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[RP] La Prise du Village...Que mes Demons soient prets...

--Sathan
Sathan etait dans ses pensées quand il sent une présence...
Une douce odeur d'enfant...
Il se leve de son Trone... et voit apparaitre une jeune Demoiselle...

Il la regarde... Une petite effrontée qui lui adresse d'un ton Mielleux…

Citation:
Bonzouuur M'sieur, ze suis Anghell d'Hell ! Vous venez d'arriver ici ?


Il sourit de tant d’audaces, et sourit aussi que la jeune demoiselle soit parvenue jusqu'à lui…

Bonjour mon enfant… Oui tu as Raison je viens juste d’arriver, et tu es la première personne qui vient se presenter a moi…

Sathan sourit et s’approche de la Petite Anghell d’Hell…



Tu ressembles a ma Fille Gehenna^^… Tu es aussi téméraire qu’elle…
Je suppose que tu as des parents ???...
Ah je dois me présenter aussi…Je m’appelle Sathan, Je viens de Nulle part, et je ne vais nulle part…
Je suis disons un voyageur errant… Mais assis toi… Je vais te faire amener de quoi boire…
Aurais-tu soif ? Faim ?


Sathan se retourne, Qemande une personne, et fait amener des boissons de jus de fruits et des fruits frais...

Alors petite Anghell d'Hell??? Comment es tu parvenue jusqu'ici sans te faire voir???

Il lui sourit...
Zetruckipu
Cette nuit là, notre alcoolique préféré se tenait sur les remparts. Ohhhh pas par plaisir, non... C'est qu'il n'en avait aucun à se tortiller sous la pluie battante provençale, rare mais puissante et implacable. Il serait bien mieux à s'occuper de sa taverne, bien au chaud en train de siroter des panturlà au lieu de faire le guignol sur ses murs. D'autant plus qu'il ne se passait jamais rien dans cette ville...

Il était assit sur une caisse en bois, sous une peau de boeuf qu'il avait tendu entre deux piquets. Autan dire que ça ne le protégeait en rien de la pluie qui s'abattait tout autour de lui. Pffff c'était vraiment la corvée la garde... Du coup quand il s'ennuie, il pense le Zet. Ohhh non, il ne pense pas à de grands projets philosophiques, pas plus qu'à l'avenir du monde. Tout ça ce sont des sujets qui le dépasse le pecnot provençal qu'il est! Tout ce qu'il fait c'est qu'il repense à ses journées, à ce qu'on a bien pu lui dire.

Et il se disait des choses étranges en ville, il se disait qu'Uzès était menacé par des hordes de Huns sauvages, de barbares sans foi ni loi, des armées de cavaliers mongols à deux paires de bras et mesurant plus de 10 pieds de haut. Zet grelottait en pensant à cela. Non qu'il eut peur des géants venus d'orient, mais c'est qu'il faisait sacrément froid en ce mois de novembre!
En y réfléchissant bien, il avait peut être un peu peur. C'est vrai qu'il était plutôt crédule et sacrément superstitieux, la faute à son éducation aristotélicienne provençale, mais tout de même... il se disait que les chevaux devaient être sacrément grand pour pouvoir supporter un simplet aussi haut qu'un ours.

C'est qu'il ne fallait pas croire toute les rumeurs qui circulaient en ville... L'une d'elle avait dénigré une de ses expérience en faisant courir le bruit dans tout le comté qu'il cherchait une nouvelle forme d'exécution. Il tentait alors de faire voler des hommes en les jetant du haut d'une tour attachés à une tartine et à un chat démembré. L'expérience avait malheureusement dû être arrêtée pour faute de budget avant que l'on puisse obtenir des résultats concluants.

L'arbalète sur les genoux, il réfléchit alors aux conséquences que pourraient avoir un raid barbare sur les terre du pays Uzètien, l'Uzège. Un massacre à coup sûr, des pillages et des années pour s'en remettre. Tsssss... Uzès était sa terre. D'adoption certes, mais c'était la sienne. Et pas celle d'une quelconque chiure d'estrangers barbares venus d'ailleurs, sans doute accompagnée par une troupe de rouquins (ben oui pour faire 10 pied de haut ne nous voilons pas: il fallait bien l'appui d'un vil sorcier rouquemoute.) Mais il était confiant. Tant que le FLNU veillera sur le bon pays Uzètien, jamais il ne tombera en de mauvaise mains, se dit il en caressant son arme.

