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[RP] La Cathédrale

Ascalon
Ascalon arriva quelque peu en retard, bloqué par la foule qui s'était amassé aux différentes portes de la Capitale. Il se fraya difficilement un chemin vers la Cathédrale pour ensuite gravir les marches du parvis. Il pénétra dans la la Cathédrale où il eut le plaisir d'entendre presque tout le prêche sur la Sainte Patronne des flamands. Il écoutait attentivement les paroles de l'Archevêque, et des souvenirs de sa petite enfance remontèrent, quand on lui enseignait la vie de Sainte Illinda, son parcours, son histoire. Une pointe de nostalgie le traversa et le ramena aussitôt à la réalité d'où il ne sortit plus durant toute la cérémonie.
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Donchile
DonChile n´avait voulu arriver tard, malheureusement ces négociations pour trouver un comte...... Et puis après tout Sainte Illinda l´avait sauvé plusieurs fois dans ses dangereux voyages... Et il portait de temps à autre une médaille Bring Bring de Ste Illinda remise par de Vicomte Louis Hubert pour services rendus aux Flandres...

La cérémonie était bien commencée, voire presque terminée... Au fond de la cathédrale ça ronflait sévêre et ça faisait acte de présence...

DonChile poussait et se frayait un chemin pour tenter d´attendre les premiers rangs où étaient installés les nobles Flamands. Pour une fois, la messe l´intéressait et il la suivi avec attention.

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Seigneur de Comines

Commerçant, voyageur et notable flamand
Médaillé de l´Ordre de Ste. Illinda
Duncan.
Il n'avait pas forcément le cœur à ça mais il savait qu'elle aurait aimé qu'il y assiste.
En mémoire de sa mère et évidement de celle de Sainte Illinda, Duncan se rendit à la messe donnée en son honneur.

Discrétion, voilà ce dont il avait envie, il entra donc sans bruit et s'installa après avoir fait le tour extérieur plutôt que de passer par le centre de la Cathédrale.

Il écouta la messe, l'esprit un peu ailleurs et le regard toujours triste.
Thibaud
On s'agglutinait dans tout les sens. Après avoir salué quelques paroissiens qui pénétrèrent dans la nef et évité à ce que des enfants s'amusent à renverser de l'eau bénite partout, le Vicaire se dirigea jusqu'à l'autel, pour se positionner aux côtés de l'Archevêque. Un sourire à son attention, et son regard balaya l'assemblée qui grossissait au fil du temps. Ses mains rejointes, cachées par son habit ecclésiastique, le jeune homme écouta avec sérénité l'hagiographie de Sainte Illinda.
Alhysis
Demandons le pardon au Très-Haut pour la violence qui fut nécessaire et pour le reste.[/b]



Récitons ensemble le crédo.

Rosa
Rosa récita consciencieusement le crédo. La peine en son coeur était forte, elle avait besoin de se souvenir de personnes de foi, telles que Sainte Illinda, qu'elle vénérait pour aller de l'avant .
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Thibaud
La phase des prières. Thibaud récita la demande de pardon à l'attention du Seigneur, le suppliant de le laver de tout ses péchés.

Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Il était à présent temps de réciter le Crédo Aristotélicien, symbole mesme de la Foy et preuve d'amour envers l'Eternel. La voix de Thibaud se mélangea à celle des autres, et, d'une profonde déclaration, le "je crois" résonna dans toute la Cathédrale.

    Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
    Créateur du Ciel et de la Terre,
    Des Enfers et du Paradis,
    Juge de notre âme à l'heure de la mort.

    Et en Aristote, son prophète,
    Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
    Envoyé pour enseigner la sagesse
    Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

    Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep.
    Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
    C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

    Je crois en l'action divine;
    En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
    En la communion des Saints;
    En la rémission des péchés
    En la vie éternelle.

    AMEN
Alhysis
L'archeveque plongea son regard dans celui de son tres jeune vicaire et d'un sourire elle fit un pas en arriere, le laissant seul pour cloturer la ceremonie.
Icarionnoste
Du monde. A l'écho d'un esprit ailleurs, d'un ailleurs composé d'elle et du reste. D'un peu de travail et de trop peu d'amour. Il se perd en mutineries sentimentales dans un lieu de calme et de volupté tout dédié à la Sainte Patronne des Flandres, belle Illinda, courtoisement il la salue, apprend à la connaitre, métaphore des Flandres en somme.
Du monde. Des entrées derrière lui. Joie qui dépose sur l'autel un bouquet de fleur, sourire informel et empathique.

Il ne la voit pas, la brune derrière. Celle là. Elle. Et merte ... il ne la voit pas.


