Erwelyn
Tu vois Ygerne, je me suis toujours demandé pourquoi on dit "faire d'une pierre deux coups". Comment on peut transformer une pierre en deux coups, c'est complètement illogique. A la limite on peut la transformer en caillou, ou en sable si vraiment on a du temps devant soi, mais en deux coups, là je ne comprends pas. Vraiment ceux qui inventent les expressions n'ont des fois pas les candélabres à tous les étages
La discussion avait lieue dans les rues de Paris. Paris la grande, Paris la belle, Paris capitale de tous les vices et de tous les pouvoirs, aussi. Elle profitait de son passage en cette grande ville avec sa chambrière bientôt vassale pour se rendre dans les Galeries la Fayotte, où elle allait chercher un bracelet à offrir à la jeune fille.
La baronne en était donc là de ses pensées quand le carrosse freina brutalement, le cocher évitant de justesse une charrette remplie de pomme. Son chapeau à plume lui tomba sur les yeux et la Poney Rose le releva en soupirant.
Décidément, ces cochers parisiens sont de vrais fous des rênes. Ils ne savent vraiment pas conduire en douceur, rhaa.
Son il accrocha alors une enseigne suspendue devant un petit passage. Curieuse, la Corleone leva les yeux et lu ce qui s'y trouvait.
Ah tiens, l'Agence Aclililonon Presse ! Depuis toutes ces années que je traîne en la capitale, jamais je n'avais eu le loisir de passer devant. Tu sais que Mahaut y travaille également. Travaille ou y travaillais, je ne sais plus trop.
Et si on rentrait ?
Et les deux mainoises de sortir du véhicule, de passer la petite cour et d'entrer dans le bâtiment. Comme à son habitude lorsqu'elle entrait dans un lieu inconnu, Lynette marchait le pif en l'air pour admirer la décoration. Avant de tomber sur un parchemin affiché.
Oh regaaaaaarde ! Ils cherchent des correcteurs ! C'est tout à fait un travail pour moi ça, j'ai passé des semaines à corriger le coutumier mainois quand j'étais jeu enfin il y a des années de cela, suite à la demande du Vicomte Redshark.
Et un soupir de sortir de ses lèvres.
Il était sacrément mignon ce Vicomte d'ailleurs et la faucheuse l'a emporté bien tôt.
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[Une Corleone peut en cacher plein d'autres]
La discussion avait lieue dans les rues de Paris. Paris la grande, Paris la belle, Paris capitale de tous les vices et de tous les pouvoirs, aussi. Elle profitait de son passage en cette grande ville avec sa chambrière bientôt vassale pour se rendre dans les Galeries la Fayotte, où elle allait chercher un bracelet à offrir à la jeune fille.
La baronne en était donc là de ses pensées quand le carrosse freina brutalement, le cocher évitant de justesse une charrette remplie de pomme. Son chapeau à plume lui tomba sur les yeux et la Poney Rose le releva en soupirant.
Décidément, ces cochers parisiens sont de vrais fous des rênes. Ils ne savent vraiment pas conduire en douceur, rhaa.
Son il accrocha alors une enseigne suspendue devant un petit passage. Curieuse, la Corleone leva les yeux et lu ce qui s'y trouvait.
Ah tiens, l'Agence Aclililonon Presse ! Depuis toutes ces années que je traîne en la capitale, jamais je n'avais eu le loisir de passer devant. Tu sais que Mahaut y travaille également. Travaille ou y travaillais, je ne sais plus trop.
Et si on rentrait ?
Et les deux mainoises de sortir du véhicule, de passer la petite cour et d'entrer dans le bâtiment. Comme à son habitude lorsqu'elle entrait dans un lieu inconnu, Lynette marchait le pif en l'air pour admirer la décoration. Avant de tomber sur un parchemin affiché.
Oh regaaaaaarde ! Ils cherchent des correcteurs ! C'est tout à fait un travail pour moi ça, j'ai passé des semaines à corriger le coutumier mainois quand j'étais jeu enfin il y a des années de cela, suite à la demande du Vicomte Redshark.
Et un soupir de sortir de ses lèvres.
Il était sacrément mignon ce Vicomte d'ailleurs et la faucheuse l'a emporté bien tôt.
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[Une Corleone peut en cacher plein d'autres]