Ilse leva et s'avança jusqu'aux créneaux, jeta un regard parcourant la nature qui s'étendait sous les muraille, puis il se retourna pour contempler avec envie la taverne qui semblait l'appeler.

Il retourna s'assoir, digne et se mit à entonner le refrain d'un chant patriotique Uzètien.


♪Vous n'aurez pas, l'Uzège et la taverne,
Et malgré tout, nous resterons bourrés!
Vous avez bu, du thé et d'la verveine
La panturlà, vous ne l'aurez jamais!♪



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Musartine
Toujours tapie, elle observait. Ils bougeaient, et plus d'une fois, elle eut craint d'être découverte. Elle continuait d'observer les va-et-vient quand elle vit une silhouette d'enfant. Que faisait cet enfant ici ? Ne se rendait-il donc pas compte du danger ? Puis rapidement elle réalisa ... cet enfant qui avançait comme en pays conquis dans ce campement n'était autre ... qu'Anghell.

Elle étouffa un cri hurlant le prénom de sa fille en plaquant ses mains contre sa bouche. Il ne fallait pas attirer leur colère sur la petite étoile. Il ne fallait pas qu'ils la touchent. Muse balaya son regard autour d'elle, cherchant Marguerite du regard, mais ne la vit pas. Il fallait faire vite, il fallait agir.

Rapidement, Elle prit une décision qu'elle n'avait jamais prise : elle se sépara de sa poêle. Ghell la reconnaitrait s'il devait passer dans les parages. Le manche pointé vers le campement, elle espéra qu'il comprendrait le message. Puis, elle se releva, marchant de l'allure qu'elle voulait fière, malgrès la peur la tenaillant au ventre, et, épée à la main, entra à son tour dans le campement.

Elle avait vu l'enfant se diriger vers la tente. Il ne fallait pas tergiverser, de son pas autoritaire, elle s'y dirigea tout droit, espérant que personne ne l'arrêterait, la prenant pour quelqu'un du complot, puis elle entra, cherchant immédiatement la prunelle de ses yeux du regard.


Anghell ...

Elle était là, en vie, pas même ligotée. Muse prit alors conscience de la situation dans laquelle elle se trouvait : elles étaient seules, entourées d'ennemis aux moeurs étranges. Elle se rapprocha de l'enfant, l'attira à elle, et l'épée brandit en direction de Sathan, elle vociféra :

N'envisagez même pas de la toucher !

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
--Sathan
Sathan souriait a la jeune enfant au Prénom d’Anghell, Il la regardait amusé…
Les fruits et les Jus de fruits avaient été apportés, et il allait congédier le serveur…

Quand soudain il sent la tenture qui sert de porte s’ouvrir et une Jeune Dame pénètre épée au poing …

Elle avance vers lui et lui dit d’un ton Ferme…

Citation:
N'envisagez même pas de la toucher !


Avec une rapidité fulgurante, Il a juste le temps de se protéger le cœur avec son épée…



Il repousse calmement la Jeune Dame et intime au serviteur de sortir de la Tente…
Il regarde la Dame et lui dit…

Chère Dame, vous avez un drôle sens de l’hospitalité. Baissez votre arme, je ne veux aucun mal a cette enfant, Ni a vous d’ailleurs…
Mais est ce une Habitude Uzetienne de pénétrer chez les Gens sans s’annoncer ?
La petite Anghell d’Hell, Maintenant vous ???


Sathan sourit…

Décidemment sa Tente était moins à l’ abri que n’importe quel Moulin…
Il devrait revoir un peu sa Garde rapprochée …

Bon Puisque vous êtes la, je vais me présenter, Je suis Sathan, Prince des Ténèbres et aussi Prince des Voleurs…
Que puis-je faire pour vous… ???


Il regarde La Jeune Dame qui dégageait une beauté étrange, elle ressemblait beaucoup a la jeune demoiselle Anghell…
Elle avait une étrange ressemblance avec la Mère de sa Fille, La Princesse des Ténèbres, La belle Ténèbra, qu’il avait hélas perdu, Son regard se voile un peu…



Bien sur Meli, sa seconde Epouse était la, Mais cette ressemblance réveillait de vieux démons…
Anghell
Anghell dévisagea l’intrus qui n’était pas si intrus puisqu’il était dans SA tente, un léger sourire toujours suspendu à ses lèvres. Elle l’écouta parler, s’approcher et resta debout :

Citation:
Bonjour mon enfant… Oui tu as Raison je viens juste d’arriver, et tu es la première personne qui vient se presenter a moi…


Ah oui, ze suis la première personne ?!! Boh c’est pas bien ça pasque moi ze suis pas d’ici il aurait fallut que ce soit un uzétien qui vous souhaite la bienvenue hihi.

