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[RP] La Cathédrale

Xiangying
Ayé c'etais le jour ou le Comte Ascalon aller être couronné pour la deuxieme fois elle ferma son bureau plus tôt que prevue et se dirigea dans l'auberge ou elle avais prit domicile s'habilla de sa plus belle robe et alla se rendre a la porte du Castel.

Vit le Comte est le salua d'une réverence et attendit que d'autres conseillers ainsi que Dame Piscalie également

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Joie
Avec toutes ses fêtes à la capitale Joie avait complètement oublié le couronnement du Comte, en rentrant dans la cathédrale elle voit très peu de monde, apparemment ce n'était pas la seule à avoir oublié.

Elle marche très doucement le long de l'allée principale pour ne pas faire trop de bruit, le Comte se trouve devant l'autel, elle ne veut pas perturber le début de la cérémonie... Au moment de s'asseoir le banc ce met à grincer très fort, Joie se met à grimacer et râle toute seule contre ce banc en baissant la tête pour ne pas voir les yeux des personnes présentes se figer sur elle...

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http://www.lesroyaumes.com/FichePersonnage.php?login=joie
Guichard
Dans un coin de l'église se tenaient Guichard et sa famille. Maryse et leur fille Audelia restaient à ses côtés. Le couronnement d'un Comte ne pouvait être négligé, surtout par un Chancelier.
Guichard adressa un signe de tête amical à ses amis au fur et à mesure qu'ils entraient dans l'édifice.
Bathylde
La Juge assez en retrait de la vie publique ces derniers temps se devait être au couronnement de celui pour lequel elle avait voté lors du second tour de la désignation du Comte flamand. Bathylde qui donnait ses ordres en son hostel pour préparer son départ avait fait garder une bonne partie de sa garde robe prête à l'emploi dans le cas de grands évènements.

Ainsi la blonde choisi une robe de mi-saison au vue des premiers rayons de soleil cléments et à des températures plus douces. Le bleu était sa couleur c'est donc une robe de cette couleur qu'elle porterait accompagné d'un petit hennin au voilage blanc cassé, à ses oreilles pendaient deux saphirs en forme de larme assortit son pendentif, héritage de feue sa tendre mère Mathilde.

Bathylde prit son missel et son chapelet d'onyx noir et prit la direction de la Cathédrale, saluant ça et là les paysan-e-s qui la reconnaissait, le petit chemin de son hostel à l'édifice religieux se passa sans heurt, Bathylde gravit les marches puis entra dans la Maison du Très-Haut, elle se signa fit des signes de tête aux personnes qu'elle reconnaissait et s'installa sur les bancs réservés au Conseil Comtal.
Skal
Le procureur avait presque oublié le couronnement du comte, c'est avec précipitation qu'il se rendit à Bruges.
Une fois arrivé devant l'édifice, il rentra saluant les personnes déjà présente, ainsi que le comte, puis il s'assied dans les premiers rangs, attendant l'ouverture de la cérémonie.

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Krystel_martin
C'était certain : Krystel allait finir par passer pour une grenouille de bénitier. A force de passer son temps dans les églises en toute occasion, elle allait finir par se faire ajouter ce surnom en plus des autres. L'Angélique Grenouille de Bénitier, Krystel Martin Ière. La réflexion arracha un sourire amusé à la jeune fille, tandis qu'elle pénétrait le saint lieu. Signature, heu, signe de croix, pas sur le côté en direction des bancs de devant.

La foule des grands jours était présente, afin d'assister au couronnement comtal. Le Comte aussi était là. Krystel comprit qu'elle était passablement en retard, et s'installa le plus discrètement possible au milieu d'un banc déjà bien rempli.


Pardon... Excusez-moi... Ah c'était votre pied... Pardon... Pardon...

Quelques orteils écrasés plus loin et une chute sur les genoux d'un fidèle plus tard, la Secrétaire d'Etat, rouge comme une pivoine, tentait de reprendre contenance. Elle salua d'un signe de main amical le procureur, fit un discret signe de tête à la famille d'Assaut, et salua les autres personnalités présentes et qu'elle connaissait, de nom ou de réputation. Puis, elle tourna la tête vers l'autel. Le Vicaire était pomponné comme une pucelle à son bal d'introduction.

Voilà un Vicaire bien élégant.

