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[RP] La Prise du Village...Que mes Demons soient prets...

--Sathan


Sathan et son Groupe etaient arrivés dans Le Village...




Ils avaient montés leur campement, et s'etaient fondus dans le Village...

Ils avaient Fait leur campement tout autour du Village et ils attendaient leus amis... Chaque Jour le flot arrivait avec deux ou trois personnes...

Pas plus...Ils ne voulaient pas attirer l'attention...Il avait etudier les moindres mouvements de la Milice qui surveillait le soir sur les remparts.

Son Epouse Mellissande...



Glanait des information dans tout le village, et surveillait aussi les mouvements de l'armée de L'ost...

Mellisande??? As tu prevenus Nos amis qui attendent en Provence???
J'aimerais que nous soyons pret pour la semaine prochaine...
Je devrais preparer Notre armée Hors des Murs du Village pour ne pas eveiller de soupcons et ne pas etre vu.
Dbruno
Dbruno trembla de peur et sourit

Que du vent tout cela rangé vos crocs bouffon on à po peur


Parti en riant
_________________
--Melisande


Mettre le masque.
Il l'avait fallu.
Mettre le masque et quitter la forêt.
Il le fallait.
Quitter la forêt, et quitter la fontaine.

Le jour viendrait, où enfin, elle trouverait cet anneau.

Sans un mot, il était parti.
Sans un mot, elle les avait suivi.

Silencieuse Mélisande.
Calme Mélisande.
Douce Mélisande.

Le jour viendra où tout sera révélé, ou tout retrouvera sa place.

Garder le masque, encore et encore.
Offrir les rires, offrir la joie, et ne penser qu'à la nostalgie, qu'à Lui.

Les rues sombres d'une ville inconnue.
Connaître cette ville comme la sienne.
Un autre masque.
Une autre vie.

le Chien de Culann.
Ses hommes.
Ses combats.

Elle le rejoint, loin des remparts, loin de la ville.

comme à leur habitude, il rentre dans le vif du sujet.


Ils sont avertis. Lorsque les Walkyries lâcheront leur courroux, ils répondront à leurs ordres.
On ne désobéit pas aux Walkyries. Leurs chevauchées sont par trop effrayantes.


Regard vers la ville.
Une trêve avant de reprendre ses propres recherches. Sera-t-il là ?
Regard vers Lui.


Ils hantent les remparts, me rapellant Gunther et sa cour empressante à Brünhilde. L'avidité est ainsi faite.
Mais personne n'est invicible, pas même Siegfried.


Regard vers les remparts.
Un rayon de lune semble éclairé une partie de celui-ci.
Elle montre l'opposé.


Une zone mal éclairée ...
Les guerriers devraient pouvoir l'escalader facilement.


Elle regarde maintenant sa main.
Elle sent le masque tomber. Vite le remettre.
Peine, ne la quitteras-tu donc jamais ?
Elle lève le regard vers Lui.


____________________________________________________
Was Ihr seid, sind wir gewesen - Was wir sind, werdet ihr werden*

Ce que vous êtes, nous l'étions - Ce que nous sommes, vous le deviendrez.
--Stolas
Stolas était arrivé dans le campement des ses amis, Il aperçoit Sathan en discussion avec son Epouse Meli.



Il les salut et se joint a eux.

Je suis désolés de vous interrompre, J’ai reçu des Nouvelles de nos amis Pirates, ils vont bientôt partir de Genova en Italie,



Et seront ici assez rapidement. Ils ont avec eux 22 Mercenaires.
Ils doivent prendre de la Nourriture, et embarquer.
Ils resteront a l’embouchure du Fleuve, et attendrons les Ordres. Ils me demandent aussi s’ils doivent détruire les Navires qui seront dans les Ports et sur le Fleuve.

J’ai aussi envoyé une missive à notre ami Diavolo.




Je lui demande de nous rejoindre ici avec son armée.
Nous devrions être plus de soixante Guerrier. Votre fille sera avec nous ?
La Prise du Village sera très Facile.


Stolas regarde le repas qui grille sur le feu de camp.



J’ai un tonneau de vin pour accompagner le repas

dit il en souriant
--Melisande


Regards perdus vers les lumières de la ville.
Quel que soit leur trésor, les hommes tuaient pour le conserver.
Pour nombre d'entre eux, le trésor n'est que or. Richesse bien pauvre en réalité.