Citation:
Tu ressembles a ma Fille Gehenna^^… Tu es aussi téméraire qu’elle…
Je suppose que tu as des parents ???...

Ah bon ? Votre fille elle a quel aze ? La petite se voyait déjà en train de s’amuser avec Géhenna et peut être qu’à deux, elle feront des mauvais tour à certains.
Puis quand il lui parla de ses porents un large sourire se dessina sur son visage d'enfant.

Ah ben viiii hein suis po tombée du ciel !! Mon popa ben c'est le plus beau, le plus fort et le plus zentil !! Et ma moman ben c'est la plus belle, la plus courazeuse et la plus zentille !! Ben si vous voulez ze vais vous les présenter, vous allez voir ils sont supers, bon moman s'inquiète un peu beaucoup pour moi mais c'est normal...

Citation:
Ah je dois me présenter aussi…Je m’appelle Sathan, Je viens de Nulle part, et je ne vais nulle part…
Je suis disons un voyageur errant…


Waaaa Sathan c’est zoli comme prénom ben ze connais un sseval il a le même hihi ! C’est où Nulle part, C’est bien là bas ? Moi ze suis de Valence mais on se promène un peu avec mes porents.

Citation:
Mais assis toi… Je vais te faire amener de quoi boire…
Aurais-tu soif ? Faim ?


La petite étoile sourit à son invitation et sans se faire prier elle s’assit sur le premier tabouret qu’elle vit. Elle y balança ses petites gambettes et le regarda:

Oh ben ze crois que z’ai un tit creux tout à coup, l’enfant rit et se tapota le ventre.
Anghell attendit qu’il donne ses ordres à de drôles de personnes sans détacher son regard de lui, il était vraiment d’une beauté étrange : à la fois attirant mais tout aussi repoussant. Et surtout il émanait une aura autour de lui d’une pleine puissance. Un léger sursaut la surprit lorsqu’il lui demanda.


Oh ben euh… ze me promène, ze me suis encore éssaper de ma nourrice ! Ze l’aime po elle mais bon moman veut la garder donc ze m’amuse à la faire tourner en bourrique hihi. Mais ssut hein vous dites pas hein msieur ?
Après ze me suis laissée guider par mon intuition et z’ai vu votre campement, dites vous z’allez rester longtemps ici, pis euh … c’est normal qu’il y a des zens qui ont de drôles de têtes, vous préparez un carnaval ?…

Et voilà une pluie de questions de tomba. Elle avait hâte d’assouvir sa curiosité. Et surtout, elle aimerait bien s’amuser avec eux si vraiment il y avait un carnaval. Elle se tut pour se donner un moment de répit et ainsi permettre à son nouvel « ami » de lui répondre quand soudain elle sentit un bras l’empoter en arrière. Elle regarda par-dessus son épaule et vit que c’était sa mère.

Oh momaaaaaaaaan, regarde ya des nouveaux… son sourire s’estompa quand elle entendit sa mère proférer des menaces. Anghell tenta de calmer sa mère qui s’inquiétait toujours pour elle.
Citation:
N'envisagez même pas de la toucher !

Mais non, moman, il est zentil même que c’est mon ami !
Musartine
Il repoussa son arme. Mais l'instinct maternel peut dévoiler des forces et des actes imprévisibles. Donc repousée ou pas, Muse continua de garder son épée pointée en direction de l'homme, et il faudrait bien plus que de veines paroles pour la lui faire rabaisser.

Dans le même temps, Anghell réalisa que sa mère était là. Muse tenta un sourire rassurant adressée à sa fille.


Ma puce, je doute qu'un homme regroupant force militaires autour de lui, se trimbalant avec autant d'armes, n'ait que des vélléités d'amitié. Alors il peut être charmeur, il peut même avoir une barbe si ça te fait plaisir, mais qu'il se dise pas ton ami tant qu'il n'aura pas prouvé sa magnanimité. fin de l'histoire.

