore rebelles et mettre un point final à la toilette de la jeune femme.

Tranquillement, respirant l'air de sa chère ville retrouvée, elle s'acheminait vers le château.


Ouch! fini les langueurs montagnardes, les gens pressaient le pas dans le dédale de couloirs du château.
Profond soupire...la voilà enfin devant les portes de la salle des allégeances. Petit sourire entendu à l'huissier et aux gardes en faction, Colombine fit son entrée.

Tour d'horizon afin de saluer quelques visages connus, elle tomba en arrêt devant le spectacle charmant qu'offrait le Duc avec sa progéniture.

Bon...une bonne chose, la cérémonie n'était point trop avancée, on en était encore qu'aux conseillers.

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Helsinki
Helsinki avait reçu un courrier pour se présenter en salle d'allégeance. Il l'avait vu avait choisi un destrier qu'il avait galopé jusqu'à Lyon au risque de le tuer. Arrivé à Lyon il avait vu qu'il boitait un peu, un fer s'était arraché durant le trajet, et un minuscule caillou était entré dans son sabot . il devait éviter l'infection et l'avait confier au forgeron dés son arrivée à Lyon. après s'être assuré que celui-ci s'en occupait bien. Il s'était dirigé en salle des allégeances.
Lyon était toujours aussi belle, il avait savouré sa petite promenade matinale.
il était entré , le port droit dans la salle d'allégeance , il s'était dit qu'il prendrait sa place habituelle un peu à l'écart quand il reconnut sa marrainne. Il se dirigea vers elle .


Bonjour marraine comment allez vous aujourd'hui ?
mais vous êtes plus magnifique que jamais.


Puis il l'embrassa trop content de la revoir
Axel2fersen
Le serment à peine sorti de sa gorge et alors qu'elle pensait que le Duc allait accepter sa promesse. Le silence fut rompu par une voix beaucoup plus fluette. Et c'est une toute petite main Baccard qui vint l'aider à se relever. Landry, son petit trésor, s'était extirpé des bras paternels et avait accouru.

Tu veux un bisou magique tata-maman?

Merci mon petit chevalier , oh que oui que je veux un bisou magique.


Axel, s'empressa de prendre le garçonnet dans ses bras et se redressa avant de l'embrasser tendrement. Elle faisait à présent face à Thibérian, Landry posé sur sa hanche. Elle quitta le petit anges des yeux un instant et reporta son regard sur le Duc. Certains lui reprocheraient sûrement de s'être mise debout avant que ce dernier ne l'y autorise, mais vu la différence de taille, même lorsqu'il était assis, elle pouvait bien ne pas s'agenouiller... et puis de toute manière , ses genoux la faisaient souffrir affreusement, alors...
La Capitaine sentit la petite tête brune se caler au creux de son cou ,alors dans un réflexe très maternel elle balança légèrement ses hanches pour le câliner. Bon cette fois, c'était sûr la cérémonie ne se passait sûrement pas comme le duc l'avait imaginée...

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Béanours forever!
Oiselier
l'Oiselier vint s'agenouiller devant le Duc pour prêter serment, il eut un sourire quand il pensat que bientot ce serait au Duc de venir s'agenouiller devant lui pour recevoir la benediction Aristotélicienne, mais lui serait arrosé.
Comme quoi chaque homme se grandit, si a un moment il accepte de se montrer humble.
il reprit ses esprits :



Moi Mgr Oiselier, Evèque de Dié reconnais sa Grâce Thiberian Baccard comme légitime Duc du Lyonnais Dauphiné et Je prête serment de le servir en tant que procureur et de le conseiller.
Colombine.d.albon
Alors que son esprit vagabondait et que son regard survolait la foule, ses yeux se posèrent sur une silhouette élégante au port altier. Diantre que son filleul avait de la prestance, étrange qu'elle ne le remarqua qu'à cette occasion.

Un sourire encourageant aux lèvres, ses bras s'entrouvrir pour l'accueillir
.


Bonjour marraine comment allez vous aujourd'hui ?
mais vous êtes plus magnifique que jamais.



C'est vrai que celà faisait longtemps qu'ils ne s'étaient vus, aussi lui déposa t'elle un gros baiser sur le front.


