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[RP] Mariage de la MIRANDOLE

Jusoor
Le bonjour dame, je peux voir votre carton d'invitation s'il vous plait?

A ces mots, Ju détourne le regard porté sur un inconnu quelques secondes plus tôt pour reconnaître face à elle, le sourire amical de Cuche.

Vous voici Fulvy ! Sourit largement. C'est un plaisir que de vous voir ici, même si ce n'est guère une surprise. Comment fut votre voyage ? Ju regarde derrière elle sous le bruit des taffetas qui s'agitent.
Allons Fulvy, asseyons-nous voulez-vous ? La mariée approche... Se penchant à l'oreille de son ami : Notez que je consens à vous accorder ma compagnie pour les noces. 'sourit, visiblement amusée'.
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"Je ne parviens pas à savoir quelle partie de moi trompe l'autre" - Georg Büchner
Maud
Il était encore pire que Maud avait pu l'imaginer..
Cet espèce de borgne qui reluquait Angélyque .
Maud se contenait tant qu'elle pouvait.
De voir Estainoise et Falco qui s'engouffra dans la cathédrale la mit en joie.
Marine qui apostrophait une petite aussi. Pas en reste la gamine.
Et son Grand Monsieur qui allait conduire Angélyque à l'intérieur.
Elle rit à sa mauvaise foi.

Par contre, son visage se ferma quand elle vit Gnia.. Maud n'avait pas oublié le mariage de Eusais et Gnia.. ni le visage fermé de celle-ci et encore moins d'avoir planté toute la noce après la cérémonie.

Elle tourna donc les talons et essaya de se trouver une place à l'intérieur.
En elle-même, elle ne souhaitait qu'une chose: que Angélyque dise "Non."

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Angelyque
Le Très Haut l'avait entendue. C'est pas un évenemenys mais plusieurs qui s'enchainèrent rapidement, et pas vraiment celui qu'elle espérait, du genre son père arrivant un grand sourire aux lèvres et prenant le couple dans ses bras en pleurant d'émotion...c'est en gros le voeu que la Mirandole venait de faire...

Bien loin de la réalité qui se déroulait sous ses yeux. Entre le témoin du marié qui lui faisait un sous entendu dans le but de titiller vraissemblablement Flex, ce qui énerva prodigieusement la Charolaise qui comprit ainsi que le fiancé avait fait de même au mariage de son témoin. Elle ne pouvait de plus rien dire, vu qu'à cette époque là, elle était accompagnée d'un autre, qui aurait dû se trouver à la place du Mirandole ce jour
.

C'est une immense joie que de vous revoir aussi cher ami, je ne sais si mon promis a conscience de la chance qu'il a aujourd'hui....mais pour briller, il brille. Il est l'homme le plus élégant qu'il m'ait été donné de rencontrer. Je sais qu'avec lui ma garde robe ne sera jamais dégarnie.

Un petit sourire goguenard accompagna sa tirade et elle coula un regard en direction du marié. Puis adressa un sourire à Camille qui n'avait rien perdu de l'échange. Ce soir, ils seraient deux à devoir rendre des comptes héhé!

Les événements s'enchainèrent ensuite sans qu'elle ne pût en placer une. Le duc de Bouillon et son épouse arrivèrent. A peine eut elle le temps d'échanger quelques paroles avec la jeune mariée qu'il y eut quelques mots entre celles-ci et son cousin et qu'elle se retrouva tirée par le bras en direction de l'autel où chacun prenait place. L'évêque avait entre temps ouvert les portes en grand, et un bon nombre de personnes s'étaient faufilées à l'interieur, dont le marié.

Elle se retint de griffer Eusaias pour qu'il la lâche


Mais cessez donc de me traîner comme ça, vous!!!! les coutures de ma robe sont à deux doigts de lâcher en plus,vous êtes devenu fou ou quoi? je n'étais pas encore tout à fait prête! et avais encore des petits détails à régler avec Enguerrand.

Et j'étais à l'heure je vous signale! monstre!


Une odeur insoutenable lui fit froncer le nez et un haut le coeur lui coupa la respiration

Pouahhhh! Quelle est donc cette horrible odeur, Bouillon? Vous sentez? j'en ai la nausée!!on dirait de l'ail ou de l'oignon. dans une Cathédrale!