Muse l'autoritaire quand il s'agissait de sa famille regarda à nouveau celui qui semblait être le chef de ce clan.

L'Hospitalité Sire, la politesse, ça n'est certainement pas de regrouper des forces armées aux portes d'une ville, et d'attendre que quelqu'un vienne vous donner le bonjour avec un grand sourire. Alors cessez de me prendre pour une imbécile, et nous gagnerons du temps tous les deux.

Que mon sens de l'hospitalité vous déplaise, grand bien vous fasse ! je m'en fou comme de ma première chausse ! Mais il se trouve que présentement vous tentez de manipuler ma fille, que vous avez je ne sais quelles intentions à son encontre, et que cela, je ne le laisserais pas faire.

Alors, vous la laissez quitter ce camp, vous me prenez en otage si ça vous chante, mais elle, vous la laissez partir sur le champs, et que rien ne lui arrive, où c'est mon courroux qu'il vous faudra gérer.


Toujours sur la défensive, Muse ne cessait de regarder autour d'elle, d'épier le moindre mouvement des hommes présents, remarquant au passage la présence d'une femme qui semblait étrangement calme, comme dans un autre monde. Le temps n'était pas à l'analyse, à savoir qui elle était, ou qui elle n'était pas. Elle mémorisa son visage, et continua d'observer le moindre mouvement, prête à réagir au quart de seconde.

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
Ghell
Ghell avait fini sa Journée d’études, et se dirigeait vers les Tavernes…
Il pénètre dans la première taverne et ne voit pas son Epouse Muse.

Il va ainsi de suite dans chaque Taverne, et aucune trace de son Epouse…
Le jour Baissait pour laisser place a la Nuit, Il ne comprenait pas que son épouse ne sot pas la, Ni sa Fille Anghell…

Il avait entendu des rumeurs sur un campement étrange hors de la Ville dans les bois…
Il décide d’aller voir … Il monte sur les Rempart pour voir l’emplacement de ce campement, un feu de bois peut être …

Il avance a pas de loup, et trébuche, il se rattrape de justesse et évite de tomber…
Il entend comme un ronflement… Il se penche et reconnait sous le clair de Lune le visage de Zet…

Et bien se dit il^^, Nous avons un fameux défenseur la… Uzès peut dormir sur ses deux Oreilles…
Il laisse le Chef de port à sa Garde Accrue, et scrute le Bois…
Il aperçoit a l’est du village des petits feux de bois… et décide de s’y rendre…

Ghell avait acquis pendant plusieurs années de voyages l’art de se fondre dans la Nuit, Il avançait prudemment dans les sombres sous bois…



Il s’arrête a un Ruisseau et se désaltère un peu… Il est a l’écoute de chaque bruits…
Il se relève et continue sans bruit en direction du campement…Un frisson Glacial s’empare de lui au fur et a mesure de son avancée. Il s’arrête et aperçoit dans le noir une forme …



Surement un Garde qui doit surveiller le campement…
Il se met derrière un arbre en poste… et voit a ses Pieds une des fameuses Poêle de son Epouse…
Il craint le pire pour son Epouse… Il prend son Arc et Ajuste Le Garde…



Quand il entend derrière lui un cheval au Galop, il n’a pas le temps de se tourner, Il tombe au sol à Genoux…Avec un immense Mal de tête…
Il a juste le temps de voir une forme qui lui assène un second coup de Gourdin sur le crane…
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Anghell
La petite regarde la scène un peu abasourdie, ne comprenant plus trop ce qu’il en est. Après tout, il avait l’air gentil et en effet il n’avait pas de barbe, dommage se dit elle.
Toujours est il que sa mère était dans un état tel qu’elle ne l’avait jamais vu ainsi. Un danger, manipulation mais de quoi elle parlait. Dans tout les cas, si sa mère disait cela c’est que surement elle avait raison.

Mais moman qui te dit que ze ne zoue pas un zeu.
La petite esquissa un sourire plus pour rassurée sa mère qu’autre chose.

Son regard se perdit autour d’elle, ne sachant plus trop comment réagir. Autant attendre la suite des événements puis son cœur tambourina en entendant les paroles de sa mère. Des voleurs, des brigands, des assassins ….

Citation:
Alors, vous la laissez quitter ce camp, vous me prenez en otage si ça vous chante, mais elle, vous la laissez partir sur le champs, et que rien ne lui arrive, où c'est mon courroux qu'il vous faudra gérer.