Regards vers le passé.
La fontaine ... voilà son trésor.
Sa valeur n'est pas quantifiable.

Regard vers l'homme faisant son rapport.
Les brumes du matin dévoileront donc les Bâteaux Fantômes.
Sombres, imprécis, gigantesques, destructeurs.
Raz-de-marée à eux seuls.
Les pavillons noirs en seront à peine visible.

Regard vers la ville.


à combien estiment-ils leur trésor ?

L'or ne mêne à rien. L'or a tué le Roi de Thulé.
L'or a tué.
étincellante morbidité appelant à l'avidité du plus pauvre comme du plus riche.
L'or tuera encore.

Regards vers l'homme.
Sa fille ... elle n'est pas sa fille.
Ou si, mais comme tout ceux souhaitant accéder à la fontaine. Ils sont ses enfants.


peut être ... elle peut être si déroûtante.

Regards vers les hommes, Ses démons.
Ils sont aussi ses enfants.


Ils sont là.
Tous prêts.
Les autres viendront.


Regard vers Lui.
Il a repris ses silences.

Regards vers la ville.
S'ils veulent boire l'eau de la fontaine, ils doivent comprendre quelle est la plus grande richesse de ce monde.


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Was Ihr seid, sind wir gewesen - Was wir sind, werdet ihr werden*

Ce que vous êtes, nous l'étions - Ce que nous sommes, vous le deviendrez.
--Louiis


Le p'tit Louis n'avait rien d'autre à faire que d'trainer dans les rues d'sa ville. Pas d'parents pour lui d'mander c'qu'il faisait à l'ongueur d'journée, et même si parfois, il aurait bien aimé avoir un calin d'une mère aimante, il préférait encore être seul lorsqu'il voyait les parents d'ses copains. Certains, c'était pas d'la tarte ! Toujours après vous, pour vous habiller com' des princesses, ou vous d'mander d'faire des courses...

Il trainait donc dans les rues, les poings enfoncés dans les poches, serrés. Parfois, un p'tit caillou rencontrait son pied et allait valdinguer un peu plus loin.

A force d'trainer, il connaissait tous les r'coins, toutes les cachettes possibles, impensables. Pis, il aimait surveiller, épier les gens à leur insu. Qu'est c'que c'était drôle de les voir parfois dans des situations inimaginables !

Là, ça f'sait plusieurs jours qu'il voyait des gens arriver. Ceux là, il les connaissait pas. Ils z'avaient des têtes qu'inspiraient pas l'envie d'trainer avec eux, ah ça non ! Eux, z'avaient des dents en moins, ça d'vait pas toujours être facile d'manger avec ça en moins !

Mais c'groupe, parc'que c'était un groupe, qui s'mettait tranquill'ment à l'écart du village, il lui disait rien d'bon. Fallait absolument prév'nir les copains d'la bande pour voir c'qu'ils pouvaient faire à eux tous pour les faire partir. Parc'que s'ils restaient, ben Louis, il s'disait qu'les voyageurs viendraient plus, et il pourrait plus leur piquer des trucs des les poches.

Louis fit demi tour et parti sonner le rassemblement dans leur cabane....
Musartine
L'avantage des vergers, c'est qu'on voit loin. Enfin quand on est à la cime des arbres, parce qu'aux pieds des arbres, on voit des troncs, des branches, parfois des échelles ... bref, la vue n'est pas vraiment dégagée. Mais quand on grimpe dans les arbres, tout en haut, on voit tout ce qu'il se passe à l'entour.

Muse qui crapahutait beaucoup en ce moment, avait donc fini par remarquer un attroupement un peu particulier au loin. Pensant tout d'abord qu'il s'agissait d'un convoi de voyageur, elle n'y avait pas prêté plus attention. Mais l'étrange convoi était toujours là.

Aussi, quand elle vit Dbruno passer, elle observa la scène, mais n'entendit rien. Il avait du tenter lui aussi de savoir ce qu'il se tramait. Elle lui fit signe de la suivre, mais l'avait-il vue ?

Toujours est-il, Muse posa son échelle, puis silencieusement, elle sorti de la ville. La couverture sombre de la nuit tombante la cacherai à la vue des convoyeurs. Elle s'approcha le plus près possible, et son expérience de lieutenant aidant, elle reconnut des allures de complot. N'entendant pour le moment rien, elle tenta d'observer tout ce qu'elle pouvait : les armes, le nombre d'hommes, combien de temps pourraient-ils tenir si un siège s'improvisait ? Bref ... tout ce qui pourrait servir.

