Senorita_fantasia
Pourquoi devait-il justifier son présent? Le présent qu'il ne partage plus avec les enfants, ni avec elle. Ils devaient s'y faire, ils s'étaient détruit, ne se reverraient plus, et les enfants resteraient avec leur mère, parce que, quoi qu'il en pense, elle était stable et ne s'était jamais reposé sur les épaules d'un homme, et ça ne commencera pas.
"Ne dis rien pour Temary, vis ta vie, mais ne t'attends pas à voir les enfants souvent, parce que moi, je veux les protéger de votre relation, je veux les protéger, si je t'avais quitté, c'était pas à cause de ma folle imagination... Et que j'avais, encore une fois, raison... Alors ne m'en veux pas, mais les enfants resteront avec moi. Ils ont toujours vécus avec moi, tu as mit du temps à reprendre contact, et je t'en ai voulu..."
Lorsqu'elle était partie à cause de la peur que tout ça amenait, il n'avait pas su la rassurer et était resté en taverne avec d'autres personnes. Il ne l'avait pas recontacté, ni même rassurée une fois de plus. Il était resté là, muet comme une tombe, et lorsqu'elle avait récupéré ses affaires aux Rosiers elle ne l'avait pas vue, il était trop occupé...C'était toujours un fait. Il n'avait jamais écrit aux enfants, et c'est toujours facile de reprendre contact avec eux, ils approchent des cinq ans...
"Ne me demande pas d'être amie avec toi non plus parce que j'ai toujours envie de te ... Non je ne vais pas dire ce genre de parole devant mes petits anges. Tu n'as pas prit contact avec eux quand ils en avaient le plus besoin, que tous les soirs, ils réclamaient leur père et que je n'avais aucune réponse à leur donner...Crois-moi, tu n'as jamais vécu ça.."
Elle s'était calmé et avait retrouvé son sourire, ses enfants savaient comment faire, plus que quiconque, et leur complicité était si grande que ça lui réchauffait le coeur.
"J'ai dis que j'allais en Guyenne, mais pas que je m'y arrêterai, j'ai des amis là bas pour nous protéger, mon nom y est connu, comme le tien ici.
Tu as toujours fait passer ta carrière, et oui tu as voulu aller trop vite...Même si j'ai vécu l'une de mes plus belles relations, c'est certain, mais maintenant chacun doit passer à autre chose..."
Elle fit une pause en récupérant enfants et sacs. Ils reviendraient avec eux...Et...Si par chance, elle rencontrait un homme susceptible d'aimer ses enfants et de l'aimer elle. Oui, elle autoriseraient à ses anges de l'appeler "papa"... Fanta cicatriserait comme ça, ça sera plus simple pour elle et pour les enfants. Ils devaient passer à autre chose, oublier ce chaos qui les entoure.
"Non Killi, pour moi, tu n'es pas leur père, car si tu avais été un père, tu m'aurais écris, tu serais venu à Saumur, ou tu m'aurais rattrapé, au moins pour le bonheur des enfants...Leur père n'existe pas, tu n'as été là que pour m'aider à les faire, c'est tout..."
Voilà, tout était sorti, comme on dit, on vient de percer labcès. Elle projetait même de faire un papier au tribunal pour que les enfants soient en paix...
"Ne parles pas de tes filles à mes enfants, parce qu'elles sont rien pour eux également. En fait, y'a les Dénéré et les Nansac, voilà. Maintenant, mes amours, on rentre, on va laisser papa aller roucouler et nous on va préparer nos valises, direction la mer mes chéris.
Dîtes au revoir à Killijo, comme je vous ai appris."
Aucun regard vers le géniteur de ses enfants...Elle avait été claire, dure mais claire. Il avait osé lui mettre dans la figure que tout était sa faute, et que c'est la suite logique, que comme il était célibataire, il était allé dans ses bras...Foutaise! Connerie! Ânerie!
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...Une femme de fer au cur de pierre...
...Son amour était sincère, mais si éphémère...
"Ne dis rien pour Temary, vis ta vie, mais ne t'attends pas à voir les enfants souvent, parce que moi, je veux les protéger de votre relation, je veux les protéger, si je t'avais quitté, c'était pas à cause de ma folle imagination... Et que j'avais, encore une fois, raison... Alors ne m'en veux pas, mais les enfants resteront avec moi. Ils ont toujours vécus avec moi, tu as mit du temps à reprendre contact, et je t'en ai voulu..."
Lorsqu'elle était partie à cause de la peur que tout ça amenait, il n'avait pas su la rassurer et était resté en taverne avec d'autres personnes. Il ne l'avait pas recontacté, ni même rassurée une fois de plus. Il était resté là, muet comme une tombe, et lorsqu'elle avait récupéré ses affaires aux Rosiers elle ne l'avait pas vue, il était trop occupé...C'était toujours un fait. Il n'avait jamais écrit aux enfants, et c'est toujours facile de reprendre contact avec eux, ils approchent des cinq ans...
"Ne me demande pas d'être amie avec toi non plus parce que j'ai toujours envie de te ... Non je ne vais pas dire ce genre de parole devant mes petits anges. Tu n'as pas prit contact avec eux quand ils en avaient le plus besoin, que tous les soirs, ils réclamaient leur père et que je n'avais aucune réponse à leur donner...Crois-moi, tu n'as jamais vécu ça.."
Elle s'était calmé et avait retrouvé son sourire, ses enfants savaient comment faire, plus que quiconque, et leur complicité était si grande que ça lui réchauffait le coeur.
"J'ai dis que j'allais en Guyenne, mais pas que je m'y arrêterai, j'ai des amis là bas pour nous protéger, mon nom y est connu, comme le tien ici.
Tu as toujours fait passer ta carrière, et oui tu as voulu aller trop vite...Même si j'ai vécu l'une de mes plus belles relations, c'est certain, mais maintenant chacun doit passer à autre chose..."
Elle fit une pause en récupérant enfants et sacs. Ils reviendraient avec eux...Et...Si par chance, elle rencontrait un homme susceptible d'aimer ses enfants et de l'aimer elle. Oui, elle autoriseraient à ses anges de l'appeler "papa"... Fanta cicatriserait comme ça, ça sera plus simple pour elle et pour les enfants. Ils devaient passer à autre chose, oublier ce chaos qui les entoure.
"Non Killi, pour moi, tu n'es pas leur père, car si tu avais été un père, tu m'aurais écris, tu serais venu à Saumur, ou tu m'aurais rattrapé, au moins pour le bonheur des enfants...Leur père n'existe pas, tu n'as été là que pour m'aider à les faire, c'est tout..."
Voilà, tout était sorti, comme on dit, on vient de percer labcès. Elle projetait même de faire un papier au tribunal pour que les enfants soient en paix...
"Ne parles pas de tes filles à mes enfants, parce qu'elles sont rien pour eux également. En fait, y'a les Dénéré et les Nansac, voilà. Maintenant, mes amours, on rentre, on va laisser papa aller roucouler et nous on va préparer nos valises, direction la mer mes chéris.
Dîtes au revoir à Killijo, comme je vous ai appris."
Aucun regard vers le géniteur de ses enfants...Elle avait été claire, dure mais claire. Il avait osé lui mettre dans la figure que tout était sa faute, et que c'est la suite logique, que comme il était célibataire, il était allé dans ses bras...Foutaise! Connerie! Ânerie!
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...Une femme de fer au cur de pierre...
...Son amour était sincère, mais si éphémère...