Je vais fort bien puisque cette occasion nous permet de nous retrouver.
Quant à ma magnificence elle n''a que d'égal que ta prestance.

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Helsinki
Pendant que la ronde des allégeances continuaient , il en profita pour coninuer à murmuer à l'oreille de Coco espérant que sonmanège ne serait pas remarqué ni trop dérangeant , regardant devant lui et faisant mine d'écouter il continua à murmurer.

vous êtes toujours une de mes lyonnaises préférées.

Puis il soupira.

Mon dieu que cette cérémonie dure.

L'air de rien il retendit son costume et regarda les autres nobles présents.
Samthebeast
Une nouvelle fois il avait du jouer des coudes pour réveiller ses voisins conseillers, tous endormis comme il se doit lors d'une cérémonie d'allégeances. Que c'était lassant...

Enfin à moi se dit-il en se dirigeant vers sa grasse Thib...

Arrivé devant le duc, il met un genou à terre et se lance...


Moi, Samthebeast, actuel Bailli du Lyonnais-Dauphiné mais également Commissaire Aux Mines par la force des évènements, Seigneur de Poligny-sur-Drac, reconnaît en ce jour, Sa Grâce Thiberian Baccard comme légitime Duc du Lyonnais-Dauphiné. Je lui jure Auxilium, Concilium et Obsequium.

Il hésita à rajouter quelques mots mais se ravisa au dernier moment et attendit le réveil de l'Impétueux avant de regagner sa place.
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Thiberian
Comme toujours, les personnes commencèrent alors le roulement des allégeances et c'est ainsi que le Capitaine se présenta devant le Duc...Ou plutôt essaya car elle se paya une gaufre royale devant le trône et sembla se faire mal...Il se serait levé pour l'aider s'il avait pu mais il était encombré de deux mini lui hélas...
Heureusement son fils se débattit et fila aider la blonde au genou endolori avant que le Baccard ait le temps de réagir, ah les gosses !

Une fois qu'elle fut relevée il répondit alors simplement :


Axel d'Irissari, je vous remercie de servir ce duché et son Ost en tant que Capitaine et je vous jure à mon tour justice, protection et subsistance pour vos terres d'Alix.

Puissiez vous faire perdurer les légendaires défenses de notre imprenable duché !


En peu de temps elle fut retourné dans la foule en embarquant son fils dans ses bras...Grmbl le petit saligaud avait réussi son évasion !
Il ne put rien dire que déjà le conseiller suivant se présentait devant lui :


Monseigneur Oiselier, comme toujours vous travaillez pour le pôle judiciaire du Lyonnais-Dauphiné et je vous en remercie, j'accepte votre serment et gage que notre travail sera fructueux.

L’ecclésiaste de Dié disparut à son tour parmi les autres nobles et conseillers, les nobles continuaient à arriver dans la salle durant cette période et Thib se demanda s'il y en avait pas plus de mandats en mandats...Mais il y en avait plus et c'était l'évidence même.
Un rapide tour d'horizon et lorsque son regard revint face à lui, il constata que son bailli était déjà agenouillé et déclama alors son serment :


Seigneur de Poligny-sur-Drac, j'accepte votre allégeance de la même manière que j'ai accepté celle de sa Grâce Arwel...Avec reconnaissance, honneur et gratitude pour ce duché que vous servez.
Tous deux avez tant travaillé suite à l'attentat perpétré par Jules Louis qu'il m'est difficile de vous en demander encore et toujours d'avantage mais hélas j'y suis contraint car ces nécessité sont celles de notre duché.

Je vous jure donc à mon tour la justice, la protection et la subsistance pour vos terres de Poligny-sur-Drac et vous témoigne toute ma reconnaissance.


Encore un qui disparut alors dans la foule et un autre arriverait bientôt...
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Alan.de.t
Une fois le bailli à ses côtés, ce fut son tour. Alan s'avança calmement vers le trône où siégeait le Duc. Il mit un genoux à terre et prononça d'une voix forte son allégeance.