Accroupie dans le noir, elle analysait, comme elle savait si bien le faire...

_________________

Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
--Sathan
Sathan était assis avec son épouse, et avec Stolas son ami…
Ils mangeaient en discutant… et Buvant le bon Vin de Stolas
Il épiait les moindres bruits qui ne lui semblaient pas naturel…
Ses sens étaient en éveil, il avait bien entendu des craquements légers, surement un enfant qui devait les avoir entendu se dit il.
Mais il avait une autre impression celle d’être observé. Il sentait un étrange parfum de Rose Bleue...



Qui parfois venait vers lui…

Il se penche vers Meli et Stolas.

Nous sommes épiés je pense, J’ai entendu tout a l’heure des craquements légers, mais je pense que c’était un enfant. Par contre la je peux respirer une Présence.
Restons sur nos gardes et soyons discret.
J’enverrais Priest1 dans la Nuit pour voir si la personne a laissé des traces éventuelles.


Sathan sort son épée de son fourreau…


Et la pose a coté de lui… Il adorait sa fidele Epée a double Lames d’argent et poignée d'acier Noir…Epée fidele qui avait deja prit tant d'ames...

Il scrute les bois autour de lui…



Stolas ? Peux tu aller me chercher Priest1 ?
--Priest1


Priest avait eté demandé par Sathan.
Il etait venu le plus vite possible, Stolas le suivait.

Il salut son Maitre.

Sathan.
Priest? J'aimerais que tu surveilles notre campement cette Nuit,J'ai comme une impression que l'on nous surveille.

Priest.
Maitre, j'ai deja ressentis la meme chose, et je suis allés discretement dans les bois, J'ai apercu un jeune enfant, qui a vu le campement, Mais rien a craindre de ce coté la.

Sathan.
Priest? Ne m'appelles pas Maitre, tu es mon ami. J'ai quand meme la sensation d'etre surveillé.

Priest.
Oui Effectivement Maitre, Une personne etait en train de surveiller le campement, J'ai eu du mal a la voir,et aussi a ne pas me faire remarquer. Elle semble avoir une grande connaissance de l'art du camouflage, Peut etre un Brigand, je ne sais pas.

Priest marque un temps d'arret.

Maitre?

Sathan.
Priest mon ami? ne m'appelles plus Maitre, cen'estpas parce que je t'ai sauvé des Griffes de L'inqui...

Sathan crache a terre, il a horreur des Gens d'Eglise.


Tu voulais dire Priest?


Priest.
Et bien cette Personne.elle a tourné son visage vers moi, et la lumiere des Etoiles ont eclairés son visage. C'est une femme.

Il marque un temps d'arret.

Elle n'a pas pu me voir, j'etais fondus dans l'ombre, Mais son visage n'etait pas apeuré. Disons une Femme qui n'a pas froid au Yeux

Sathan est pensif. Il regarde Priest et lui dit

Restaures toi un peu, La viande est bonne et le vin d'un tres bon gout.Chatoyant au Palais...

Priest sourit et depose son Arbalete,L'arme du Diable, au sol a coté de Lui.



Je te Remercie Maitre.
--Gehenna


Longue vie à eux, telle était leur destinée. L'éternité les avait recueillie au creux de ses bras. Aujourd'hui, ils erraient à la recherche de leur voix.
Elle suivait la route, le regard perdu vers un horizon lointain. L'esprit comme toujours ailleurs. Où ? Eh bien dans un rêve et qui dit rêve dit utopie... .

Une nouvelle ville, une nouvelle histoire, une nouvelle aventure. Sans un mot, sans un bruit, elle s'était éclipsée du campement. Visiter les lieux, rencontrer les âmes, jouer d'eux, les analyser et les observer, voilà où elle était allée.

Surveillant les alentours, elle s'était encore perdue ! Retour sur ses pas. Mais où étaient ils ? Aucune empreinte ne pouvait trahir son passage dans le coin. Au final, elle se retrouva près du campement. Géhenna pouvait entendre la voix de son père, sentir le parfum de sa mère, entendre le bruit de leur pas.
Pfff et dire qu’elle était sensée être au centre de la ville ! Géhenna allait reprendre son chemin en direction de la ville quand elle entendit des bruissements. L’oreille aux aguets,le bruissement d'un vêtement se fit entendre. Elle sentit une intrusion autre que la présence de son clan !