Elle en oublia du coup de lui demander la raison de son arrivée si tardive. Décidemment ils s'étaient tous donné le mot pour la rendre chèvre!
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Clemence.de.lepine
Dubitative quant à ce mariage, elle n'en est pas moins là, et pour cause, on l'y a invitée. Non qu'elle soit particulièrement familière de l'un ou l'autre Mirandole de la noce, mais la surprise de l'invitation passée, elle s'était souvenue de cette soirée bourguignonne au cours de laquelle, la première fois, elle avait croisé Enguerrand. C'était en compagnie de Blanche, d'ailleurs, et c'est à cause de cette pensée qu'elle préféra se concentrer davantage sur les évènements futurs plutôt que sur ceux passés. Sans aucun doute, la cérémonie ne manquerait pas d'originalité, et malgré sa pauvre connaissance des futurs épousés, elle ne pouvait - impossible - ne pas y assister. Sûrement, elle avait bien fait, quand elle voyait cette masse de convives, qu'elle en reconnaissait quelques uns, appréciés ou non, mais toujours intéressants à observer et côtoyer.

Habillée de taffetas ocre et brun, surcot échancré jusqu'à la taille et tassel écarlate couvrant chastement le décolleté, elle avait fait enrouler et natter ses lourds cheveux d'ambre, maintenus de chaque côté du visage par un frontal de soie doré. Aucune extravagance, elle avait toujours préféré les toilettes classiques, privilégiant l'élégance simple à l'originalité clinquante.

Elle remarqua, de loin, que l'on entrait déjà dans l'édifice religieux et descendant de son coche armorié, elle pressa le pas, pestant contre ses mauvaises habitudes de retardataire. Aucune envie de se taper l'angle d'un banc et de devoir se tordre le cou pour pouvoir suivre un tant soit peu le déroulé de la cérémonie. Elle rejoignit alors le parvis où se massaient encore invités, témoins et mariés - le marié venant pour sa part de franchir les portes de la Cathédrale. Accrochant ses griffes au bras de la mariée, elle reconnut là le Duc de Bouillon et ne put retenir un soupir consterné. Elle observa un instant le tableau, amusée par les vitupérations de la Duchesse à l'adresse du Blanc-Combaz, et la salua d'un regard et d'un signe de tête - elle, pas lui, donc. A proximité, elle remarqua également Yolanda, et le soupir laissa place à une ombre de sourire. Et puis, la Duchesse d'Amboise - entre autres titres - que, sur un élan du coeur, elle s'empressa de rejoindre.


Le Lavardin était empli de tant de monde que je n'ai fait que vous y apercevoir sans pouvoir vous approcher d'assez près. Elle avait les yeux brillants, et son visage se fendait d'un sourire enchanté. Le bon jour, Ellesya, je suis réellement ravie de vous voir ici. Il me semble que des années se sont écoulées depuis la dernière fois où nous avons pu nous parler.

Où était-ce, d'ailleurs ? Aucune idée, aucun souvenir. Longtemps, trop longtemps, peut-être depuis les obsèques de sa mère ... ?

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Judas.
Quelques mots, une invitation, pour une fois le Von Frayner n'avançait pas vers la cérémonie bondée en pur inopportun. Ha Angélyque! Merveilleuse Angélyque. S'il fallait la voir en robe de noce pour admirer encore un peu l'arrondi d'une épaule, le galbe d'un saint... hum sein, ainsi soit-il. Judas grand amateur de femmes ne restait de marbre face à la créature Mirandolesque.. Et quoi, avait-il bien compris? Le déesse épousaillait son frère? Point offusqué, l'homme avait eu son propre lot d'amours incestueuses... La cérémonie n'en serait que plus intéressante !

Discrètement, il se fraya un chemin parmi les invités, pas de velours et gants de cuir, le vendeur d'âme avait pris soin de se découvrir, et de laisser la badine au castel Bolchen. Son cadeau de mariage? Il avait certainement pris place dans le décor qu'animait la Mirifique, aussi singulièrement qu'elle pouvait lui plaire. Elle aurait tout loisir de le fouetter les jours où la nature l'indisposerait, histoire de passer le temps joyeusement. Les yeux gris fouillèrent l'assistance, c'est que cette densité obstruait sérieusement la scène...

Voyons voir, qui est donc ce Flex, avec qui l'on présage une entente certaine? Le petit veinard...