Quand Sathan s’est présenté à sa mère il a précisé être le roi des Ténèbres…. Tout son petit corps frémit, une peur assourdissante l’envahit.

Elle se rendait compte qu’en cet instant précis, elle risquait sa vie et peut être même plus et c’était pour cela que sa mère avait ce regard là .
Un froid la saisit, une excitation encore inconnue l’emporta… ça c’était de l’aventure.
Tout son être était en émoi. La petite démone se mordit la lèvre, l’adrénaline à son comble.
Puis elle se recule et dit :


Non ze pars pas ze reste avec toi, non ze te laisse pas seule !! Ze reste !!!!


Nom d'un chien, c'était une Hell et elle se battrait quoiqu'il arrive auprès des siens ! L'aventure commençait et elle comptait bien la vivre !
--Sathan
Sathan regardait les Deux Femmes, enfin une femme et une enfant…
Il regardait aussi Meli qui était la, et assistait a la scène… Il n’avait rien fait de mal…Juste il avait offert des fruits et des Jus de Fruits a une petite Rebelle^^…

Et il avait juste défendu sa vie quand la Dame était entrée…
Il regarde La Dame du coin de l’œil et ne veut pas lui montrer son attention envers elle…

Il prend son air autoritaire…

Vous êtes ici chez moi… Dans ma Tente… Je vous offre l’hospitalité, et vous ???
Vous me traitez d’homme ayant une armée ??? peut être Un pilleur de village ???
J’avoue que je ne vous comprends pas…Je ne veux aucun mal a La petite Anghell… Ni a vous d’ailleurs…


Il s’approche de la Dame et sa main caresse son visage…



Elle lui rappelle tant sa Princesse…

Quand soudain Priest entre dans la tente…

Il regarde son fidele Soldat… Priest dépose sur le sol le corps d’un Homme a la Chevelure Blonde…
--Melisande



Comme dans toute guerre, les pions se mettaient en place.
Les cavaliers faisaient leur office, et l'échec et mat serait atteint.


Je ne pense pas qu'il faille attaquer le soir des élections, tout nos hommes ne sont pas encore là. Tenon nous en à notre stratégie.

Puis une enfant entra.
Innocence de l'enfance.
Rêves de l'enfance.
Moments de douceurs.

Une femme entre.
Colère.
Le pélican est connu pour donner sa chaire à ses enfants lorsque la nourriture vint à manquer.
Elle se sacrifiera s'il le faut.

Regard vers son époux.
Etrange lueur dans ses yeux.
Mais il n'est pas l'heure de retourner dans la forêt.


Il serait peut être de temps de faire savoir ce pour quoi nous sommes ici ?

Mais il est accaparé par la présence de la femme.
Elle n'est pas Héra. La jalousie n'est pas son apanage.
Attente.


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Was Ihr seid, sind wir gewesen - Was wir sind, werdet ihr werden*

Ce que vous êtes, nous l'étions - Ce que nous sommes, vous le deviendrez.
Musartine
Décidément l'homme était passé maitre dans l'art de la tergiversation, ce qui ne décollérait pas Muse.

Je vous ai dit de ne pas me prendre pour une imbécile.
Si vous voulez prendre des leçons d'hospitalité, je suis sure qu'il y en a de dispensé près de n'importe quelle cour de hauts nobles.
Je vous ai demandé de laisser ma fille partir, et vous n'en avez rien fait. Et cela est un fait.


Anghell fit part de son désir de rester ... pas étonnant ça. Muse aurait du s'en douter. L'inquiétude grandissait, et il fallait réussir à protéger sa fille coûte que coûte.

Non Anghell, tu ne restes pas : tu quittes ce lieu, et tu retournes auprès de Marguerite. Tu y seras plus en sécurité.

A nouveau elle s'adressa à celui qui semblait être le chef de clan.

Vos intentions sont peut être les meilleures du monde, je n'en sais fichtre rien. Ce que je sais, c'est que lorsqu'un groupe aussi important que le vôtre arrive près d'un village, et qu'il est aussi bien armé que l'est le vôtre, il fait connaître ses intentions pacifiques avant son arrivée, ce qui ne semble pas être le cas. Alors si vous me dites vous même que vos intentions sont de piller le village, cela ne m'étonne guère.