Sans un bruit, sans un mot, elle se faufila auprès de ses parents : sa mère au visage toujours aussi serein, son père toujours aussi ancrée dans ce qu’il entreprenait. Puis une phrase s’échappa hors de ses lèvres :


Nous ne sommes pas seul !


Mais apparemment ils étaient déjà au courant, apparemment elle était encore la dernière au courant, apparemment elle était encore trop en retard par rapport aux autres.
--Belzebuth


Belzebuth toujours attiré par des odeurs, se laissa entraîner près d’une chaumière. Son ventre parlait pour lui, sa panse le guidait. Aussi discret qu’un taureau en furie, il fonça tête baissée à l’intérieur de la demeure.

Sans regarder autour de lui il huma l’odeur enivrante de la cuisson d’un plat. Gargouillis dans son estomac se fit entendre. Il s’approcha du plat et regarda enfin autour de lui… Mais personne en vue !
Morbleu, il ne pourra pas se livrer à une tite bagarre avant de se revigorer ! Dommage, il aime tellement faire souffrir son adversaire lentement, apeurer les gens, rire des signes de détresse qui se lit dans leurs visages.

Sans attendre, il attrapa une cuisse de poulet qui était en train de rôtir, impatient, affamé comme toujours. La cuisson ne lui causa aucune douleur. Il croqua un bon coup dans la chaire cuite, enfonçant ses dents sans ménagement. Il dégusta son repas comme s’il n’avait pas manger depuis des jours et des jours.


"BUUUUUUUUUUUURP"
un rot qui aurait pu faire trembler la terre, l’aida à digérer. Il fouilla la maison apparemment pas encore assez rassasié. Oh? Un bon gigot, Miam, Il l’engouffra en une bouffée, un peu de cidre pour aider à avaler et hop, il se tapota le bidon satisfait de son repas.

A la fin de sa dégustation, et lorsque son nez cessa de renifler une odeur de nourriture, il se lécha les doigts tel un malpropre et retourna à d'autres vacations.

CINQ MINUTES PLUS TARD :


Une envie pressante, qui ne pouvait attendre l'avait obligé à sortir comme un sot sans fermer la porte. Mais qu'est ce que ça faisait du bien de se vider surtout en pleine urgence. Se sentant plus léger, Piston retourna chez lui. Son ventre crier famine et il se frotta les mains à l'idée de goûter à sa nouvelle recette. Lui qui avait du mal à se payer un vrai repas, il était fier d'avoir préparé ce poulet rôti. Mais où était passé ce poulet !!! Il regarda autour de lui, se gratta la tête, se caressa sa petite barbe et fronça les sourcils.

Mon repas Fichtre !! bé qu'il est passé où didju.


Puis il remarqua que sa bouteille de cidre avait disparu aussi. Mais qu'est ce que cela signifiait ? Serait il sujet à des hallucinations pourtant, il n'avait pas bu !! Aucune nourriture était présente ! Il était sorti cinq minutes ou dix pour se vider un peu et plus rien !!! Il sorti regarda les alentours et pleurnicha croyant devenir fou, l'estomac toujours en train de crier famine...


ENTRETEMPS


Belzebuth sourit bêtement tout en se caressant le ventre ravi de ce petit festin. Après tout, il avait bien besoin de force pour les prochains jours à venir.
Bientôt il entrerait comme un forcené à la mairie de la ville pour en sortir tout ce qui avait son pesant d'or en espérant qu'il y aurait quelques fut de bières quelque part.
Il espérait en même temps qu'il y aurait des défenseurs au moins, il pourrait s'amuser et se défouler. Rien que d'y penser il rit comme un soiffard. Il se lecha les babines à l'idée d'ôter la vie à ses damnés.
--_eudes


[le rêve]



- Eudes ! aujourd'hui, vous serez un homme. Il va être temps que vous voyez déniaisé, et comme je vois que vous n'arrivez guère à détrousser les paysannes, je vous mène de ce pas aux catins. Ce sont des femmes d'expérience.

- Bien Père.

Les deux hommes quittent le logis seigneurial pour rejoindre l'une de ses rues sombres, abritant l'un des antres de la lubricité. Comme dans tout ses lieux malfamés, les femmes sont vêtues de tenues plus affriolantes les unes que les autres, elles rient, elles déambulent de leur démarche chaloupées. L'adolescent se retrouve rapidement enfermé dans une chambre avec l'une d'elle.