-"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN"


Ça semblait se terminer, avec pudeur et lenteur. Quelques secondes encore d'obligations volontaires spirituellement condensée aux émois historiques et amoureux, et là.
Il la verrait peut-être.
Oui.
Donchile
Peu habitué de l´endroit qu´il trouvait plus ennuyeux qu´une salle pleine de diplomate gratte papier, DonChile avait piqué un somme et ronflait bienheureux sans trop faire de bruit...
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Seigneur de Comines

Commerçant, voyageur et notable flamand
Médaillé de l´Ordre de Ste. Illinda
Joie
Joie récite le Credo Aristotélicien d'une voix très basse, un simple murmure qui se mélange aux voix de toutes les personnes présentent à la cérémonie...

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie éternelle.

AMEN


Une fois le credo récité Joie attend en silence la fin de la cérémonie en l'honneur de Sainte Illinda...
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http://www.lesroyaumes.com/FichePersonnage.php?login=joie
Thibaud
Ce regard.. Thibaud tentait désespérément d'analyser ce que l'archevêque tenait à lui dire par ce simple regard, et ce fut son pas en arrière qui le fit comprendre. Un léger sourire embarrassé à l'attention du prélat, celle-ci lui laissait le plaisir de clôturer la cérémonie. Le Vicaire fit quelques pas sur le côté, puis s'empara de la coupe qu'il remplit de vin afin de la lever ensuite en direction des Cieux tout en prononçant :

Offerimus tibi Domine, calicem salutaris, tuam deprecantes clementiam: ut in conspectu divinae majestatis tuae, pro nostra et totius mundi salute cum odore suavitatis ascendat. Amen.

Après la bénédiction, il but une gorgée du délicieux nectar puis tendit la coupe à Alhysis pour qu'elle en fasse de mesme. Tout en levant ses bras en direction des fidèles, sa voix raisonna de nouveau :

Enfants du Très-Haut, venez à nos côtés pour partager le pain de la réconciliation, symbole de l'Amitié Aristotélicienne



Les paroissiens vinrent jusqu'à l'extrémité du choeur et de la nef, et Thibaud tendit dans chaque bouche ouverte un morceau d'hostie. Quand la communion fut terminée et que chacun ait repris sa place, le clerc termina par inviter les Flamands à réciter la prière de Sainte Illinda.

Citation:
Dieu est mon berger.
Je ne manque de rien.

Dans les paysages verdoyants…
Il rassérène mon âme.

Même quand je vais dans la vallée de l'ombre de la mort, je ne crains
pas le mal, parce que tu es avec moi : ton bâton et ton appui me
consolent.
Mon verre déborde.

C'est le bon et le généreux qui me poursuivent tous les jours de ma vie.
Je résiderai dans la maison de Dieu, pour la longueur des jours.


Partez dans l'Amitié de Christos ! Et n'oubliez pas de faire preuve de générosité avec ceux qui vous entourent, et non de vous baigner tels des porcs dans les déboires du mal-être et du péché. Que la Lumière du Seigneur guide vostre chemin !

Les cloches se mirent de nouveau à sonner. Il traversa le couloir de la nef en compagnie de Monseigneur puis salua les fidèles d'un sourire, tout en conversant avec eux.
Rosa
Rosa se dirigea vers le Vicaire et l'Archevêque afin de les remercier.

Grand merci à vous, j'ai toujours énormément de plaisir à écouter l'histoire de Sainte-Illinda envers qui j'ai énormément de dévotion.

Par ailleurs je vois avec plaisir que notre nouveau Vicaire est très motivé et compétent, soyez-en remercié.

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Thibaud
Ces derniers jours, les festivités venaient de s'ouvrir, et sur tout les plans. D'un côté, on avait celles prévues par le Comité des Festes, pour faire oublier les derniers malheurs que les Flandres avaient connu ; la veille, deux êtres s'étaient promis amour et assistance, et pouvaient à présent copuler dans la plus grande intimité pour poursuivre l'Oeuvre de Dieu, et en ce jour, en ce Mardi 16 Mars de l'An de Grasce 1458, le couronnement du Comte allait enfin avoir lieu.

Comprenez qu'on ne peut remonter le temps, mais ça ne tiendrait qu'à moi, marionnettiste, j'aurais précisé que la cérémonie se déroule dés le début du Mandat, de toute manière, du moment que le RP s'ouvre, c'est le principal. Mais tout compte fait, hors de question de partir aussi loin, le clergé flamand avait connu de graves problèmes, il fallait l'admettre, et comme disait mère grand, vaut mieux tard que jamais.