Moi, Alan de Talleyrand, Conseiller Ducal, Maistre-Armurier de l'Ost et Seigneur de Ceretto, jure fidélité au Duché du Lyonnais-Dauphiné et à son Duc légitime, Sa Grâce Thiberian Baccard, et tâcherai de lui prodiguer conseil en temps d'hésitation comme en période de trop grande assurance pour que soit fait ce qu'il doit l'être.

Il attendit que son serment fut accepté pour regagner sa place.
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Marsaly
Marsa regardait et écoutait les prestations de serments et plus les minutes s'écoulaient plus sa nervosité grandissait et ... son tour arriva. Elle marcha vers le trosne soulevant très légèrement son uniforme afin d'éviter de se prendre les pieds dedans et s'étaler lamentablement devant tout le monde. Comme les précédents elle mit genou à terre et d'une voix audible mais néanmoins hésitante, prononça son allégeance

Moi, Marsa ... Marsaly, Prévost des maréchaux, jure filidélé ... euh fidélité au duché du Lyonnais-Dauphiné et à son Duc légitime Sa Grâce Thiberian Baccard et tâcherai de lui prodiguer conseil au mieux de mes possiblités
Huna
Les mois se succèdent mais ne se ressemblent pas.
Alors qu'hier encore florissait le printemps avec son humeur amoureuse, chantait l'été avec sa douce chaleur, vint le temps de l'oubli de ce qu'est l'esprit d'équipe et le respect pour l'être humain, comme l'automne arrivant insidieusement en répandant sa fraîcheur matinale plus longtemps qu'à l'habituel. C'est donc sans surprise qu'Huna s'habilla plus chaudement pour pouvoir ainsi supporter la brise saisissante. Pas de robe, pas d'extravageance particulière mais une coiffure soignée permettant juste à une mèche rebelle de tomber sur le côté. Sa tenue de parade de connétable était bien ajustée, noeud du corset serré comme il se devait de l'être. Jetant un dernier coup d'oeil sur ses habits, vérifiant qu'elle n'avait rien oublié, Huna sortit et se rendit sur le lieu des allégeances.
Bien que son esprit aurait pu être encombré par maintes choses, elle demeura concentrée, n'ayant que la cérémonie en tête.

Elle arriva rapidement et s'apprétait déjà à entrer, mais elle s'arrêta aux portes, interrompue par le grondement du tonnerre qui se fit entendre aussi soudainement que rapidement. Elle regarda alentour, souleva sa main pour sentir la pluie fine qui commencait à tomber. Une feuille de maronnier vint se poser sur son épaule. Huna la prit délicatement et fit rouler la tige entre ses doigts machinalement. Peut être était ce une façon de rompre quelques appréhensions. Et pour cause, c'était sa première cérémonie où elle devait s'exprimer.

Huna entra lentement, à pas comptés, la démarche assurée et solennelle. A hauteur du Duc, elle s'inclina pour faire la révérence respectueuse qui s'imposait. Puis, un genou à terre, elle prononca avec soin :


Moi, Huna, connétable du Lyonnais Dauphiné, reconnait ici et devant témoins sa grasce Thiberian Baccard comme seul et unique duc légitime du Lyonnais-Dauphiné. Je jure de lui prodiguer conseils et de lui être fidèle tout au long de son mandat tant que le Très Haut me prêtera vie.
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Jouons. Peu importe la victoire,pourvu que le spectacle soit beau (et partagé)
Milyena
Il fallait qu'elle arrive à sortir à nouveau comme par le passé, il fallait qu'elle recommence à se rendre en divers salles et cérémonies du Duché. Ce ne serait pas en restant isolée chez elle que la vie lui semblerait joyeuse. Puis elle aimait le Lyonnais-Dauphiné, elle aimait son peuple dans son entièreté.
Alors si oui, elle était repartie au comité des festes ducale, si là les quelques membres rencontrés avais eut l'occasion de la voir sourire. En dehors de ces locaux, non, son visage restait fermé et elle n'aimait pas ça, pas du tout.
Alors s'étant parée d'une robe, elle entra dans la salle des allégeances et prestations de serments, n'avançant pas trop, restant distante de tous, juste là à regarder, écouter et oui être dauphinoise tout simplement.

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