La première fois ... nous savons tous que ce n'est jamais le moment où un jeune homme fait montre de sa meilleure virilité. Pourtant, la catin hurle de plaisir, développant l'extase de l'adolescent, à un point où il n'a plus conscience du lieu où il se trouve. Elle hurle, encore et encore.

La porte s'ouvre subitement, laissant entrer le père, suivi de près par la matrone et des autres catins. Celles-ci crient, à croire qu'elles veulent aussi être satisfaites...

- Eudes ? qu'avez-vous fait ?
- J'ai fait ce que vous m'avez demandé de Père, je n'ai fait qu'obéir ...

Regard hagards du père.

- VA-T-EN DEMON !!! TU N'ES PAS MON FILS !! QUE JAMAIS JE NE TE REVOIS !! SUPPOT DU SANS NOM !!!


[le réveil]

Réveil en sursaut. Encore ce rêve ... *Père n'a jamais compris les subtilités de l'art.*
Il regarde alentour, que les autres n'aient pas remarqué son endormissement. Mais la capuche rabaissée, ils n'ont pu voir qu'il s'était endormi.
Il voit les chefs préparer leur complot. Il sait que bientôt, sa faim sera à nouveau assouvie.

Melisande est là. Peau diaffane, blanche comme le lait. Il aime ses femmes éduquées, raffinées, à la peau douce. Il imagine aisément les marques rouges des plaies sur cette peau pure. Mais cette femme est toujours si calme, qu'à tout les coups, elle ne saurait exprimer son plaisir. Il aime entendre leurs rugissements de ravissement.

Gehenna est là aussi ... mais tatouée. Le corps déjà peint, son art déjà gâché. Il guide son esprit à la chasse d'une autre femme.

Il les laisse à leur stratégie. Lui, son rôle interviendra plus tard, lorsqu'il faudra se battre, il sera là. Lorsqu'il faudra chasser, trouver les dirigeants, ils feront appel à lui. Sa faim des femmes raffinées les lui fait toujours trouver.

Le visage toujours caché par la capuche, il regarde vers la ville. Il la sent rutilante de vie, étincellante de femmes. Pour sur qu'il y trouvera un joyau. Le bas-ventre le tiraille. Sa faim sera bientôt assouvie.


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Le meilleur moyen de persuader consiste à ne pas persuader.*

*Lautréamont : les chants de Maldoror
--Fernand_le_crotteux


L'crotteux, de son p'tit nom, était là, et bien là. Depuis qu'la blonde avait décidé de r'venir ici, il n'avait pas bougé. Faut dire que c'te blonde, elle n'était pas comme les autres. La première fois qu'il avait aperçu sa chevelure, il en était tombé amoureux. Et l'crotteux, ben il tombait pas amoureux facil'ment !
Il l'avait donc suivie, partout où elle décidait de se rendre, de loin. Ses cochons devant lui, il l'observait toujours à la dérobée, espérant trouver l'occasion d'lui déclarer sa flamme, un jour ou l'autre.

Ils en avaient fait des chemins, des villes, des foires !

Mais d'puis qu'la foire comtale n'existait plus, ça d'venait plus compliqué d'vendre ses cochons. Pourtant, ils étaient bien gras, bien dodus d'puis l'temps qu'il avait posé son baluchon dans c'village. Le maïs qui poussait ici semblait les engraisser plus qu'ailleurs.

Elle avait raison la blonde, c'te ville, c'était de l'or, elle était unique et ses cochons paraissaient heureux d'vivre ici. Ils s'roulaient dans la boue comme jamais ailleurs, et aimaient s'nourrir des charognes qu'ils trouvaient.

D'ailleurs, en parlant d'charognes...

L'crotteux fouinait toujours à droite et à gauche pour trouver d'quoi manger, mais aussi pour surveiller sa blonde, auprès de qui, ou au loin, il vivait heureux.

En fouinant, il avait r'marqué qu'des personnes qui n's'étaient pas lavées d'puis aussi longtemps qu'lui se rassemblaient p'tit à p'tit aux alentours du village. Il était presque jaloux d'leur odeur qui dépassait la sienne. Il n'se sentait plus, ou presque. Camouflé parmi ses cochons, il observait c'qui pourrait bien leur dérober. Leur r'pas grillant sur l'feu dégageait une odeur alléchante, le ventre de Fernand en émit quelques gargouillis de mécontentement, vide depuis plusieurs jours.