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Envie de jouer?
ellesya
Amboise avait décidé de laisser tout ce petit monde se dépêtrer de l'ornière où les acteurs semblaient s'être retrouvés. Si Angelyque venait à avoir besoin d'elle, elle saurait lui faire signe. Elle n'allait pas rajouter sa voix inutilement à ce concert d'invectives, de taquineries et autres joyeusetés du genre.
Elle en était donc là à suivre vaguement la scène, son regard adouci par quelques songeries. Jusqu'à l'apparition d'une vision suscitant une vague de ravissement en son sein.

La vie réanima ses traits et son regard clair alors qu'un franc sourire fleurissait sur ses lèvres. Et un prénom souvent joint aux prières mais trop rarement écrit, et encore moins prononcé.


Clémence !

Je suis tout autant heureuse. Je ne me suis pas enquis de la liste des invités, aussi ne m'attendais-je point à vous voir.

Quelle excellente surprise!


Il est de ces amitiés étranges. Qui n'ont nul besoin d'un lourd terreau pour naître. Qui survivent à des silences interminables. Qui ne s'égratignent d'aucune jalousie.
Une bouffée d'air frais sans arrière-pensées.


Oui, cela fait très longtemps. Je n'avais guère le goût de me mêler au monde durant une longue période. Je le regrette comme vous le savez.

Un pli sur le front de la jeune duchesse marqua l'affliction de celle-ci à la réminiscence de cette période dont elle revenait marquée. Puis tout à coup, son regard s'éclaira à nouveau et elle sembla chasser ses fantômes.

Etes-vous venue accompagnée?

La question était franche et peut-être trop directe, mais la jeune femme était aussi curieuse d'en savoir plus sur celle qu'elle tenait en amitié que de pouvoir proposer sa propre compagnie à défaut.
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Clemence.de.lepine
Les sourires sont contagieux, la bonne humeur aussi.

Clémence aurait pu avoir le moral en dessous de zéro, Ellesya serait rapidement parvenue à le lui rehausser, et presque au maximum. Le fait est qu'elle n'était pas de mauvais poil, simplement quelques humeurs maussades passagères, mais que serait l'Epine sans ses maussaderies coutumières ? Alors, étant d'ores et déjà dans de plutôt bonnes dispositions, on imagine à quel point la perspective de renouer avec cette alliée de jeunesse lui mettait le cerveau en ébullition. On était au bord de l'euphorie. A la limite de l'apoplexie. Autant dire que cela se trahissait par un tressaillement inhabituel des sourcils, un éclat quasi étranger dans les tréfonds de l'iris, et un étirement anormalement élastique des zygomatiques.

Et pour celle qui en chaque événement un tant soit peu extraordinaire voyait un signe du Très-Haut, le fait d'avoir la possibilité de renouer avec une amie perdue de vue alors qu'on venait justement d'en perdre fraîchement une relevait du miracle.


Accompagnée ? Elle jette un œil derrière son épaule et revient à Ellesya, une petite moue navrée sur le visage. Non, pas tout à fait. C'est assez désolant d'ailleurs.

Ah oui, réellement. C'est qu'on en a perdu l'habitude, de cette solitude tenace qui vous broie la cervelle, les entrailles, la raison, même. Et y replonger, c'est comme un bain d'eau froide après une sieste au soleil. C'est étourdissant. Et presque douloureux. Regard éloquent en direction d'Ellesya et on reprend sur un ton enjoué.

J'espère bien que je vous verrai désormais un peu plus souvent dans ce monde, alors. Il serait dommage que vous en disparaissiez, maintenant que je vous y ai retrouvée !

Et vous, avez-vous quelques projets pour l'avenir ? Question posée avec un sourire mutin aux lèvres. Dans ses derniers souvenirs, et s'ils étaient corrects, la jeune femme hésitait encore entre prendre mari et se concentrer pour toujours sur Dieu et la parole d'Aristote. Bien des choses avaient pu se produire entre temps.
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Rupert_averey
La réponse d'Averey à Claire fut brève et sans baragouinement, l'esprit ailleurs.

Non, pas le Périgord, juste un peu au nord.


Voyant son seigneur qui rentrait après l'avoir félicité sur sa tenu, l'intendant n'avait d'ailleurs pas envie de se préoccuper de la présence de cette dernière, du moins pas pour l'instant.

Suivant son maître, il rentra dans le lieu saint surveillant dans les allées qu'aucun importun notoire vienne lui barrer la route qui le menait vers sa félicité.
Cuche
Fulvy afficha un grand sourire, fier de son petit effet de surprise.
Il écouta Jusoor et lorsqu'elle termina, il lui tendit le bras en se tournant face à l'allée principale.