Cette réflexion la plongea dans un abîme de réflexions. La jeune fille n'avait-elle pas mis son chapeau de travers ?
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Thibaud
En l'espace d'un instant, une crainte s'était emparée de son esprit. En effet, à l'habitude, les fidèles venaient dés lors où les cloches sonnaient, mais là, on avait plus l'impression qu'ils traînaient. Thibaud regarda son bedeau, d'un air dépité, jusqu'au moment où des silhouettes apparurent. Tout compte fait, le Seigneur ne l'abandonnait pas. Il se promit de lire une deuxième fois la Vitae d'Aristote, à savoir une vingtaine de chapitres, rien que pour Lui. C'était son premier couronnement, et le Comte était respectueux, il arriva mesme dans les premiers. Des coiffes s'élançaient à leur tour, des muscles pointaient le bout de leur nez, et la nef se remplit doucement mais sûrement. Ascalon se mit en place, en face de l'autel, où se trouvaient en quelque sorte un léger pupitre et un coussin. Ne tardons plus, et débutons l'office.

Gloria Deum, et Aristotelem, et Christum.
Sicut erat in principio et nunc, et semper, et in saecula saeculorum. Amen.
Introibo ad altare Dei.
Ad Deum qui laetificat juventutem meam.
Adjutorium nostrum in nomine Domini.
Qui fecit coelum et terram.




Enfants du Très-Haut ! Soyez les bienvenus en la Cathédrale Saint-Sauveur, en cette journée du 16 Mars de l'An de Grasce 1458 afin de participer à l'un des évènements les plus importants dans la vie des Flandres, à savoir le couronnement du Comte. Aujourd'hui, sa Grandeur nous a choisi pour l'introduire et le bénir à sa fonction temporelle par la grasce du peuple, du Roy et du Seigneur. Sous le regard de Dieu, et par Sa volonté d'avoir permis à cet être d'être reconnu par ses pairs comme le Guide suprême du pouvoir politique, il est de nostre devoir, en ce jour où le peuple des Flandres est réuni fraternellement, de procéder à cette cérémonie pour le bien et la postérité de nostre Comté.

Mais avant de débuter, demandons au Seigneur de nous pardonner pour les fautes que nous avons récemment commises, et clamons haut et fort que nous sommes des pécheurs.


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Ascalon
La cérémonie venait de commencer. L'assemblée se garnissait petit à petit et sans bruit, dans un calme assez étonnant mais tellement ampli de spiritualité dans cette Cathédrale, magnifiquement décorée pour l'événement, que cela n'était pas étrange ni dérangeant.

Le Comte ferma les yeux, pensant à son baptême avec feu le Père Pérole et déjà en compagnie de son épouse, mais également à Sainte-Illinda qui l'avait toujours protégé et guidé dans ses choix. Il eut une pensée pour Monseigneur Alhysis qui était souffrante et qui n'avait pu officier, ce jour.

Monseigneur Thibaud prit la parole et débuta ainsi l'office. Ascalon entonna en même temps que tous les fidèles présent "la rémission des péchés".


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Krystel_martin
Confiteor...

Bah ouais, pas de raison pour que le Vicaire il soit tout seul à causer latin nanmého !

Confiteor Deo omnipotenti
Aristotelem, et Christellum, heu Christum
Beatae Illindae...

Etc... Krystel n'aimait pas particulièrement écouter ni parler le latin, mais l'adage était bien vrai : sans le latin, la messe est emmerdante. Même si avec, elle est passablement incompréhensible.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Suffit de faire la maligne, venait le moment où il fallait réussir à se faire comprendre. Et à se comprendre.
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Bathylde
Pieusement agenouillée sur le Prie-Dieu l'ex diaconesse de Bruges mais néanmoins très croyante joignit ses mains pour réciter la prière de rémission des pêchers.

    Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
    Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Thibaud
C'était très traditionnel dans l'Église, les sacrements avaient souvent le mesme squelette et les étapes restaient les mesmes. L'ouverture, le temps des prières, et la suite.. mais là, au temps vous l'avouer il allait faire confiance à Dieu, car tout compte fait, pour ce qui était du couronnement, c'était différent. A l'aise pour le reste l'ayant fait plusieurs fois, il restait novice en cette matière, mais il fallait bien une première fois à tout. Heureusement que Thibaud avait assisté au couronnement du Sieur Skal, imaginez un seul instant qu'il puisse bafouiller à celui du Comte Ascalon. Bref, dans ses veines coulait un amour sincère pour le Tout-Puissant, et depuis le temps qu'il lui clamait sa passion, le Divin n'allait tout de mesme pas l'abandonner. Un léger signe de croix pendant que les fidèles demandent le pardon, puis on continue.

Misereatur tui omnipotens Deus, et dimissis peccatis tuis, perducat te ad vitam aeternam. Amen. *dit-il accompagné du signe Aristotélicien.*

Récitons à présent le Crédo Aristotélicien, prière universelle de nostre Église. Affirmons nostre Amour que nous vouons pour la Foy.

    Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
    Créateur du Ciel et de la Terre,
    Des Enfers et du Paradis,
    Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

    Et en Aristote, son Prophète,
    Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
    Envoyé pour enseigner la Sagesse
    Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

    Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep,
    Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
    C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

    Je crois en l'Action Divine,
    En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
    En la Communion des Saints,
    En la Rémission des péchés,
    En la Vie Eternelle.