Il resta là, à saliver.
--Sathan
Sathan s'etait retiré dans sa Tente et reflechissait...
Il attendait son Epouse Meli, et il aurait aimé voir sa Fille Gehenna...
Il aimait avoir leurs avis...
Devait il attendre pour prendre la Mairie???
Demain serait les Elections et donc un flottement dans la securité du Village...
Il etait assis et Reflechissait encore...



Il se souvenait de leurs precedentes prises, ils avaient perdu beaucoup de leurs amis... Parfois les Demons partaient au Paradis aussi...
Leur dernier combat dans les Neiges des Montagnes Froides avait decimé plus d'une dizaine de leur Fideles...



Sathan etait pensif , son verre de sang frais a la main il trinque aux Demons qui le protegent



Meli? Gehenna? Mais ou Diable etes vous...?
Anghell
La petite s’amusait plutôt bien en cette contrée. Fallait dire, qu’il n’y avait pas de quoi s’ennuyer auprès de certains fou. Et surtout, elle avait rencontrer une belle barbe qui appartenait à un bel homme .

Anghell pouvait ainsi encore plus facilement jouer de mauvais tours mais avec Margareth toujours derrière les talons c’était pas si aisé et elle avait hâte de retrouver les uzétiens !

A peine levée de son lit, elle réfléchissait déjà à ce qu’elle allait bien pouvoir trouver comme subterfuge pour s’échapper de la surveillance de sa nourrice. La petite étoile s’était levée de bonne humeur, elle ne rechigna pas aux premiers ordres de Margareth au contraire, elle le fit même avec plaisir ! Soudain, elle fit croire à sa nourrice qu’elle était fatiguée et qu’une bonne sieste ne serait pas de refus.


Bien, il faut dire qu’aujourd’hui vous avez bien été obéissante, je suis fière de vous et vous voyez quand vous daignez faire ce que je vous demande sans rouspéter, on s’entend plutôt bien. Je dirais même que blabla et blaba…. Et voilà qu’elle ne s’arrêtait plus de parler.

Anghell leva les yeux au ciel et se glissa sous ses couches. Une fois la porte refermée, elle se leva d’un bond. Dans un silence qui lui parut durer une éternité, elle attendit que les pas de Margareth s’éloignent pour s’enfuir par …. la fenêtre.
La petite démone détala comme un lapin. Elle rit de bon cœur en imaginant la réaction de la nourrice quand elle se rendra compte qu’elle lui avait encore échapper entre les doigts.
Une fois loin de leur demeure, elle reprit sa respiration et regarda autour d’elle. Bon, c’est pas le tout de s’être enfuie, il faut maintenant savoir par où aller et surtout qui embêter.^^

Anghell marcha d’un pas sûr et fier comme le ferait ses parents. Elle se laissa guider par son instinct, elle finira bien par trouver quelqu’un sur sa route. Au loin, elle vit un campement, tiens des nouveaux, sans doute venait il de s’installer. C’était parfait, elle allait se faire d’autres amis. Décidément, elle aimait cette ville !

Elle s’approcha l’air de rien, avec la confiance et l’innocence d’un angelot. Anghell se faufila à travers le peu de monde. Apparement ça chahuter par ci par là, sans doute était il trop occupé toujours est il qu’elle s’incrusta sans dommage. Elle les regarda de loin et trouva certains visages bien étranges, peut être préparait il un carnaval. Oh ouiiiii, elle allait s’amuser si c’était le cas. Puis, elle se retrouva nez à nez devant une tente, celle-ci plus grande que celles des autres et la curiosité la tenaillant elle ne pu résister à l’envie d’y pénétrer. Elle se mordit la lèvre devinant déjà la réaction de sa mère. C'est en pleine réflexion qu'elle entendit une voix qui s'impatientait.


Citation:
Meli? Gehenna? Mais ou Diable etes vous...?


Anghell fit un pas en arrière mais la curiosité était plus forte que tout et elle entra. La petite brune resta debout et scruta les lieux, un frisson la parcourut tellement elle trouvait cet endroit lugubre.
Son regard se posa enfin sur cet homme d'une beauté effrayante.


Bonzouuur M'sieur, ze suis Anghell d'Hell ! Vous venez d'arriver ici ? tout un tas de question tourbillonnaient dans sa tite caboche et elle lui décocha son fidèle sourire.
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