L'instant présent : depuis que Monseigneur Alhysis était souffrante, la gestion de l'Archidiocèse lui revenait, et le respect du Concordat devait se faire. Ce n'est pas parce que certains Parlementaires souhaitent modifier le texte canonique, que le clergé ne doit pas le respecter. Au contraire, il fallait montrer que l'Aristotélisme n'oubliait personne, et Thibaud avait décidé, aujourd'hui, de poser lui mesme la couronne bénite sur la teste du Comte Ascalon. Certes, il en avait déjà une, mais bon, elle était assez terne et n'avait pas encore passé sous ses mains. En terre Aristotélicienne, il fallait une reconnaissance Aristotélicienne, et c'était bien Dieu, dans Sa grande sagesse -et dans nostre profonde ignorance- qui plaçait Ses Enfants sur Son échiquier terrestre. Si Ascalon avait été reconnu par ses pairs, c'est que la raison était là, qu'elle soit bonne comme mauvaise. Et dommage que l'office n'ait point été célébré avant, cela aurait pu calmer un peu les esprits, et sceller les bouches. Cracher sur un choix divin, c'était blasphémer. Un léger rire s'échappa de sa bouche alors qu'il se préparait dans la sacristie. Imaginez un seul instant, que demain, les Flamands se réveillent avec des restrictions prises par ses soins : "interdiction de critiquer le Guide Temporel Comtal en place car choisi par Dieu comme le Roy" ; alors là, il se serait fait lyncher dans un coin de rue. Mais entre nous, les querelles politiques donnaient un sens à la vie des Flandres, et elles permettaient de repousser un silence pesant. On ne s'ennuyait jamais.

La crosse et la mitre étaient là, dans un coin. Durant un instant, on aurait pu penser que Thibaud les convoitait, mais en fait, il regardait une araignée gambader sur le mur, juste derrière. Le Vicaire retira les plis de son habit mauve, avec les rayons du Soleil naissants, on aurait vite fait de le prendre pour un Saint. C'était son premier couronnement, et il fallait être parfait. Le Dunkerquois quitta la petite pièce, et demanda à l'un de ses bedeaux de prévenir la Maréchaussée pour mettre en place un cordon de sécurité. Ce n'était pas n'importe qui qu'il allait recevoir, le Comte et tout le Conseil allaient être présents. La Cathédrale resplendissait de ses bougies dont la cire suintait. L'odeur environnante pouvait soigner un rhume et l'agréable senteur de l'encens flottait à une certaine distance du sol froid et pierreux. Concernant les plantes, il n'y en avait pas beaucoup, mais les bancs étaient tapissés de quelques pétales. Que diable, certes, les évènements festifs sont à fester comme il se doit, mais nous ne sommes pas non plus dans un bois.

L'autel ayant été préparé plus tost, Thibaud ne s'y attarda pas, et traversa le long couloir de la nef, pour se rendre au transept. Durant sa traversée, il lança des directives aux bedeaux et autres employés présents. Le personnel flamand était maigre, mais heureusement certains connaissaient la solidarité et la Foy. D'un geste gracieux, il ouvrit les portes en grand, puis se mit sur le côté, afin de sonner les cloches pour avertir les fidèles. Sa personne se mouva ensuite jusqu'à la table en pierre, où quelques rayons solaires vinrent éclairer son élégance. Bah quoi, il faut bien profiter du Soleil.


Ascalon
C’était le Grand Jour, Ascalon allait recevoir sa couronne comtale pour la seconde fois de son règne, après celle du début du mandat, qui aurait du s’ensuivre celle lors de la cérémonie religieuse. Il mit ses plus beaux habits dans son bureau Comtal. Des pages l’avaient accompagné et l’avaient aidé à s’apprêter. Son épouse devait être dans son bureau au Castel, le bureau des Présidents du Parlement, et elle devait également être se préparer pour cette cérémonie.

Quelques minutes plus tard, il était devant la porte du Castel et attendait que son épouse le rejoigne, ainsi que les autres conseillers, pour se rendre à la Cathédrale à pied, en cortège. Les deux édifices n’étaient que peu éloignés, quelques centaines de mètres. Cette petite marche l’apaisera car il avait une petite appréhension, qu’il ne pouvait expliquer.

Son épouse, ravissante comme toujours, arriva enfin et le cortège prit alors la direction de la Cathédrale. Les flamands étaient au rendez-vous pour assister à ce déplacement.

Le Comte se présenta devant le parvis, il stoppa un instant, levant la tête vers le magnifique clocher qui carillonnait avec le balancement des cloches en bronze. Plusieurs souvenirs lui traversèrent la tête à cet instant, puis il pénétra dans l’enceinte de la Cathédrale pour prendre place. Pour une fois, il n’était pas en retard, c’était assez rare pour être souligné, mais quoi de plus normal pour son propre couronnement.

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