A ce moment là, l'homme eu un geste qui lui glaça le sang, il lui caressa le visage, geste qui aurait pu se vouloir être doux, geste qui aurait pu révéler une tendresse, mais geste qu'un seul être était autorisé à faire. Et c'est sans cacher le moins du monde sa colère que son cri s'exprima :

OTEZ VOS SALES PATTES DE LA ! ET FISSA !!!

Propos accompagnés d'un geste brutal de la main, cherchant à dégager la main de celui qu'elle considérait comme un ennemi...

La sceynette à peine finie qu'un autre homme entra. LA jeune femme, sa fille toujours près d'elle, l'épée toujours prête à servir, se retourna brusquement, et vit un homme poser un homme blond au sol. Son sang ne fit qu'un tour : cette chevelure, cette silhouette, ces vêtements ... Blême, elle regarda le corps, et craignant le pire, elle murmura
Qu'avez vous fait ???.

Protéger sa fille, il ne fallait pas qu'elle se laisse aller à la panique. Il fallait qu'elle continue de protéger Anghell. Son regard continuait de surveiller les uns et les autres, mais ne cessait de regarder celui qui était allongé là, et qu'elle voulait rejoindre, secouer, guérir, voir se relever... Que le temps est long parfois...

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Observer les indices disséminés pour ne pas geindre par la suite.
--_eudes


Sliiiiiiiiiing Sliiiiiiiiiing
Les lames doivent être tranchantes à souhait. Il les aiguise avec amour, avec une tendresse non dissimulées.
Sliiiiiiiiiing Sliiiiiiiiiing
Berceuse aux sons doux, ayant le pouvoir de séduire les femmes. Il aime ces bijoux d'orfèvres que sont ses lames. Il les choient comme la prunelle de ses yeux.
Sliiiiiiiiiing Sliiiiiiiiiing

Une femme entre dans le campement, et elle attire son oeil. Sa faim le tiraille.
Son art l'attend. Elle dégage un tempérement, ou il le parierait, elle crierait son plaisir. Elle entre dans la tente des chefs. Il cesse le ballet de la pierre sur les lames. Et prenant ses ustensiles, il se dirige vers la tente. Il y entre et se met dans un coin.

Au vu de la disposition des individus, son office pourra surement servir à quelque chose. Peut être même pourrait-il faire sortir la femme. A entendre ses mots, elle est éduquée, et doit savoir apprécier l'art. Quelques dessins de traits rouges sur son corps ne pourraient qu'améliorer sa beauté.

Ses yeux ne peuvent dissimulés le regard d'envie qu'il éprouve de lui montrer ses talents de dessinateur, et il se risque alors à proposer à Sathan ses services.


Chef, souhaitez vous que je vous débarrasse de cette importune ?

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Le meilleur moyen de persuader consiste à ne pas persuader.*

*Lautréamont : les chants de Maldoror
--Priest1


Priest avait posé le corps de l'Homme a la chevelure blonde, et regardait La Dame et l'enfant...
Etaient ils de la meme Famille???

Priest Regarde son Maitre et Lui dit...

Maitre? Cet Homme etait en train de Viser un de nos Gardes autour du camp, Je n'ai pas voulu mettre fins a ses Jours...

Je peux m'en occuper si vous le desirez...


Il regarde autour de lui et voit beaucoup de Monde dans la tente de son Maitre...
--Sathan
Sathan regarde la foule dans sa Tente...

Une jeune fille Anghell, Une Dame qui lui rappelle feu sa Princesse...
Et qui veut le Tuer...
Meli, Sa tendre compagne,

Priest qui depose un corps sur son Tapis...

Eudes qui veux tuer...

Il se demande ou est sa fille aussi...

Il reprend sa respiration et son Calme...

Il s'adresse a ses Amis...Nous sommes Ici pour prendre ce Village...
Mettez moi ces Gens dans une Tente sous Haute surveillance,Je ne veux pas qu'ils s'echappent...

Bientot tout le comté va savoir que nous sommes ici...


Il se penche vers l'homme a la Cheveulure Blonde... Pose son Index sur son cou, et sent les battements de son coeur...

Bon soignez moi cet Homme... Nous ne sommes pas des assassins qui tuons pour le Plaisir...

Sathan pose son regard sur Meli...

Meli? ma tendre, Je vais entamer les Negociations avec la Bourgmestre de Uzès... Veux tu ecrire de ta plus belle ecriture, une missive qui sera adressée a Dame Frenny, ainsi qu'au comte de Ce Comté...Messire Klanacier...

