Blanche30
C'était décidé. Anaelle et Blanche avaient émis le désir de faire un tour des Flandres. Histoire de se dégourdir une dernière fois les jambes, avant de s'enfermer pour terminer leur grossesse. Le mari de Blanche l'avait traitée de folle, pour voyager ainsi à ce stade. Mais il avait eu beau hurler et tempêter, la blondinette s'en était tenue à son envie. Et oui, les femmes enceintes ont des envies, et pas forcément que de nourriture ! Si la comtesse ne savait pas encore comment le compagnon de la procureur avait réagi, elle se doutait que son comportement avait dû être similaire à celui de Skal.
Le grand guerrier la regardait donc, bras croisé, dans la cour de leur demeure, en train de faire charger ses valises. Avec sa tête des mauvais jours. Les coffres chargés, Blanche s'approcha de lui, lui fit décroiser les bras et posa ses mains sur son torse.
- Mon amour, ne fais pas cette tête là ! Je te promets que nous ferons très attention. Nous ne présumerons pas de nos forces et nous arrêterons aussi souvent que possible. Et je t'enverrai des pigeons tous les jours.
Voeu pieux que la blonde ne tiendrait pas, mais son époux s'en doutait déjà. Celui ci ne fit d'ailleurs que soupirer, lui réitéra ses mille recommandations, avant de l'embrasser. Blanche se laissa aller à ce baiser, savourant ce dernier moment d'intimité. En secret, elle se réjouit. Il lui faisait toujours autant tourner la tête. Mais il n'était pas besoin de lui dire. Il le savait déjà, comme en attestait le sourire satisfait plaqué sur son visage. Après l'avoir aidée à monter dans le carrosse.
Et zou, direction chez Anaelle. Les deux jeunes femmes avaient convenu de se retrouver là bas. Le cocher n'avait jamais conduit aussi doucement. Il faut dire que le comte de Douai l'avait menacé de lui couper les.... vous comprenez, si jamais il arrivait quoi que ce soit à son épouse adorée.
Et hop, arrêt chez Anaelle et Krattos. Blanche descendit se dégourdir les jambes le temps qu'un des valets les accompagnant aille prévenir la maisonnée que la jeune femme était arrivée. Le voyage allait être long, mais ce serait sans doute un des plus amusants qu'elle ait jamais fait !
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Le grand guerrier la regardait donc, bras croisé, dans la cour de leur demeure, en train de faire charger ses valises. Avec sa tête des mauvais jours. Les coffres chargés, Blanche s'approcha de lui, lui fit décroiser les bras et posa ses mains sur son torse.
- Mon amour, ne fais pas cette tête là ! Je te promets que nous ferons très attention. Nous ne présumerons pas de nos forces et nous arrêterons aussi souvent que possible. Et je t'enverrai des pigeons tous les jours.
Voeu pieux que la blonde ne tiendrait pas, mais son époux s'en doutait déjà. Celui ci ne fit d'ailleurs que soupirer, lui réitéra ses mille recommandations, avant de l'embrasser. Blanche se laissa aller à ce baiser, savourant ce dernier moment d'intimité. En secret, elle se réjouit. Il lui faisait toujours autant tourner la tête. Mais il n'était pas besoin de lui dire. Il le savait déjà, comme en attestait le sourire satisfait plaqué sur son visage. Après l'avoir aidée à monter dans le carrosse.
Et zou, direction chez Anaelle. Les deux jeunes femmes avaient convenu de se retrouver là bas. Le cocher n'avait jamais conduit aussi doucement. Il faut dire que le comte de Douai l'avait menacé de lui couper les.... vous comprenez, si jamais il arrivait quoi que ce soit à son épouse adorée.
Et hop, arrêt chez Anaelle et Krattos. Blanche descendit se dégourdir les jambes le temps qu'un des valets les accompagnant aille prévenir la maisonnée que la jeune femme était arrivée. Le voyage allait être long, mais ce serait sans doute un des plus amusants qu'elle ait jamais fait !
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