    Amen.
Joie
Après avoir récité la prière de rémission des pêchers, Joie écoute les paroles du Vicaire tout en regardant le Comte.
Quand le vicaire demande de réciter le crédo Aristotélicien Joie baisse la tête ferme les yeux et récite le crédo à voie très basse...


Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

Et en Aristote, son Prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la Communion des Saints,
En la Rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

Amen.


Le crédo terminé, Joie ouvre ses yeux, lève la tête et attend la suite du couronnement...
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http://www.lesroyaumes.com/FichePersonnage.php?login=joie
Ascalon
Ascalon sentait en lui comme une petite boule. Elle était dans son ventre, mais il ne pouvait pas l'expliquer. Cette sensation lui était étrange, même si pas totalement inconnu, il l'avait déjà rencontré à plusieurs moments de sa vie. C'était peut-être comme ça qu'on reconnaissait les grands moments ? Il chercha alors à se rassurer ou à se calmer, et tournant légèrement la tête, voyant le visage de son épouse, il se sentit de suite mieux, apaisé.

Monseigneur Thibaud, lui semblait imperturbable, comme s'il avait fait ça plusieurs fois dans sa vie. Il enchaina en latin, déroulant ainsi le fil de la cérémonie.

Le moment où il fallait réciter le Crédo Aristotélicien arriva, le Comte le récita à basse voix, comme lui avait appris le Père Pérole.


Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

Et en Aristote, son Prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la Communion des Saints,
En la Rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

Amen.

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Piscalie
Une longue cape couleur écru recrouvrait les épaules de Piscalie, sa tresse avait été resserée avec soin la veille pour qu’aucun cheveux ne dépasse dans sa nuque. Ascalon adorait la courbe qui se dessinait sous son chignon, elle le savait. Son mari était une troisième fois couronné, et certainement la dernière. Elle le regardait les yeux amoureux, protégeant son être cher. Il était son tout et l’avait toujours été. C’est pour cela qu’elle était tout devant. Sur la première chaise, de la première rangé, au tout début. Ses triplés étaient sortis du couvent afin d’accompagner leur mère à cet évènement. Tandis que la petite dernière, encore trop petite était restée avec la nourrice.

Les yeux de leur mère ne se décollaient pas d’un iota. Entre Ascalon et Piscalie, une connexion permanente pouvait se lire entre ces deux êtres. Piscalie, épouse du Comte actuel, amie du jeune blanc bec d'hier, et amante le soir, ne pouvait laisser écarter ne serait-ce qu’un instant ses yeux verts, brillants de milles feux, de la silhouette de son mari. Elle savait que sa présence lui faisait du bien et que son regardl’accompagnait. Ils avaient besoin l’un de l’autre, du regard de l’autre, du soutien de l’autre parce qu’ils se faisaient profondément confiance.

Piscalie fit très peu attention aux personnes qui étaient autour d’elle, elle était happée. Cependant, le vicaire attira son attention par le crédo. En bonne aristotélicienne, la Comtesse consort n’oubliait jamais de réciter le crédo :


Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

Et en Aristote, son Prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep,
Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la Communion des Saints,
En la Rémission des péchés,
En la Vie Eternelle.

Amen.


Elle rajouta à voix très basse, à peine audible : Aristote, protège notre grande famille flamande, aide mon mari à œuvrer le mieux qu’il peut pour l’avenir de nos enfants. Vieilles sur lui ainsi que sur toutes les familles qui constituent notre Comté. Amen.

Sa tête se releva, glissant sa main vers ses trois enfants pour écouter la suite la cérémonie, les yeux toujours fixés sur son mari.
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Bathylde
La Juge se concentrait toujours à cet instant, il s'agissait de communier avec l'ensemble des fidèles dans la prière au Très-Haut, elle resserra son chapelet et eut une pensée pour sa défunte mère, elle releva le menton et fixa la rosace de vitraux de la cathédrale au moment ou le soleil l'éclaira pour offrir un joli spectacle de lumières.
Puis avec l'ensemble elle récita le crédo, sourire aux lèvres.


    Je crois en Dieu, le Très-Haut Tout Puissant,
    Créateur du Ciel et de la Terre,
    Des Enfers et du Paradis,
    Juge de notre âme à l'heure de la Mort.

    Et en Aristote, son Prophète,
    Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
    Envoyé pour enseigner la Sagesse
    Et les Lois Divines de l'Univers aux hommes égarés.

    Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep,
    Il a voué sa Vie à nous montrer le chemin du Paradis.
    C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le Martyr pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

    Je crois en l'Action Divine,
    En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
    En la Communion des Saints,
    En la Rémission des péchés,
    En la Vie Eternelle.

    Amen.
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