Si nos demandes ne sont pas acceptées nous mettrons a sac tout le village ainsi que le comté...

Il s'adresse a Priest... Tu es responsable de ces trois personnes... dit il en montrant Demoiselle Anghell, La Dame et l'homme allongé au sol...

Sathan quitte la tente ...
--Gehenna


Qui osait les espionner ? Quel genre d’humain pouvait chercher à assouvir leur curiosité sur leur campement. Elle haussa les épaules, qu’importait rien ne pourrait entraver leur plan. Et puis, elle ne faisait que suivre le groupe, apres tout elle s’en moquait, pourvu qu’elle continue d’errer et de s’amuser comme peu le faire un vrai démon !

Comme à son habitudes, Géhenna reprit son petit chemin ignorant l’agitation et l’effervescence naissante dans leur campement. Il fallait qu’elle assouvisse ses bas instincts. Elle était loin d’être une sainte et sa peau diaphane aidait à leurrer ses pauvres humains.
Son esprit s’était déjà éclipsée vers un autre monde, elle était là sans être vraiment de ce monde. Géhenna marchait d’un pas léger, serein et presque trop lent, non elle ne marchait plus, elle flottait comme ses pensées.

Elle admira les alentours, le ciel, les nuages, les arbres, les rochers et cet homme. Hein ? Un Homme ?
Son regard dévisagea cet être de bas étage, allait elle lui consacrer le moindre intérêt ? Il avait tout l’air de guetter et de surveiller les alentours. Géhenna étouffa un rire, drôle de guetteur. C’est sûr qu’en dormant il avait plus de chance de défendre sa ville.
Doucement, d’un pas toujours aussi léger, tel un fantôme elle se cacha pour se mettre derrière lui. Sa main se dirigea vers sa chevelure et la laissa planer au dessus de sa tête comme pour analyser cet homme par l‘esprit. Puis, elle se pencha pour renifler son odeur. Il sentait l’alcool à plein nez. L’ivresse Hmmm … l’une des plus grande tare humaine… elle glissa son index laissant son ongle le griffer doucement le long de son cou.
Géhenna entrouvrit ses lèvres s’apprêtant à planter ses crocs contre son cou quand soudain une hallucination la fit se reculer. Un pressentiment l’envahit, il fallait qu’elle rebrousse chemin. Elle fronça le nez pour sentir l’odeur … mais pas n’importe quel odeur, celle de la nature, celles des humeurs et surtout celle de son campement.

Géhenna murmura tout bas, si près de l’oreille de cet homme que son souffle tiède pourrait le faire frémir d’envie :

c’est ton jour de chance…


La démone laissa tout de même une trace d’elle sur ce sac de graisse, et planta son ongle le long de son cou pour laisser une longue griffe puis elle s’éclipsa. Ni vue, ni connue, ni entendu, peut être s’était il réveillé par la douleur de la griffe, ou sans doute que non par la force de l’ivresse. Toujours est il qu’elle retrouva son chemin par la puissance des étoiles.
Sans un mot, sans un bruit, sans un soufflement, suivant toujours le même rythme, elle apparut derrière cette femme, une intruse, une humaine… être inférieur.


Père… les étoiles m’ont appelé à vous…


Avant même qu'elle n'eut achevé sa phrase que son père avait déployé ses ailes....L'avait il entendu à temps ?
Puis, ses yeux ébènes se posèrent sur cette femme, elle sentait les pulsation de son cœur battre à un rythme hors norme. La peur , la crainte, l’inquiétude, la tenaillaient.
Elle voulut sourire de cette mélodie, de cette plainte. Mais son regard se posa ensuit vers un petit chérubin, ou non une humaine.
Quelle ressemblance frappante avec cette femme. Sans doute sa fille, que faisait elle ici ? Trop de pureté dans cette tente…
Un homme à terre inconscient attira son attention m'espace d'un instant.
Elle sentait son souffle sourd qui luttait contre lui-même, ses pulsations douces, elle avait envie de posait sa main sur son torse pour y enfoncer ses ongles aussi profondément qu'elle en caresserait son coeur. Mais toujours sa langueur la laissa de marbre.
Que se passait il encore? Décidément, elle avait encore raté un épisode.. et les choses prenaient une tournure qu'il attisa de vieux instincts

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