Comment fut votre voyage ?
Peu réjouissant, mais meilleur que celui vers le Berry. Au moins cette fois-ci je n'avais pas le bouffon de la Mirandole à mes côtés.
Et le votre? Pas trop de problèmes?


Si seulement il y a avait eu des brigands ou des Ponantais... Il aurait pu un peu s'amuser! A part ça, c'était monotone, long et froid.

Allons Fulvy, asseyons-nous voulez-vous ? La mariée approche...
Avec plaisir, et évitons de croiser la mariée en cet instant... La tension doit être tellement forte qu'il serait désagréable pour nous de devoir subir une de ses crises. Je me demande si elle a pris sa latte sur elle tiens!

Notez que je consens à vous accorder ma compagnie pour les noces.

Et de répondre, amusé par ce petit jeu.

Vous m'en voyez réjouit! Ce sera donc bien plus agréable que de les suivre seul ou en mauvaise compagnie!


Entrainant la baronne vers l'intérieur, il chercha un endroit avec des places encore disponibles et s'y installèrent pour suivre la cérémonie.
Pile à cet instant, les cloches commencèrent à sonner.
Guiguil allait certainement se souvenir de cette journée, lui aussi. Une fois que le son s'atténua, il glissa une petite remarque à sa voisine.


En tout cas, magnifique toilette que vous avez là! Je crois que si vous cherchez un duc ou un prince à épouser, c'est l'occasion rêvée de vous faire voir! En plus ça tombe bien, il doit y en avoir plein autour...

Et de lui faire un petit clin d'oeil complice sur le ton de l'humour.
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ellesya
A l'allégresse se mêla un vague sentiment de détente. Pas d'enjeux autre que le plaisir sain des retrouvailles.
Tout en écoutant les paroles de Clémence, elle hochait presque imperceptiblement du chef, montrant par là son intérêt. Jusqu'à l'ultime phrase qui se révéla être une question casse-pipe pour la jeune femme. Elle n'était pas l'Indécise pour rien.
Pour s'offrir un petit délai, elle reporta la réponse à un peu plus tard.


Si les occasions nous manquent, nous pourrons toujours forcer un peu le destin.

Pour ma part, je suis en ces lieux en qualité de témoin de la mariée. Et en présence de mes compagnons d'armes et, pour certains, amis.


Disant cela, elle désigna du regard le petit attroupement. Dans leurs beaux atours, il était difficile d'imaginer les épreuves, la crasse et le sang dans lesquels ils avaient baignés avant d'être en garnison à Bourges. A chaque étape de leurs aventures, elle avait tissé des liens privilégiés avec certains et avait été déçue par d'autres. Comme dans toute vie en société, certes.
Son regard d'argent pailleté d'émeraude revint vers son interlocutrice et elle lui adressa un sourire.


Mais si ma compagnie vous agrée, elle vous est acquise. Je pourrais vous présenter l'un ou l'autre de mes amis si le début de la cérémonie tarde encore.

Un léger silence allait s'installer quand Sya se décida à répondre à la question qui lui avait été posée.

Quant à mes projets d'avenir... J'oscille toujours entre deux voies. L'absence de projets dans l'une risque bien de me pousser vers la seconde.

Le regard se fit plus soutenu. Sya espéra que Clémence avait compris. Un reste de pudeur l'empêchait d'énoncer les choses plus clairement tant qu'elles étaient à portée d'oreilles. Elle haussa légèrement les épaules, avec fatalisme. Puis ajouta:

Et plus concrètement, j'aspire surtout à quitter le Berry pour regagner Amboise et mon Duché.
J'ai quitté la sérénité du couvent pour trouver l'âpreté de la guerre. Par bonheur, même si je suis au bord de la ruine, j'y aurais gagné quelques belles rencontres et amitiés.

Et vous, quelle vie menez-vous depuis votre départ de Bretagne ?

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Lilly_de_brithilde
La mioche en rose commençait à s'ennuyer. Sa mère lui que le Duc de quelque part devait se rendre au mariage, et force était d'admettre que pour le moment, elles l'attendaient.
Lilly observa de son oeil espiègle l'homme qui s'était adressé à sa mère et qui reparti après avoir dit qu'ils se connaissaient .
Elle tira un peu la main main maternelle et murmura :


Maman, pourquoi que lui y s'en va comme ça ? On attend le quelqu'un qui s'appelle qui ? Gieorge ? Peut-être que l'est là ?

