Eliane_
La blonde remarque le trouble quelle fait naître dans le corps de la brune. Un sourire en coin, elle dévore du regard le corps quelle sappropriera bientôt. La Fauve, semblait dans un autre monde, se complaire dans loisiveté ou dans le silence, mais ce nétait pas pour satisfaire la blonde. La paresse nest pas mère des vertus.
Elle observe la nouvelle qui prend ses aises, sautorisant même une pique quEliane lui fera payer au quintuple, en temps voulu. Sa main se perd sur sa hanche, la presse et la blonde inspire doucement le parfum de laudacieuse. Ses lèvres se perdent dans son cou, se refusent le goût de sa chair, elle hume simplement, se frustre, se donne envie delle sans sautoriser la félicité.
Questo cade bene in questo caso, perché ci sono due*...
*Cela tombe bien dans ce cas, car nous sommes deux...
Les mots en italiens se glissent dans son oreille, souffle délicat, mélodieux quelle lui offre avec une pointe dinsolence. Puis elle soffre une plus grande bouffée dair avant de glisser sa main sur le corps de la brune. Sa main se perd dans son dos, remonte le long de son échine pour se poser à même sa nuque, la pressant légèrement. Se mordant la lèvre inférieure, elle approche son visage du sien, désirant dévorer ses lèvres sous cette passion qui naît doucement en elle.
A quelques centimètres, elle patiente, empoigne plus fermement sa nuque pour se tenter, pour sinviter à se brûler les ailes et au dernier moment, elle sempare simplement de sa lèvre inférieure pour la mordiller. Sa langue apaise le feu de la morsure et la blonde se fait plus assurée. Putain, peut-être quelle létait au vu de son appétit insassiable...Alors, elle lui en donnera pour son argent, si tel est son souhait.
Quimporte si elle la malmène, quimporte si elle la brusque, quimporte si par ce désir delle, la blonde se fait presque trop perverse, elle en a cure...Enivrée par cette délicieuse folie, elle glisse sa main libre sous la chemise de la nouvelle. Elle remonte, savoure le contact avec sa peau et continuant sa progression elle vient découvrir lun de ses monts, le caresser avec envie et ses doigts se font taquins, venant titiller leurs pointes, les pincer jusquà les sentir dresser.
A chacun son plaisir, même si elle aimait à trouver le sien dans la douleur des autres, elle en était pas moins douces avec les femmes...Sattaquant à lautre sein pour lui réserver le même sort, elle vient loger ses lèvres dans son cou, mordillant sa chair, léchant sa peau jusquà effleurer son lobe doreille. Elle est sienne.
Elle ne lui laisse pas le temps de réaliser, pas le temps de se rebeller quelle la conduit déjà sur la couche. Son corps sur le sien, sa bouche sempare de la sienne, sa main défait doucement sa chemise pour quelle puisse observer enfin ce corps. Redressant léchine, elle savoure le spectacle et griffe sa peau, de la naissance de ses seins au bas de son ventre. Son genoux se loge entre ses cuisses, se joue de son entrejambre, pressant son entrée, envieuse. Sa main libre se pose sur sa joue, laissant son pouce se glisser entre ses lèvres, provocation purement excitante.
Montre moi de quoi est capable ta langue...Je te dirais si je te laisse me goûter.
Un pouce entre ses lèvres gourmandes, son autre main caressant ses monts, son genou malmenant son entrejambe, Eliane inspire doucement, laissant cette passion lenvahir tel un venin délicat...
Ti voglio come mio soggetto, di unirsi a noi?
Veux tu que ma soumise, se joigne à nous ?
_________________
@citation de Joris-Karl Huysmans.
Envie d'un RP ? Envoyez un MP.
Elle observe la nouvelle qui prend ses aises, sautorisant même une pique quEliane lui fera payer au quintuple, en temps voulu. Sa main se perd sur sa hanche, la presse et la blonde inspire doucement le parfum de laudacieuse. Ses lèvres se perdent dans son cou, se refusent le goût de sa chair, elle hume simplement, se frustre, se donne envie delle sans sautoriser la félicité.
Questo cade bene in questo caso, perché ci sono due*...
*Cela tombe bien dans ce cas, car nous sommes deux...
Les mots en italiens se glissent dans son oreille, souffle délicat, mélodieux quelle lui offre avec une pointe dinsolence. Puis elle soffre une plus grande bouffée dair avant de glisser sa main sur le corps de la brune. Sa main se perd dans son dos, remonte le long de son échine pour se poser à même sa nuque, la pressant légèrement. Se mordant la lèvre inférieure, elle approche son visage du sien, désirant dévorer ses lèvres sous cette passion qui naît doucement en elle.
A quelques centimètres, elle patiente, empoigne plus fermement sa nuque pour se tenter, pour sinviter à se brûler les ailes et au dernier moment, elle sempare simplement de sa lèvre inférieure pour la mordiller. Sa langue apaise le feu de la morsure et la blonde se fait plus assurée. Putain, peut-être quelle létait au vu de son appétit insassiable...Alors, elle lui en donnera pour son argent, si tel est son souhait.
Quimporte si elle la malmène, quimporte si elle la brusque, quimporte si par ce désir delle, la blonde se fait presque trop perverse, elle en a cure...Enivrée par cette délicieuse folie, elle glisse sa main libre sous la chemise de la nouvelle. Elle remonte, savoure le contact avec sa peau et continuant sa progression elle vient découvrir lun de ses monts, le caresser avec envie et ses doigts se font taquins, venant titiller leurs pointes, les pincer jusquà les sentir dresser.
A chacun son plaisir, même si elle aimait à trouver le sien dans la douleur des autres, elle en était pas moins douces avec les femmes...Sattaquant à lautre sein pour lui réserver le même sort, elle vient loger ses lèvres dans son cou, mordillant sa chair, léchant sa peau jusquà effleurer son lobe doreille. Elle est sienne.
Elle ne lui laisse pas le temps de réaliser, pas le temps de se rebeller quelle la conduit déjà sur la couche. Son corps sur le sien, sa bouche sempare de la sienne, sa main défait doucement sa chemise pour quelle puisse observer enfin ce corps. Redressant léchine, elle savoure le spectacle et griffe sa peau, de la naissance de ses seins au bas de son ventre. Son genoux se loge entre ses cuisses, se joue de son entrejambre, pressant son entrée, envieuse. Sa main libre se pose sur sa joue, laissant son pouce se glisser entre ses lèvres, provocation purement excitante.
Montre moi de quoi est capable ta langue...Je te dirais si je te laisse me goûter.
Un pouce entre ses lèvres gourmandes, son autre main caressant ses monts, son genou malmenant son entrejambe, Eliane inspire doucement, laissant cette passion lenvahir tel un venin délicat...
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