Sans laisser le temps de répondre à sa mère, la petite mit ses main en porte voix et appela l'attendu.

GIEORGE ? Meussieur Gieorgeeeeeee ? Où que t'es ? Maman, l'est là !

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Eusaias
Aucune réponse ne fut formulée au marié, après tout, le cousin de sa femme était son cousin non ? Et snober son cousin pour son mariage ça a un petit côté chic. Un petit sourire étira ses lèvres lorsqu’Agnès intervint, « Jamais de Face » il l’avait bien appris avec elle. Elle n’était pas belle la famille à cet instant ? Le frère épousait la sœur, après avoir fait la guerre à la cousine, le père était absent et le mari de la cousine combattue remplaçait celui-ci. Il y avait aussi pas loin de là, la fille du cousin, qui avant d’être adoptée avait été « très proche ». Sinon la fille de la mariée… Enfin bon, c’était une famille banale.

La main d’Eusaias resserra son étreinte sur celle d’Angélyque alors qu’il remontait l’autel et qu’il se faisait gourmander pour son haleine.

Cessez de râler vous devenez toute rouge, puis ça dévoile le petit morceau vert entre vos incisives.

Il regarda la bouche comme si quelque chose se trouvait entre les dents de la duchesse. Evidemment il n’y avait rien mais le balbuzard était fort taquin. Il reprit :

Auriez-vous mangé quelques herbes ? Car maintenant on voit que ça…

Et de lui faire un sourire ravi alors qu’il la quittait devant l’autel. Elle a côté de son frère et lui rejoignait sa femme.
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Guiguil51
Et Guiguil, de regarder la foule parler d'un bout à l'autre de la nef. Il fit alors claquer négligeamment la crosse au sol, demandant ainsi à l'assemblée de se lever pour l'entrée de la future "jeune" espouse.
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Charmant diocèse recherche Curés pour s'occuper avec soins de ses paroisses.
Angelyque
S'il avait voulu la mortifier, ce sagouin d'Eusaias ne s'y serait pas prit autrement. La Duchesse en eut le sifflet coupé et referma immédiatement la bouche, suivant le duc de Bouillon sans rien dire, sursautant simplement au coup de crosse sur le dallage de la Notre Dame

Une fois devant l'autel, aux côtés de son promis, elle lui prit la main et se tortilla légèrement pour attirer le regard de l'évêque. Tout en lui souriant de toutes ses dents elle loucha ostensiblement pour lui faire comprendre qu'elle avait un gros souci.

Dans le même temps, elle se pencha vers Flex et lui murmura


Auriez vous un mouchoir en dentelle mon aimé? j'ai besoin de m'éponger le front

Elle avait pourtant bien vérifié avant de quitter l'auberge qu'aucun détail n'entâchait sa mise, mais le regard scrutateur d'Eusaias avait été sans équivoque.
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Flex
Enguerrand n'était vraisemblablement pas le seul à s'ennuyer, du moins à trouver le temps long. Car depuis qu'il avait rejoint l'autel, ce temps de solitude et à regarder les décorations divines du culte Aristotélicien ainsi que de lâcher quelques salut de tête aux invités qui en faisaient de même ; donc, tout ceci fut long. Mais lorsque la duchesse du Charolais était enfin à ses côtés, la fierté du jeune homme regagnait de sa splendeur.
Quel étonnement face à la demande de Angelyque. Sa y est, elle allait pleurer. C'était une feinte qu'elle lui faisait là, elle avait le front correctement propre - de son regard de borgne en jugea-t-il ; pourtant Flex, en bien aimant (futur) époux, s'accorda le plaisir de devoir répondre d'un caprice Mirandolien, et donna en faveur de Angelyque, son mouchoir. Enguerrand ne savait plus s'il ne s'en était pas servit durant les dernières heures.


« - Tenez Angelyque..

Flex aurait aimé rajouter des épithète par-ci, de faire une prose magnifique ou encore parler à voix haute de son union, or il ne trouva rien d'autre qu'à souffler, un peu las, à la duchesse du Charolais. Si elle cherchait à lui dérober la vedette, ça n'allait pas le faire !

Nous sommes prêts. »

Affirma-t-il à l'homme de Dieu.
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